En effet la sodomie en elle-même ne me faisait rien du toutEn revanche d'être pris en levrette et plus tard féminisé, pris en levrette avec ma jupe relevée m'excitait terriblementet la première fois que j'ai joui par la sodomie c'est quand elle a collé ses cuisses contre les miennes, j'ai joui très fortensuite j'ai joui à chaque foisIl faut dire qu'avant de me prendre elle me donnait de vigoureuses fessées, une grosse centaine de coups de martinet sur les fesses et cent violents coups de cravache, le tout intercalé entre de nombreuses séances de prosternation, de crachats dans la figure, dans la bouche....j'étais si soumis après que je jouissais très fort.Le problème était qu'elle pouvait continuer après que j'aie joui et à ce moment-là la cravache n'était plus que douleuret la sodomie était une humiliation que je subissais ravi d'être sa femelle mais sans plus aucun plaisir physiqueje crois qu'elle aimait cette sodomie subie sans plaisir, subie dans l'indifférence et la soumission totale.Elle, elle jouissait, il y avait un gode de son côté aussi et un bouclier sur lequel elle tapotait son sexe tout en me défonçant.J'étais fou de bonheur de la sentir s'exciter de désir pour moi et de la sentir jouir.Parfois c'était avant que j'aie éjaculé. Son plaisir venait trop vite elle se retirait et j'étais affreusement frustré.Elle n'a jamais senti combien. Elle aurait pu en profiter pour me faire faire ou subir des trucs que je n'ai jamais faits ou acceptés pourvu qu'elle me démonte à nouveau jusqu'à ce que je jouissequand elle se collait sur mon dos et me pinçait les seins très fort. Je jouissais.
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