Un contrat peut même ne pas exister du tout, mais dans ce cas, des dialogues avec la personne soumise sont nécessaires pour savoir ce qui l'attire dans le BDSM et comprendre vers quoi elle veut aller.Le safeword n'a pas grand chose à voir avec la sécurité. C'est plutôt un moyen par lequel la personne soumise peut faire savoir que le jeu n'est plus ce qu'elle souhaite. Par exemple dans un viol simulé, le mot non peut être prononcés dans le cadre du scénario alors qu'en réalité elle ne veut pas arrêter.
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