Quelques réflexions pour lancer un débat spécifique sur la "switchitude" :
J'ai eu l'occasion de lire récemment dans un débat (sur la nécessité d'avoir connu la soumission pour être dom) qu'on est dom ou soumis de façon innée (ce que je réfute personnellement, je pense qu'une grande part d'acquis entre en jeu, bref l'éducation, le milieu, le contexte, les parents, les relations, les rencontres, etc).
J'ai également pu voir que les switchs sont souvent mal vus par les doms ou soumis "purs et durs" et évidemment moins par les autres, plus ouverts. Peut-être sont-ils déstabilisants ? Ou pas assez extrêmes dans une répartition rigide de rôles ?
Il semblerait aussi que beaucoup de dominatrices (plus que les hommes) soient en fait d'anciennes soumises (ou des femmes qui aimeraient tout simplement parfois se laisser aller), et que si on sait s'y prendre, elles peuvent switcher.
Mais certaines ont acquis une réputation en tant que dom, et ne l'assument pas, du moins officiellement.
Enfin, j'ai remarqué que les switchs sont en général moins attachés aux protocoles, rites et clichés du BDSM, car probablement plus intéressés par le côté purement jeu sexuel. Donc peut-on dire qu'ils ont une vraie légitimité dans le BDSM ?
Aux switchs : comment en êtes-vous arrivés là ?
Aux autres : comment percevez-vous vraiment les switchs ?
À ceux qui ont du mal avec les switchs : pouvez-vous expliquer pourquoi et comment ?
Y a-t-il ici des non-switchs qui se sentent tentés mais n'osent pas ? Et pourquoi ?
(bon, là, vous avez vu, j'ai fait un effort pour lancer un sujet sans écorcher des égos et sans provoc)
J'ai eu l'occasion de lire récemment dans un débat (sur la nécessité d'avoir connu la soumission pour être dom) qu'on est dom ou soumis de façon innée (ce que je réfute personnellement, je pense qu'une grande part d'acquis entre en jeu, bref l'éducation, le milieu, le contexte, les parents, les relations, les rencontres, etc).
J'ai également pu voir que les switchs sont souvent mal vus par les doms ou soumis "purs et durs" et évidemment moins par les autres, plus ouverts. Peut-être sont-ils déstabilisants ? Ou pas assez extrêmes dans une répartition rigide de rôles ?
Il semblerait aussi que beaucoup de dominatrices (plus que les hommes) soient en fait d'anciennes soumises (ou des femmes qui aimeraient tout simplement parfois se laisser aller), et que si on sait s'y prendre, elles peuvent switcher.
Mais certaines ont acquis une réputation en tant que dom, et ne l'assument pas, du moins officiellement.
Enfin, j'ai remarqué que les switchs sont en général moins attachés aux protocoles, rites et clichés du BDSM, car probablement plus intéressés par le côté purement jeu sexuel. Donc peut-on dire qu'ils ont une vraie légitimité dans le BDSM ?
Aux switchs : comment en êtes-vous arrivés là ?
Aux autres : comment percevez-vous vraiment les switchs ?
À ceux qui ont du mal avec les switchs : pouvez-vous expliquer pourquoi et comment ?
Y a-t-il ici des non-switchs qui se sentent tentés mais n'osent pas ? Et pourquoi ?
(bon, là, vous avez vu, j'ai fait un effort pour lancer un sujet sans écorcher des égos et sans provoc)
Dernière modification le 07/08/2014 21:33:35 par Abyme.
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