Les mots sont souvent lissent or notre monde ne l'est pas!
Le verbe porté bien haut agit comme un anesthésiant: Nous parlons souvent de luxure et de dépravation avec le petit doigt pointé en l'air en soufflant sur notre tasse de thé trop chaude...
Nous poussons même parfois de petit cris de vierge effarouchée:
"Oh, voyons, mais non très cher, votre queue je vous l'assure à le gout de cerise et vos pets sentent la menthe fraîche!!"
Alors je vous livre un espace de liberté absolu:
Pour poser avec des mots ou des images la vérité crue et nue de vos horizons d'humain...
Si vous n'êtes pas près à poser votre morale avant d'entrer... N'allez pas plus loin...
Moi, c'est avec des mots que j'ouvre ce bal infernal:
"Je suis soumis et nul n’est plus puissant que moi…
J’ai brisé les chaines de mon esclavage moral pour me parer ce celle de l'Empire de mes sens...
Plongez dans mon regard et tentez de sonder mon âme… Vous n’y percevrez rien d’autre que le masque de l’homme debout…
Je suis une lueur dans l’immensité d’un cauchemar de mensonges et de reniement. La vérité n’est pas celle que l’on vous a enseigné enfant.
Vous n’êtes comme moi qu’une queue ou un vagin. Et rien d’autre. Organe obsessionnel de procréation animal qui ne vit que pour répandre son foutre et sa mouille. Votre attachement à l’illusion civilisée culpabilisante vous rendra fou.
Ne poussez pas de grand soupir, ne levez pas les yeux au ciel : Il est vide et dieu n’est qu’une statue de carton-pâte de ce théâtre de marionnette… Acceptez l’évidence : Papa se branle la bave aux lèvres et maman s’enfile le concombre qu’elle vous servira en salade !
Et vous ? un string volé dans la panière de linge sale sur les narine, un humbler tirant jouissivement sur vos couilles, a quatre patte, osant murmurer tout seul : « Faites de moi votre plus belle salope Maîtresse », vous ne vous sentez pas sale ? Vous ne vous sentez pas coupable ainsi paré dans la solitude et l’obscurité ?
Si bien sûr…
Guider par la morale, la justice, l’ordre, les religions, vous êtes comme moi le bon petit soldat de ce monde de singes en cravate qui ont renoncé volontairement au plaisir de se laver la queue à grand coup de langue !
Regardez votre voisine, votre patron ! ils n’ont à l’esprit que dépravation. Cette main qu’il vous tend sort de son cul et les lèvres qui se posent sur vos joues buvaient il y a quelques instants la jouissance d’un amant de passage…
Alors faute de pouvoir ailleurs poser le carcan qui vous opprime, libérez-vous en vous même de tout ce qui vous étouffe et relevez la tête :
J’ai bu mon sperme, ma pisse avec délectation. Gouté ma merde dans un état de transe semi consciente. Je vénère comme une divinité les flots qui coulent de la chatte de ma Maîtresse, j’aime passionnément être pris, fouetté, exposé… J’aime qu’elle ait ce courage de me permettre d’être moi ! Le vrai moi ! Celui qui implore son sadisme, celui qui rêve encore en secret de l’unique queue qu’il a fait crachée et qui se souvient encore du gout de son foutre si différent du mien.
Je ne suis pas un monstre… Nos gènes sont frères et sœurs. Je ne suis que la quintessence de l’homme : Sur terre pour une seule et unique raison : jouir !!!
Sourire…
Je vois bien qu’il y faut encore une dernière tape sur la colonne vertébrale de votre moralité :
Regardez vos chères têtes blondes : Oui, celle-là même qui le plus naturellement du monde caresse leur zezette les cuisses impudiquement ouvertes sur le tapis du salon pendant que pépé bande en secret et que mémé, rouge de ne pouvoir faire la même chose attend en silence que vous vous en rendiez compte…
Ultime transgression contre les mots que vous prononcerez sans y croire un instant durant toute leur enfance : Un jour, c’est eux qui écriront ces lignes….."
