sysy13
#0
Bonjour,
Cela fait quelques mois que je traverse une crise identitaire et je ne sais plus "qui je suis ou plutôt ce que je suis". J'ai dû mal à définir dans quelle case me mettre (vanille ou soumise)
J'aimerais avoir votre avis quels sont les qualités nécessaires pour débuter une relation en tant que soumise.
Est-ce que suivant vous, il y aurait des traits de caractères ou des besoins qui sont rédhibitoires pour envisager d'être soumise.
J'ai lu (je ne sais plus où), que l'envie de soumission commençait par l'envie d'être fessée. De mon côté, ce n'est pas mon fantasme ou mes envies actuelles (c'est qu'elle chose que je pourrais envisager s'il s'avère que je suis réellement soumise et que je trouve un dominant en qui j'ai confiance (mais certainement plus pour son plaisir que pour le mien)
Je vous remercie par avance pour votre aide et j'espère ne pas m'être trompé de lieu pour poster mon message.
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#
#1
bonjour denna, je dirais que pour être soumise, la base, c'est d'en avoir envie... à toi de faire le tri entre ce que tu veux, ce que tu recherche, ce que tu ne veux pas.. je ne crois pas que des traits de caractère ou des besoins soient rédhibitoires. je crois par contre que se soumettre ne veut pas dire se soumettre à n'importe qui, et donc, si on reste dans la partie "saine" du bdsm, la personne t'acceptera telle que tu es... le tout est de trouver la bonne personne, et ça prend du temps...
Dernière modification le 07/05/2023 16:07:37 par BDSM.
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sysy13
#2
Je vous remercie Phenix, pour votre réponse.
Soyez la première personne à aimer.
Equilibre
#3
Bonjour denna
Pourquoi voulez-vous rentrer dans une ou des cases??? Vous avez tout à fait le droit d'être une vanille qui aime de temps à autre épicer ses envies. L'un n’empêche pas l'autre. Vous n'avez pas non plus besoin d'avoir une ou des qualités particulières, par contre vous avez des devoirs: le premier être vous même, le deuxième de rester fidèle à vous même, le troisième, de prendre le temps de trouver le ou la dominant(e) qui vous correspond. Ensuite, à vous deux d'inventer votre propre univers BDSM.
ET n'oubliez pas non plus que si vous avez envie de vous soumettre aujourd'hui, que demain vous souhaiterez peut-être passer de l'autre coté de la cravache.
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sysy13
#4
Bonjour Équilibre, merci pour votre réponse, vous avez raison mais il n'est pas facile de rester soit même en permanence. Je me dis que si je reste en vanille, je devrais faire une croix sur une partie que j'ai eu la chance d'apercevoir et si je deviens soumise, cela risque de faire comme la seule très très courte relation D/s que j'ai connu et dans laquelle le dominant était frustré du peu de limite que j'ai autorisé. Et trouver un Dominant, qui a exactement les mêmes goûts, c'est certainement possible mais cela risque d'être très compliqué.
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#
#5
Pas toujours facile de savoir qui on est vraiment ...
Le tout est de vivre selon ses envies et besoins ... quelles qu’elles puissent être ... et ainsi évoluer vers ce que l’on est ou aspire à devenir ...
À votre service pour de plus amples précisions
Bien à vous
Maître Jean-Luc
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Equilibre
#6
Je crois que vous n'avez pas bien saisi le sens de ma réponse.
Vous ne devriez pas, et vous ne restez pas soumise ou vanille. Vous acceptez de vous soumettre ou le refusez. Et si vous l'acceptez, vous n'êtes pas obligée de l'être 24/7 ni de mettre votre personnalité de côté. Tout comme si vous choisissez le côté vanille, vous avez tout a fait le droit d'épicer votre relation de temps en temps. Ne cherchez pas à entrer dans une case ou une autre.
Tout comme trouver une soumise. Ce n'est jamais facile, cela demande de la patience, et surtout ne pas se satisfaire d'un moins quand le tout nous attend quelque part. Vous finirez par trouver.
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sysy13
#7
Merci beaucoup Equilibre pour vos éclaircissements je pense que je comprends mieux, ce n'est pas la peine que je me prenne la tête pour me mettre dans une case ou une autre.
Le plus important est de trouver la personne qui me correspond et après j'adapte le curseur en fonction de la relation, des envies et du moment,...
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Equilibre
#8
Voilà c'est exactement ça. Si le pain de la boulangerie ne vous plaît pas, vous allez dans une autre boulangerie. Vous ne changez pas vos goûts.????
