@Son Ange, peut-être que je n'ai pas été assez clair, mais je n'englobais certainement pas la généralité des hommes soumis dans mon propos. Juste cette partie qui n'a de soumis au final que le nom, et qui, n'est au final à la recherche que d'une exécutante pour mettre en scène une idée très stéréotypée de la soumission, à base uniquement de gode-ceinture et autres clichés. Comme vous le dites vous-même, ils étalent ces fantasmes de serpillère gynarchique, et ils sont nombreux ; je crois que s'ils ne s'expriment pas ici, c'est parce que l'aspect relationnel ne les concerne pas au final, puisque seul le fantasme leur tient lieu d'horizon.Personnellement, je trouve que ce côté gynarchique est un délire malsain, transformer une situation de fantasme en projet politique, ça n'a pas réellement de sens ; et cela je me permets de l'affirmer de manière péremptoire.Il me semble, après certaines conversations, qu'il y a depuis quelques années un afflux d'homme soumis, même si c'est un ressenti au fil des dialogues vu que je n'étais pas dans la communauté à cette époque, donc j'ai tenté d'y donner mon explication qui m'est propre.Rassurez-vous, on a les mêmes en mode homme dominant (les fameux mâles alphas en mode "wesh, y a de la soumise qui suce"), femme soumise (celles qui ont trop lu de romans BDSM) et femmes dominantes ("à mes pieds !" "euh, on peut dire bonjour ?") ; mais la conversation étant axée sur les raisons de la soumission des hommes et des femmes, c'est plutôt là que j'ai orienté ma réflexion.Donc je ne mets pas tout le monde dans le même panier, je fais la différence entre l'homme soumis "authentique", qui me semble malheureusement bien rare, et celui qui arrive avec un fatras de fantasmes mal assimilés, et dont la visibilité a tendance à éclipser les autres, ce qui m'a fait réagir par exemple un peu vite au post de Muzo un peu plus haut.
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