Bonjour vous dites :
"Ce post ressort et je suis étonnée qu'il n'y ait pas eu plus de commentaires : dommage qu'il soit passé inaperçu car la question est intéressante .
Personnellement, j'aime regarder deux hommes autant qu'un homme lambda aime regarder deux femmes ensemble : et là, je n'évoque pas le coté bdsm, mais juste la relation sexuelle.
Ensuite, en mêlant mon coté femme et domina (difficiles de les séparer), j'aime entrainer le soumis à repousser ses limites, et je dis bien repousser sans pour autant obliger.
Et si la bisexualité fait partie de ses limites, j'irai le titiller là-dessus, c'est certain. Comme sur d'autres limites. Dans les contacts avec des hommes soumis et des hommes non soumis, j'ai été étonnée de constater le nombre impressionnant de désirs bi : totalement refoulés la plupart du temps, ou restés dans l'ombre, et tout cela parce que la phrase revenant le plus souvent, est : "je ne suis pas PD, quand même !"
J'ai horreur de ce mot déjà, de plus employé à tort et à travers, en plus mais ça dénote bien encore et encore une pensée arriérée pleine de haine et de jugements "moraux" .
Autre débat.
J'aime faire découvrir de nouvelles sensations à un homme ou à une femme, et la bisexualité peut en faire partie, même si les actes ne sont alors pas "simples" à faire réaliser.
Ce sera un de mes plaisirs.
Emmener l'autre où il ne serait pas allé sans aide : je dois être une domina-guide !
Et puis, à l'instar de beaucoup d'hommes fantasmant sur 2 femmes (ou plus, soyons fous) faisant l'amour, je suis attirée par les fellations entre hommes, les sodomies, les fists, les massages, tout ce qui pourra conduire au plaisir physique, tout ce qui pourra provoquer mon excitation également.
N'étant pas spécialement intéressée par la frustration sexuelle, je recherche une jouissance physique et cérébrale puissante et ce, d'autant plus si je l'impose .
Mais imposer ne signifie pas, pour moi, laisser un traumatisme : si pour certains soumis, c'est réellement un pas infranchissable parce que pas excités à l'idée de prendre un sexe en bouche par exemple, l'obliger à le faire ne me motivera pas. Ordonner pour ordonner : bof.
Imposer parce que j'aurai vu un frémissement chez l'autre, et en décider quand et comment et avec qui, là oui.»
Voila ma réponse : Vous aimez regarder deux hommes, j'aime entrainer le soumis à repousser ses limites si la bisexualité fait partie de ses limites, j'irai le titiller là-dessus, c'est certain. J'aime faire découvrir de nouvelles sensations à un homme ou à une femme, et la bisexualité peut en faire partie, même si les actes ne sont alors pas "simples" à faire réaliser (difficile en effet pour un homme de sucer une bite et encore plus de se faire sodomiser).
Ce sera un de mes plaisirs.
Emmener l'autre où il ne serait pas allé sans aide : je dois être une domina-guide ! je suis attirée par les fellations entre hommes, les sodomies, les fists (trop hard pour moi), les massages, tout ce qui pourra conduire au plaisir physique, tout ce qui pourra provoquer mon excitation également.
Mais imposer ne signifie pas, pour moi, laisser un traumatisme : si pour certains soumis, c'est réellement un pas infranchissable parce que pas excités à l'idée de prendre un sexe en bouche par exemple, l'obliger à le faire ne me motivera pas.
Je pense que je ne serai pas excité à prendre un sexe en bouche, mais me l’imposer pourrait m’exciter.