A propos du groupe
Julian
Créateur

Pour tous ceux qui aiment jouer avec leur sperme seul ou avec leurs partenaires. 
 

epaisse29
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MaitreTrad
Très jolie bouche sublimé par du sperme !!
J'aime 17/04/25
isabel38
superbe ! Le graal de la soumise ou du soumis !
J'aime 17/04/25
SwitchLoicbidu59
Bonjour, oui c'est clair recevoir un bonne dose en plain visage et attendre que la gravité joue son rôle, cette sensation humiliante d'avoir la semence qui coule jusque dans la bouche...
J'aime 18/04/25
que du bonheur,l'avaler le gouter ets pour moi un pliasir sublime.
J'aime 18/04/25
Caligula
Quelqu'un pouraît-il lui donner une petite cuillière pour qu'elle mange son yahourt plus proprement la prochaine fois?!😅
J'aime 18/04/25
Caligula
Sans déconner prends une paille bordel!!!
J'aime 18/04/25
Cmoi3434
Hum je l'embrasserai bien
J'aime 19/04/25
Obscure Claire
et venir l'embrasser goulument hi hi !1f60b.png
J'aime 20/04/25
Cmoi3434
Faut avouer que ça donne envie 🤤 c'est tellement excitant le sperme 🥵
J'aime 20/04/25
Yan Dom
Je me prénomme Gabriel, j’ai 30 ans depuis un mois, gay passif, 1,72m pour 68kg, cheveux châtain clair, bouclés et semi-longs, légèrement musclé sans excès, monté correctement, poils pubiens et testicules rasés tous les deux jours. Je suis employé de banque dans le 8e arrondissement, Je dois reconnaître que je suis assez « exhibe » et n’hésite pas à profiter de mon charme et de mon corps bien foutu pour attirer le regard de la gent masculine dans des lieux publics et parfois en petit comité entre potes. J’adore par exemple, très souvent me balader en short large ou pantalon de jogging en free-balling, c’est à dire sans sous-vêtement… les voyeurs ne s’y trompent pas. Certains de mes potes me considèrent à juste titre comme une vraie salope allumeuse, j’accepte cette définition qui me ressemble bien et surtout cette pratique est super excitante et me fout la trique pratiquement à chaque fois que je le pratique. J’ai un copain régulier de 33 ans, bien monté et uniquement actif, on se voit au minimum trois fois par semaine ou chez moi, ou chez lui et assez souvent le vendredi soir au sauna gay pour faire des rencontres et baiser en groupes dans le hammam. Le récit que je retrace maintenant s’est déroulé il y a moins d’un an, lorsque je venais de fêter mes 29 ans. Pour satisfaire l’un de mes fantasmes, j’avais décidé de proposer mes services pour arrondir mes fins de mois, comme « homme de ménage » durant le week-end pour des couples gay ou hommes seuls. J’avais passé plusieurs fois une annonce sur mon site gay préféré ou j’avais écrit : « Jeune homme gay de 29 ans, je vous propose mes services d’homme de ménage en week-end pour petits travaux ménagers à domicile, je m’adapterai à vos demandes et dans la tenue qui vous plaira, appelez-moi au 06-…. » Dés ma première annonce j’ai reçu une dizaine de coups de fil, certains me considéraient uniquement comme une pute à baiser chez eux, mais d’autres étaient plus dans le fantasme d’avoir un jeunot à leur service pour le mater et le caresser durant ses travaux ménagers. C’est bien cette catégorie d’employeur que je visais, mais je ne voulais pas me retrouver chez des vieux vicelards en quête de viande fraiche masculine, j’ai donc sélectionné mon « employeur » assez facilement après avoir discuté avec chacun d’entre eux. Ma première « prestation » fut la bonne, c’était un beau mâle d’une quarantaine d’années légèrement grisonnant, gay, élégant, c’était un médecin généraliste, il vivait seul dans un bel appartement du XIIe arrondissement de Paris, il se prénommait Aurélien. Son intérieur ne cachait absolument rien de son attirance pour le corps des hommes, aux murs un nombre important de dessins au fusain représentant de jeunes éphèbes souvent fortement dénudés voire totalement nus dans des positions très suggestives, des sculptures de plâtre ou des bronzes disposés sur ses meubles de belle facture représentant uniquement des corps d’hommes nus laissant apparaître leurs organes génitaux et des reproductions de lithographies de Cocteau dans son salon, puis dans sa chambre quelques sculptures de bois représentant des pénis de toutes tailles en érection. Il m’avait briffé sur son orientation sexuelle… Là, je n’avais plus de doute ! Il m’avait avoué rapidement que je lui plaisais beaucoup, que j’avais du charme, que mon corps correspondait à ses préférences, qu’il craquait devant ma jeunesse arrogante d’érotisme et que ma recherche d’emploi de week-end le faisait fantasmer. « J’attends de toi, quelques travaux de tenue de mon appartement, ménage, repassage et service à table ou au salon lorsque je reçois mes amis, j’apprécierai que tes tenues soient toujours sexy et suggestives, qu’elles mettent ton beau corps en valeur, je ne te cacherai pas que ta présence ici doit être un véritable plaisir partagé entre toi, moi et mes amis, autrement dit je me permettrai de te mater lorsque tu œuvreras durant tes tâches ménagères ou d’entretien et je ne m’interdis pas de te caresser pour répondre à mes pulsions homosexuelles, libre à toi de repousser mes gestes s’ils te paraissent trop osés ou non souhaités, ou comme je le souhaite de temps en temps les accueillir avec bienveillance et complicité, ceci sera aussi valable si tu l’acceptes envers mes amis gays que je reçois très souvent chez moi ! » Cette mise au point étant déclinée clairement et mes conditions financières très raisonnables, j’acceptai sans aucune restriction ce « contrat moral » aussi bien envers lui que ses amis. Aurélien avait ajouté qu’il apprécierait de m’acheter lui-même mes tenues d’intérieur, afin qu’elles répondent à ses fantasmes vestimentaires… Je n’y voyais aucun inconvénient, je lui fournis alors mes mensurations et tailles adéquates afin qu’il fasse ses achats pour le samedi suivant et lui promis que j’obéirai systématiquement à ses choix vestimentaires sans jamais les discuter. Il est vrai que lorsque j’avais décidé de proposer mes services particuliers sur mes annonces, je ne savais pas trop ou j’allais, j’avais seulement lu quelques récits à ce sujet qui m’avaient émoustillé pour ne pas dire fait bander rien qu’à l’idée de servir en tenue sexy et soumis à un maître porté sur la gent masculine… J’allais enfin vivre pleinement cette expérience. Durant la semaine qui suivit notre entrevue avec Aurélien, je n’ai cessé de m’imaginer en petite tenue au service de mon maître quarantenaire, plusieurs fois dans mon boulot à la banque je me suis surpris à me caresser le sexe tout en pianotant sur mon ordi en pensant à lui… il ne m’était pas toujours aisé de dissimuler la tension de mon pantalon entouré de mes collègues, j’attendais la fin de semaine et surtout le samedi matin avec une rare impatience. Le vendredi soir j’appelai Aurélien pour savoir si mon service était toujours attendu, il me confirma avec une certaine fébrilité qu’il n’attendait que ça et qu’il était impatient de me recevoir. Il me confirma avoir fait les achats pour mes tenues, je n’aurai selon lui que l’embarras du choix. Le lendemain à 8h30 me voici à sa porte, je sonne, il me reçoit pieds nus et en peignoir, il m’embrasse discrètement sur une joue et m’invite à entrer, il me propose de partager le petit déjeuner avec lui. Autour du café et des croissants, nous discutons de choses et d’autres, puis il m’invite à venir découvrir ses achats me concernant dans sa chambre d’amis…. Il y en avait plein le lit, des shorts tissus et cuir, des tee-shirts, des crop-tops, des débardeurs, des bodies, des maillots de bain, des strings, des boxers, des harnais… on se serait cru dans une boutique spécialisée du Marais, il y en avait pour une fortune d’étalé sur ce lit king-size. Il me dit : « Voilà tout est pour toi Gabriel, tu vas pouvoir sublimer ton corps jeune et viril, et m’apporter le plaisir de te mater sans restriction, la salle de bain destinée à mes hôtes est à ta disposition, la seule chose que j’attends de toi est de toujours laisser la porte entrouverte lorsque tu y seras ». Le coquin s’autorisera sans aucun doute de temps à autre, de se rincer l’œil lorsque je serai en nudité