Bien sûr, je peux comprendre l'absence d'attrait pour telle ou telle pratique, et je n'envisage aucunement de forcer quelqu'un, ou d'être forcé, à un rapport sexuel ou sensuel qui provoquerait une répulsion ou un ennui sans fond d'un côté ou de l'autre. Je pensais plutôt à des cas où il n'y a pas d'obstacle psychologique ou physique à une pratique, et que celle-ci se révèle satisfaisante sur le tard, après des années de bdsm. Je prenais à dessein l'exemple d'un simple bisou...
Mettons que mon étonnement est un manifeste pour élargir la perspective sur la sensualité plutôt que pour la rigidifier. Au moins dans la discussion entre partenaires.
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