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Bonjour ⛓️Xandra🐾🫦, Je ne vais pas ré-expliquer la différence entre Knife-play et Blood-play, cela à déjà été très bien fait par Arkhad... Pour ma part j'utilise désormais des couteaux thailandais de marque "Kiwi" (j'ai commencé il y a 4 ans avec des couteaux plus classiques, sortis du tiroir de la cuisine), ils ont des lames très fines, sont légers et maniables... On peut les trouver facilement chez les bons épiciers asiatiques pour un prix vraiment raisonnable (nettement moins cher que les modèles japonais, et tout aussi tranchants), vendus en général déjà parfaitement aiguisés, après il suffit de les entretenir avec une pierre de temps à autres... Justement sur ce dernier point, j'aime à les utiliser bien aiguisés, cela demande évidemment une précaution et une concentration supplémentaire dans l'acte, mais au delà des sensations "physiques", ce qui m'intéresse aussi dans l'usage des couteaux, c'est d'actionner des leviers liés à la peur à travers cela, et par association, développé une confiance aigue avec son/sa partenaire... Pour ce faire il faut être prêt à danser un tant soit peu sur le fil du rasoir donc... (Le risque zero n'existe pas de toutes façons dans les pratiques bdsm, prétendre le contraire c'est manquer de lucidité il me semble, et au contraire, être dans cette perception n'encourage pas à prendre les précautions nécéssaires je pense... Dans mon cas la trousse à pharmacie n'est jamais loin, même si je n'ai jamais eu besoin de l'ouvrir durant une séance... Qui plus est, en cas d'accident, une coupure faite avec une lame mal entretenue ça pourrait être pire, en un sens, mieux vaut que ce soit propre et net !) Dans la même logique, j'ai un faible particulier pour le plus grand des deux, il a un impact psychologique tout spécifique... Le petit est plus maniable dirons nous, mais le grand l'est également, et il faut resté concentré avec l'un ou l'autre quoiqu'il en soit... Je les utilise après le wax play comme beaucoup (avant et pendant aussi, à dire vrai), et j'aime faire danser les lames à fleur de peau, d'une manière que je considère comme sensuelle/érotique... Je commence aussi à me mettre au marquage avec la pointe (sans aller jusqu'au sang), pour le coup, je pense que dans cette pratique spécifique, plus je vais vouloir aller vers des motifs précis, plus je m'orienterais vers l'usage du petit...
Il faut arrêter de répandre des clichés qui sont mauvais pour tout le monde.
On parle là de problèmes qui m'ont plus l'air de relever de troubles du comportement alimentaire, un dominant n'est pas un thérapeute, et, si son rôle est aussi de soutenir l'autre, comme c'est le rôle d'un conjoint ou d'une amie, d'ailleurs, c'est à des professionnels de traiter le problème.
Il y a les droits, mais beaucoups oublient les devoirs envers son/sa soum.
Cela implique qu'un ou une Dom doit protéger son/sa soum, y compris de lui/elle -même si nécessaire.
C'est ce qui fait toute la différence entre domination et le simple mépris.
Sans jouer le rôle de thérapeute, le maitre a le devoir de veiller sur l'integrité physique et psychique de sa soumise ! Bien que votre "comportement alimentaire" soit tres personnel, il ne devrait pas échapper à sa vigilance et ainsi agir afin de vous apporter l'appui necessaire pour prendre la bonne decision.... l'ecoute est au centre de la relation. En clair, pour moi, il ne s'agit pas d'ingérence !