Il y a bcp de photos en ce moment de marques diverses, cela me fait réfléchir .
Pour ma part je considère les marques comme une pratique qui de ce fait mérite discussion entre les partenaires .
Je considère que ce n est pas anodin et ne va pas de soi.
Je pense à diverses sortes de marques :
- celles faites accidentellement ( fouet..)
- celles inévitables à certaines pratiques (morsures fortes)
- celles faites délibérément : scarifications , fouets ..
Enfin celles temporaires et celles définitives
Une altération du corps même temporaire n est pas rien et il me semble important d y réfléchir , seul et avec son partenaire
Est ce un ingrédient érotique ?
Si oui pour qui ? Pour le dominant ? Pour le soumis ?
(Les switchs sont inclus, pour faire simple je dis dominant et soumis)
Petit témoignage :
Je n érotise pas les marques. Une fois après une séance de fouet et autre j ai eu des bleus. Cela m a procuré une sorte de fascination. Un peu horrifiée . De plus j ai eu mal une dizaine de jours.
Autant la douleur et des choses visuelles ont leur place pendant un moment D/s pour moi, autant ça me dérange d avoir des traces et des douleurs à des moments où je ne suis pas avec mon partenaire .
C étaient des traces accidentelles (la première fois).
Les fouets et martinets ...ont une place importante dans ma relation bdsm. Mon partenaire maîtrise leur usage. Et peut choisir de faire ou pas des marques. Je croyais que le fouet laissait forcément des marques et j ai découvert qu il est possible de fouetter fort et longtemps sans laisser de marques
Fouet et ustensiles du même genre ne sont donc pas des pratiques qui laissent inévitablement des traces.
Ayant au départ peur de séquelles j ai discuté avec mon partenaire .
Du coup la dimension D/s a été questionnée.
Mon dominant n affectionne pas particulièrement les traces . Une trace sur l instant peut être érotique pour lui.
Mais lors des retrouvailles il n aime pas voir des marques qui pour lui gâche plutôt que magnifie le visuel du corps .
Concernant la dimension d appartenance et de possession elle ne passe pas dans notre D/s par un marquage du corps .
La douleur n est qu une partie de notre D/s, elle n est signe de soumission et de domination que pendant une séance. De plus elle est pour mon dominant du côté d un désir et plaisir d infliger (physiquement et émotionnellement ) sur l instant .
Il me semble pour les soumis important de comprendre si, pourquoi et comment notre dominant érotise les traces
Et de prendre le temps de réfléchir à ce que nous en pensons indépendamment de notre partenaire
Comme d autres pratiques si elles ne nous conviennent pas, il est possible de dire non et de trouver un équivalent
Si pour le dominant elle est un signe de soumission, on peut en trouver d autre , ou le dominant peut en trouver d équivalent si les discussions nous permettent de comprendre les rouages psychologiques de l autre, idem pour la possession.
Inversement certains soumis veulent être fouetté jusqu au sang, certains dominants n aiment pas et s autorisent à refuser .
Sur ce site j ai parfois l impression que pour certains dom et soumis
, les traces sont objet de fierté et signe d une intensité de la relation D/s ,Ou d une séance particulière .
Je respecte cela
Je dis simplement que ce n est pas forcément le cas de tout le monde et qu on peut pratiquer un bdsm intense sans traces .
Quand je n ai aucune trace , mon partenaire est fier de sa maîtrise des pratiques
Quand je n ai pas de trace je suis satisfaite de la capacité de mon corps à s être adapté à être malmené . Je le pense comme une forme de souplesse musculaire
Au delà de cela . La question des marques ouvre pour moi la question de la relation.
Dans ma D/s en dehors de moments bdsm décidés et initiés par mon partenaire nous interagissons comme 2 adultes égaux sur d autres registres que le registre érotique
Nous disons que je suis sa soumise et lui mon dominant comme nous disons que nous sommes en couple mais il y a plein de moments en présence ou en absence ou nous ne sommes pas en mode érotique (et donc D/s).
De plus en tant que femme , être sexuée , je m épanouis d être sa soumise, mais je ne suis pas que sa soumise . Je suis un individu, etc...
Mon corps m appartient .
Dans notre relation il possède mon corps . Mais notre relation n est qu une partie de ma vie.
Mon corps est d abord à moi.
Enfin il me paraît important de ne pas oublier que toutes les histoires d amour ou d érotisme peuvent avoir une fin.
Et quand on envisage des marquages définitifs, de se demander ce que ça nous ferait si un jour on n aimait plus l autre .
Je considère donc qu il peut y avoir une trace accidentelle liée à une séance , et ce n est pas grave.
Mais ce n est ni mon trip ni ma recherche
Les discussions avec mon partenaire m ont permis de savoir qu il n érotise pas les traces et qu elles ne sont donc pas un signe de sa domination puisqu elles ne correspondent ni à son désir ni à son plaisir .
Ce qui les écarte de notre D/s basée sur les désirs et plaisirs de mon dominant.
