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Ne cherchez pas plus loin, voici une excellente vidéo d'Alex CONTART .... ou je retrouve la philosophie que je defends depuis de nombreuses années :
https://www.youtube.com/watch?v=Tqq-h_g2UxU
Je ne connais pas de livres sur le sujet mais si c'est pour initié ta femme il faut apprendre sur le site tat commence par quelque fessée pour voir comment elle réagit
C'est le clochard qui laisse croire à la belle brat qu'elle aura le fin mot du spaghetto et puis .......
C
Bonjour, un petit apparté du fond de ma grotte.
Je n'ai jamais vraiment bien compris cette notion de "brat"...D'ailleurs une fois où des soumises donnaient leurs définitions propres, pas une seule définition ne se ressemblait.
Qu'on soit chipie ou taquine comme évoqué, je peux le comprendre, c'est propre à chacun dans une relation, c'est une question de caractères... Ce que je ne comprends pas, c'est qu'on puisse en faire un STATUT à part entière dans une pratique bdsm...
C'est personnel mais ça ne rentre absolument pas dans mon schéma d'une relation d/s, j'y vois les prémices ou un potentiel inversement des rôles (pour faire simple, ça serait sûrement trop long pour rentrer dans le détail)
@Luxurésens : Par rapport à votre question initiale, je pense que la réponse est ailleurs. Ce n'est pas tant pourquoi ces hommes là se comportent ainsi que le POURQUOI j'ai eu affaire à ces hommes et aux résultats que vous décrivez ?
Le souci principal est de devoir faire des rencontres via ces plateformes numériques et tout ce qui en découle :
- Passer des semaines, voire des mois à faire connaissance à distance avant d'envisager une rencontre, de se parler, se sentir, se ressentir, se regarder...
- Envisager une relation avec une personne qui habite à des centaines de km et où les rencontres ne se feront que ponctuellement
- Être inscrit ici depuis un certain temps n'aide pas :
1/ la plupart des personnes sur ces plateformes sont (cocher la case souhaitée / plusieurs réponses possibles 😂/ vous pouvez mettre le masculin ET le féminin comme genres ) : des fantasmeurs, des branleurs, des cons incapables de comprendre que l'Autre mérite le respect , de beaux parleurs derrière leur écran...etc etc...Les pires sont celles et ceux assez intelligents pour avoir bien cerné les "codes du bdsm" et qui se parent de leurs plus beaux atouts (le fond lui n'a pas changé hein) etc etc...j'écourte la liste, on en aurait pour des jours sinon.
2/ Je faisais remarquer à une amie que souvent c'était le manque, la frustration ou la solitude qui au final guidaient ses choix. Je crois qu'au bout d'un moment, personne n'y échappe...ou presque.
Il y a sûrement quelques exceptions de personnes qui se sont trouvées et dont la relation durent encore...mais ce sont bien des exceptions 😉
D'ailleurs pour étayer un peu mon propos, il suffit de constater que les soumises ayant vécu des expériences douloureuses voire malsaines et traumatisantes sont pléthores, c'est même malheureusement un "marronnier" dans le bdsm 2.0 .Plutôt que de questionner son propre choix ou le comportement d'autrui, je pense qu'il serait bon de questionner LES MODALITÉS de ces rencontres.
Je n'ai pas fait d'enquêtes mais ma main à couper que souvent cela a commencé sur une plateforme numérique, quelle qu'elle soit... (Et par pitié, qu'on me parle pas des munchs...soit on vous dit "on rencontre des vrais gens" /sous entendus "ils sont sains"... je pouffe/...soit on vous dit en même temps "c'est pas fait pour pécho" 😉)
En espérant que je n'ai pas trop digressé et que cela puisse alimenter la réflexion. PS : la mise en page est toujours aussi catastrophique ici !