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La domination n'existe que parce que les soumis existent, a le vérité, un dominateur, c une dominatrice sont les catalyseurs des envies des soumis (es), sans soumis, point de domination car on ne peut que de manière exceptionnelle transformer une personne en soumis(e), ce qu'on appelle une licorne😉
Il y a toujours un "risque" dans ce genre de relation et c'est presque là l'intérêt de la chose, mais le consentement éclairé n'est pas sensé être remis en cause. Une femme ou un homme soumis qui ne dirait pas non sans montrer de signe extérieur de rejet c'est surtout un manque de compréhension et d'intimité entre le dominant et sa/son soumis. J'imagine que ça peut arriver le but étant de le limiter le plus possible. Par contre une/un soumis qui demande d'arrêter de manière claire sans que cela soit respecté c'est un problème. Ca s'apparente à un v*ol / une torture ou si on veut être gentil, un manque de respect sans équivoque. Je pense que dans la relation BDSM c'est, pour celui qui se soumet, le plaisir de laisser totalement libre court aux envies du Dominant, même les plus "horribles". Mais dans un autre temps c'est justement cette "peur" de se laisser à l'autre, avec un risque, et de ne pas y être confronté réellement. Pour faire simple une soumise qui indique "il n'y a aucune limite, tu peux tout faire quoi que je dise", aura peut-être envie qu'il n'y ait aucune limite mais il est aussi très probable qu'elle ait envie de ressentir la puissance et le contrôle de son Maître tout en sachant au fond que son Maître sera "clément" et ne la détruira pas. C'est s'abandonner, être "faible", tout en se sentant "important" pour son Maître, en sécurité malgré le risque.