daniela_soumise
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Le récit d'une certaine mésaventure m'a rappelé
ma seconde relation avec une trans
et mon premier véritable coup de cœur,
absolument magnifique et rayonnante,
sirène moitié déesse, moitié homme.
moitié française, moitié marocaine,
mais "sang pour cent" hallucinante.
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J'avais tout juste vingt ans et elle cinq de plus,
nous étions en pleine Opération Daguet,
et pour les amerloques "Desert Storm"
ou "Tempête du Désert" si vous préférez.
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Elle s'appelait Sandra B.,
née Samir mais sans cesse stigmatisée
pour sa trop grande douceur et son sang métissé,
elle ne l'avait jamais assumé.
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J'étais pour ma part,
d'une famille très modeste mais stricte
et très fermée sur les questions de genres.
Presque pucelle en tout malgré
quelques aventures fugaces depuis mes années de lycée,
avec quelques voisins et voisines du même âge que moi
mais bien plus au fait que je l'étais
dans les domaines que vous devinez.
Ainsi que quelques commerçants et commerçantes chez qui je travaillais
après les cours, en cachette de mes parents, pour y acheter
les robes et la lingerie qui me faisaient déjà tant fantasmer.
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Galopant ou resquillant pour mes déplacements
à fin d'économiser patiemment l'argent
des tickets de bus pourtant peu exorbitants
et ainsi parvenir à m'offrir ces objets de désirs
que sont pour moi bas voiles, porte-jarretelles, corsets satinés,
culottes et soutifs fendus de strip-teaseuses en satin rouge et dentelles noire,
jupe Kenzo bigarrée plastifiée
et robes provocantes et sexy en vinyl ou en satin,
ceintures 70's, style Paco Rabanne en anneaux de métal,
bottines vernies à talon aiguilles, pendants d'oreilles clippés
et quelques autres accessoires que je mettais des années
à acquérir malgré leur tarif peu élevé
et les ristournes consenties en échange de mes services
pour me livrer à certains vices filmés,
au grès de leurs envies sexuelles et de mes besoins pécuniers.
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Le jour de ma rencontre avec celle qui me marqua à jamais,
j'étais en plein milieu de mon service militaire
et alors très athlétique et terre-à-terre,
ce qui avec le temps, j'en ai bien peur,
a hélas bien changé ;)
ayant passé tout mes loisirs avant celui ci,
entre la course de fond, la planche à voile (ou à vapeur),
la plongée en apnée et le VTT,
quand je n'allais pas me faire goder ou sodomiser mes petites fesses
dans les cabines d'essayage des boutiques de mes amants et Maîtresses.
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Ayant oublié mon paquetage
à la caserne après avoir profité d'un parachutage
chez mes parents,
(à la suite d'une mission GPS pour ramasser un général
à la base aérienne d'Hyères et le guider dans l'Arsenal,
que je connaissais par cœur pour y avoir grandi),
ma mère m'a déposée le samedi midi à la Gare de Toulon,
toujours vêtue de mon plus bel uniforme
d'apparat ou de couillon, c'est selon.
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Ayant une heure devant moi
avant l'arrivé du train pour Massalia,
j'ai cherché du regard une personne agréable
dans l'espoir de discuter avec elle à fin de faire passer le temps plus vite.
Là je croise une femme magnifique,
look mannequin, fine et élancée,
habillée d'un tailleur coupe Chanel bleu gris en jersey très saillant,
escarpins vernis et longue crinière blonde vénitienne coiffée en palmier
assortie d'un exquis maquillage
et de magnifiques pendants d'oreilles fantaisies
en strass assorti à son délicat tour de cou
ou bien étaient-ce des coquillages ?
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Autant vous dire que j'en ai eu le souffle coupé
et me suis dit malgré toute la timidité
qui était ma nature;
que je ne pouvais surtout pas laisser filer
la chance inespérée de discuter
avec une aussi renversante créature
même si je devais pour cela me prendre un râteau monumental,
au moins satisfaite d'avoir pris la peine d'essayer
et d'oser croiser son regard glamour à vous faire chavirer.
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Me pressant pour la rejoindre avant l'escalator,
je lui proposais bégayante de l'aider à porter sa lourde valise.
