Amoral ou immoral, la distinction là est importante, car amoral c'est sortir le la morale, alors qu'immoral est aller à l'inverse de la morale.Je disais "la morale qui vient de notre éducation, mais surtout que nous avons intégrée, donc notre morale personnelle, la ou on classe ce qu'il y a de bien et de mal."Vous dites, pendre plaisir à faire mal, on est exactement dans ce que je disais.C'est à dire que vous jugez et vous vous jugez d'abord vous même comme faisant mal et le pire est que vous y prenez plaisir et répétez les actes ce qui décuple le sentiment de culpabilité.Cela est à la fois probablement libérateur et culpabilisant, sourire, quelque part c'est un peu masochiste, mais c'est une autre question.L'origine comme je le disais est notre éducation et en définitive on passe son temps à reproduire ce qui nous a blessé, à savoir probablement des contraintes morales imposés que nous levons, dans le BDSM en rejouant les contraintes mais sans l'interdit moral imposé.Nul n'est parfait et nous vivons dans une société ou ces règles nous ont imprégnées, alors tant que l'on n'en fait pas souffrir, que cela est demandé par l'autre, je ne vois pas ou est le problème.En apparence, la position de soumise ou soumis est très différente, car ils n'auraient pas cette question morale, en effet ce n'est pas leurs fautes, ils ou elles font cela par amour ou toutes autres raisons, qui évacue la question morale.Mais, ne pas se tromper non plus, on peut en apparence se mentir, mais dans le fond, dans l'inconscient ce n'est pas si simple, d'ou même le ou la soumise sait que c'est immoral et qu'il ou elle ne fait que transférer sur son ou sa dominante. C'est en quelque sorte un jeu de dupe et si la réflexion ou l'amour est là, un jeu sans dupe, voulu par les deux, liée à l'histoire des deux dans une relation qui se vie.Dans ce sens, je trouve même cela plutôt beau.
Soyez la première personne à aimer.