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sysy13
#9
Equilibre, Vous faites preuve d'une grande sagesse et de beaucoup de bon sens, je Vous remercie énormément d'avoir pris de Votre temps pour me l'expliquer et que je puisse me rendre compte de cette évidence. J'avais pris le problème dans le mauvais sens ...
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Mr Mano
#10
Bonsoir
Vous commencez par dire " je ne sais plus ou je suis " . Ne cherchez pas à être une bonne soumise sans avoir d'abord répondu à ce problème . Il faut y allez dans l'ordre .
Avant d'être une soumise épanouie , il vous faut être une femme épanouie . Une femme qui s'est construite , qui sait ou elle veut allez et ce qui lui correspond
Je vous dirais de savoir vous écouter , vous accepter comme vous êtes et de respecter vos envies naturelles .
Quand vous regarderez dans la glace en disant je suis ainsi ; j'ai envie de ci mais pas de ça alors les portes vont s'ouvrir naturellement
C'est vous qui allez construire la soumise que vous êtes , pas les " il faut que...... " ; les " j'ai lu que.... " ou encore les " il est écrit que .... " ; non non ; vous ; juste vous .
Ne vous compliquez pas la vie ; revenez à l'essentiel
Allez , bon cheminement !
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sysy13
#11
Merci Mr Mano pour vos conseils
Soyez la première personne à aimer.
L'histoire de pas savoir qui on est, de vouloir rentrer dans des cases, c'est une connerie monumentale, il n'y a pas de livre ou de ligne de conduite pour le bdsm.... on est pas la soumise de tout le monde, on est pas toutes adeptes des mêmes pratiques (et encore heureux).
La seule question à vous poser est qu'est ce qui vous rend heureuse ? Dans vos rêves, vos fantasmes, qu'est ce qui vous fait vous sentir, bien, belle, unique.... qu'est ce qui vous fait vibrer ?
Tout le reste, les martinets, menottes, abrutis des abysses qui vous diront que pour être une bonne soumise faut aimer la sodomie le fist et les orgies.... faut éviter...
Faites ce qui vous rend heureuse, quelle que soit la pratique, si une seule demande ou pratique vous fait vous sentir sale, ou vous malade ne le faites pas et ça ne fera pas de vous une mauvaise soumise ou une vanille, ou une chocolat menthe ou quelque soit le petit surnom qu'on vous donnera. Faites vous confiance, soyez égoiste avant tout parce que lorsque vous saurez ce qui vous rend heureuse vous pourrez aborder la relation de la bonne façon.
Pour l'autoflagellation et les bénédictions voir avec le Padre ^^
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Je ne puis qu’abonder dans le sens de ce qui a été précédemment.
Oubliez les « cases », il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises soumises.
Le bdsm c’est une alchimie qui s’opère, des désirs qui se rencontrent, un échange, une volonté de comprendre l’ « autre », homme ou femme, dom ou soum, de jouir de lui, avec lui et de le faire jouir, de découvrir ensemble de nouveaux plaisirs, de dépasser parfois ses limites ou de le/la laisser les franchir, mais en veillant toujours à ne pas aller au delà de ce que le/la soumis peut supporter.
Que vous aimiez ou non les fessées, on s’en fout. Moi non plus ça ne me branche pas.
Ce qui compte, c’est ce dont vous ( en premier lieu) et votre dom avaient envie de faire ensemble.
Quitte même, si vous en ressentez le désir, à alterner les rôles.
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sysy13
#14
Merci Lotine et FemmeFemelleEsclave pour vos réponses.
Celà serait difficile de répondre à vos questions Lotine, sans passer pour une extra-terrestre et risquer de choquer du monde (et non, il n'y a rien de condamnable pénalement ou juridiquement). Mais je préfère éviter de m'étendre sur mes fantasmes ou ce qui me plait de façon publique
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Kali-pyge
#15
C'est très intéressant comme question, et les réponses qui vont avec, car justement, découvrant moi-même de manière un peu moins superficiel ce milieu, je me posais les mêmes questions que vous...
Je pense être soumise, en tout cas j'ai envie de voir si ce rôle me fait du bien. Mais j'ai été récemment éprise de doute sur ma capacité à "l'être vraiment" (docile, car je suis fougueuse, provocatrice). Et je me disais que finalement c'était peut-être pas pour moi (il y a des choses que je ne me vois pas faire et qui ne me correspondent pas du tout, comme le fait de lécher une gamelle, ou de me rabaisser moi-même - genre dire que je suis une merde qui ne mérite pas de l'attention etc.
Mais au vu des réponses ci-dessus, je me dis que c'est bien une histoire d'alchimie, et qu'il s'agit de trouver le/la Dom avec le.la.quel.lle on est en harmonie (même attente, même envie et surtout même socle de valeur : ) ), et puis dans tous les cas dire ce qui nous convient ou non, car ça doit rester un épanouissement, et pas nous faire du mal (vous me comprenez ; ) ).
