Si ma mémoire est bonne, je n'imagine même pas sur qu'elles histoires vous avez pue tomber @Linsoumise sur le sujet évoqué dans vos dernier messages.... force à vous et tout mon respect le plus sincere.Mais si je viens écrire ici c'est parce que la question posé me titille aussi beaucoup par mon incoprehenssion total de la chose... Merci pour tout les échanges et les réponses et exemples apportés mais je me demande quand même quelque chose : N'y a t'il pas réellement danger quand on vois qu'il y a deux grande façon de penser d'aborder la chose et que certain s'ouvre la possibilité de réaliser cela car ils en "sentent l'envie ou le désir" chez leur partenaire (voire victime de mon point de vue ici) ? Je veux dire : qu'a partir du moment ou on est d'accord pour dire que la pluspart s'accorde sur le point moral de dire que cela est inacceptable et que l'on peut provoquer des blessures sans precedent par cela, alors c'est l'idéologie du moindre risque qui doit primer non ? J'essaye de mieux m'expliquer car je sens que mes propos sont flou... En partant de l'exemple que les soumis/e/s qui aprécient, au hasard les aiguille, sont rare. Est ce une chose acceptable d'aller imposer cette pratique dans une séance sans leur demander au préalable leur envie de la chose avec l'escuse de "j'ai sentie qu'il/elle en avait l'envie" ? Et cette exemple marche pour toute pratique en faites.Je ne rentre meme pas dans le débats de si oui ou non le fait d'élever le viol à l'état de fantasme (non la simulation mais le crime) doit etre consevable car j'ai une idée tellement arreté sur la chose qu'en discuter avec moi serai contre productive tellement cela me révulse. Mais je veux dire par mon message que, pour ce qui defendent le point de vue inverse du miens, est ce que la question du moindre risque ne prone t'elle pas sur tout et que, comme n'importe qu'elle pratique en fait, la chose doit etre évoqué avant d'être executé par accord explicite des deux partie ? Et de ce fait en faite anule toute légitimité au viol qui est par éssence non consentie ?Je en concois pas qu'on puisse prendre le risque de traumatiser quelqu'un par simple suposition qu'il/elle, en fait, aimerai cela..... Je discute rarement ici par manque de confiance en mes propos et peur de dire de la merde...mais pour cette fois le besoin de poser ma pensé etait plus forte que moi et le sujet me touchait un peu trop. En esperant avoir été claire et en vous remercient pour les différents reflexion et belles paroles que certains ont apporté ici.Tomoe
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