totale sous la douche ou devant le miroir du lavabo… J’étais aligné sur ce deal de voyeurisme sans restriction… Qui n’avait rien de déplaisant pour moi, bien au contraire. Aujourd’hui, me dit-il, je te demande de mettre ce débardeur blanc et ce short satiné rose, tu choisiras librement ton sous-vêtement si tu souhaites en mette un. Quelques instants plus tard me voici face à lui dans cette tenue estivale, le débardeur fait bien ressortir mes épaules, mes abdos et mes tétons quant au short, ce coquin m’avait pris la taille mini qui moulait exagérément mon anatomie trop serrée, j’avais mis un jock-strap CK dessous. « Wouahhh tu es trop beau mon garçon ! », il s’approche et me caresse les fesses en guise de validation de ma tenue… Tu me plais beaucoup ! Ton petit cul me fascine, tu ne peux pas savoir combien la présence d’un jeune minet beau comme un ange chez moi me transcende ! » « Merci c’est gentil » lui répondis-je avec un sourire complice. Il me donna les premières instructions, ranger la cuisine, mettre les couverts au lave-vaisselle, passer le balai et ensuite remettre en ordre le salon et épousseter les meubles. Puis il vira son peignoir devant moi, je le découvris bien bâti et bien bronzé en shorty-dentelles gris foncé semi-transparent, ce qui me permis de deviner sa belle paire de fesses et sa raie noire bien visible, comme il s’était retourné trop rapidement je n’avais pu voir que très furtivement son paquet qui me sembla de belle taille. Il disparut dans sa salle d’eau en laissant la porte entrouverte… le coquin ! Je commençai ma fonction d’employé de maison en attaquant la cuisine… Ça me faisait tout drôle de faire ces taches chez un inconnu, en tenue on ne peut plus provocante, j’étais sur mon petit nuage… J’allais pouvoir jouer mon rôle de pédale allumeuse face à ce beau toubib. Après une demi-heure, il revint habillé d’un jean blanc et une chemisette bleue très élégant, il se mit le long de l’huisserie de la porte en prenant un plaisir non dissimulé à me mater, moi avec mon côté « exhibe » je n’hésitais pas à amplifier mes mouvements de fesses, de me baisser en lui offrant la vue de mon petit cul de lope ou en me passant de façon anodine la main sur mon anatomie bien moulée dans ce short trop court. Lorsque je passais au salon, lui s’était installé dans son fauteuil avec un bouquin et moi j’œuvrais à faire la petite main tout en me trémoussant discrètement, lorsque je passais à proximité de son fauteuil, je sentais le dos de sa main me frôler les cuisses, je ne réagissais pas, mais profitais de ses effleurements avec délectation. Décidemment j’adorais ce job de week-end. Il me demanda en fin de matinée de donner un coup dans sa salle d’eau, ce que je fis dans la foulée, ce coquin avait laissé son shorty-dentelles bien en évidence sur le bord du lavabo et son peignoir au sol, je me mis à quatre pattes pour nettoyer le bac de la douche à l’italienne et m’aperçu qu’il était en train de mater mon petit cul, évidemment j’en profitai pour remuer mon fessier telle une chienne en chaleur, il ne tarda pas à se passer la main sur la braguette en guise de satisfaction. Il me demanda si son shorty-dentelles me plaisais ! Je lui confirmai que j’aimais ce type de sous-vêtement, que moi-même je portais souvent un shorty ou en string-dentelles, j’ajoutais qu’il le portait à la perfection et que la semi transparence de cette matière plutôt féminine mettait en valeur ses belles fesses imberbes. Il apprécia mon commentaire élogieux et me demanda si j’étais capable de renifler celui qu’il avait porté toute la nuit ? Un peu surpris par cette question improbable mais non moins excitante, je lui répondis que oui, j’aimerai ressentir son odeur de mâle au travers de la dentelle, ce que je fis sans me faire prier… Puis il s’approcha de moi me serra de très près et on s’est mis à renifler son shorty tous les deux avec de grandes inspirations… Il me remercia en me passant la main dans ma touffe de cheveux épaisse et bouclée : « Merci je t’adore, tu me plais beaucoup Gabriel, tu peux le mettre au sale maintenant, devine ce que je porte ce matin sous mon Jean ? » Toujours surpris par ses questions improbables : « Je ne sais pas, un boxer ? » Non, ouvre ma braguette et regarde. Alors là, il attaquait fort mon patron... On n’était lus dans les tâches ménagères ! Je le regardai un peu hébété et surpris… « Vas-y mon garçon, puisque je te le demande » me dit-il avec un grand sourire. Je m’accroupi donc à ses pieds, et entrepris de baisser sa fermeture éclair lentement, de dégrafer sa ceinture de cuir noire et d’ouvrir son Jean blanc… Et là, je découvre un beau paquet emballé dans un string léopard, le bombé de ses testicules et l’empreinte de son membre plaqué sur le côté gauche étaient parfaitement moulés, J’en était sûr à ce moment, Aurélien était bien pourvu le coquin ! Je croyais rêver, j’étais embauché du matin même chez mon employeur du week-end avec qui j’avais fait connaissance tout juste huit jours avant et me voici à genoux à ses pieds à dix centimètres de sa queue ! Alors ça te plait ? Je lui bafouille une réponse perturbée : « Euh, oui, oui bien sûr, il vous va bien… mais euh, je suis euh…» « Quoi ne me dis pas que c’est la première fois que tu es le nez face à un sexe d’homme ? Tu aimes la bite si j’ai bien compris ? » Sa question fut tellement violente et inattendue que j’étais totalement perdu et tout rouge. Je lui réponds : Oui, j’aime bien, enfin oui je vous confirme… « Alors écoute mon petit Gabriel, contente-toi de lui déposer juste un petit bisou au travers du lycra, et le moment venu, je te promets, je te confierai tout ce beau paquet pour toi tout seul ! » Il me demandait de lui embrasser le gland… Non mais… sérieux ? J’étais en train de vivre une situation ubuesque et bandante à la fois… « Allez, ne te fais pas prier petit pédé, je te l’ordonne ! » OK, puisqu’il me l’ordonne, je lui déposai un baiser du bout des lèvres sur l’empreinte du gland qui était parfaitement moulée sous ce lycra aux couleurs sauvages. Il remit son pantalon et me dit : « Tu es un amour d’employé, je ne regrette pas de t’avoir embauché en extra pour le ménage et pour le reste ! » J’imaginais bien ce que pouvait signifier « Le reste ». Après tout, c’est moi qui avais tenté cette expérience en diffusant mon annonce, il fallait bien imaginer qu’une petite lope comme moi qui se faisait embaucher chez un pédé allait un jour ou l’autre devoir soumettre son petit cul à la bite de son employeur… et ce beau salaud m’y préparait bien ! Mais mon rôle d’allumeur (ou d’allumeuse) devait durer… Aurélien s’en délectait aussi, un baiser sur son sexe emballé n’avait pour but que d’exciter son désir sexuel tout en s’interdisant de se faire sucer tout de suite par son jeune « homme de ménage », sa patience sera bien un jour récompensée. Le midi nous mangeâmes dans son coin repas, notre discussion dérapa rapidement sur nos activités coquines, lui m’avoua qu’il rencontrait régulièrement quelques amis gays du monde médical avec qui il participait à des gang bangs débridés, qu’il passait ses vacances dans des clubs naturistes gays du sud de la France ou en Corse et moi je lui avouais mes aventures avec des hommes murs entre 40 et 55 ans, que j’étais adepte des saunas et que j’étais plutôt passif. L’après-midi je devais m’occuper de sa chambre et de la chambre d’amis et du couloir, vers 14h30 il m’invita à changer de tenue en me demandant de mettre un tee shirt XXL et un jock-strap noir, du coup avec ce tee shirt extra large et quatre fois trop long on aurait dit une nana car mon jock n’était visible que lorsque je me penchais exagérément offrant une vue privilégiée sur mes fesses imberbes. Il m’avoua que cette tenue l’excitait beaucoup et que mon côté féminin avec mes cheveux abondants bouclés et ce tee-shirt que je portais comme une mini robe me donnait un look d’allumeuse de night-club. Je pris cette remarque comme un compliment car lorsque je m’exhibe en public j’aime provoquer en portant une tenue ambiguë aux yeux des mecs. Aurélien, me découvrant ainsi très excitant, me demanda si j’aimerai me vêtir ainsi, hyper sexy pour assurer