Puis je pense qu'en tant que débutante, y a tout un tas de trucs qui peuvent faire très peur... d'où l'importance de trouver un.e Dom qui y aille doucement, qui soit attentionné.e et attentif.ve, respectueux.se.... et expérimenté je dirais, pour ne pas risquer de nous mettre en danger par manque d'expérience ou mégarde : )
Voilà. Une soumise débutante comme vous, que ça rassure un peu de voir qu'elle n'est pas la seule à se poser ce genre de question, et qui trouve quelques éléments de réponse à son cheminement intérieur dans les commentaires de la communauté. Merci la communauté ; )
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Tindalos
#16
Radidonc, c'est drôlement bien quand on est une femme, il y a toujours plein de messieurs volontaires pour répondre aux questions...
@Denna, ne vous sentez pas gênée de vouloir tirer un voile pudique sur vos envies, c'est effectivement quelque chose de personnel, mais sachez que nous avons tous nos petits travers ici, personne ne passe pour un extra-terrestre ou ne risque de choquer. Le principe de base que beaucoup essaient d'appliquer, c'est de ne pas juger, à part les pratiques clairement répréhensibles (pédophilie, viol non-simulé...), pour tout le reste, vous risquez au contraire de vous rendre compte qu'il existe sûrement d'autres adeptes que vous.
@Lamb02, c'est vous qui choisissez de donner votre soumission, donc c'est à vous et à un éventuel dom' d'en fixer les modalités. Une soumise n'est pas meilleure qu'une autre parce qu'elle accepte de lécher une gamelle.
Comme dit Lotine plus haut, vous trouverez tout le temps des psychorigides, des vieilles badernes remplies de prétention, qui vous diront que tout ça n'est pas du vrai BDSM... Les dix règles, les douze positions... Faites bien comme vous le sentez, de toutes façons, vu le ratio homme/femme dans le milieu, c'est vous qui allez faire le choix, à eux de s'adapter ;)
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sysy13
#17
Merci Lamb02 de votre témoignage qui me permet de me sentir un peu moins seule.
Merci Tindalos, à vrai dire, j'ai découvert le plaisir sexuel que très récemment, celà peut paraitre choquant lorsqu'on a presque 40ans.
Je pensais avoir un "problème mécanique" et que j'étais frigide, je ne ressentais pas ou très peu de plaisir.
Lorsque vous parlez de ratio homme/femme dans le milieu, vous voulez dire qu'il y a beaucoup plus d'hommes que de femmes, je pensais que c'était le contraire, car on entends dire qu'il y a certains maitres qui ont plusieurs soumises, mais on entend rarement le contraire (en même temps, je ne m'imagine pas pouvoir me soumettre à plusieurs dominants en même temps).
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Tindalos
#18
Au doigt mouillé, je dirais, une femme soumise pour une dizaine de dominants, mais difficile de faire des statistiques...
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sysy13
#19
Merci pour votre réponse, je ne m'attendais pas à un tel ratio, mais celà signifie qu'effectivement on peut trouver l'Homme ou le Dominant qui nous correspond.
Mais celà signifie aussi qu'en contre-partie, il faut s'assurer que l'on soit vraiment le choix du dominant et non un choix par défaut (faute de trouver mieux).
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Anoa féline
#20
Denna il existe des soumises libres qui fréquentent plusieurs dominants, j en fais partie et en connais au moins deux autres. Le tout est d etre honnête et franche des le départ. J ai refusé des actes, le dominant m a dit que je ne suis pas une bonne soumise, juste une libertine. Sa réflexion m indiffere, plusieurs d autres apprécient de partager des séances avec moi.
L important est de faire ce dont vous avez envie, ce qui vous procure du plaisir tant physique que cérébral. J ai découvert le plaisir de la soumission il y a pas tout à fait deux ans. J ai tout quitté pour vivre libre. Il faut être libre dans sa tête et se sentir belle et désirable. Nul corps féminin n'est parfait, nul corps ne plaît à tous. Mais je pense que plus que le corps cest une séduction de l esprit, du cerveau, de l âme, ou quel que soit le nom que l on donne à ça qui permet une confiance et une vraie relation. Plusieurs dominants s occupent de moi et chaque relation est unique. N hesiteaz pas à me contacter si vous voulez partager sur ce sujet. J ai beaucoup de disponibilité.
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Maitre-d'oeuvre
#21
Bonjour.
