Perso, je ne mettrais pas sperme, uro, scato, vomi, crachats sur le même plan.
Le foutre, pour moi, est tout sauf « crade ». Il est à mes yeux à la fois l’essence du Mâle, sa semence et le résultat de son plaisir, celui qu’il prend lorsqu’il jouit de moi, la preuve que j’ai été à la hauteur de ce qu’il attend de moi.
Pour ce qui est du scatologique et du vomi, Maxime n’y voit pas le moindre intérêt « érotico-sexuel ». Heureusement pour moi, puisque je trouve ça franchement dégueulasse.
Je range l’uro dans une catégorie intermédiaire. Clairement, je déteste le goût de la pisse (surtout quand c’est la saison des asperges- qui vient de commencer). Mais sa pisse, même s’il s’agit d’un « déchet », de quelque chose dont son corps se « débarrasse », sort elle aussi de sa queue et il trouve excitant que je boive tout ce qui vient sa sa queue, foutre et pisse, sans en perdre une goutte. Quant à moi, pour les mêmes raisons, j’aime «m’humilier », m’avilir en buvant sa pisse, recyclant ainsi ce déchet qui vient de lui, en dépit du dégoût que cela m’inspire.
Dans un autre registre, comme soumise/esclave, je considère que je dois être d’une hygiène irréprochable lorsqu’il m’utilise. Pas question pour moi que mes trous ne soient pas impeccables quand il les pénètre. À l’opposé, j’aime lécher sa mouille, mais aussi ses couilles, son sexe, son corps, s’il rentre d’un jogging, d’une séance de sport ou le matin à son réveil, après que je me sois douchée et que subsistent sur lui les effluves de nos « jeux » de la nuit.