Bien que les concepts de Codes et Valeurs soient compatibles en principe ou quasi similaires, la notion de Codes du BDSM revient le plus souvent, que ça soit à travers des ouvrages ou plus fréquemment à travers les blogs, forums et discussions passionnelles.
Quand on creuse un peu plus, on se rend compte que les soumises évoquent le BDSM avec des valeurs, souvent liées au BESOIN comme variable intransigible, alors que les dominants mettent un point d'honneur à rationaliser ce mode de vie par des Codes, parfois empruntés, d'autres fois propres à la vision de chacun.
Pourtant, que l'on penche d'un côté ou de l'autre, les sentiments sont bien souvent aux abonnés absents, parfois même en contradiction totale avec l'honorabilité d'une relation D/S. Associez "amour" et "BDSM" sur Google et rien de bien sérieux n'en sortira. Posez la question à un dominant et une soumise sur le plaisir de l'autre, chacun parlera de ses sentiments propres avec aisance et autosatisfaction, mais décrire la satisfaction de l'autre devient plus compliqué.
S'agit-il au final d'un échange de bon procédé où chacun trouve sa satisfaction personnelle au mieux, ou un réel tabou de parler de sentiments dans cette pratique, parce ce qu'elle nous renvoie au sens premier d'une relation "vanille", l'engagement, ennemi juré de la "liberté".
Quand on creuse un peu plus, on se rend compte que les soumises évoquent le BDSM avec des valeurs, souvent liées au BESOIN comme variable intransigible, alors que les dominants mettent un point d'honneur à rationaliser ce mode de vie par des Codes, parfois empruntés, d'autres fois propres à la vision de chacun.
Pourtant, que l'on penche d'un côté ou de l'autre, les sentiments sont bien souvent aux abonnés absents, parfois même en contradiction totale avec l'honorabilité d'une relation D/S. Associez "amour" et "BDSM" sur Google et rien de bien sérieux n'en sortira. Posez la question à un dominant et une soumise sur le plaisir de l'autre, chacun parlera de ses sentiments propres avec aisance et autosatisfaction, mais décrire la satisfaction de l'autre devient plus compliqué.
S'agit-il au final d'un échange de bon procédé où chacun trouve sa satisfaction personnelle au mieux, ou un réel tabou de parler de sentiments dans cette pratique, parce ce qu'elle nous renvoie au sens premier d'une relation "vanille", l'engagement, ennemi juré de la "liberté".
Dernière modification le 03/05/2016 22:33:57 par KittenDaddy.
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