Pour ma part, ( et sans avoir lu toutes les réponses ci-dessus ) je pense que la question est biaisée " Qualité "
Je ne crois pas qu'il faille avoir des qualités particulières, pour être soumise, mais bien plus un ressenti et un besoin de se soumettre.
Maintenant, la question peut être est:
Quelle soumission me tente ? Une soumission psychologique ? ou bien une soumission physique ?
Psychologique: Elle se pratique ( de mon point de vue ) dans la durée d' un rapport de couple et d'un jeu d'échange de pouvoir: l'un(e) est le Maître/Maîtresse, l'autre le/la soum.
L'un(e) a le pouvoir, l'autre se plie à ses volontés. (le tout après définition des limites de cet échange)
Physique: L'un donne, l'autre reçoit. il s'agit là d'une relation purement axée sur les sensations provoquées par des contraintes physiques. jeux de douleurs et ou de shibari.
La différence est d'importance, car elle est générée par une approche de soi et de son rapport à l'autre très différente:
Les maso aiment une certaine forme de souffrance et donc les jeux de contraintes physiques leurs sont agréables. Mais je n'y vois pas tant la soumission qu'un jeu. Aussi sérieusement pratiqué qu'il puisse l'être.
Ceux qui se sentent soumis(e) ont besoin d'être dans un rapport ou le/la Dom. les prennent en charge psychologiquement. Et donc s'installent plus volontiers dans un rapport de dépendance (organisée et consentie) dans la durée. Ce qui n'impacte pas ( forcément ) leur vie sociale, (en fonction des limites fixées) mais ces personnes se sentent dans une forme de douceur de vivre, car leur Dom. ( en général ) les chérit. ( Ce qui n’empêche pas les jeux de douleurs au sein du couple )
Alors et pour répondre à la question: Que souhaitez vous vivre ??? La réponse qui vous viendra à l'esprit vous dira ce que vous êtes.
Si aucune de ces deux postures ne vous tentent ? Alors vous êtes probablement Vanille, et tout va bien.
Si l'une de ces deux postures au contraire vous attire ? Alors cherchez vous au sein de celle qui est votre sensibilité.
Voilà. Je pourrai développer si vous avez des questions sur mon intervention.
:grinning:
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sysy13
#22
Merci maître-d'œuvre pour votre réponse. Je sais que je ne suis pas maso et que je ne veux pas de soumission physique, la douleur est quelque chose qui me fait peur.
Inconsciemment, je pense savoir où je me situe mais ce n'est pas évident de l'admettre.
J'ai eu une très très courte relation en tant que soumise, et malgré quelques questions et peur, ça me convenait de ne pas avoir à gérer la relation. J'ai eu à lui définir mes limites mais le reste, il gérait la sexualité (quand, comment), quand se voir, quand communiquer et sur quel sujet... Et cela me convenait, j'avais le beau rôle, je n'avais pas à me préoccuper de tout ça, je n'avais que mon quotidien (mon travail, mes amis, famille, mes loisirs, mon argent,... ) à gérer et quand j'étais avec lui, je n'avais qu'à lâcher prise.
Tant que la relation fonctionne, tout va bien, mais le problème est lorsque la relation devient bancale, il faut arriver à s'imposer alors qu'on lui a accordé le contraire (et je n'ai pas su lui imposer une conversation sur ce qui ne me convenait pas dans la relation) et donc à lui retirer des choix/droits qu'on lui avait laissé gérer depuis le début de la relation.
Après, je ne sais pas dire si je suis réellement soumise, ou si ce qui m'a plu, c'est la facilité de la relation car je n'avais pas besoin de la gérer.
Soyez la première personne à aimer.
Maitre-d'oeuvre
#23
@ denna
Quand je vous lis, j'observe deux choses:
La première est que votre relation était relativement clairsemée. Il ne s'agissait pas d'une relation permanente. C'est un élément à ne pas négliger dans ce type de relation.
La deuxième est que lorsque votre relation s'est terminée, il ne s'agissait pas de savoir s'il avait eu le rôle qui consiste à gérer votre vie avec lui, mais de considérer que cet accord n'était plus.
Par voie de conséquence, vous repreniez votre autonomie, et il se retirait sur la pointe des pieds. Ce que visiblement il n'a pas fait. Du coup au lieu d'en discuter d'égal à égal, de partenaire à partenaire, ce mur s'est installé entre vous et a créé la dissension qui a généré votre rupture, si j'ai bien compris le scénario.
Une soumise aime une relation dans laquelle elle lâche prise. Dans laquelle son Dom est aux commandes. Donc je dirais que vous l'êtes. Mais il faut toujours la clef qui fonctionne pour activer la serrure.
