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J'aime la question... Qu'est-ce qu'un soumis ou une soumise...Oui, bien sûr, il y aura autant de réponse que de Maîtres ou de Maîtresse...Cependant:Définir un soumis revient pour moi à définir la Maîtresse:Plus Elle sera puissante et sûr d'elle même, plus son soumis devra être à son image: Puissant et sûr de lui.Cela me fais souvent sourire quand en passant sur les profils de Dominante, je vois des recherche du genre:"recherche petit chien docile", ou bien "recherche larbin ou larve"...Ces dominantes sont donc à l'image de ce qu'elle recherche: Un homme déja si faible et si fragile qu'elle n'auront pas de mal à en prendre le contrôle: Il est bien moins risqué de prendre un caniche qu'un doberman.Mais chacun doit pouvoir trouver "chaussure à son pied", et loin de moi l'envie de juger, ceci n'est qu'un constat.Je ne peux donc que donner ma vision de la soumission:Etre soumis, c'est avant tout avoir fait la paix avec soi-même et avoir accepté ses propres envies. Ensuite, c'est être fiers de ce que l'on est. Fiers d'oser vivre ses pulsions et de se jouer des codes moraux et sociaux. Et enfin, bien sûr, être soumis, c'est avoir le bonheur de pouvoir être fiers de sa Maîtresse: Parce qu'elle est cette personne rare et forte qui est parvenu à DOMINER le fauve en soi....Dominer de prend tout son sens que s'il y a quelque chose à conquérir... Se soumettre, c'est la même chose, cela ne prend son sens et sa valeur que si cette soumission n'était pas accessible à la première venue et qu'elle signifie vraiment la suprématie de celle qui nous possède.
Je partage totalement ce qui est dit,je complète aussi ... lorsque la personne soumise échoue la responsabilité de cet échec revient au Dominant qui n'a pas su l'accompagner ni lui donner les moyens de réussir.Il en va de même lors de l'organisation d'une soirée par un Dominant. IL est le seul responsable de l'hatitude des personnes qu'il convie dans son antre. Il doit donc répondre aussi des actes de ses invités vis à vis des autres personnes présentes.Miss Tery a dit...S'excuser des erreurs d'un subordonné est un acte de management majeur (ceux qui ne le font pas, ou rejettent la faute sur l'exécutant ne sont que des chefaillons)S'excuser pour les erreurs d'une tierce personne n'est donc pas un acte de soumission mais de responsabilité...Par contre la démarche "bouc émissaire" est malsaine et est effectivement perçue comme un acte de domination, mais c'est juste un abus. Une domination malsaine et non une domination responsable et consensuelle... Sauf masochisme psychique de la part de la personne soumise... Je viens donc de "définir" selon moi ce que n'est pas une personne soumise... :DEt pour cette question là, je ne sais que ce que doit être mon homme soumis pour me plaire... Car dans notre contexte c'est surement plus une question de goût que 'autre chose et les goûts et les couleurs ça ne se discute pas !