Première séance :
Elle décida de se réserver la surprise. Chose qui me surpris agréablement.
J'ai ce truc de toujours vouloir que les choses soient parfaites. C'est admirable mais très piégeux car comment faire quelque chose de parfait quand on a peu d'expérience. Mais je me soigne. J'essaie de viser le sentiment global de satisfaction. Il y aura des hauts, des bas, des ratés mais au final, en y repensant, on en gardera un bon souvenir. C'était mon objectif pour cette première session. Tout était planifié, écrit, pour me concentrer sur l'application, le plaisir de la chose.
Elle est arrivée à l'heure (j'aime la ponctualité), un peu nerveuse. Je l'étais aussi et ne saurais qui l'était le plus.
Assis, dans mon siège acheté pour l'occasion, je l'ai laissé debout, devant moi, bien droite. Énonçant les règles de la séance, lui faisant répéter à haute voix pour validation.
Vouvoiement, finir ses phrases par Monsieur, obéir...
Et sinon.
La punition/sanction.
C'est un moment que j'affectionne. Qui nous permet de rentrer dans nos rôles respectifs, qui marque le début de la séance.
En dehors, nous somme amis, nous plaisantons, je suis taquin, je m'enfoutiste, elle est rebelle, elle se moque de moi. En séance, elle est une bonne soumise obéissante, attentive et appliquée, je suis autoritaire, implacable, dominateur.
Le passage de l'un à l'autre doit être clair et facile pour moi comme pour elle.
Pour faire une analogie, je pratique la plongée en apnée et avant chaque séance, j'ai mon rituel.
Outre les bienfaits physiques, c'est avant tout un état d'esprit que j'endosse. Je ne suis pas le même sous l'eau et sur terre. Je ne suis pas le même dans le cadre d'une session et à la vie civile:D.
Je considère que ce moment où elle se tient devant moi, qu'elle répète les règles, nous permet à tous les deux, de glisser d'un état « classique » à un état « D/s ».
Elle restait debout, bien droite. Je l'ai laissé là un moment, la détaillant.
Je pourrais la laisser là, des heures. La voir se maintenir, retenir son impatience, tenter de cacher l'inconfort de la situation, ça n'a pas de prix. Mais c'est plus pour mon plaisir que le sien.
Je passais rapidement derrière elle pour lui chuchoter à l'oreille « Je veux te voir nue. ».
Elle trésaille.
Je me mis face à elle et sentie son hésitation.
« Si cela peut t'aider, tu peux utiliser ça » dis-je en en lui tendant un foulard.
Elle me regarda perplexe.
« Je vais te montrer. »
Je lui passais le foulard autour de la tête, lui occultant la vue. Elle eu un recul comme pour m'en empêcher puis se ravisa, maîtrisant son instinct.
En amont de la séance, elle m'avait posé la question de la tenue, devait-elle porter quelque chose de spécial. Une tenue en particulier. Pour rire je lui avais dit « comment tu t'habilles en entretien d'embauche ? »
Je crois qu'elle m'a pris au mot.
Elle portait un tailleur cintré avec dessous un chemisier blanc léger. Je n'irai pas plus loin dans ma description vu ma faible connaissance vestimentaire mais je dirais seulement qu'elle était très jolie et séduisante.
Sa veste est vite tombée. Ses mains ont commencé à déboutonner son chemisier. D'abord comme un geste monotone, habituel puis, à mesure que le nombre de boutons diminué, plus hésitant, lent.
Le pantalon fut plus rapide à tomber, sûrement parce que moins de boutons à défaire :-)
Elle resta là en sous-vêtements comme attendant une réaction de ma part.
Le foulard tomba et elle cligna des yeux.
« Qu'attends-tu ? »
Je vis de l'incompréhension dans son regard
« Et bien il me semble t'avoir demander quelque chose »
Ma main s’abattit fortement sur sa fesse. Le claquement résonna dans la pièce suivi par le petit cri qu'elle laissa s'échapper.
Décontenancée, elle ne sut que répondre.
« J'ai dis nue. »
Elle enleva péniblement son soutien-gorge encore plus péniblement sa culotte.
Avec le recul, je sais que j'aurais pu/dû rendre la chose plus simple. Je crois que, trop pressé par l'envie de m'y mettre, j'ai négligé l'entrée en matière, minimiser l'impact de la mise à nue sur Marie.
Elle restait là, debout, ses bras devant son bas ventre, le regard en biais.
Je sentie qu'il fallait que je la conforte dans son choix, que je lui donne le moyen de prendre confiance.
Ma main caressa sa joue puis descendit le long de son cou. S'attardant sur son bras, pour la réconforté, je relevais son menton pour la regarder droit dans les yeux.