un service à table lorsqu’il reçoit ses amis de la jaquette ? Je lui répondis que je le faisais parfois entre potes lors de soirées olé, olé et même qu’un jour j’avais servi le champagne dans une tenue semblable dans un club libertin où mecs et nanas m’avaient ploté les fesses sans retenue et qu’ensuite les mecs m’avaient palpé le paquet à plusieurs jusqu’à me faire éjaculer dans leurs flûtes qu’ils ont ensuite dégustées, mélangeant mon sperme avec un Veuve Cliquot millésimé. « Ah oui quand même ! Tu es une vraie petite pute c’est top ! Je t’aime de plus en plus ». Oui, c’est mon côté petite salope... Je dois l’avouer. « Mais c’est très bien ainsi mon garçon ». Durant l’après-midi j’ai donc assuré le grand ménage des chambres jusque sous les lits, où ma position le cul en l’air excitait mon patron qui n’en perdait pas une goutte, plusieurs fois je sentis sa main caresser mes fesses, mais toujours dans la retenue et le respect, c’est incroyable ce que son attitude d’approche douce et suggestive sans aucune brutalité ou insistance est hyper bandante, il profite des situations dans le total respect de ma personne. Il prend son pied et moi le mien… C’est top ! En fin de journée, il m’invita à prendre un jus d’orange avec lui dans le salon puis m’invita à aller à la douche, je lui répondis que ce n’était pas nécessaire et il m’ordonna d’y aller ! Je ne me fis pas prier deux fois, comme il me l’avait demandé, je laissai la porte de la salle d’eau ouverte, je me déshabillais et me glissais dans la douche à l’italienne… et quelques instants plus tard mon beau quarantenaire fit son apparition dans la salle d’eau embuée, il avait revêtu un bermuda léger d’intérieur et se délectait de me mater me savonner, évidemment je rallongeais le temps de savonnage pour satisfaire mon employeur-voyeur qui se palpait l’entrejambe avec délectation, lorsque je sorti de la douche je lui demandais de m’essuyer…. Un peu surpris par ma demande, il s’exécuta avec plaisir, son essuyage dura bien un quart d’heure, il passait et repassait la serviette éponge sur toutes les parties de mon corps, m’essuyait les cheveux, me caressant les fesses, les seins, les abdos, il descendit subrepticement sa main sur ma queue à demi bandée, il la prit en main et amorça une masturbation pendant trois à quatre minutes, puis s’agenouilla et m’embrassa le gland totalement décalotté, il me palpa ma paire de couilles rasée et bien pendantes, puis se releva et me dit : « Tu es trop beau, tu me fais bander petit salaud… C’est trop bon ! Dépêche-toi de t’habiller et de rentrer chez toi ! » C’est donc à poil, que j’allais dans la chambre d’amis, je lui demandai si je pouvais mettre un string ficelle blanc issu de ses achats pour repartir chez moi ? « Bien sûr, ces sous-vêtements sont pour toi, je veux juste que tu me montres comment tu le portes » J’enfilai donc devant lui ce string satiné et offrit à Aurélien un mini défilé dans son salon et son couloir en dandinant mon petit cul, mon service trois pièces étant parfaitement mis en valeur dans ce petit bout de tissus trop juste et la ficelle disparaissant dans ma raie des fesses. « Tu es sublime, petite salope… Dépêche-toi de t’habiller avant que je ne te saute dessus ! », et il me claque les fesses au passage. Je terminai de me rhabiller, jetant mon boxer avec ses affaires sales, après tout… j’étais presque chez moi ! Avant de partir il m’annonça que le samedi suivant il recevrait deux de ses amis intimes en soirée et qu’il comptait sur moi pour préparer leur accueil et me demandait de tenir ma promesse pour assurer un service parfait… parfait (il me l’a répété deux fois avec un clin d’œil). « Je leur ai parlé de toi… Ils sont impatients de faire ta connaissance ». Sur ces bonnes paroles, nous nous sommes dit aurevoir, derrière la porte d’entrée, il n’a pas pu se retenir de m’embrasser sur la bouche et très furtivement il m’engouffra sa langue dans la bouche et me roula une pelle en me caressant les cheveux fougueusement… Je me suis laissé faire. « Allez, file petit chenapan ! Et à samedi ! » Je ne vous dis pas la semaine de ouf que j’ai passé, en permanence je me repassai le film des séquences chez mon employeur du week-end, le soir sur mon lit tout en me caressant je revivais les courtes séquences de tentatives de séduction d’Aurélien, toutes ces petites attentions brèves comme les caresses sur mes fesses ou mes cuisses, le regard coquin, son voyeurisme discret lors de mes positions suggestives de ménage, sa masturbation furtive, l’essuyage délicat de mon corps à la sortie de douche, puis cette pelle roulée en guise d’aurevoir… Je n’avais qu’une hâte, c’était d’arriver au samedi matin suivant où je le retrouverai aussi coquin lui et peut-être ses amis. Le samedi suivant, 8h30 fébrile et impatient je sonnai à sa porte, Aurélien attendait sa proie jeune et élégante, j’étais en baskets, bermuda jaune poussin et sweat léger noir. « Entre vite, comme tu es élégant ce matin », il me déposa un baiser sur la bouche et m’invita à sa table de petit-déjeuner dans sa cuisine, ça sentait bon le café et les croissants frais nous attendaient sur la table. Nous avons discuté de nos impressions ressenties suite au samedi précédent, tous deux avions vécu ce samedi comme un véritable rêve… Lui, accueillant un jeune homo à disposition pour l’entretien de son appartement et moi ayant vécu mon fantasme de servir en tenue très légère un maître gay dans la quarantaine élégant, bien foutu et respectueux ! Il m’expliqua comment il voyait la journée, ma mission était de remettre tout son appart en ordre, donner un coup de propreté dans toutes les pièces, un peu de vaisselle à faire, préparer la chambre d’amis… au cas où ? A midi nous grignoterons tous les deux, dans l’après-midi un traiteur doit livrer le dîner, nous préparerons l’apéro et le brunch, puis ses deux amis devraient arriver vers 19h30. Il me demanda pour ce matin de revêtir un maillot de bain « Tof » taille basse de type sunga uni de couleur parme avec lacets blancs et une chemisette unie de couleur écrue qu’il m’exigea de maintenir ouverte afin de profiter pleinement de mon torse imberbe et mes abdos. « Wouahh, j’aime beaucoup, vois-tu, mon trip à la plage c’est de mater les beaux mecs comme toi en maillot de bain et d’imaginer leur anatomie en fonction du relief qu’ils offrent… Comme on dit j’aime les poutres apparentes !... Et la tienne me convient parfaitement. » Je le remercie de ce compliment flatteur et pars en cuisine pour faire la vaisselle, lui repart dans la salle d’eau. A plusieurs reprises nous nous sommes croisés dans l’appart et à chaque fois j’ai eu droit à une petite claque au cul, puis lorsque je suis allé nettoyer et ranger sa salle d’eau, il me coinça le long du lavabo, approcha sa bouche de la mienne et me roula une super pelle très gourmande qui dura bien cinq minutes et entrepris de me palper le sexe fougueusement au travers de l’élasthanne jusqu’à l’érection totale de mon membre dont le gland sorti rapidement du slip de bain, je me suis senti obligé de lui infliger la même punition en palpant son entrejambe qui bandait aussi au travers de son pantalon de toile, nos palpations et embrassades ont bien duré un quart d’heure, c’est moi qui lui ai demandé d’arrêter car j’étais limite de larguer ma purée par l’excitation de nos palpations fébriles et accélérées. Chacun repris ses activités, moi dans la salle d’eau et lui parti faire son courrier dans le salon. En suivant, j’entrepris de remettre le salon et le coin repas de sa grande pièce à vivre en ordre, tout en étant plongé dans ses papiers il exigea que j’enlève ma chemisette pour satisfaire son plaisir de voyeur à me mater œuvrer à demi nu dans ce slip de bain minimaliste, ce pédé de toubib prenait son pied en se caressant l’entrejambe… Et moi avec mon côté « Exhibe » je faisais en sorte d’utiliser des postures outrageusement suggestives, par exemple en passant un coup de chiffon volontairement long et sensuel sur les pieds de table en position accroupie et écartant au maximum mes cuisses face à lui, au point que mes couilles ainsi plaquées dans ce mini slip sortaient en parties de chaque