Elle sembla charmée par le geste et me voyant devant elle rougir de timidité,
entama la conversation, me proposant de prendre la place à coté...
d'elle durant notre trajet comment jusqu'à Saint Charles.
Le train arrivant,
nous nous installâmes au beau milieu du wagon bondé de passagers
sur les deux places restantes.
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Au bout de quelques minutes,
me voyant toujours aussi intimidée par sa beauté,
elle saisie ma main et la glissa hardiment sous sa jupe,
guettant ma réaction, non sans une certaine anxiété.
Je fus en effet très surpris de rencontrer
un pénis ardent et raide mais
délicieusement soyeux sous sa culotte de satin.
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Constatant mon étonnement,
elle me demanda si j'étais choquée.
Lui répondant qu'au contraire,
rien n'était à mes yeux plus désirable
que le sexe des Anges
et que j'étais plus que ravie
de sa hardiesse comme de son anatomie,
lui avouant qu'une telle découverte
me rassurait sur ma propre identité
car partageant en secret,
avec elle les mêmes affinités,
y compris son gout pour les situations les plus insolites,
le bondage et l'humiliation, dans certaines limites.
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Arrivées à destination,
elle ne lâchait plus ma main depuis le wagon
et m’entraîna avec empressement dans un hôtel rue Curiol.
Réglant la chambre, elle m'y guida prestement et me jeta sur le lit
à peine la porte refermée, retira ma veste kaki
puis sa paire de collant pour me lier fermement
les mains aux barreaux, en position jointe au dessus de ma tête,
m'enfilant illico une capote de sa bouche pulpeuse
tout en me suçant goulûment,
désirant que je la prenne de toute mon énergie.
Constatant en retirant mon pantalon
que je portais bas culotte fendue et porte-jarretelles sous mon treillis,
loin de la décourager,
elle préféra prendre son plaisir autrement qu'en me chevauchant,
s'enfilant le plug qu'elle retira de sa valise,
après l'avoir lubrifié de sa salive,
puis après m'avoir doigté pour me préparer,
retira une autre capote de son balconnet
pour me sodomiser sans ménagement durant des heures,
jusqu'à ce que nous réussîmes exténuées, à jouir ensemble.
Elle dans mon cul,
sa capote dégoulinante coincée entre mes fesses quand elle se retira...
et moi dans le préservatif qu'elle serrait et activait avec virtuosité
avant d'en verser le contenu gluant encore chaud dans sa bouche
pour me rouler avec, ce qui s'appelle...
une magistrale pelle.
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J'étais tellement épuisée par notre nuit de frénésie sexuelle
que nous finîmes par nous effondrer comme des pierres,
dans un sommeil de plomb,
au point d'en oublier pour moi, mon retour urgent à la caserne
pour m'y préparer au RDV pour THE dîner professionnel capital,
auquel j'étais conviée le Dimanche à midi pile, à son domicile
avec LE renommé avocat d'affaire
spécialisé dans les échanges entre la France et le Japon,
que j'avais rencontré quelque temps plus tôt
au cour d'une conférence sur Douglas Mac Arthur,
et devant décider de mon avenir dans ce pays,
pour me mettre un pied à l'étrier... ou au derrière.
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Le hasard fou de la rencontre fortuite de cette fille
au comportement de lapine,
au feu au cul et à la pine inopinée fit que finalement,
ce fût la deuxième option qui fût choisie ;)
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Mais peu importe une carrière brillante
fusse au pays du soleil levant
si toutes mes pensées
me ramènent sans cesse à ses cotés.
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Après cela,
ne pensant plus qu'à elle pendant mon service,
j'ai réussi à la revoir à quelques trop rares occasions,
chez sa famille nombreuse,
au beau milieu de la cité la plus mal famée de La Seyne sur Mer,
véritable No Go Zone bien connue
où seuls les plus téméraires et les paumés
osaient s'aventurer,
et d'où elle ne demandait ostensiblement
et par tout les moyens qu'à s'évader.
Y étant malmenée depuis sa plus tendre enfance
par les caïds du quartier
et leurs gangs de hyènes complètement camées,
ne cessant de la harceler et la torturer à chaque occasion,
pour dans les caves, faire d'elle leur jouet à violer et à cogner,
contre son grès et avec tant de brutalités
qu'elle en fut mainte fois défigurée.