« Tu es belle. »
Elle sourit doucement.
Je continuais mon exploration de son corps, passant sur ses seins, son ventre, ses reins puis ses fesses.
Marie est une belle femme. Elle a un passé de sportive et son corps a gardé des courbes et une tonicité très appréciable. Je l'avais déjà remarqué lorsque nous allions nous baigner mais l'avoir 'sous la main' était bien plus parlant et très agréable.
A mesure de mes sollicitations, je la sentais se détendre, sa posture changeait, se tenant plus droite, les bras le long du corps, la poitrine ouverte, comme pour faire valoir ses charmes. Son visage s'éclairait et son attitude se faisait plus volontaire.
Je me servis du foulard pour lui attacher les mains dans le dos, la caressant continuellement pour la rassurer, la motiver. Une extrémité plus longue pour la manœuvrer. Je tirais vers le haut pour la forcer à se pencher. Ce qu'elle fit de bonne grâce, forçant sur sa cambrure, les jambes légèrement écartées et bien tendues pour faire ressortir ses fesses.
« Je vais te fesser, un cul comme ça, ça ne demande rien d'autre »
« Oui » me répondit-elle
« Monsieur » rajouta t'elle avec précipitation.
Dix sur chacune, d'intensités différentes, juste ce qu'il faut pour que sa peau commence à rougir.
Les premières furent accueillis avec discrétion, un sursaut à chaque fois que ma main s'abattait sur l'une de ses divines fesses bien rebondies puis vinrent les soupirs, sur les dernières. Je la sentais pleine de bonne volonté, s'appliquant sur sa posture, son attitude.
J'avais fabriqué, pour l'occasion des pinces à tétons (très DIY le dominant). Si depuis il y a la V2 à intensité variable qui est sortie, les premières étaient assez puissantes. Je lui fis signe de se relever et lui installai. Une corde reliée les deux sur laquelle était fixé un petit poids de plongée.
Je lui demandais de reprendre sa position. Le poids, bien que léger, modifiait son centre de gravité l'obligeant à prendre une autre position afin d'être stable. Imaginez, les jambes écartées plus large que les épaules, les fesses pointant vers l'arrière, son sexe à découvert, son dos cambré et ses seins étirés vers le bas. Il m'en a fallu de la maîtrise pour ne pas la prendre en l'état.
Je rajoutais un foulard, noué lâche autour de son coup, l'extrémité longeant son dos, je lui remis le bout qu'elle devait tenir, l'obligeant à relever la tête pour ne pas s'étrangler. Bien sûr, il ne s'agissait pas d'un nœud coulant et elle pouvait lâcher le foulard à tout moment si l'exercice devenait trop ardu.
Le jeu était simple, elle devait tenir la position trois minutes peu importe ce qu'il arriverait et elle serait récompensée, sinon, la séance s'arrêtait.
Je me souviens, en amont, avoir testé la position moi-même avec un chrono voir ce qui semblait abordable. Le but étant qu'elle réussisse bien évidemment.
Si je l'avais mieux connu, j'aurais mis 5 minutes directement :smiley qui rigole grâve hohoho
#desbarres:.
Je mis le chronomètre bien en évidence devant elle.
Je commençai par son visage, caressant ses cheveux, ajoutant du poids sur sa tête pour voir le foulard appuyer sur sa gorge, voir ses muscles se mobiliser pour stabiliser sa position. Puis m'attardais sur sa bouche, enfonçant mon pouce dans celle-ci, la faisant saliver.
Elle restait passive à mes sollicitations, se concentrant sur sa posture.
Je descendais sur son cou, serré par le foulard mais n'osais tirer dessus. Je découvrirais plus tard qu'elle avait un fétiche sur l'étranglement et l’asphyxie mais sur le moment je restais prudent, n'osant m'aventurer trop loin.
J'aime le corps féminin (qui ne l'aime pas, hein!?) et l'attrait de certaines parties sur moi sont infinies. Le dos en est une, plus précisément le long de la colonne vertébrale. Lorsque les muscles se contracte, le dos cambré, ce creux me happe. Alors quand je la vis, je ne pus m'empêcher d'y accorder toute mon attention. Je le parcourus de mes doigts, puis de ma langue, de sa nuque à sa chute de rein. Je la sentis frissonner, se creusant un peu plus à mon passage comme pour échapper à la douce tentation de ma langue (hou la belle phrase).
Je savais exactement ce que j'avais à faire pendant ces trois minutes, c'était révisé à l'entraînement. Mon dieu que se fût dur de se détacher de son dos.Mais le devoir m'appelai et je ne pouvais décemment pas la laisser gagner aussi facilement. Pour quoi, pour qui passerais-je alors ?
Et puis le plat suivant était tout aussi appétissant.
