Oui @anguis je tourne autour de cette notion disais je.
Je rappelle qu'à la base je cherche juste à comprendre à compter de quand le pouvoir n'est plus illusoire car "accordé" et sous réserve d'un véto final.
Je cherche la meilleure clef s'il y en pour un dominant de ne pas se contenter d'être plus ou moins inconsciemment juste un instrument
En effet nous sommes toujours plus dans l'art du marionnettiste d'une poupée qui a confié ses cordes à un talentueux artisan, que du formateur/inducteur d'un tiers malgré lui.
Est ce satisfaisant quand on en a conscience ? Puis je m'en contenter Arf ! Zut !
Autre métaphore moins binaire tiens : dans le cadre d'un voyage. Un long voyage relationnel et pas un simple road trip d'un week end.
Qui donne le permis de conduire ?
Qui détient le plan, la destination, l'itinéraire ?
Qui pilote, qui prend les raccourcis ou les détours ?
Qui décide du véhicule, de la place du passager ?
Qui décide de la durée, des arrêts, des escales, des auto-stoppeurs.
Qui met le carburant ? Qui peut changer de motorisation ?
Est ce que c'est toujours la soumise qui en vérité décide et accepte ou stoppe à sa guise? Qui choisit seule son pilote, donne le permis de conduire, planifie le voyage et valide tous les contrôles techniques ?
Est ce collégial ?
Y a t il un lâcher-prise à un moment ? Et à compter de quand le conducteur est il pleinement aux commandes et libre sur sa route pas simplement chauffeur de madame
A vrai dire j'en suis toujours là je crois : la notion de négociation, de deal qu'il faut faire respecter. Et d'une manière ou d'une autre en jouer, en profiter, sans tromperie de part et d'autre. Juste en jubiler les yeux dans les yeux.
Je réfléchis à un autre post sur le sujet "du pacte".
Je rappelle qu'à la base je cherche juste à comprendre à compter de quand le pouvoir n'est plus illusoire car "accordé" et sous réserve d'un véto final.
Je cherche la meilleure clef s'il y en pour un dominant de ne pas se contenter d'être plus ou moins inconsciemment juste un instrument
En effet nous sommes toujours plus dans l'art du marionnettiste d'une poupée qui a confié ses cordes à un talentueux artisan, que du formateur/inducteur d'un tiers malgré lui.
Est ce satisfaisant quand on en a conscience ? Puis je m'en contenter Arf ! Zut !
Autre métaphore moins binaire tiens : dans le cadre d'un voyage. Un long voyage relationnel et pas un simple road trip d'un week end.
Qui donne le permis de conduire ?
Qui détient le plan, la destination, l'itinéraire ?
Qui pilote, qui prend les raccourcis ou les détours ?
Qui décide du véhicule, de la place du passager ?
Qui décide de la durée, des arrêts, des escales, des auto-stoppeurs.
Qui met le carburant ? Qui peut changer de motorisation ?
Est ce que c'est toujours la soumise qui en vérité décide et accepte ou stoppe à sa guise? Qui choisit seule son pilote, donne le permis de conduire, planifie le voyage et valide tous les contrôles techniques ?
Est ce collégial ?
Y a t il un lâcher-prise à un moment ? Et à compter de quand le conducteur est il pleinement aux commandes et libre sur sa route pas simplement chauffeur de madame
A vrai dire j'en suis toujours là je crois : la notion de négociation, de deal qu'il faut faire respecter. Et d'une manière ou d'une autre en jouer, en profiter, sans tromperie de part et d'autre. Juste en jubiler les yeux dans les yeux.
Je réfléchis à un autre post sur le sujet "du pacte".
Dernière modification le 19/01/2017 18:44:36 par Malganis.
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