côté de mon entrejambe, ou parfois en tendant mon petit cul dans sa direction lorsque je faisais le dessus des meubles, ou en m’approchant face à lui en me palpant le paquet ou en réajustant mon service trois pièces en glissant ma main dans le maillot de bain en le fixant du regard… Et ce petit salaud prenait à chaque fois son pied, parfois en me le confirmant par quelques mots du genre : « Tu me fous la trique… Petit pédé… Tu es vraiment une belle salope… Je mouille… je t’adore petite pédale… J’ai envie de te baiser… Putain j’en peux plus…» C’était un véritable jeu entre nous : Moi l’allumeur et lui l’allumé, décidemment j’avais bien fait de rechercher un tel emploi… et surtout de trouver cet employeur ! Le midi nous mangeâmes vite fait sur le pouce, moi toujours torse nu et dans mon bout de tissus de bain qui ne couvrait pas totalement ma raie des fesses et ma queue proéminente bien moulée et Aurélien avait décidé de revêtir lui aussi un boxer de bain blanc qui faisait ressortir à merveille son bronzage, je le félicitai pour cette tenue très sexy qui mettait bien en évidence sa masculinité et sa virilité, Aurélien en avait entre les jambes, j’espérais bien à un moment ou un autre apprécier son contenu sans sous-vêtement et pourquoi pas engloutir dans ma bouche cette bite qu’il n’arrêtait pas de flatter de sa main gauche ! Après le repas il m’invita à prendre le café dans le salon, sur son canapé de cuir beige, puis il se mit à me confesser que ce même canapé aurait beaucoup de choses à raconter, de nombreux ébats avec ses amis, aussi avec quelques patients intimes avec qui il avait poussé un peu loin les consultations hors de son cabinet professionnel et une fois où il avait dépucelé un jeune asiatique de 19 ans en mal de mâle ! Ses récits à peine terminés, il me fit mettre debout face à lui et me tira aux pieds mon slip de bain, ma queue ainsi libérée eu un mouvement de ressort, elle était au niveau de son visage, il me pris les couilles et se mit à me les palper avec douceur et professionnalisme, puis tout en me caressant les fesses, il mouilla son majeur et me doigta lentement et profondément en titillant ma prostate, je me mis à gémir assez rapidement, il maîtrisait parfaitement son doigter, c’est un professionnel du corps humain… et surtout du corps des hommes ! De l’autre main il vira son boxer blanc, nous étions maintenant à poil tous les deux, il me coucha sur le canapé tout en continuant son doigtage expert et encouragé par mes petits cris de pute qui trahissaient mon extrême plaisir un brin douloureux mais tellement jouissif, quel pied… Lui, bandait comme un âne, son membre faisait bien 18x4 et sa paire de couilles lisses et rasées étaient bien pleines… Je me mis à le branler doucement au début et plus il me faisait crier comme une chienne plus mes mouvements de va et vient s’accéléraient, son gland large et violacé était totalement décalotté, je bandais comme un malade mes 17,5 était tendus et mon excitation anale ayant atteint le Nirvana de l’extase, je me mis à geindre comme une bête et largua soudainement par grands jets mon sperme épais sur le canapé et lui dans la foulée cessant son doigtage de pédé expérimenté, repris sa masturbation de plus belle, il branlait son pieu de façon sauvage et rapide ses yeux trahissaient son état semi inconscient et dans un cri de bête ahurissant il m’éjacula sur le ventre et les cuisses par son sperme chaud et très liquide qu’il crachait en quantité abondante et saccadée, l’odeur de sperme avait soudain envahi le salon, il exigea aussitôt que je lèche nos nectars ainsi libérés… Je ne me fis pas prier… Avaler le sperme ne m’a jamais rebuté… au contraire. Après ces ébats fébriles nous nous embrassâmes longuement étalés sur ce canapé humide et nos corps dégoulinants de sueur, puis c’est dans la douche à l’italienne que nous terminâmes nos caresses érotiques. On s’est essuyés mutuellement et enfilés chacun un jock-strap « Addicted » le sien était rouge vif et le mien noir, nos fesses bien à l’air nous donnaient ainsi du cœur à l’ouvrage pour préparer la soirée. J’étais bon pour nettoyer notre foutre étalé sur le canapé de cuir. Vers 16h la sonnette retentit, c’est le traiteur qui venait livrer, Aurélien me demanda d’enfiler rapidement ma chemisette histoire d’être présentable, il m’avait prévenu que ce traiteur est un ami homo lui aussi et qu’il connaissait les habitudes vestimentaires et les mœurs de la maison. Effectivement lorsque j’ai ouvert la porte en chemisette et jock, il eut un rapide coup d’œil vers mes jambes dénudées et pieds nus mais ne fit aucun commentaire, il avait un grand sourire qui laissait penser qu’il comprenait que la soirée serait chaude. Il apprécia sans aucun doute de découvrir mes petites fesses lorsque je lui tournais le dos en allant vers la cuisine. Aurélien vint le régler, toujours en jock et un large tee-shirt, notre traiteur avant de partir nous souhaita une très bonne soirée avec un grand sourire plein de sous-entendus. Tous deux avec Aurélien nous avons préparé la table toujours en petite tenue, les claquements de fesses réciproques faisant partie de nos occupations en vue d’accueillir les deux invités. Après une douche… Chacun dans notre salle de bain, nous nous préparions vers 18h à recevoir ses invités, Aurélien m’avais demandé de porter un short TOF ultra court Kinky imitation cuir me moulant éxagérement le sexe et le rebondi de mes fesses… Aucun sous-vêtement dessous… Un vrai bijou, sexy au possible et pour le haut un crop-top en tissus mesh micro perforé noir qui ne me couvrait que les seins. « Tu es trop sexy Gabriel… Tu fais très pédé… mes amis vont fondre en te voyant c’est sûr ! » et tout en me félicitant pour cette tenue provocante, il me frotta lentement sa main experte et m’enveloppa la bosse pour m’empoigner le paquet vigoureusement et me déposa un baiser sur la bouche. Quant à lui, il avait revêtu un ensemble en lin naturel relativement ample et ouvert sur le devant afin de mettre en évidence ses pectoraux bronzés et bien sculptés. « Tu n’es pas en reste coquin » lui dis-je en lui tapotant les fesses et en constatant qu’il n’avait rien dessous. Tout était prêt pour l’accueil de ses amis. Vers 19h15, la sonnette d’entrée retentit, Cyril et Adrien ses amis étaient là, l’un avec une bouteille de Champagne et l’autre avec un petit paquet, ils entrent, Aurélien fait les présentations, de toute évidence ma personne les interpellent car ils sont tous deux attirés par mon sourire et ma jeunesse, ils n’ont pas manqué de me l’avouer… Leurs regards n’ont pas attendus pour se diriger sans discrétion vers l’empreinte bien moulée de mon short cuir. Ils se mettent à l’aise, tous deux en costume d’été très léger l’un beige et l’autre bleu ciel et chemisettes blanches. Cyril est dentiste et Adrien podologue, le monde de la santé était bien représenté ce soir-là. Au salon les trois convives s’installèrent dans le canapé et les fauteuils de cuir autour de la table basse que je m’empressai de garnir de petits fours chauds, d’amuse-gueules divers et j’apportai les flûtes et servi le Champagne, Aurélien m’ayant demandé de venir trinquer avec eux, car même si mon rôle était d’assurer le service pour la soirée je n’en n’étais pas pour autant exclu de leur cercle restreint… Bien au contraire. Aurélien ouvrit le paquet offert par Adrien…. C’était un plug acier de belle taille avec à son extrémité un gros diamant de couleur améthiste… Aurélien embrassa son ami pour ce présent qu’il aura beaucoup de plaisir à introduire dans son intimité. En me regardant il me lança : « Si tu veux l’essayer Gabriel, je pourrais te le prêter ». Tous les trois, ils ne tarissaient pas de compliments me concernant, du genre : « Tu as un jeune employé très élégant et fort sexy, nous sommes vraiment gâtés de soir, j’adore votre tenue très suggestive Gabriel, je me sens pousser des ailes auprès d’un jeune homme comme vous… » J’en était presque gêné, mais je savais aussi que la soirée étant 100% gay, les remarques et réflexions serait très orientées ! A plusieurs reprises lorsque je me levai pour assure le service et remplir les flûtes, chacun