Merci beaucoup pour cet éclairage. J'apprécie !!!
Pour ce qui est d'inverser les rôles, elle y est 100% opposée car elle est "naturellement" ultra soumise.
Reste l'idée d'incompatibilité, j'y avais pensé. Mais notre complicité est telle pour TOUT le reste de la vie que j'ai du mal à l'envisager.
Elle n'arrête pas de me dire que mes séances sont bien, c'est vraiment dans ma tête que cela se passe. Peut-être que je le mets moi-même trop de pression.
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Oui, ça peut être ça, et paradoxalement précisément si la relation est très belle, que vous y tenez beaucoup, peut-être vous mettez-vous la barre trop haut pour être un amant/dominateur extraordinaire?
Cette histoire "d'incompatibilité", pour moi c'est cette sensation bizarre que la qualité de ce que je sais pouvoir être ou proposer est comme "désactivée" dans un contexte particulier... Il peut m'arriver de me sentir complètement nul, à un endroit et un moment donné, sans vraiment comprendre pourquoi. Avec l'expérience j'ai pu constater que ce n'est pas de ma faute, mais plutôt une sorte de responsabilité partagée entre toutes les personnes présentes, qui s'attribuent inconsciemment des rôles... Comme si en quelque sorte cette situation "n'avait pas besoin de moi". D'où l'idée de lâcher prise: ça peut signifier fuir la situation, mais aussi simplement renoncer à la posture de guidance, comme exprimé plus haut; ou alors, peut-être respirer à fond, ralentir à l'extrême, en tout cas déplacer certains paramètres pour se retrouver à peu près sur ses pattes. Et puis parler, partager. Vécue en compagnie d'une personne de confiance, une situation de vulnérabilité peut devenir une vraie mine d'informations sur soi...
Bonjour, l'appréhension ou ce que vous appelez trac que vous ressentez c'est plutot sain. De mon point de vue, je dirais même que c'est quand on ne se pose pas de question que cela n'est pas normal. A chaque nouvelle relation tout se remet en cause, ce qui fonctionne avec une n'est pas forcément efficace avec l'autre. Je pense qu'il vous faut prendre le temps de découvrir le pourquoi ce questionnement et ensuite vous trouverez une solution pour y remédier. Par expérience je dirais que pour installer une relation D/s qui tienne la route dans le temps il faut presque deux ans de construction. Ce que vous appellez trac, ce sont des doutes, ils sont là parce que vous avez besoin de mieux la comprendre, à vous d'investiguer. Quand vous aurez passez cette étape et que vous aurez adapté votre fonctionnement votre "trac" disparaitra comme par magie, sourire.
Dsment rph
Bonjour,
Peut être que c'est la première fois que vous doutez face à une personne expérimentée. Vous pensez qu'elle en sait plus que vous. Vous avez des doutes sur une séance ? ou comment l'aborder ?
Bonjour toulmonde!
Ce qui m'interpelle dans votre tout premier message César, et qui pourrait être un début d'explication....
"visiblement aussi amoureuse de moi que moi d'elle. Bref, notre relation vanille est top"
Quand bien même vous précisez que vous aimiez également vos précédentes soumises, je pense que si cette relation est une relation qui se construit également sur le plan "vanille" , avec peut être des projets; eh bien, vous ne pouvez empêcher une certaine porosité entre toutes les dimensions.
Je ne suis pas experte, mais j'imagine que dans une relation basée uniquement sur des séances, votre contrôle de vous -même serait permanent, et total.
Mais dans une relation où il y a du quotidien, les quelques moments où vous n'êtes pas en mode D/s peuvent sembler incongrus, se pourrait-il qu'une infîme partie de votre "trac" vienne de là? Toutefois, ça n'enlève rien, je suis sûre, à votre posture de dominant dans les yeux de votre soumise.
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Bonjour moi dois l'être sûrement car je ressens du plaisir avec la douleur j'ai commencé par avoir du plaisir en me faisant pincer en tournant mes tétons jusqu'à me mettre à genoux devant ma domina puis maintenant elle me donne des coups de pieds ou des gifles dans les parties intime je me retrouve au sol à me tordre de douleur
Je ne sais pas si je suis maso, mais j'ai rencontré des dominas qui prenaient du plaisir à me sodomiser avec des godes. C'était humiliant surtout qu'elles me traitaient de pd, de lopette, d'enculé, mais je pense que j'aimais cela même si parfois c'était douloureux quand les godes étaient un peu gros.
Merci pour ce message rassurant.
Elle m'assure qu'elle adore nos séances, même lorsque j'ai moi même un doute, en effet.
Vous avez les mots justes pour décrire exactement ce que je ressens.
Merci beaucoup pour votre analyse qui m'aide vraiment beaucoup.