Alors, promis, j'ai fouiné un peu partout sur le forum dans l'espoir de trouver quelque chose à me mettre sous la dent, rien. Donc inutile de me dire "Encore ce sujet, il a été traité X fois" etc. Par contre, un lien en direction du ou des sujets en question, je prends !
Posons le cas de figure suivant. Wanilia (sic!) décide de faire l’expérience du BDSM, disons en qualité de soumise. Elle a bien remarqué sur les sites dédiés, la redondance d’usages typographiques systématiques de type V/vous, N/nous, Je/je, Mon/mon que certains dominants et soumis s’astreignent à suivre avec grande application (et qui accessoirement, rendent la lecture pénible)
S’épanchent aussi, de temps à autres, quelque soumise énamourée (trop mimi), en hommages dithyrambiques à leur maître, mais en dehors de ces signes extérieurs de soumission, elle ne sait pas grand-chose de ces "protocoles" supposés régir toute relation D/s. Elle doit donc impérativement connaître ces règles de comportement et de "socialisation" élémentaires si elle ne veut pas rater son entrée dans la communauté (se dit-elle).
Pour cela, Wanilia se lance derechef dans une recherche internet en commençant par entrer les mots-clés "BDSM", puis "protocole". Dès les premiers résultats, elle apprend que ces règles diffèrent selon qu’elles s’appliquent à la sphère privée ou publique, l’occasion, le lieu etc. Ce qui ne l'étonne pas outre mesure ("Chacun son bdsm" et les soumises seront bien gardées)
Quant à la sphère privée, pas moyen de retrouver le bout de ficelle de la pelote, chaque relation étant unique, les règles en vigueur le seront forcément.
Parce que le plus souvent dans le milieu bdsm, lorsqu’il est question de "protocole", on englobe et distingue à la fois, codes, étiquette, usages, tâches, autant d’analogies si enchevêtrées que remuantes dont la nuance peut s’avérer subtile, même pour les plus aguerris.
Alors la pauvrette vous le demande : que doit-elle savoir absolument en termes de protocole bdsm ?
Soyez la première personne à aimer.