des trois se laissait aller à me caresser les cuisses, les bras ou les fesses, je respectais les consignes d’Aurélien : « Merci de te laisser faire, cette soirée doit être un plaisir pour nous quatre, chacun d’entre nous doit prendre son pied ! » Je n’hésitai pas à m’accroupir afin de leur faire profiter de mon entrejambe bien moulé ou de me pencher en avant en leur tendant mon petit cul bien serré dans ce short façon cuir afin qu’ils bavent de tentation et de fantasmes… A tous les coups je gagnais mon pari. Après avoir débarrassé la table basse de l’apéro, j’installe les assiettes et couverts en vue de passer au brunch toujours dans le salon, deux bouteilles de Champagne avaient été éclusées en une heure et demie, l’ambiance s’était sérieusement réchauffée, les plaisanteries grivoises commençaient à fuser, les mains devenaient baladeuses entre eux, mais je dois reconnaître que c’est bien moi qui assurait l’attraction de la soirée, plusieurs fois Cyril ou Adrien m’ont invité à m’asseoir où sur leur genoux ou auprès d’eux afin de faciliter les caresses sur mon corps, les baisers ou les passages de main dans ma chevelure dense et bouclée, les mains glissées dans mon short pour me caresser la raie… Là j’étais arrivé à carrément jouer la pute de service pour mes trois pédés aux cheveux grisonnants ! Ceci dit, je prenais mon pied sans refuser aucun geste même osé soit-il, ils étaient là pour fantasmer sur le corps d’un jeune homo bien foutu et consentant… C’était pour eux le Nirvana ! En fin de brunch nous nous sommes tous les quatre retrouvés torse-nus, Adrien et Cyril s’étaient libérés de leur pantalon d’été, Cyril en shorty CK blanc et Adrien en string orange aux fesses demi couvertes, puis Aurélien vira son pantalon de lin pour nous offrir ses belles fesses bronzées, et c’est la queue à l’air qu’il mis de la musique jazzy et les galoches commencèrent à se rouler entre chacun d’entre nous, pour moi il n’était plus question d’assurer le service mais plutôt de répondre aux sollicitudes érotiques de mes trois pédés surexcités et bien shootés au Champagne. A un moment Aurélien exigea que je monte sur la table basse afin que ces trois tapettes me palpent sur tout le corps alors que je devais danser au rythme de la musique dont il avait augmenté le volume. Ainsi mon corps fut pris d’assaut par ces six mains fébriles et vicelardes, je bandais comme un âne dans ce short devenu trop serré, Cyril décida de mettre fin à mon supplice et me tirant le short à mes pieds et le balança au travers du salon, mon membre avait une érection rarement atteinte, il était hyper dur et mon gland totalement décalotté brillant et humide de mon liquide pré-séminal car je mouille toujours énormément lors des préliminaires, Aurélien englouti ma queue en fond de gorge et commença à me pomper, Adrien me titillait les tétons à me faire couiner en me palpant les couilles toutes lisses de l’autre main et Cyril me léchait le cul en m’enfonçant au plus profond qu’il pouvait sa langue chaude et humide… Je n’en pouvais plus, après dix minutes j’étais à la limite de leur éjaculer en plein visage, trois mecs sur moi, je ne l’avais jamais vécu aussi intensément puis me voyant totalement en transe Aurélien le membre raide m’exigea de descendre de la table, de m’allonger sur le dos le canapé et se mis à me présenter sa bite hyper tendue et s’amusait à simuler un début de pénétration en plaquant son gland dans mon entrejambes et le frottait sur ma paire de couilles, moi jambes en l’air totalement écartées j’attendais que sa belle queue me pénètre profondément… Ce qui ne tarda pas, encouragé par ses deux copains, Adrien approcha son pieu tendu au niveau de ma bouche et me l’enfonça dans la gorge en assurant des va et vient saccadés et pendant ce temps d’enculade et de fellation forcée, Cyril sorti son iPhone ce petit vicelard pour faire une série de clichés sous toutes les positions. Après un quart d’heure de limage intense, Aurélien s’est vidé les couilles en s’éjectant rapidement de mon trou, il me largua sa purée épaisse sur le ventre par grands jets blanchâtres et chauds alors que Adrien m’éjaculait dans la bouche et la gorge, je manquais de vomir tellement son pieu était large et long d’au moins 18cm, j’avais une quantité de sperme en bouche invraisemblable, j’ai dû en recracher une partie sur le canapé et à peine libérer de ces deux queues, que Cyril se pointa à son tour entre mes cuisses avec son dard de 19x4 et l’introduisit facilement dans mon trou béant puisque Aurélien avait déjà bien buriné mon anus, ce salaud me défonça le cul pendant au moins dix minutes et finit par me larguer sa semence en moi, j’ai soudain senti une chaleur m’envahir les entrailles par saccades, lorsqu’il retira sa grosse bite de mon trou endolori elle gouttait encore et il l’enfila aussitôt sans hésiter dans la bouche grande ouverte d’Aurélien qui attendait à genoux de finir le nettoyage du zob encore raide de son pote. Entre temps, Adrien avait entrepris de me branler vigoureusement en vue de me faire cracher tout mon jus de petite salope et pour ce faire il me masturbait de la main gauche et me palpait les couilles lisses et pendantes de la main droite, il me branlait tellement fort que j’en criais de douleur jusqu’au moment où j’ai largué mon sperme abondant sur mon ventre et mes seins. Et les trois tentouses se jetèrent sur mon nectar encore chaud pour me lécher le ventre et avaler mon jus de lope épais et bien blanc. Après ces échanges virils, nos quatre bites étaient devenues à demi-molles, nous avons trinqués à ces ébats entre mecs, mes trois compères m’ont remercié pour avoir été au top et d’avoir assuré sans condition ma fonction de passif. Nous nous sommes retrouvés sous la douche dans le quart d’heure qui a suivi, deux par deux dans chacune des salles d’eau, chacun savonnant et caressant son partenaire d’un soir, puis chacun essuya langoureusement son compagnon de douche. Il était deux heures du matin, l’heure de rentrer pour Adrien et Cyril qui avaient commandé un taxi. Quant à moi j’ai passé la nuit aux côtés de mon employeur bien aimé dans son lit douillé, mais avant de s’endormir ce pédé d’Aurélien excité comme un cerf en rut m’a honoré une seconde fois en exigeant de m’enculer en levrette sur le lit… Il était déchainé, il me ramonait en gémissant, il m’a démonté le cul à grands coups de boutoir, il m’avait épuisé… Puis, après qu’il m’ait inondé les entrailles de son foutre chaud… L’anus douloureux et la raie dégoulinante de son sperme je suis allé chercher deux flûtes et une bouteille de Champagne à demi pleine, j’ai rempli les flûtes au pied du lit, je me suis masturbé face à lui jusqu’à éjaculation dans les flûtes pétillantes et nous avons dégusté ensemble ce cocktail Veuve Cliquot aditionné de mon foutre bien épais avant qu’il me suce les dernières gouttes sur mon gland rouge vif, nous ne nous sommes endormis qu’après trois heures et demie du matin… épuisés et enlacés, nus comme des vers, lui me plaquant son sexe à demi bandé calé dans la raie de mes fesses encore endolories… Un vrai bonheur de s’endormir dans cette position j’adore ! Il est évident que j’ai adoré cet emploi de serveur chez Aurélien, mon emploi de week-end chez lui a duré près de six mois, tous deux avons bien goûté et usé de cette période ensemble et plusieurs fois avec ces amis intimes, avant que je sois obligé de déménager à Béziers pour mon boulot, où là, après avoir passé ma petite annonce sur un site gay du sud de la France j’ai retrouvé en moins de deux semaines un nouvel employeur… Un couple gay de blacks charmants et très sympas, 36 ans pour l’un, informaticien et 48 ans pour l’autre, vendeur en vêtements de luxe, le plus âgé monté comme un cheval et accro de sodomie… le second versatile et très imaginatif… Inutile de vous dire que j’en ai rapidement eu « plein le cul », dans le meilleur sens du terme, de ce boulot de serveur soumis avec eux… Mais alors quel plaisir partagé ! C’est un emploi que je conseille à tous les garçons gays en recherche de job occasionnel, on arrondit les fins de mois, on se fait baiser aisément… Et surtout tout le monde prend son pied !
