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Les hommes surtout les D ont une tendance générale à être trop direct voir à considérer toutes les soumises comme les leurs.    Avec quelques amies ici on s'amuse à s'envoyer les meilleurs textes d'approches de certains. Faut dire que c'est parfois savoureux.  Après des affrontements il y en a partout. Personnellement j'essaie de ne pas y entrer. Je parle à ceux / celles avec qui j'ai une affinités. Et les autres et bien je ne vais pas les embêter tout simplement 
Sacha, non je ne perçois pas "les hommes" comme des queutars sans âme, sinon je ne serais pas ici. Je n'attaque pas un genre mais bien des comportements d'être humains très souvent dotés d'un pénis, pulsions de base pourtant contrôlables avec un peu de respect, d'éducation et de considération. J'avais en effet remarqué vos autres réactions sur d'autres sujets du forum, et vous avez un schéma répétitif de personne qui se plaint beaucoup de sa condition d'homme soumis, comme d'une malédiction de naissance : c'est possible. Mais il y a cette propention à accuser toujours plus ou moins directement la gente féminine. Votre manière de dire les choses sans les dire, c'est une manière de vous dédouaner quand quelqu'un vous en fait la remarque en prétextant qu'on "interprète vos propos" alors qu'ils sont précisément faits pour l'être.  Je ne vais pas dire à quel mot cette définition me fait penser, mais j'y pense très fortement, et vous me paraissez assez antipathique à cause de votre position victimaire.  Mais c'est vrai que je ne vous connais pas, c'est l'impression que j'ai et elle est peut-être injuste, peut-être pas. Et très franchement, vous pouvez penser ce que vous voulez de moi, je m'en fiche :) Je ne vais pas vous dire en quoi ma réponse était respectueuse ou non, mais je pense qu'il faut savoir aussi entendre les avis divergeants et les contradictions, sans pour autant les considérer comme des attaques systématiques. Voilà pour celles et ceux qui voulaient voir comment ça peut être en s/s, vous pouvez prendre des notes ;) ça aura peut-être l'avantage de faire exception à la règle.
Bonjour,  Je connais très bien cet univers que j'ai découvert avec mon ex compagne. Nous avons découvert le DDLG ensemble et je ne me vois pas dans une relation sans cet agrément. J'ai toujours aimé apporter du soutien et beaucoup de tendresse envers ma Little. Je suis un Daddy qui aime prendre soin, mais aussi m'occuper de choses d'adulte tout en la voyant s'émerveiller dans son monde remplie de licorne.  En réalité j'ai vécu 9 ans avec ma compagne qui souffre d'un TDAH. Se trouble à forger avec le temps cette relation Daddy/Little. Je lui mettais un place un planning, je l'aider dans l'administration. C'était une grande enfant. Elle était émerveillé de tout et n'importe quoi quand on se promenait. J'étais comme un second père en réalité. Cette relation est donc venu naturellement et nous jouions avec sa régression d'âge. J'y ai pris goût et je comprends totalement cet attrait au DDLG dont je pourrais désormais difficilement me passer.
Good Girl : "d'une certaine façon la femme amoureuse que je suis est profondément, passionément amoureuse de l'homme qu'elle a choisi, et que ça ne changera pas, j'en suis convaincue. Le BDSM m'offre certes une approche différente d'une relation, de la connaissance de moi-même, mais la relation, vanille ou fraise, sera intense si je la veux intense... Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire EviDanse?"   Je plussoie et comprends complètement où vous voulez en venir.  En effet, on ne change pas qui on est fondamentalement. Qu'on soit dans le vanille ou dans le bdsm.  Je pense que ce qui change (pour ma part) c'est ma capacité à être moi-même avec l'Autre.  Dans le vanille de manière générale, sans cacher tous les pans de ma personnalité, je reste en surface dans les échanges et les rapports. Et dans le BDSM, je me permets de creuser, de me dévoiler. J'ai moins peur du jugement et donc, j'ai la sensation d'être aimée pleinement, dans tous les aspects de celle que je suis.  En couple, j'ai découvert qui j'étais sur le tard... avec les dommages que ça a pu créer. Une séparation douleureuse, la culpabilité parentale et pour l'autre, la reconstruction de tout le monde petit à petit...  Donc pas simple.   " Pour ce qui est de s'en remettre...  Outre le "classic shit" du temps, eh bien... on s'occuppe, on lit, on se balade.. On se reconnecte à soi-même, on ramasse les briques cassées et on refait un sceau de ciment, on apprend à s'accepter de nouveau, et surtout......... "    Oh ce temps qui est la réponse à presque tout et à raison... j'ai parfois envie de le casser, de le froisser et lui dire d'aller voir ailleurs si j'y suis :) Mais il a son importance il est vrai.  Mais il ne peut faire son travail si on stagne soit même.  C'est un peu pour ça que j'ai crée ce sujet.  Pour savoir comment chacun(e) passe le temps, l'occupe, le nourrit pour avancer dans la douleur.    " on apprend à accepter d'être aimée à nouveau...^^"  Je vais y répondre plus bas en parlant de moi à mon tour.  Merci Good Girl de votre retour !! 
Je sais que certains utilisent des protocoles plus ou moins poussés ( exemple : les doms se disent salutations pour se dirent bonjour ou quand un Dom parlent à une s ils disent mes respects.) D'ou ça vient ? je sais pas. D'autres se limitent au vous qu'importe le statut. Grosso merdo chacun fait sa sauce. "(Est-ce une différence, si elle existe pour vous, qui vient directement des statuts (D/S) ou des genres-sexes (H/F...) ? Les soumis hommes ont-ils le même sens du dialogue que les personnes soumises femmes ? ...  ... )" concernant les hommes "soumis"  là on entre dans un sujet particulier ils sont les plus nombreux et surtout ceux qui communiquent le moins bien je mets soumis entre guilllemet car beaucoup ne sont pas vraiment soumis.D'ailleurs se sont eux qui foncent dans mes dm/pm/pv pour m'appeller Maitre, qui ne lisent pas les profils, qui envoi des photos de cul et bite et qui après un bonjour m'envoi une liste de pratique souhaitée.