Pour rajouter un peu d'eau au moulin des interventions précédente je rappelle aussi que le aromantiques existent et qu'ils ne sont pa pour autant asexué(e). Sinon pour répondre à tout cela d'un point de vue plus personnel :
Déja de base, j'aurais plutôt dit aux bdsm qu'au bdsm. Tellement j'ai l'impression que les maniéres de faire peuvent diverger d'une relation à une autre.
Le désir oui mais je tiens à le préciser, selon moi ce n'est pas forcément le désir de l'autre. Cela peut être le désir de mieux se connaitre, d'explorer un goût particulier, d'avoir une interaction sans nul autre pareil,etc...
L'attirance ? Clairement non, absolument pas. Ayant un certain goût pour le masochisme, interagir sexuellement avec quelqu'un qui me répugne ça peut coller. Y'a forcément une attirance pour l'acte en lui même oui mais c'et tout.
La confiance, oui évidemment. De toute façon je ne partage pas mon intimité avec des gens en qui j'ai pas confiance. De même que je ne file pas ma carte bleue au premier venu mais ça c'est standard. ^^
L'appartenance, oui aussi, sans aucun doute. Pa forcément une appartenance totale mais on concéde toujours des choses en matiére de sexualité. Et j'ai l'impression qu'en matiére de BDSM on en concéde toujours plus. Difficile de ressentir du plaisir dans l'abandon si on donne pas de moyens à l'autre de se saisir de cette partie de nous.
Pour moi, avant tout le seul chemin vers le bdsm (s'il y en a un) ce serait plutot relié à l'appartenance. On offre à l'autre de maniére deraisonable quelque chose qu'on offre si peu ailleurs : notre intimité. Pas la nudité, pas une intimité voilée ou au final on est en sécurité. Non on s'offre SOI, sans concession et sans tricherie. Et c'est ça qui est grisant...
Pour moi, c'est le chemin qui mène au BDSM.
Le désir: Il est le moteur
L'attirance: Un point d'encrage
La confiance: L'étape du lâcher prise
L'appartenance: La force absolu du lien
BDSM: Les questions et les doutes ont disparus... Ne reste que le bonheur de construire ensemble...
Le désir: Il est le moteur
L'attirance: Un point d'encrage
La confiance: L'étape du lâcher prise
L'appartenance: La force absolu du lien
BDSM: Les questions et les doutes ont disparus... Ne reste que le bonheur de construire ensemble...
Déja de base, j'aurais plutôt dit aux bdsm qu'au bdsm. Tellement j'ai l'impression que les maniéres de faire peuvent diverger d'une relation à une autre.
Le désir oui mais je tiens à le préciser, selon moi ce n'est pas forcément le désir de l'autre. Cela peut être le désir de mieux se connaitre, d'explorer un goût particulier, d'avoir une interaction sans nul autre pareil,etc...
L'attirance ? Clairement non, absolument pas. Ayant un certain goût pour le masochisme, interagir sexuellement avec quelqu'un qui me répugne ça peut coller. Y'a forcément une attirance pour l'acte en lui même oui mais c'et tout.
La confiance, oui évidemment. De toute façon je ne partage pas mon intimité avec des gens en qui j'ai pas confiance. De même que je ne file pas ma carte bleue au premier venu mais ça c'est standard. ^^
L'appartenance, oui aussi, sans aucun doute. Pa forcément une appartenance totale mais on concéde toujours des choses en matiére de sexualité. Et j'ai l'impression qu'en matiére de BDSM on en concéde toujours plus. Difficile de ressentir du plaisir dans l'abandon si on donne pas de moyens à l'autre de se saisir de cette partie de nous.
Pour moi, avant tout le seul chemin vers le bdsm (s'il y en a un) ce serait plutot relié à l'appartenance. On offre à l'autre de maniére deraisonable quelque chose qu'on offre si peu ailleurs : notre intimité. Pas la nudité, pas une intimité voilée ou au final on est en sécurité. Non on s'offre SOI, sans concession et sans tricherie. Et c'est ça qui est grisant...
Dernière modification le 06/04/2016 14:14:49 par Lilas.
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