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laurie
Très beau récit, sa donne envie
J'aime 17/04/25
Très beau récit qui donne envie de faire de même.
J'aime 17/04/25
celine
Waoo, tu devrais écrire un livre érotique, nous les trans les bannis de la société - ça dépend quand - pas de filo on nous prend toujours pour des putes - c'est pas totalement faux mais pas queue.
J'aime 17/04/25
Dis moi quand et où Je vais souvent au sauna gay de REIMS
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gerard51
Je n'ai jamais osé y aller mais l'idée est excitante
J'aime 16/04/25
Au debut, je le mélangeais avec un yaourts pour m habituer Maintenant j avale tous les spermes sans probleme
2 personnes aiment ça.
Slave-soumis
C’est tellement bon le sperme
J'aime 24/10/24
Il me faut ma dose regulierement
J'aime 24/10/24
Hier sur l autoroute trois doses
J'aime 24/10/24
J'adore le sperme, mais sur les autoroutes je ne sais pas où me rendre, je me suis déjà arrêté sur des aires d'autoroute mais je n'ai rien trouvé
J'aime 24/10/24
Tu es de ou
J'aime 24/10/24
Vous avez éjaculé trois fois sur l'autoroute ?
J'aime 24/10/24
Non on ma fait trois faciales de sperme bien epais
J'aime 24/10/24
En même temps ?
J'aime 24/10/24
biox
mais putain les mecs vous vous rendez compte que avec des inconnus vous risquez , les IST, le HIV. 1f44e.png
J'aime 24/10/24
Oui c'est un risque très important, donc putôt faire ça avec des mecs que l'on connait parfaitement avec un régulier si possible
J'aime 25/10/24
gerard51
Je suis comme toi à tes débuts, je n'arrive pas à me faire au goût et à la texture. Je ne peux "consommer" que mélangé dans un yaourt, un café ou un jus de fruit. Il me faudra beaucoup d'entraînement pour l'apprécier au naturel
J'aime 16/04/25
epaisse29
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Adevergonder
Miam miam
J'aime 15/04/25
epaisse29
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24 personnes aiment ça.
Eric
Elle aurait pu nettoyer avec sa langue 1f642.png
J'aime 02/04/25
biox
je vais lui lecher le visage et l'embrasser pour partager en bouche
J'aime 02/04/25
epaisse29
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16 personnes aiment ça.
Douxreveur
Quel Joli masque de beauté !
J'aime 23/03/25
Lily
a ajouté un nouvel album photo"Soumise 70"
Cherche maître fidèle à lui pour une relation sérieuse
Soyez la première personne à aimer.
Yan Dom
Petit trio masculin. Coucou ! Je reviens sur une expérience homosexuel vraiment jouissive que je voudrais partager. En même temps, j’en profite pour me remémorer tous les détails et revivre ce moment de plaisir. Le début est véridique dans l'ensemble. La partie SM est vraie dans une autre rencontre avec d'autres partenaires. La fin est considérablement fictive pour lecteurs avertis. J'avais contacté un couple par messagerie. L'un dans la quarantaine se disait dominant, l'autre, la soixantaine, versa. Ils étaient très beau et souhaitais me rencontrer. Mes appréciations sont élogieuses quant à mes qualités de suceur, mon cul accueillant, mon esprit ouvert et dévergondé. Lors de nos échanges, j'ai précisé que j'aimais le sperme, l'uro et le bdsm soft. Le rendez-vous a eu lieu chez eu à la campagne, un beau dimanche après-midi. Passé La porte, nous nous embrassons, ils sont tous les deux en short et bronzés. Il m'entraine vers le pool house et me déshabille. « Ici, on vit nu. Il n'y pas de vis à vie. » Eux même enlèvent leur short sous lequel ils sont nus. Le plus jeune arbore une verge longue et noueuse des plus prometteuses. L'autre un gros boudin flasque. Il me dirige vers la douche, équipé d'un wc et me demande de faire un lavement. Ce que j'accepte volontiers. Je me sers d'un long flexible terminé par une boule percé au centre. Je règle le débit et la température. La sensation est agréable au début. Il faut se retenir au maximum et se vider. Puis renouveler plusieurs fois. Après je vais pour me doucher quand ils me font agenouiller et s'assurant que j'aime l'uro, me pissent ensemble dessus. Manifestement, ils avaient anticipé car leurs jets ne semblait pas tarir. Une véritable douche dorée qui atterrissait sur mon crâne, mon visage, ma bouche et dégoulinait jusqu’au sol. J'ouvrais la bouche et laissais couler. J'aime cette sensation de recevoir ces jets chauds. L'odeur est légère et je me laisse inonder. J'aime regarder leurs bite molle en pleine action, l'urine sortir de leur méat. Ensuite il m'ont lavé avec leurs mains et du savon liquide puis m'ont enveloppé dans un drap parfumé et moelleux. Aucune partie de mon corps n'a été oubliée mais ils repassaient souvent sur mes zones érogènes et des doigts fureteur s'insinuaient dans mon anus. j'étais complètement passif et me laissais caresser, le plus jeune s'est emparé de ma bouche, sa langue me pénétrait et tournait, s'enroulait autour de la mienne tandis que son compagnon me masturbait et jouait avec ma rondelle. Nous sommes ressortis et nous nous sommes allongés sur un grand matelas dans le jardin. J'ai embrassé le plus âgé au crâne rasé, un peu enrobé et parfaitement lisse. Son compagnon s'est glissé entre nous pour nous sucer alternativement. Nos mains n'étaient pas inactives. Notre baiser ne semblait pas finir. Je caressais ses fesses, il me serrait contre lui puis nous nous sommes détachés pour former un triangle amoureux. J'avais son sexe en bouche et son compagnon continuait à me sucer, sa salive coulait le long de mon sexe, et il l'étalait dans ma raie culière. Son ami est venu sur moi à genoux et tantôt, il m'embrassait, tantôt, il pénétrait ma bouche. Je m'appliquais à le prendre complètement en gorge profonde, mon larynx caressant son gland. Il me coïtait quelques secondes avant de m'embrasser à nouveau. Son compagnon continuait à bien préparer mon anus. Je sentais sa langue me lécher délicieusement. J'ai compris quand j'ai entendu qu'il déchirait un emballage de préservatif qu'il allait me sodomiser. Effectivement, il m'a relevé les jambes, mis un coussin sous mes fesses et enculé. J'ai senti son gland circoncis écarter mes sphincters et s'introduire complètement. Quand j'ai senti ses couilles contre mes fesses, j'ai su qu'il m'avait investi complètement et j'ai commencé à geindre de plaisir. Son ami est venu derrière moi face à lui et m' a saisi les seins puis les tétons qu'il rudoyait. Je suis très sensible et cela m'excite fortement. A mon tour, mes doigts sont partis à la recherche des siens. Lui aussi réagissait immédiatement car c'est une verge bien tendue qui frottait contre mon crâne. Son compagnon s'est retiré, ne voulant pas jouir aussi vite. Il m'a mis à quatre pattes et son ami est venu derrière moi, me prendre directement en levrette. Il a retiré son préservatif pour me biffer et ensuite se faire sucer à fond et éjaculer dans ma bouche. J'adore le jus d'homme … Je me suis remis à nouveau sur dos pour voir le plaisir sur le visage de mon amant. Il a placé mes jambes sur ses épaules et mon sexe dégouline sur mon ventre. J'étale ce jus avec mes doigts et les porte à ma bouche. Ses coups de rein sont profonds et il accélère pour atteindre l'orgasme. Il se retire et jouis sur mon visage. Je regarde les jets de sperme atterrir sur mon torse, mon menton, mon visage et quelques gouttes parviennent dans ma gorge. Il retombe sur moi, m'embrasse et restons ainsi . Son compagnon qui était resté à genoux à nous regarder, s'allonge lui aussi à nos côtés… Je suis pris en sandwich en sueur, couvert de sperme et repu de plaisir. « Au temps, suspend ton vol… » Nous restons assoupis un bon moment et finalement, nous retournons à la douche où nous nous caressons puis allons au frais dans une salle voûtée prendre un rafraîchissement. Nous