Lorsque la clef et la serrure sont raccord, alors la relation l'est également. dans le cas contraire ?? ................. :confused: :frowning:
Bon courage
:smiley:
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sysy13
#24
Merci beaucoup Maître-d'œuvre pour votre réponse. Effectivement, la relation était un peu trop clairsemée. Sa présence est ce qui me manquait et qui me faisait souffrir. Physiquement on ne pouvait pas se voir, on était confiné séparément mais j'avais besoin de pouvoir au moins discuter avec lui, de pouvoir ressentir sa présence et de savoir qu'il serait présent pour moi en cas de besoin.
Il ne s'est pas retiré sur la pointe des pieds, il s'est fait encore plus petit, il s'est volatilisé au cours de la discussion. Tant pis, je ne saurais jamais quel est le 2nd choix qu'il m'a proposé .
Ma serrure ne fonctionne pas avec Sa clé, mais il m'a permis de découvrir le début d'une relation D/s. Je mettrai certainement du temps, mais je le trouverai un jour Le Dom ou L'homme qui est fait pour moi.
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Cher Maître d’Oeuvre
Au risque de m’éloigner de la question initiale, je me permets de rebondir sur votre dernière intervention.
J’adhère à vos définitions de la soumission psychologique (« échange de pouvoir, l’un(e) a le pouvoir, l'autre se plie à ses volontés ») et soumission physique (« l’un(e) donne, l'autre reçoit. il s'agit là d'une relation purement axée sur les sensations provoquées par des contraintes physiques. jeux de douleurs et ou de shibari »).
Je ne vous suis plus par contre lorsque vous dites « la différence est d'importance, car elle est générée par une approche de soi et de son rapport à l'autre très différente ».
On peut évidemment être l’un OU l’autre, mais, au moins me concernant aujourd’hui, je pense qu’on peut aussi être l’un ET l’autre.
Ma soumission à mon Maître, je la vis désormais dans ses deux composantes, psychologique ET physique, sous réserve bien sûr de ce que vous dites quant aux limites et la vie sociale.
Et je ne vous rejoins pas (plus) lorsque vous dites que à propos du masochisme qu’il ne s’agit pas tant de soumission que d’un jeu.
Pour moi, ma soumission physique, ce que je subis comme maso, ne relève pas(plus) du jeu.
Elle prolonge et complète ma soumission psychologique, je laisse simplement en plus le « pouvoir » sur mon corps à mon Maître en me pliant à sa volonté.
_______________
Là où je vous rejoins toutefois c’est lorsque vous dites que la soumission psychologique s’inscrit plus volontiers dans un rapport de dépendance (organisée et consentie) dans la durée.
La soumission « physique » n’a pas besoin de la durée, une ou deux heures suffisent pour s’adonner à ce type de jeux.
La soumission psychologique se construit avec le temps.
Et pour être les deux, la relation doit s’inscrire dans la durée.
Ce n’est évidemment que mon point de vue, et qui plus est celui d’une femme, soumise ET maso, qui n’a compris tout cela que depuis peu, au regard de ses expériences antérieures.
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Maitre-d'oeuvre
#26
@Denna
Je suis heureux si mes propos peuvent avoir résonance dans votre vécu. Toute serrure a sa clef. Il s'agit juste de la trouver.
Bonne chance et bonne continuation.
:smiley:
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Maitre-d'oeuvre
#27
Chère FemmeFemelleEsclave,
Je crois qu'il m'est nécessaire de clarifier un point. Car en fait nous sommes d'accord, mais il me faut préciser une chose importante que j'ai omis de mentionner:
Une soumise psychologique peut évidemment apprécier la soumission physique et s'en voir contrainte de façon régulière. C'est encore de la soumission bien entendu.
Toutefois, un(e) Maso ne se soumet pas. Il / elle recherche une douleur donnée par une contrepartie qui apprécie de contraindre dans la souffrance. L'un(e) donne, l'autre reçoit.
Ce n'est de mon point de vue, pas de la soumission. Car, et c'est primordial dans mon approche de la soumission, un(e) soumis(e) ne vient pas chercher de la douleur. Son Maître, ou sa Maîtresse la lui impose lorsqu'il / elle le décide et non quand le / la soumis(e) le souhaite et vient se proposer.
J'espère être plus clair dans mon approche et ma différenciation de ce que je considère soumission en opposition à ce que je considère comme un "jeu de Sadomaso".
:smiley:
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BeebopSM
#28
J'aime beaucoup votre manière d'aborder les choses FemmeFemelleEsclave
Soyez la première personne à aimer.
