Puisqu'on retourne systématiquement sur la sodomie et son rapport avec l'homosexualité, je ne comprends pas (même si je le constate) le lien qui est fait entre homosexualité, soumission et par extension l'humiliation. Un homosexuel est un soumis, un soumis est un homosexuel, les 2 sont dégradants, quel rapport ?Et pour la sodomie, à croire que les homos ont le monopole du cul, les hommes hétéros doivent être formés différemment. Une réflexion qui sera sûrement plus parlante, tous les hommes qui enculent leur partenaire féminine sont certains que c'est agréable pour elle. Combien pensent que ce serait aussi agréable pour eux, vu qu'ils sont dotés du même orifice (et avec une prostate en plus)?Autre remarque, quand on voit les quantités de godes-ceinture qui se vendent, je pense qu'on déborde de loin la population des lesbiennes et des dominae. Faut croire que les vanilles ont moins de pudeur et de clichés sur cet indigne orifice. Une autre affirmation découle de tout ça, celui qui pénètre, domine. Inutile de chercher les ressorts psychométaphysiques qui amènent au bdsm et aux valeurs exceptionnelles de ses adeptes si on part de ce postulat bas de plafond. Je vous assure que quand je pénètre ma partenaire domina, ou si vous préférez quand elle me fait la pénétrer (en anal aussi), elle me domine, aucune ambiguïté.J'ai la faiblesse de penser que son emprise se cache à un niveau plus élevé que le fond de son cul, ou du mien^^
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