discutons de nos préférences et je m'aperçois que nous avons beaucoup de points communs et d'affinités. Il me font visiter leur mas et il me demande si je veux goûter à des jeux plus épicés dans leur donjon. Je n'ai jamais goûté à ces pratiques et je leur en fait part même si j'aime être dominé, fesser pendant le coït, biffler… je leur avoue que j'aime que l'on me pince les seins très fort. Il me propose un essais et j'accepte. Ils reviennent habillés en cuir. Il me font découvrir une cave. Il fait très frais. Au centre , un carcan. Aux murs , des fouets, martinet, paddle et même une cravache. Des anneaux. J'ai froid, je suis toujours nus. Il m'attache les quatre membres écartelés et me bande les yeux. J'ai un peu peur d'être allé trop loin. Et si j'étais tombé sur des sadiques. Ma voix tremble quand je leur demande le programme. « Il n'y a pas de programme, nous, on décide, si tu poses encore des questions, on te baillonne. Le bandeau fait partie du jeux pour exacerber tes sens et préserver ton anonymat. Tout cela est filmé. » Puis je sens des mains me caresser suivie d'une claque sur les fesses. Une bouche s'approche de mon oreille et me dit que je vais tâter de chaque instrument à raison de cinq coups administrés par chacun à tour de rôle. « Fouet ! » suivi d'un sifflement. La lanière s'enroule sur ma poitrine et claque sur mon sein droit tout près du téton. La douleur est vive, cuisante. J'ai à peine le temps de respirer qu'une seconde s'enroule autour de mes cuisses et frôle mon gland. J'ai eu chaud… La troisième s'enroule autour de mon ventre. Je serre les dents, plus que deux. Autour des hanches sur le pubis et un dernièr qui claque sur la fesse. « Martinet. » Cinq coups sont frappés sur les fesses que je sens rougir et qui ravivent la douleur du fouet. « Paddle. » Cette fois ci, seule ma verge est visée et je bande. On vient derrière moi et on me pince les tétons, je bande encore plus fort et on me détache pour me mettre au carcan quand je sens un objet perforer mon anus. Il reste en place. C'est un plug de bon diamètre enduit d'un gel qui me chauffe de plus en plus. J'apprendrais plus tard qu'il est recouvert de piment avec du gel silicone. Ils accrochent des pinces aux tétons avec des poids qui les étirent vers le bas. On m'enlève le bandeau et ma bouche est investie. Je suce mes tortionnaires ou plutôt ils se servent de ma bouche comme d'un vagin puis ils enfilent un préservatif pour me sodomiser. On entend leur ahanements, le carcan qui grince et les claquements de leurs pubis contre mes fesses ou ma gorge. Parfois les deux qui finissent par se déverser au fond de ma gorge. Mon calvaire ne s'arrête pas là. J'entends des portières claquées. Ils remontent et je les entends discuter en riant. La porte s'ouvre et je sens plusieurs personnes s'approcher. Des commentaires fusent, on me caresse, les doigts parcourent les sillons laissés par les flagellations. Mes tortionnaires me détachent, enlèvent les pinces et me caressent les pointes devenues hypersensibles. Ils me branlent et je jouis dans leurs mains devant les spectateurs qui applaudissent. Ils me font lécher leurs doigts et le sol où du sperme qui a coulé, brille. Une demi heure plus tard, revêtu d'un peignoir moelleux, j'ai été douché, soigné, on m'a appliqué un baume apaisant à l'arnica, odorant, coiffé mais j'ai toujours l'anus en feu. J'ai l'impression d'être transpercé par un vit énorme. C'est une sensation très forte, douloureuse et excitante. Je me repose sur un transat et regarde les invités s'ébattre dans un grand jaccuzzi. Hommes et femmes mélangés qui se caressent et s'embrassent. Nous nous retrouvons à table en peignoir, les femmes dépoitraillées. Un invité me demande si je suis fatigué, je lui réponds que plus je baise, plus j'ai envie. A la fin du repas, Il me demande alors de passer sous la table et je m'exécute. Je m'aperçois qu'il y a déjà du monde, des femmes se caressent et s'embrassent, une s'applique à bien lécher son amie. Je défais le peignoir et prends un gros gland en bouche, je le lèche, excite le méat de la pointe de ma langue. J'entame une fellation soutenue et je suis très vite récompensé de mes efforts. Cinq rasades viennent tapisser mon palais. Je remonte à la surface discrètement. Les desserts arrivent. Notre hôte réclame le silence. « Comme vous avez pu le constater, nous avons à notre table un soumis. Nous allons nous rendre dans le salon et pendant que nous regarderons un petit film de ma composition, il va vous montrer ses talents de suceur et nous allons agrémenter son dessert de nos jus crémeux et nourrissant." Nous avons des petites pilules à votre disposition et ces dames vont vous offrir un spectacle des plus charmants. En effet, les trois femmes ôtent leur peignoir et se gamahuchent aussitôt sur le divan en cuir tandis cinq hommes m'entourent. Il y a le couple qui m'a accueilli, l'homme que j'ai sucé sous la table et les deux maris restants. Sur l'écran, on me voit immobilisé dans le carcan, les seins torturés par les pinces et les poids tandis que l'on me pénètre violemment par le cul et la bouche. Pour l'instant, je suis à genoux, je suce celui qui se présente et branle une queue dans chaque main. Je suis très sollicité et ils finissent par jouir et éjaculer dans une coupe à champagne. Après chaque éjaculation, je suce le gland jusqu'à la dernière goutte. Une demi-heure plus tard, nous sommes à nouveau réunis autour de la table pour le café, on m'amène une charlotte et la coupe que je reconnais. Je mange cette pâtisserie avec délectation en même temps que l'on verse le contenu du bol. Je bois effectivement une flûte de champagne puis chaque invité est sollicité pour remplir une flûte numéroté aux toilettes. Après le café, huit flûtes sont alignées sur le rebord de la cheminée… tout le monde est assis et me regarde. Je saisis la première flûte et l'on voit les reflets dorés à la lumière. Je porte un toast et déguste une première gorgée, je répète l’opération plusieurs fois sous les rires de l'assistance en amusant la galerie sur sa robe et son bouquet quant à sa provenance. Mon hôte énonce la suite du jeu. Les volontaires vont remplir une seconde flûte aux toilettes et je dois les associer. Si je me trompe, il ou elle me donneront un gage. Je parviens à en reconnaître 3 sur 5. Un pipi masculin et un autre du second sexe m'ont induit en erreur : Honneur aux dames…. Elle me demande de lécher les trois vulves présentes…. Ça je ne l'ai jamais fait. C'est une première. Les trois femmes peignoir ouvert s'arc boutent sur le canapé. Je me place debout entre leurs jambes et broutent sous leurs indications. Je fais ça si bien qu'un jet de mouille atterrit sur mon visage. Les hommes se concertent : ils doivent trouver quelque chose de surprenant. Ils veulent que je m'empale sur un énorme olisbos qui trône dans la bibliothèque. L'engin est en porcelaine, haut de trente centimètres au gland proéminent, large de six centimètres au diamètre. On m'allonge sur la table basse et l'on m'enduit généreusement de gel. Une première main me pénètre complètement et tourne dans mes intestins. Elle ressort et c'est l'olisbos qui prend ma place. Il est lui aussi enduit de lubrifiant et je me mets accroupi. Mon anneau ne s'est pas encore totalement refermé et sous mon poids, mon corps descend sous les encouragements de tous.
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Louisa
Très bon récit
J'aime 20/03/25
biox
beau fantasme tu as beaucoup d'imagination
J'aime 20/03/25
a partagé une photo
Une gourmande ?
18 personnes aiment ça.
SissyDebutante
Ou une belle éjaculation?
J'aime 28/01/25
Adevergonder
Hummmmm c'est toujours trop bon....