Cher Maître d’oeuvre
Si je résume votre pensée, les soumises peuvent se rattacher à 3 grandes catégories :
- les soumises psychologiques, pour lesquelles la relation repose sur « l’échange de pouvoir, l’un(e) a le pouvoir, l'autre se plie à ses volontés»
- les soumises physiques, pour lesquelles la relation est « purement axée sur les sensations provoquées par des contraintes physiques, jeux de douleurs et ou de shibari »
- et enfin les masochistes, qui ne peuvent aucun cas être considérée comme soumises, puisque c’est elle qui viennent « chercher la douleur» et non leur MaÎtre qui la leur impose.
Je conçois bien qu'il soit tentant (qui que l’on soit d’ailleurs, homme, femme, trans, homo ou cisgenre, dom, soum, Maitre ou esclave) de vouloir se rattacher à telle ou telle catégorie et de mettre les autres dans telle ou telle case, parce que d’une certaine manière cela « rassure » tout le monde.
Mais plus j’avance dans le bdsm, plus je me sens éloignée de ces « cases » dans lesquelles on voudrait me ranger.
_______________
Si je porte mon regard en arrière, et en reprenant votre typologie, j’aurais ainsi été successivement
- soumise physique à l’adolescence
- puis, à la fin de ma relation avec mon premier mec, soumise physique mais avec une part grandissante de soumission psychologique,
- suivie d’une longue période de masochisme « chimiquement pur », puisque c’est moi qui exigeait de mes « Maîtres » qu’ils se comportent comme je l’avais décidé,
- pour me retrouver finalement dans le chaos intégral d’une relation qui se révèle un cocktail variable de soumission psychologique et physique intégrant en outre des pulsions masochistes qui n’ont normalement pas leur place dans une relation dom/soumise (même s’il ne déplaît pas à mon Maitre de les satisfaire).
Sans compter qu’il me faut rajouter à ce cocktail infernal un ingrédient additionnel, qui m'amènerait (presque) à me demander si Maxime lui-même ne serait pas un «soumis psychologique refoulé ».
Que penser en effet d’un Maître qui plutôt que d’imposer ses désirs, ses exigences, son plaisir à sa soumise, décide parfois de les faire passer au second plan et de ne pas assumer le rôle qu’elle lui reconnaît pour se préoccuper exclusivement d’elle, de son plaisir de femme, en utilisant son corps à lui, sa langue, sa bouche, ses mains pour la caresser, l’exciter, la faire jouir en retenant son plaisir à lui jusqu’à l’extrême limite de ce qu’un homme peut supporter ?
Certes, c’est lui encore dans ce cas qui « décide », mais son comportement n’en est pas moins à l’inverse de celui « normalement » attendu du « Mâle dominant ».
Alors, et sans vouloir vous enlever vos certitudes, qui n’ont rien d'illégitime ou de choquant à mes yeux, pour moi, peu importe les catégories ou les cases dans lesquelles on me rangera, la seule chose qui m’importe c’est d’être moi, que ce « moi » corresponde aux désirs de mon Maître aujourd’hui et qu’il continue de se transformer au rythme de ce que nous voudrons être l’un et l’autre, l’un pour l’autre.
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#30
Bonjour,
il est vrai que l'on distingue souvent en BDSM trois grandes familles de pratiques : Bondage Discipline / Domination soumission / Sado Masochisme.
Et tout pratiquant a ses préférences dans une ou plusieurs de ces familles, ou disciplines, ou appelez les comme vous voudrez.
La relation D/s est effectivement plutôt psychologique, de long terme. Le caractère s donne autorité au D pour gérer toute, ou partie, de sa vie. Cette gestion n'inclut pas nécessairement de jeux physiques de type SM...
La relation SM est physique, peut être de long terme ou de court terme, engagé entre des pratiquants réguliers et exclusifs, ou des partenaires occasionnels. On peut la voire comme la prolongation épicée de relations sexuelles. Là encore, le caractère s donne autorité au D pour gérer toute, ou partie, de la relation.
Aux termes génériques Dominant/soumis, on préfère parfois les termes Top/bottom dans le cadre de relations purement physiques telles que SM ou Bondage. Car il y a effectivement des différences...
Dans tous les cas il y a un échange : s donne librement autorité à D pour faire... ce qui lui plaît, dans un cadre convenu. Et toute relation BDSM demeure un mix des composantes citées plus haut.
Dans mon cas particuliers, je porte un collier. J'apprécie modérément la "soumission" (à l’extrême, porter une cage, me promener à 4 pattes, faire les tâches ménagères... non merci), au contraire du SM : En tant que bottom de ma Maîtresse jusqu'à présent - mais je sais que j’apprécierais aussi volontiers le rôle de Top (avec d'autres partenaires). Ma relation avec ma Maîtresse est un MÉLANGE de tout ceci.