Le verbe porté bien haut agit comme un anesthésiant: Nous parlons souvent de luxure et de dépravation avec le petit doigt pointé en l'air en soufflant sur notre tasse de thé trop chaude...
Nous poussons même parfois de petit cris de vierge effarouchée:
"Oh, voyons, mais non très cher, votre queue je vous l'assure à le gout de cerise et vos pets sentent la menthe fraîche!!"
Alors je vous livre un espace de liberté absolu:
Pour poser avec des mots ou des images la vérité crue et nue de vos horizons d'humain...
Si vous n'êtes pas près à poser votre morale avant d'entrer... N'allez pas plus loin...
Moi, c'est avec des mots que j'ouvre ce bal infernal:
"Je suis soumis et nul n’est plus puissant que moi…
J’ai brisé les chaines de mon esclavage moral pour me parer ce celle de l'Empire de mes sens...
Plongez dans mon regard et tentez de sonder mon âme… Vous n’y percevrez rien d’autre que le masque de l’homme debout…
Je suis une lueur dans l’immensité d’un cauchemar de mensonges et de reniement. La vérité n’est pas celle que l’on vous a enseigné enfant.
Vous n’êtes comme moi qu’une queue ou un vagin. Et rien d’autre. Organe obsessionnel de procréation animal qui ne vit que pour répandre son foutre et sa mouille. Votre attachement à l’illusion civilisée culpabilisante vous rendra fou.
Ne poussez pas de grand soupir, ne levez pas les yeux au ciel : Il est vide et dieu n’est qu’une statue de carton-pâte de ce théâtre de marionnette… Acceptez l’évidence : Papa se branle la bave aux lèvres et maman s’enfile le concombre qu’elle vous servira en salade !
Et vous ? un string volé dans la panière de linge sale sur les narine, un humbler tirant jouissivement sur vos couilles, a quatre patte, osant murmurer tout seul : « Faites de moi votre plus belle salope Maîtresse », vous ne vous sentez pas sale ? Vous ne vous sentez pas coupable ainsi paré dans la solitude et l’obscurité ?
Si bien sûr…
Guider par la morale, la justice, l’ordre, les religions, vous êtes comme moi le bon petit soldat de ce monde de singes en cravate qui ont renoncé volontairement au plaisir de se laver la queue à grand coup de langue !
Regardez votre voisine, votre patron ! ils n’ont à l’esprit que dépravation. Cette main qu’il vous tend sort de son cul et les lèvres qui se posent sur vos joues buvaient il y a quelques instants la jouissance d’un amant de passage…
Alors faute de pouvoir ailleurs poser le carcan qui vous opprime, libérez-vous en vous même de tout ce qui vous étouffe et relevez la tête :
J’ai bu mon sperme, ma pisse avec délectation. Gouté ma merde dans un état de transe semi consciente. Je vénère comme une divinité les flots qui coulent de la chatte de ma Maîtresse, j’aime passionnément être pris, fouetté, exposé… J’aime qu’elle ait ce courage de me permettre d’être moi ! Le vrai moi ! Celui qui implore son sadisme, celui qui rêve encore en secret de l’unique queue qu’il a fait crachée et qui se souvient encore du gout de son foutre si différent du mien.
Je ne suis pas un monstre… Nos gènes sont frères et sœurs. Je ne suis que la quintessence de l’homme : Sur terre pour une seule et unique raison : jouir !!!
Sourire…
Je vois bien qu’il y faut encore une dernière tape sur la colonne vertébrale de votre moralité :
Regardez vos chères têtes blondes : Oui, celle-là même qui le plus naturellement du monde caresse leur zezette les cuisses impudiquement ouvertes sur le tapis du salon pendant que pépé bande en secret et que mémé, rouge de ne pouvoir faire la même chose attend en silence que vous vous en rendiez compte…
Ultime transgression contre les mots que vous prononcerez sans y croire un instant durant toute leur enfance : Un jour, c’est eux qui écriront ces lignes….."
Dernière modification le 31/12/2013 04:42:51 par Empire.
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