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Derniers posts du forum
Oui c'est exact. Ma remarque était générale, et ne s'adressait à personne en particulier, même si je rebondissais opportunément sur votre commentaire. Désolée pour le possible malentendu.
Ceci étant dit, c'est un sujet important qu'il faudra certainement prendre en compte, quand on voit que des personnes deviennent affectivement dépendantes d'IA et en arrivent à se suicider sur les conseils d'une machine... Faudra-t'il interdire l'IA aux personnes psychologiquement fragiles ?
Bonjour Mael.
Question directe ! L'âme existe peut-être (les 21 grammes qui disparaissent de la masse d'un corps) mais elle ne serait à ma réflexion que la liaison énergétique (propre à chacun) entre le corps physique et le fonctionnement psychique. Je ne crois pas en la réincarnation. Je pense toutefois que la mémoire d'un individu étant répartie dans sa composition atomique, celle-ci se disperse finalement et se dissoud dans le Tout (je crois que ça disparait mais Edgar Cayce, par exemple, disait aller chercher ses visions dans cette mémoire universelle). Alors oui, "la mort et plouf... plus rien", le souvenir ne restant que chez ceux qui vivent un peu plus longtemps....
De fait, on peut considèrer la Vie différemment, mener son existence autrement.
Cordialement
Amanxiame
Les pratiques BDSM de type psychologique, qui impliquent des dynamiques de domination, de soumission ou de jeu de rôle émotionnel, peuvent être intenses et nécessitent une grande prudence. Si elles peuvent être bénéfiques pour certaines personnes, elles comportent aussi des contre-indications ou des risques dans certains cas. Voici les principales :
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1. Troubles psychologiques préexistants
Traumatismes non résolus : Pour une personne ayant subi des abus, du harcèlement ou des violences psychologiques, certains scénarios BDSM (comme l'humiliation ou la soumission extrême) peuvent réactiver des souvenirs douloureux ou exacerber des symptômes de stress post-traumatique.
Dépression sévère : Les pratiques impliquant des dynamiques émotionnelles fortes (par exemple, humiliation ou dévalorisation) peuvent accentuer des sentiments de tristesse, d'inadéquation ou de désespoir.
Anxiété généralisée : Les jeux impliquant une perte de contrôle ou des tensions émotionnelles pourraient aggraver les symptômes d'anxiété chez certaines personnes.
Troubles de la personnalité : Les personnes présentant des troubles comme le trouble borderline ou narcissique peuvent trouver difficile de maintenir les limites émotionnelles, ce qui pourrait rendre ces pratiques risquées.
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2. Manque de préparation ou de compréhension
Absence de consentement clair : Si les limites ne sont pas établies ou si une personne se sent forcée, cela peut avoir des impacts psychologiques graves.
Mauvaise gestion des mots de sécurité : Ne pas respecter un mot de sécurité ou pousser les limites sans consentement explicite peut provoquer des blessures émotionnelles profondes.
Difficulté à se détacher des rôles : Les dynamiques psychologiques (domination, humiliation, etc.) peuvent parfois déborder dans la vie quotidienne, créant des conflits ou des malaises si elles ne sont pas strictement séparées des interactions "réelles".
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3. Facteurs de personnalité ou de contexte
Faible estime de soi : Si une personne souffre déjà d'une faible estime d'elle-même, des pratiques comme l'humiliation pourraient renforcer cette perception négative au lieu d'offrir un espace sécurisé pour l'explorer.
Codépendance : Dans les relations où une personne est déjà excessivement dépendante émotionnellement, le BDSM psychologique pourrait renforcer des dynamiques malsaines.
Manque de confiance mutuelle : Les jeux psychologiques nécessitent un haut degré de confiance. Si celle-ci est absente ou fragile, cela peut entraîner des tensions ou des dommages émotionnels.
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4. Facteurs sociaux ou environnementaux
Stigmatisation et culpabilité : Certaines personnes peuvent ressentir de la honte ou de la culpabilité après avoir participé à des pratiques BDSM psychologiques, particulièrement si elles ont intériorisé des normes sociales négatives à ce sujet.
Isolement : Les pratiquants qui ne peuvent pas parler de leurs expériences ou trouver un soutien adéquat peuvent souffrir d'isolement émotionnel.
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5. Dépendance émotionnelle ou dissociation
Dépendance au rôle : Une personne soumise peut avoir du mal à exister en dehors de son rôle, perdant le sens de sa propre identité.
Dissociation : Les pratiques intenses peuvent provoquer des états de dissociation (perte de contact avec la réalité), particulièrement chez des personnes ayant déjà des antécédents de dissociation.
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Recommandations pour éviter les risques
Évaluation personnelle : Se poser des questions sur ses motivations, ses limites et ses éventuelles vulnérabilités psychologiques avant de se lancer dans ces pratiques.
Communication constante : Échanger régulièrement avec le partenaire pour s'assurer que tout se passe bien.
Encadrement sécurisé : Pratiquer avec un partenaire expérimenté ou se renseigner dans des cercles spécialisés peut réduire les risques.
Soutien professionnel : Consulter un thérapeute spécialisé si des doutes ou des problèmes émotionnels surgissent avant, pendant ou après les pratiques.
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Conclusion
Les pratiques BDSM psychologiques doivent être abordées avec une grande prudence, surtout chez les personnes ayant des vulnérabilités émotionnelles. Elles peuvent être enrichissantes, mais elles nécessitent un cadre consensuel, un respect strict des limites, et une communication ouverte pour éviter des répercussions négatives.
Toujours les conseils pris sur chatgpt pour les contre indications