Toujours à son côté, je plaçais une main sous son ventre, je le sentais trembler sous l'effort de maintien. J'appuyais un peu pour qu'elle puisse s'y reposer légèrement, ce qu'elle fît.
Comment ça, moi, gentil ? Attendez, vous allez comprendre.
Une fois en position, je me mis à lui caresser les fesses, d'abord gentiment, puis avec plus de force, malaxant ces belles miches tel un boulanger consciencieux.
Je la sentis se relâcher, pesant un peu plus sur ma main.
C'est alors que je lui administrais une belle claque. Vous savez, de celles qui partent du bas pour remonter, qui vous donne un peu d'élan vers l'avant. Ce qui n'est pas vraiment un problème quand vous êtes bien sur vos appuis. Pas, non plus, si quelqu'un vous soutient de sa main.
Mais disons que cette personne bienveillante retire sa main au même moment, sans crier gare !
Et bien s'en suit une décharge d'adrénaline liée à la perte d'équilibre. Vous vous contractez, tirez sur la chose que vous avez entre les mains sans logique apparente, du coup vous vous étranglez un peu plus et poussez un grognement de surprise.
Je lui assénai quelques claques supplémentaires histoire d'avoir un nombre paire sur chaque fesse, la regardant lutter pour garder sa position à chaque coup en ricanant d'un air machiavélique.
Elle tourna la tête vers moi, me regardant d'un air de défi (ces sportifs, j'vous jure...).
Je lui fis un grand sourire et tapai du pieds dans le poids qui pendait de ses seins. Ce nouveau mouvement, couplé à sa tête tournée dans ma direction lui fit perdre l'équilibre.
Je la vis, pointe des pieds, dos arqué, luttant pour retrouver un semblant d'équilibre. Elle y parvint après moult efforts.
Le chrono était maintenant terminé et la sonnerie emplissait la pièce. Je l'aidai à se relever et lui enlevai le foulard du cou. J'en profitais pour passer mes doigts sur celui-ci et descendre sur sa poitrine. Je jouais avec ses tétons maintenant colorés par l’afflux de sang et elle laissa échapper un soupir bien plus évocateur qu'elle ne le voulait. De surprise, je l'observais, tournant mes doigts le long de ses seins, me rapprochant de ses tétons puis m'en éloignant sans les toucher. Elle jetait de rapides coups d’œils vers ma main lorsque celle-ci se rapprochait puis regardait au loin, refusant de croiser mon regard. Je lisais en elle un mélange appréhension et d'anticipation de la douleur ainsi qu'une envie, une impatience liée à celle-ci.
«
- Félicitations, tu as tenu bon.
- Merci, monsieur.
- Es-tu prêtes pour ta récompense ?
- Oh oui, monsieur... heu, oui, monsieur.
»
Quand je parlais d'impatience ^^.
Marie debout, bien droite, je plaquais le foulard contre ses yeux de nouveau.
«
- Avec ou sans les pinces ?
-Avec répondit-elle après une longue hésitation et quelques pincements de lèvres.
»
Je me mis à jouer avec son corps, caressant par ci et par là. Je la sentais trépigner d'impatience. Ma main s'approchant de son bas ventre, elle poussait son bassin en avant en montant sur la pointe des pieds. Je faisais mine de rien et glissais le long de sa cuisse ou remonter sur son ventre.
Son souffle s'était alourdis et elle commençait à gigoter, se dandiner d'un pied sur l'autre. Son excitation perlait et le frottement de ses cuisses laissait échapper un son humide.
Je tirais ses cheveux en arrière, la forçant à se cambrer, ouvrant sa poitrine. Mon doigt glissa le long de sa fente sans prévenir. Elle débordait littéralement et un râle profond sorti de sa gorge. Encouragé par cette réaction, je continuais l'exploration, jouant avec ses lèvres, son clitoris, la pénétrant doucement. Son corps ondulait en rythme, son souffle tantôt profond et lent, tantôt court et rapide, ses soupirs incitatifs...
Je me plaçai derrière elle pour coller la bosse déformant mon pantalon contre ses fesses. A cette sensation, elle se frotta à moi pour me sentir réagir.
Une mains en elle, l'autre sur son cou, nous continuâmes notre petit jeu un long moment. Il fût néanmoins clair que je ne pourrai l'amener à la jouissance de cette manière. Je me décollais donc de son corps tout chaud avec rechignement. Profitant qu'elle ne me voyait pas, je portais mes doigts à la bouche savourant son précieux nectar.
Je défis les pinces de ses tétons et les pris en bouches, léchant et suçant comme pour réparer le traumatisme.
Les foulards tombèrent, libérant sa vue et ses mains.
Je lui caressai la joue une dernière fois et la séance pris fin.