Nous sommes dans un milieu ou chacun joue son rôle : dominant ou dominé ! Il y a ceux qui se sentent parfaitement à l’aise et qui n’ont aucunement besoin de « béquilles » pour assoir leur autorité, leur pouvoir… et d’autres éprouvent le besoin d’utiliser tous les moyens de la « parfaite panoplie du BDSM » pour mieux assurer leur pouvoir. Certes le vouvoiement, mais aussi les us et coutumes d’un autre siècle, les tenues, les symboles….. Après tout, si ca convient parfaitement aux 2 parties, pourquoi sans priver ! Le BDSM s’exprime avec le jeu, la créativité est au centre de la relation, si l’un ou l’autre ressent le besoin de forcer le trait, d’exprimer dans l’écrit la force de l’appartenance, de l’amour par ce V/Nous, V… majuscules, ca ne me choque pas….. Il suffit de lire les textes échangés entre dominants et dominées avec ces particularités … pour ressentir ce besoin d’exprimer avec force le lien qui les unit. Personnellement, Je vis un "BDSM du siecle", je garde pas ou peu des « us et coutumes », mais il m’arrive indifféremment d’utiliser le vouvoiement ou pas, sans en faire une vraie «religion»… c’est au fur et à mesure de la construction de la relation que ce mode d’expression est pérennisé ou non..… il doit correspondre à la réalité et aux besoins ! N’oublions pas le regard de la dominée qui peut ressentir ce besoin de déférence.
Soyez la première personne à aimer.