Bonjour Mael.
Question directe ! L'âme existe peut-être (les 21 grammes qui disparaissent de la masse d'un corps) mais elle ne serait à ma réflexion que la liaison énergétique (propre à chacun) entre le corps physique et le fonctionnement psychique. Je ne crois pas en la réincarnation. Je pense toutefois que la mémoire d'un individu étant répartie dans sa composition atomique, celle-ci se disperse finalement et se dissoud dans le Tout (je crois que ça disparait mais Edgar Cayce, par exemple, disait aller chercher ses visions dans cette mémoire universelle). Alors oui, "la mort et plouf... plus rien", le souvenir ne restant que chez ceux qui vivent un peu plus longtemps....
De fait, on peut considèrer la Vie différemment, mener son existence autrement.
Cordialement
Amanxiame
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Les pratiques BDSM de type psychologique, qui impliquent des dynamiques de domination, de soumission ou de jeu de rôle émotionnel, peuvent être intenses et nécessitent une grande prudence. Si elles peuvent être bénéfiques pour certaines personnes, elles comportent aussi des contre-indications ou des risques dans certains cas. Voici les principales :
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1. Troubles psychologiques préexistants
Traumatismes non résolus : Pour une personne ayant subi des abus, du harcèlement ou des violences psychologiques, certains scénarios BDSM (comme l'humiliation ou la soumission extrême) peuvent réactiver des souvenirs douloureux ou exacerber des symptômes de stress post-traumatique.
Dépression sévère : Les pratiques impliquant des dynamiques émotionnelles fortes (par exemple, humiliation ou dévalorisation) peuvent accentuer des sentiments de tristesse, d'inadéquation ou de désespoir.
Anxiété généralisée : Les jeux impliquant une perte de contrôle ou des tensions émotionnelles pourraient aggraver les symptômes d'anxiété chez certaines personnes.
Troubles de la personnalité : Les personnes présentant des troubles comme le trouble borderline ou narcissique peuvent trouver difficile de maintenir les limites émotionnelles, ce qui pourrait rendre ces pratiques risquées.
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2. Manque de préparation ou de compréhension
Absence de consentement clair : Si les limites ne sont pas établies ou si une personne se sent forcée, cela peut avoir des impacts psychologiques graves.
Mauvaise gestion des mots de sécurité : Ne pas respecter un mot de sécurité ou pousser les limites sans consentement explicite peut provoquer des blessures émotionnelles profondes.
Difficulté à se détacher des rôles : Les dynamiques psychologiques (domination, humiliation, etc.) peuvent parfois déborder dans la vie quotidienne, créant des conflits ou des malaises si elles ne sont pas strictement séparées des interactions "réelles".
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3. Facteurs de personnalité ou de contexte
Faible estime de soi : Si une personne souffre déjà d'une faible estime d'elle-même, des pratiques comme l'humiliation pourraient renforcer cette perception négative au lieu d'offrir un espace sécurisé pour l'explorer.
Codépendance : Dans les relations où une personne est déjà excessivement dépendante émotionnellement, le BDSM psychologique pourrait renforcer des dynamiques malsaines.
Manque de confiance mutuelle : Les jeux psychologiques nécessitent un haut degré de confiance. Si celle-ci est absente ou fragile, cela peut entraîner des tensions ou des dommages émotionnels.
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4. Facteurs sociaux ou environnementaux
Stigmatisation et culpabilité : Certaines personnes peuvent ressentir de la honte ou de la culpabilité après avoir participé à des pratiques BDSM psychologiques, particulièrement si elles ont intériorisé des normes sociales négatives à ce sujet.
Isolement : Les pratiquants qui ne peuvent pas parler de leurs expériences ou trouver un soutien adéquat peuvent souffrir d'isolement émotionnel.
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5. Dépendance émotionnelle ou dissociation
Dépendance au rôle : Une personne soumise peut avoir du mal à exister en dehors de son rôle, perdant le sens de sa propre identité.
Dissociation : Les pratiques intenses peuvent provoquer des états de dissociation (perte de contact avec la réalité), particulièrement chez des personnes ayant déjà des antécédents de dissociation.
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Recommandations pour éviter les risques
Évaluation personnelle : Se poser des questions sur ses motivations, ses limites et ses éventuelles vulnérabilités psychologiques avant de se lancer dans ces pratiques.
Communication constante : Échanger régulièrement avec le partenaire pour s'assurer que tout se passe bien.
Encadrement sécurisé : Pratiquer avec un partenaire expérimenté ou se renseigner dans des cercles spécialisés peut réduire les risques.
