puisque j'en vois certains en parler sur le mur général, dédions ce fil de discussion à l'explication de nos pseudos, du moins pour ceux qui en ont besoin, qui ne sont pas très clairs, ou carrément hermétiques.
Évidemment je commence, et je ne résiste pas à vous citer l'excellente définition d'un lexique trouvé sur le net, qui est très exhaustif :
On doit éviter de confondre les homophones abîme et abyme, qui ont la même prononciation et la même origine, mais qui n’ont plus les mêmes emplois aujourd'hui, mais avant oui. Notons que ces deux noms sont de genre masculin.
Abîme s’écrit avec un accent circonflexe sur le i dans la plupart de ses emplois. Cet accent indique que le i était auparavant suivi d'un s (on avait en latin abismus). Selon les rectifications de l'orthographe, on peut maintenant supprimer l'accent circonflexe sur ce i; ainsi, les graphies avec et sans accent circonflexe sont dorénavant acceptées.
1) On emploie couramment abîme dans un sens figuré pour exprimer un écart, un fossé entre des personnes ou des choses. Cet emploi vient du sens concret du mot, « précipice, cavité très profonde », aujourd’hui considéré comme littéraire.
2) Par extension de sens, abîme peut aussi exprimer l’idée d’une perte, d’un désastre ou de circonstances difficiles, voire tragiques.
3) Enfin, dans la langue soutenue ou littéraire, abîme peut se dire d’une chose impénétrable, insondable, en parlant entre autres d’un mystère, d’une énigme. La locution un abîme sert quant à elle à exprimer l’idée d’un degré extrême, très élevé de quelque chose.
4) Le nom abyme ne s’écrit avec un y que dans la locution en abyme (plus rarement écrite en abîme par certains auteurs), qui se dit d’une œuvre (récit, film, peinture) dans laquelle des éléments récurrents sont enchâssés les uns dans les autres. En littérature, le procédé de mise en abyme consiste à inclure une histoire secondaire dans l’histoire principale d’une œuvre de fiction. Ce second récit a la particularité d’être un résumé du récit principal, ou du moins de présenter un rapport de similitude avec celui-ci ; il peut ainsi aider le lecteur à mieux comprendre le sens global de l’œuvre.
Évidemment, les 4 sens me plaisent et me correspondent.
Évidemment je commence, et je ne résiste pas à vous citer l'excellente définition d'un lexique trouvé sur le net, qui est très exhaustif :
On doit éviter de confondre les homophones abîme et abyme, qui ont la même prononciation et la même origine, mais qui n’ont plus les mêmes emplois aujourd'hui, mais avant oui. Notons que ces deux noms sont de genre masculin.
Abîme s’écrit avec un accent circonflexe sur le i dans la plupart de ses emplois. Cet accent indique que le i était auparavant suivi d'un s (on avait en latin abismus). Selon les rectifications de l'orthographe, on peut maintenant supprimer l'accent circonflexe sur ce i; ainsi, les graphies avec et sans accent circonflexe sont dorénavant acceptées.
1) On emploie couramment abîme dans un sens figuré pour exprimer un écart, un fossé entre des personnes ou des choses. Cet emploi vient du sens concret du mot, « précipice, cavité très profonde », aujourd’hui considéré comme littéraire.
2) Par extension de sens, abîme peut aussi exprimer l’idée d’une perte, d’un désastre ou de circonstances difficiles, voire tragiques.
3) Enfin, dans la langue soutenue ou littéraire, abîme peut se dire d’une chose impénétrable, insondable, en parlant entre autres d’un mystère, d’une énigme. La locution un abîme sert quant à elle à exprimer l’idée d’un degré extrême, très élevé de quelque chose.
4) Le nom abyme ne s’écrit avec un y que dans la locution en abyme (plus rarement écrite en abîme par certains auteurs), qui se dit d’une œuvre (récit, film, peinture) dans laquelle des éléments récurrents sont enchâssés les uns dans les autres. En littérature, le procédé de mise en abyme consiste à inclure une histoire secondaire dans l’histoire principale d’une œuvre de fiction. Ce second récit a la particularité d’être un résumé du récit principal, ou du moins de présenter un rapport de similitude avec celui-ci ; il peut ainsi aider le lecteur à mieux comprendre le sens global de l’œuvre.
Évidemment, les 4 sens me plaisent et me correspondent.
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