Lullaby a dit...
j'avais moi même soulevé ce sujet : http://www.bdsm.fr/forum/thread/1833/troubles-psy-et-bdsm-borderline-et-bdsm/
Oui, effectivement, j'avais lu ce fil de discussion en son temps mais il m'était sorti de l'esprit sinon je n'aurais pas crée un autre topic sur le même sujet.
Vous y parliez alors de personnalité borderline. Personnellement, j'ai connu au moins une domina que je qualifierais volontiers (diagnostic sauvage par un non expert) de borderline. Et une autre certainement psychopathe (la psychopathie est sous-diagnostiquée chez les femmes car elle s'exprime de façon moins visible que chez un homme). Mais aussi, heureusement, quelques autres raisonnablement normales... et pourtant délicieusement "méchantes". ^^ Non, clairement, pas besoin d'avoir une personnalité pathologique pour apprécier le SM. La question n'est pas là.
Je m'interroge plutôt dans quelle mesure nous sommes conditionnés dans nos actions par notre patrimoine génétique. Par exemple, je lisais l'autre jour une description d'un certain type de personnalité, une sorte de portrait-robot détaillé dressé par un spécialiste, qui me semblait coller si parfaitement à moi que j'ai pensé : si l'on a telle ou telle prédisposition génétique, que l'on subit par ailleurs telle influence de l'environnement, alors selon toutes probabilités on deviendra ainsi. Où est ce fameux libre arbitre si souvent invoqué ?
Dans mon cas, il était même précisé que ce type de personnalité a un penchant pour les paraphilies type BDSM. Bref, si l'on avait été matériellement capable à l'époque de décoder mon génome et d'analyser mon environnement familial, les événements survenus durant la grossesse de ma mère, etc., on aurait pu déjà prédire que 30 ans après j'avais de fortes chances de me retrouver à 4 pattes aux pieds d'une femme en cuissardes que j'idéaliserai

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