Soutien professionnel : Consulter un thérapeute spécialisé si des doutes ou des problèmes émotionnels surgissent avant, pendant ou après les pratiques.
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Conclusion
Les pratiques BDSM psychologiques doivent être abordées avec une grande prudence, surtout chez les personnes ayant des vulnérabilités émotionnelles. Elles peuvent être enrichissantes, mais elles nécessitent un cadre consensuel, un respect strict des limites, et une communication ouverte pour éviter des répercussions négatives.
Toujours les conseils pris sur chatgpt pour les contre indications
Les pratiques BDSM (Bondage, Discipline, Domination, Soumission, Sadomasochisme) peuvent avoir des effets positifs sur la santé physique et mentale, à condition qu'elles soient pratiquées dans un cadre consensuel, sécurisé, et respectueux. Voici quelques aspects à considérer :
1. Bienfaits possibles pour la santé mentale :
Réduction du stress : Le BDSM peut favoriser la libération d'endorphines, procurant un sentiment de relaxation et de bien-être.
Amélioration de la communication : Les pratiquants doivent établir des limites claires et des mots de sécurité, ce qui améliore la communication et la confiance dans les relations.
Renforcement de l'estime de soi : Explorer ses désirs dans un environnement sans jugement peut renforcer la confiance en soi et aider à accepter son corps et ses envies.
Échappatoire temporaire : Les rôles joués dans les pratiques BDSM peuvent offrir une pause mentale et émotionnelle face aux responsabilités ou aux pressions de la vie quotidienne.
2. Bienfaits physiques potentiels :
Stimulation sensorielle : Certaines pratiques (comme le massage, le bondage doux) peuvent augmenter la conscience corporelle et favoriser une meilleure connexion esprit-corps.
Exercice physique : Certaines activités, comme le bondage ou les positions physiques prolongées, peuvent représenter un effort musculaire léger.
Soulagement de douleurs chroniques : Certaines personnes rapportent que le BDSM, notamment les pratiques impliquant des sensations comme la douleur contrôlée, peut aider à atténuer certaines douleurs chroniques (effet analgésique lié à la libération d'endorphines).
3. Précautions à prendre :
Consentement éclairé : Toutes les activités doivent être basées sur un consentement mutuel explicite.
Connaissances et préparation : Il est important de connaître les pratiques, d'utiliser des équipements adaptés et de comprendre les risques potentiels.
Limites personnelles et sécurité : L'utilisation de mots de sécurité et le respect des limites des partenaires sont essentiels.
Santé psychologique : Pour certains, des pratiques BDSM intenses pourraient exacerber des traumatismes ou des émotions négatives. Une réflexion personnelle ou un accompagnement par un professionnel peut être nécessaire.
4. Impacts sociaux et stigmatisation :
Bien que le BDSM soit de plus en plus accepté dans certaines cultures, il reste mal compris par d'autres. La stigmatisation peut avoir des impacts négatifs sur la santé mentale des pratiquants. Toutefois, les études montrent que les personnes qui pratiquent le BDSM de manière consensuelle ne présentent pas davantage de troubles psychologiques que la population générale, et certaines recherches suggèrent même une meilleure résilience émotionnelle.
Conclusion :
Le BDSM peut être bénéfique pour la santé physique et mentale, tant qu'il est pratiqué dans un cadre sain, consensuel et respectueux. Cependant, comme pour toute activité, il est important de s'informer, de respecter ses limites et celles des autres, et de se sentir à l'aise avec ses choix.
J'ai demandé à chatgpt ce qu'il en pensait.
Je vous laisse apprécier
Tu ne crois pas en l'âme ? En la réincarnation ?
La mort est plouf ....plus rien
Bonjour à toutes et à tous
Personnellement, je n'ai pas interprété le propos, je passais juste une information croisée au cours de recherches sur le Net (1).
Je crois fermement que chacun peut extrapoler un avenir de l'humanité, de la Terre et même de l'Univers mais je regrette parfois un manque de cohérence avec ce que l'Histoire nous enseigne, ce que la Science nous apprend et ce vers quoi la Technologie nous entraîne. J'ajouterais à cela deux détails importants : l'humain oublie qu'il n'est ni immortel ni éternel (il n'a rien de divin) et qu'il ne tient jamais compte de l'imprévu (l'existence du chaos).
Cordialement
Amanxiame
(1) Je préciserais volontiers que depuis l'utilisation de l'IA (quelle que soit sa capacité) par le commun et les moteurs de recherches, je ne me réfère plus du tout aux informations distribuées via Internet. Je collecte plutôt des sources humaines où sont justifiées les origines du savoir acquis ainsi que l'environnement où il est exposé.