Si le Dom de FemmeFemelleEsclave prend son pied à donner du plaisir à sa soumise en lui bouffant la ch... alors c'est son plaisir de Maître que de le faire, de switcher peut-être - au diable les étiquettes, pour le plus grand bonheur de sa soumise visiblement. Mazel Tov !
Dans tous les cas, à tout moment, s peut reprendre à D cette autorité. D ne met en œuvre des pratiques... qu'avec l'accord de s. En respectant ses limites.
Et dans tous les cas, une relation un peu durable nécessite que les deux y trouvent satisfaction. Même dans une pure relation D/s, s offre son autorité à D en échange de quelque chose.
Comme l'écrit Tindalos... au diable les vieilles badernes (il y en a) qui décrivent en long et large les 12 règles de la soumise, que s n'est là que pour satisfaire D, que s ne peut et doit prendre du plaisir qu'à travers la satisfaction de D etc... et qu'il n'y aurait que cette vision du BDSM qui serait la bonne etc...
Chacun vit son BDSM à sa façon, le principal étant de trouver chaussure à son pied, ou la bonne clef pour la bonne serrure.
Le BDSM peut être une parenthèse épicée de quelques heures par semaine dans la vie d'un couple légitime.
Le BDSM peut être le moment ou deux adultes se retrouvent quelques heures par semaine comme une parenthèse à leurs vies de couples respectifs.
Le BDSM peut être un esclavage 24/7, où s assumera tâches ménagères, dévotion sexuelle, de manger par terre et de subir les coups de fouet de D.
Ce qui est sûr, c'est que la communication doit pouvoir se faire dans les deux sens, de façon libre et recevoir une écoute attentive.
Ce n'est pas parce que l'un exprime des souhaits, des envies, que l'autre doit les satisfaire. Mais les écouter avec bienveillance, toujours.
Il ne suffit pas de dire "tu peux me parler" pour que l'autre se sente incité à le faire. Il faut aussi créer le climat de confiance qui va avec...
Qualité d'une soumise ? Curiosité, envie de satisfaire son Dom, savoir communiquer et négocier, savoir mettre son ego de côté... ne sont que des exemples. Elles doivent surtout répondre aux goûts et qualités (et défauts) du Dom : Bienveillance, rigueur, envie d'éduquer et de faire progresser sa soumise, savoir communiquer et négocier... et le reste.
Dans tous les cas, l’honnêteté est un indispensable. Une relation BDSM est avant tout une relation humaine et intime. Elle ne se limite pas à la sexualité, à des coups ou des humiliations.
Pour le SM, la fessée, la soumission en général, je te recommanderais de te sortir de la tête les clichés qui ont pu s'y accumuler, de garder un esprit ouvert.
De trouver avant tout un - ou des hommes dominants qui te conviennent, en qui tu puisses avoir confiance. Des personnes dotées de vraies qualités humaines, avant l'expérience. De te construire ta propre expérience auprès de ces personnes. Si il y a respect, communication, soucis de l'autre, je ne suis pas sûr que l'expérience soit si indispensable. Surtout, évite évidemment les queutards qui se disent Maître uniquement parce qu'ils ont envie de se faire sucer... et ceux qui voudraient t'imposer un BDSM qui ne te convient pas.
Et d'essayer progressivement le SM et autres petits jeux physiques épicés de façon soft dans un premier temps. Même à 40 ans on peut en apprendre beaucoup sur soit (j'ai découvert le BDSM à cet âge, il y a un an).
Dernière modification le 06/07/2020 01:36:46 par Steph94.
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Maitre-d'oeuvre
#31
Chère FemmeFemelleEsclave.
Désolé de revenir un peu tard, les aléas de l'internet par beau temps !!
Bon alors je suis quelque peu embarrassé pour vous répondre car votre message est très long et très nourri.
Tout d'abord, il m'est difficile de catégoriser, toutefois pour ce qui concerne les soumises et suivant votre raisonnement, je ne mettrais que deux catégories
Les psychologiques et les physiques ( mais très souvent elles sont les deux. Du coup.... )
Par contre, j'exclue les maso pures de la soumission au sens ou je la perçois. La recherche et l'obtention de douleur ne sont pas de mon point de vue de la soumission.
Sans parler de cases ou de catégories, il faut malgré tout appeler un chat un chat. Et la soumission part d'une démarche claire de la part de la personne qui se présente à sa porte. Le postulat est clair ( dans ses grandes lignes ) recherche d'une personne à qui confier la responsabilité de sa vie sexuelle soit, mais pas que. Egalement d'une partie de sa vie sociale.