Je crois que si mon dominant érotisait les marques je chercherais avec lui des alternatives
Pour ma part je considère les marques comme une pratique qui de ce fait mérite discussion entre les partenaires .
Je considère que ce n est pas anodin et ne va pas de soi.
Je pense à diverses sortes de marques :
- celles faites accidentellement ( fouet..)
- celles inévitables à certaines pratiques (morsures fortes)
- celles faites délibérément : scarifications , fouets ..
Enfin celles temporaires et celles définitives
Une altération du corps même temporaire n est pas rien et il me semble important d y réfléchir , seul et avec son partenaire
Est ce un ingrédient érotique ?
Si oui pour qui ? Pour le dominant ? Pour le soumis ?
(Les switchs sont inclus, pour faire simple je dis dominant et soumis)
Petit témoignage :
Je n érotise pas les marques. Une fois après une séance de fouet et autre j ai eu des bleus. Cela m a procuré une sorte de fascination. Un peu horrifiée . De plus j ai eu mal une dizaine de jours.
Autant la douleur et des choses visuelles ont leur place pendant un moment D/s pour moi, autant ça me dérange d avoir des traces et des douleurs à des moments où je ne suis pas avec mon partenaire .
C étaient des traces accidentelles (la première fois).
Les fouets et martinets ...ont une place importante dans ma relation bdsm. Mon partenaire maîtrise leur usage. Et peut choisir de faire ou pas des marques. Je croyais que le fouet laissait forcément des marques et j ai découvert qu il est possible de fouetter fort et longtemps sans laisser de marques
Fouet et ustensiles du même genre ne sont donc pas des pratiques qui laissent inévitablement des traces.
Ayant au départ peur de séquelles j ai discuté avec mon partenaire .
Du coup la dimension D/s a été questionnée.
Mon dominant n affectionne pas particulièrement les traces . Une trace sur l instant peut être érotique pour lui.
Mais lors des retrouvailles il n aime pas voir des marques qui pour lui gâche plutôt que magnifie le visuel du corps .
Concernant la dimension d appartenance et de possession elle ne passe pas dans notre D/s par un marquage du corps .
La douleur n est qu une partie de notre D/s, elle n est signe de soumission et de domination que pendant une séance. De plus elle est pour mon dominant du côté d un désir et plaisir d infliger (physiquement et émotionnellement ) sur l instant .
Il me semble pour les soumis important de comprendre si, pourquoi et comment notre dominant érotise les traces
Et de prendre le temps de réfléchir à ce que nous en pensons indépendamment de notre partenaire
Comme d autres pratiques si elles ne nous conviennent pas, il est possible de dire non et de trouver un équivalent
Si pour le dominant elle est un signe de soumission, on peut en trouver d autre , ou le dominant peut en trouver d équivalent si les discussions nous permettent de comprendre les rouages psychologiques de l autre, idem pour la possession.
Inversement certains soumis veulent être fouetté jusqu au sang, certains dominants n aiment pas et s autorisent à refuser .
Sur ce site j ai parfois l impression que pour certains dom et soumis
, les traces sont objet de fierté et signe d une intensité de la relation D/s ,Ou d une séance particulière .
Je respecte cela
Je dis simplement que ce n est pas forcément le cas de tout le monde et qu on peut pratiquer un bdsm intense sans traces .
Quand je n ai aucune trace , mon partenaire est fier de sa maîtrise des pratiques
Quand je n ai pas de trace je suis satisfaite de la capacité de mon corps à s être adapté à être malmené . Je le pense comme une forme de souplesse musculaire
Au delà de cela . La question des marques ouvre pour moi la question de la relation.
Dans ma D/s en dehors de moments bdsm décidés et initiés par mon partenaire nous interagissons comme 2 adultes égaux sur d autres registres que le registre érotique
Nous disons que je suis sa soumise et lui mon dominant comme nous disons que nous sommes en couple mais il y a plein de moments en présence ou en absence ou nous ne sommes pas en mode érotique (et donc D/s).
De plus en tant que femme , être sexuée , je m épanouis d être sa soumise, mais je ne suis pas que sa soumise . Je suis un individu, etc...
Mon corps m appartient .
Dans notre relation il possède mon corps . Mais notre relation n est qu une partie de ma vie.
Mon corps est d abord à moi.
Enfin il me paraît important de ne pas oublier que toutes les histoires d amour ou d érotisme peuvent avoir une fin.
Et quand on envisage des marquages définitifs, de se demander ce que ça nous ferait si un jour on n aimait plus l autre .
Je considère donc qu il peut y avoir une trace accidentelle liée à une séance , et ce n est pas grave.
Mais ce n est ni mon trip ni ma recherche
Les discussions avec mon partenaire m ont permis de savoir qu il n érotise pas les traces et qu elles ne sont donc pas un signe de sa domination puisqu elles ne correspondent ni à son désir ni à son plaisir .
Ce qui les écarte de notre D/s basée sur les désirs et plaisirs de mon dominant.
Je crois que si mon dominant érotisait les marques je chercherais avec lui des alternatives
Dernière modification le 29/02/2016 09:31:35 par Lupa.
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