Hum vaste sujet...Comme l'a dit Galliane il y a de nombreuses catégories et raisons à la féminisation et si celles exposées peuvent sans doute regrouper les cas les plus fréquent je ne pourrais pas affirmer qu'elles en englobent la totalité.Pour ma part il y a plusieurs réponse .Je peux dire que ma féminisation est clairement issue du fétichisme. J'ai de nombreux fétiches concernant les accessoires féminins. Cela me permet de donné "corps" à une image mais également de connaître des sensations que cette seule image, même fixée sur une partenaire, ne pourrait me procurer. Il y a bien sur la sensations des vêtements en eux-même que cela soit par la matière (cuir ou satin par exemple) ou bien bien par le contact du vêtement en lui même (la sensation des bas ou d'une jupe crayon sur les jambes, la légèreté d'une jupe au niveau des fesses...). Certains ont parlé de la sensation de se "sentir" femme. Je ne me sens pas femme dans le sens ou je ne ressent pas du tout une identité féminine au quotidien. Je ne prétend pas plus, par ailleurs, pouvoir prétendre donner le change lors de mes transformation (loin de là d'ailleurs), cependant la première fois que j'ai passé des escarpins avec une belle hauteur de talons et que j'ai eu le loisir de déambuler avec, j'ai senti comme un changement dans ma stature et mon comportement. Ce sentiment a été complété et sublimé par l'addition de sein en siliconne. Au départ mes féminisations étaient clairement sexuelles étant donné que dès ma jouissance obtenue je m’empressai de retirer mes vêtements pour retrouver mon genre. Si ce caractères sexuel est toujours présent, il ne s'agit plus exclusivement de ça, et des fois, même si l’excitation est toujours présentes, je me pars de ces accessoires simplement pour déambuler (en intérieur bien sur) dans cette tenue sans nécessairement chercher immédiatement le plaisir sexuel. De même, parfois, après avoir joui, je me prends à conserver ma tenue. Au final je dirai qu'il y a une sorte de curiosité et de jalousie, comme si je cherchais à obtenir et découvrir quelque chose auquel seules les femmes avaient droit.Pour la seconde partie j'invoquerai le côté jeu de rôle et perte de contrôle. La soumission n'est pas quelque chose d'aisée en particulier lorsque ce n'est pas un sentiment qui nous anime dans la vie "réelle". La féminisation (forcée) permet de contourner ce problème en créant finalement un nouveau personnage même si de mon côté je ne me considère jamais comme une soumise mais comme un homme féminisé. C'est le côté perte de contrôle : se retrouver totalement déposséder de son libre arbitre par une Maîtresse au point de ne même plus avoir le contrôle sur quelque chose qui parait évidant : son genre. C'est un abandon total et la marque de l'emprise de l'autre.J'ajouterai toutefois que, si le côté domination évoqué dans la seconde partie est et a toujours été très fort dans ma féminisation, il n'est pas nécessairement présent lors des mes féminisation.
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