Ce qui ne se retrouve absolument pas chez les "maso" qui recherchent eux de la douleur donnée par un(e) "Top" qui aime en donner. Je ne vois pas dans cela la moindre soumission. Mais bien entendu, d'aucun(e)s contesteront mon point de vue qui n'est que le mien basé sur ma logique.
Tout ce que vous décrivez dans la suite chronologique de votre vie d'actuelle soumise, n'est que recherche de votre personnalité, de ( probablement ) la clé de votre serrure, bref rares sont les relations D/s qui ne passent pas par le doute et la recherche. Ce que vous semblez avoir pratiqué.
J'aime apporter du plaisir à ma soumise, sur ma décision propre et dans le temps qui m'est opportun. Un Dom n'est pas exclusivement un égoïste, et prendre ou donner n'est pas le principal argument. L'argument est: je décide de ce que je fais. Ma soumise bénéficie ou se contraint à suivre ma demande ou mon offre.
Vous parlez de ce que l'on attend d'un Mâle dominant.... ( n'est ce pour le coup, pas un cliché bien ancré dans sa case ?? Lol )
Par contre je valide la fin de votre conclusion.
Oui, l'important est que votre couple vive votre relation dans la joie, la découverte qu'offre le BDSM, et le plaisir d'être ensemble.
Mais tout ceci n'empêche pas de savoir qui l'on est et ce que l'on veut. Autrement dit: d'être plus ou moins dans une auto classification. "Je suis soumise ou pas !! "
Merci de votre intervention.
A vous lire
:smiley:
Dernière modification le 12/07/2020 17:52:54 par Maitre-d'oeuvre.
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KimDom69
#32
Merci de démystifier le Bdsm avec ses codes et ses diktats (soit-disant pour une certaine élite discriminatoire, je trouve). Pour faire simple, j'ai tendance à dire qu'il existe au temps de BDSM que de pratiquants.. Si ça peut décomplexer certaines personnes..
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Je partage tout à fait cette dernière réflexion , par contre, je ne dissocie pas l'aspect psychologique et physique .... pour moi la soumission physique passe d'abord par l'aspect psychologique ...un cheminement naturel.....
Et DENNA , soyez rassurée ne vous posez pas inutilement la question de soumission ou pas ! l’essentiel vous avez pu découvrir ces fantasmes cachés au fond de vous même et qui vous ont révélé la jouissance ... et ce dans un lâcher prise total ....peu importe les pratiques, les objectifs sont bien ceux de la D/S ..... : révéler une soumise afin de l'épanouir !
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Temps06
#34
Bonjour,
Cela fait quelques mois que je traverse une crise identitaire et je ne sais plus "qui je suis ou plutôt ce que je suis". J'ai dû mal à définir dans quelle case me mettre (vanille ou soumise)
J'aimerais avoir votre avis quels sont les qualités nécessaires pour débuter une relation en tant que soumise.
Est-ce que suivant vous, il y aurait des traits de caractères ou des besoins qui sont rédhibitoires pour envisager d'être soumise.
J'ai lu (je ne sais plus où), que l'envie de soumission commençait par l'envie d'être fessée. De mon côté, ce n'est pas mon fantasme ou mes envies actuelles (c'est qu'elle chose que je pourrais envisager s'il s'avère que je suis réellement soumise et que je trouve un dominant en qui j'ai confiance (mais certainement plus pour son plaisir que pour le mien)
Je vous remercie par avance pour votre aide et j'espère ne pas m'être trompé de lieu pour poster mon message.
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Temps06
#35
Moi aussi je n'ai pas plus que 2 ou 3 rendez vous par mois à consacrer...
Dès conversations le soir après 23h...
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sysy13
#36
Moi aussi je n'ai pas plus que 2 ou 3 rendez vous par mois à consacrer...
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Bonsoir Temps06, à la vue de votre réponse, je pense que vous avez mal compris mon message.
Mon questionnement d'y à quelques mois, était surtout axé "dans quelle case je devais me mettre " et si je choisissais de me mettre dans la case soumise, est ce que cela signifiait que je devais renoncer aux moments vanilles (tels qu'aller au restaurant, aller se promener, passer un week-end,...). Toutes ces questions sont maintenant derrière moi.
Mon post n'avait pas vocation à demander si je pouvais cumuler une relation vanille d'un côté et une relation D/s de l'autre. Sur cette question chacun est libre de faire son propre choix et de tromper son partenaire avec ou sans son accord. De mon côté, dans toutes mes précédentes relations vanilles, j'ai toujours choisi l'exclusivité et avec mon Dominant actuel, je continue à vouloir une relation exclusive (même si je suis Sa soumise c'est une de mes exigences).
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