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Œil poché, dents cassées et os brisés, sans parler des MST,
son calvaire au beau milieu de ce tas de brutes décérébrées
ressemblait bien d'avantage à un véritable enfer qu'à une partie de plaisir,
fût-il masochiste, ce qui ne l’empêchait pas de lutter
de toutes ses forces pour en sortir.
Compensant ses faiblesses physiques et les lacunes de sa scolarité
par un indécrottable optimisme
et un appétit de vivre contagieux forçant mon admiration,
moi qui pourtant en avaient déjà vue des vertes et des pas mures
au point de ne plus me faire aucune illusion sur cet immonde tas d'ordures
composé par l'humanité et de chercher en toute occasion à fuir la société,
me sent encore comme une candide face à sa personnalité pourtant enjouée.
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N'étant pas de la cité et osant sortir sans leur consentement
avec celle qui n'était pour eux que leur trou-à-bites et souffre-douleur,
nous finîmes par nous faire agresser
en sortant de chez elle pour nous rendre chez un de nos amis,
passant moi même à deux doigts d'y rester
après un violent coup porté à la tempe qui m'envoya m'écraser
dans la boue tel un concorde en flammes,
d'un morceau de palette doté de clous rouillés,
alors que je fonçais dans le tas pour tenter de disperser
le groupe de morveux qui nous caillassaient et nous injuriaient
sous les encouragements
de leurs connards de parents
depuis leurs balcons perchés.
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La tête bien amochée,
je parvenais de justesse à me relever
et saisir quelques pierres et autres armes abandonnées
dans la fuite de nos agresseurs
pour les empêcher de nous terminer.
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Je tiens à remercier au passage le connard de vigile,
(qui pour le détail, était bien bronzé,
ne l'étant moi même peut-être pas assez
pour mériter d'être sauvée).
...de la cafétéria du Mammouth à proximité,
nous refusant de passer un simple coup de téléphone
pour appeler des secours alors que ma tête pissait le sang,
ne devant mon salut qu'à l'intervention de touristes de passage
m'ayant conduit aux urgences à la demande insistante de Sandra,
alors que l'adrénaline me maintenant debout ayant cessé d'affluer,
j'étais tombée dans les vaps,
pour me réveiller bien plus tard, sous perfusions,
la tête enrubannée comme un fakir dans le coaltar.
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Je tentais de la revoir mais sans succès,
après quelques semaines passées en convalescence,
à l'Hôpital Militaire de Laveran à subir radios et autres examens
aux cotés des légionnaires et des pompiers,
je profitais de ma PATC pour m'offrir en douce et en totale illégalité
(pour cause de désertion si je m'étais faite pincer)
pour une brève mais indispensable et régénératrice excursion tokyoïte,
entre les clubs de new-half du quartier de Roppongi, les ateliers de kimono,
d'éventails, de parapluies traditionnels, les studios de la Toho,
les théâtres, les musées, les sanctuaires shinto,
les ambassades et le marché de Tsukiji,
suite à la non refusable et très généreuse proposition d'amis yakuzas
rencontrés à la descente de leur jet privé quelques semaines plus tôt,
en remerciement pour mes loyaux services en tant que guide gratuite,
désintéressée et prévenante
mais aussi qu'interprète,
certes assez peu compétente
mais extrêmement persévérante et dévouée.
Ayant la possibilité de prolonger mon séjour
mais à la limite de la légalité,
je décidais quand même de rentrer pour rassurer mes parents,
éviter la taule pour désertion et par dessus tout,
retrouver au plus vite ma girafe adorée.
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Personne n'osant plus répondre à mes appels téléphoniques
ni aux portes closes où je sonnais.
J'espérais au moins obtenir une explication pour ce mur de silence,
imaginant tout les scénarios,
tels celui que pris entre mes violentes douleurs cérébrales
puis mon emploi du temps surchargé,
elle avait pris ombrage de mon silence forcé
ayant sûrement mis trop longtemps avant de la recontacter
ou qu'elle avait elle même finit par succomber
sous les coups de son dangereux entourage de cinglés.
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Après cinq années de recherches infructueuses,
je finis par apprendre de la bouche d'un gigolo
rencontré par hasard sur son lieu de travail une chaude nuit d'été,
ancien collègue de tapin de la belle qui avait pris mon cœur,
mon c... et tout le reste,
que ma douce et téméraire égérie avait été assassinée
(ou intentionnellement renversée)
par un mac ou un dealer sur un trottoir de Madrid,
sans aucun autre détail.
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Aujourd'hui,
la barre d'immeubles qui fut celle de son calvaire
a été plastiquée et ses habitant(e)s relogé(e)s.
Le Mammouth et sa cafétéria, détruits eux aussi,
laissant la place à un complexe commercial de plus grande ampleur
et apparemment un peu mieux fréquenté.
Enfin, je dis ça mais je ne l'ai pas vérifié.
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De leurs histoires mouvementées,
je ne sais pas si d'autres s'en souviennent encore,
ni s'ils en éprouvent des regrets,
de l'amertume ou des remords.
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Elle s'appelait Sandra B, était douce, espiègle et sensuelle.
Elle n'avait que 25 ans quand elle lâcha son dernier soupir .
Elle avait tout d'un Ange, même le sourire,
...et désormais, même les ailes.
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Je n'ai aucun besoin ni envie de faire appelle à mon imagination.
car la réalité me suffit et la décrire sans aucun artifice est ma vocation.
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Je tiens à le préciser car ce récit est en tout point authentique,
ou en tout cas fidèle, sinon à l'Histoire,
au moins à ma propre mémoire.
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Ni romancé, ni arrangé pour plus de crédibilité,
ou pour paraître moins pathétique,
sa seule ambition est de vous éclairer
sur le sens de ma démarche artistique.
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Mon principal objectif,
avant tout philosophique,
étant de conserver le souvenir à l'esprit
de toutes celles qui furent sacrifiées
sur l'autel de l'égocentrisme et de l'ignorance,
de l'intolérance et de la cupidité,
si soigneusement cultivés par ces sa... religions.
.
Ce que je désire avant tout,
c'est rendre hommage à leurs appétits si communicatifs
de connaissances, de sensations et à leur joie de vivre,
pour qu'à la lecture de leur souvenir,
chacun(e) puisse regretter
de ne pas en être d'avantage entouré(e)
à fin de célébrer avec elles,
le bonheur de partager et d'explorer
les chemins de traverses sensuels
permettant de s'éloigner des sentiers
et autres voies aussi ennuyeuses que mortelles
car bien trop mal fréquentées
par des légions d'hypocrites et autres en... de curés,
pour laisser en leur sein s'exprimer,
les meilleurs parts d'eux même
que sont l'androgynie et la féminité.
Dernière modification le 15/04/2018 10:26:33 par daniela_soumise.
6 personnes aiment ça.
Elle s'appelait Sandra B.
Elle n'avait que 25 ans.
Elle avait tout d'un Ange,
...et désormais, même les ailes.
Sacré récit !!! Et écrit avec une belle plume vivante.
Bravo DS et respect pour vivre ses propres passions avec autant d'intensité...
1 personne aime(nt) ça.
daniela_soumise
#2
Sacré récit !!! Et écrit avec une belle plume vivante.
Bravo DS et respect pour vivre ses propres passions avec autant d'intensité...
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Merci à vous Sisyphe
d'avoir eu la patience herculéenne d'en parcourir les lignes et sût en apprécier la plume icarienne. ;)
Soyez la première personne à aimer.
MarquisDeJade
#4
Merci
1 personne aime(nt) ça.
daniela_soumise
#5
Merci à vous pour votre appréciation.
Soyez la première personne à aimer.
MarquisDeJade
#6
Je le pense sincèrement, vous faites un beau témoignage avec les prix à payer, malheureusement, de la liberté d'être. J'espère que la liberté, le désir ne soit pas à ce prix pour vous, comme pour nous tous.
Merci encore.
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daniela_soumise
#7
Très touchée par vos souhaits.
Merci à vous.
Soyez la première personne à aimer.
DomStock
#8
Merci de votre récit. Il faudrait trouver la force de fuir la laideur et l'incompréhension pour ne pas se condamner à mort. Lorsque l'on vit à huis-clos, l'enfer reste définitivement les autres...
2 personnes aiment ça.
daniela_soumise
#9
Elle a bien tenté de fuir la laideur et la torture
mais celle ci a quand même réussie
à la rattraper où qu'elle aille
car elle est partout où vivent les hommes.
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