J'aime 29/01/25
Mr Marc30
A la recherche d'une catin dans le 30 ou 34 pour lui offrir ma semence..fécale only
Soyez la première personne à aimer.
Mr Marc30
A la recherche d'une femme dans le 30 ou le 34 pour lui offrir ma semence après une bonne séance....
###PROFIL BANNI###Alma
Dans le BDSM, le consentement est la clé. Sans lui, il n'y a pas de jeu.
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Sim67
Je dirais même que ce n'est pas que dans le BDSM
J'aime 16/03/25
epaisse29
a partagé une photo
pour soumis fétichiste réel en quête de suivi ; débutant je ne suis pas contre si vos motivations reposent sur du solide et surtout pas le genre "nouvelles sensations" .:.
###PROFIL BANNI###Alma
Suite Quand j'entendis cette voix nouvelle, ma surprise fut grande, je compris que ce n'était pas Dame Elaine qui promenait maintenant Son pied nu et Son regard sur mon corps, cheminant doucement de mon pubis nu à ma bouche, je ne sus garder très longtemps les yeux fermés... ma curiosité ne pouvait être vaincue, et je les ouvrais enfin sur la Dame de la Côte. "C'est comme ça que tu dis bonjour à une Dame, petit homme!?" Son ton était sans appel, et je sus qu'il avait valeur d'ordre. j'embrassais donc Son pied, puis j'en laissais pénétrer son gros orteil dans ma bouche, que je suçais docilement mais dès qu'il en fut sorti Lui demandais la permission de Lui rendre hommage plus convenablement. Elle m'y autorisa, et je me mis donc à genoux à Ses pieds, maintenant mes mains derrière mon dos, contraintes par Son seul pouvoir, et tête baissée, j'embrassais l'un après l'autre Ses pieds ensablés. "je Vous prie de bien vouloir accepter les salutations de Dame Fulvie qui m'envoie à Votre service, et veux Vous signifier ma plus totale soumission, Madame." Une première impression est toujours marquante, c'est encore plus vrai quand la première action, les premiers mots qui s'échangent entre deux êtres sont porteurs de signification, si puissante. j'avais, par le subtile jeu qu'Elle avait imaginé en me faisant adopter par une Autre, été comme plongé, projeté, en une seconde, à Ses pieds, physiquement, bien sûr, mais bien au delà, et ni Elle ni moi ne pouvions l'ignorer, psychiquement. Elle me dominait de toute Sa hauteur, et je me sentis dès cette minute transcendé par la Dame de la Côte, d'autant qu'Elle était plus âgée que moi, sans que le temps pourtant n'ait pu entamer Sa blondeur presque scandinave, Son élégance, Son charme incomparable, ni l'incroyable charisme dont Elle semblait nimbée. Bien au contraire, Sa beauté tout comme Son autorité avaient été renforcées, et, mais je ne pouvais alors que l'imaginer, le temps Lui avait donné une arme bien plus redoutable et fatale encore que Sa beauté indéniable quand il s'agit de gérer un mâle: l'expérience. Comment trouver des mots qui expliqueraient mon ressenti à ce moment précis. je croyais vivre, après un cauchemar, un rêve éveillé, et d'ailleurs, je m'aidais à vivre cet instant comme tel, non pas pour me mentir, mais pour ne pas oublier que je n'étais pas ici pour mon bon plaisir, ni même pour celui de Dame Fulvie, mais seulement pour le plaisir de la Dame à Qui Elle m'avait donné. Son âme rayonnait d'une telle autorité que je sus, dès cette première minute, que je serai heureux, par devoir, d'avoir à La satisfaire Toute. Elle me demanda de mettre ma serviette autour de ma taille; la pinède qui entourait Sa propriété n'étant pas assez fournie pour nous garantir la tranquillité dont Elle aurait souhaité jouir, et je dois dire que je fus soulagé qu'Elle ménagea ainsi ma pudeur, trop heureux de pouvoir cacher le symbole de ma dépendance en transhumance. je dus me redresser, et m'aperçus avec surprise que nous avions presque la même taille. Pour autant, même debout face à Elle, je n'osais regarder Ses yeux, et me contentais de fixer la main qui tenait l'enveloppe que j'avais apportée. Elle le vit, sourit et me dit: "Très instructif, ton dossier!" Puis avec un air espiègle, presque juvénile, Elle la secoua pour me faire entendre le tintement de la clé qui, je pensais, s'y trouvait... "Et très complet!" Elle m'invita à passer devant Elle, et j'escaladais la dune jusqu'au parking que je traversais sur la pointe des pieds pour ne pas qu'ils soient meurtris par les graviers qui le recouvraient, avant qu'Elle me pousse, pour me faire hâter le pas, jusqu'au petit chemin qui coupait en deux Son jardin et menait à Sa demeure. Elle ouvrit en la faisant coulisser la grande baie vitrée qui faisait, côté jardin, face à la Mer, me fit un signe de tête, et à peine le pied posé sur le carrelage du grand salon dans lequel nous arrivions, Elle m'ordonna de m'arrêter. Sa main ouvrit la serviette, qu'Elle fit tombée. "Ici, on me sert, NU!" Et accompagnant la suite d'une légère claque sur mes fesses, Elle insista d'un "Compris" qui ne laissait pas de place à la discussion... "Mais faisons d'abord connaissance!" Elle s'assit sur un fauteuil, et m'invita à m'installer sur un des deux coussins qui lui faisait face. je m'accroupis donc à Son pied droit, et pour La satisfaire, mis mes deux mains sur ma tête. Elle parcourait le dossier que Dame Fulvie Lui avait adressé, et s'en amusa... "Tiens, c'est curieux, Elle parle bien de ta langue, mais pas des langues que tu pratiques!" Elle me regarda, et demanda: "tu parles anglais, petit homme?" je savais Sa question loin d'être anodine, autant que ma réponse attendue. "Assez pour comprendre un ordre, Madame." Elle sourit. Puis, me rappelant le début d'après midi et parce qu'Elle attendait peut être cette précision, je complétais ma réponse. "Pour autant, pas assez pour le discuter." Madame ouvrit grand Ses yeux aussi verts et profonds que ceux de Dame Elaine, j'espérais que son expression ne trahisse rien de négatif. Elle reprit mes mots. "Assez pour comprendre un ordre, pas assez pour le discuter." Elle se pencha vers moi, me caressa la joue avant d'ajouter. "Voilà qui est fort intéressant, bien plus que tu ne peux l'imaginer!" Et Elle haussa la voix. "Elaine, ça vient, ce muscadet!" Et je vis entrée Sa soumise, divinement nue, un plateau entre les mains. Elaine déposa le plateau sur un tabouret faisant office de table basse, puis servit les verres d'une manière qui trahissait son ignorance de nos us et coutumes. mon visage dut trahir mon étonnement que le verre qu'elle me tendait était presque rempli à ras bord, car Madame s'en amusa, et me dit, d'un air compris, que je m'occuperai d'dorénavant du service. Mais quand je remerciais Sa soumise d'un "merci, Dame Elaine" et que cette dernière montra sa satisfaction à me l'entendre appeler ainsi, Elle s'étrangla presque et s'emporta. "Dame Elaine, et tu ne le reprends pas! - Ce n'est pas moi qui me donne ce titre, Madame! - Oui, mais tu te complais à te faire ainsi appeler, et surtout, j'imagine que tu as joué à ce jeu jusqu'à maintenant!" Son regard noir la transperça. D'instinct, Elaine se coucha devant Elle, mais la décision de Madame était déjà prise. Elle cria: "Cravache!" Et Sa soumise se releva, pour aller armer le bras vengeur de Sa Maîtresse. je ne savais quoi faire, je me prosternais à mon tour, Lui disant que cette méprise était de mon seul fait. Madame me repoussa du pied, je n'avais pas à discuter Sa décision. Elaine revint, et se positionna afin de Lui présenter sa croupe, en bonne soumise qu'elle voulait être. Sachant la sanction imminente, je me permis à nouveau d'essayer d'expliquer à Madame qu'elle m'avait repris, lors de notre rencontre à la gare, quand ayant compris qu'elle s'appelait Dame Hélène, je l'avais ainsi appelée, et qu'elle m'avait, je pouvais Lui jurer, bien dit de l'appeler Elaine. Madame se montra inflexible, et pour toute réponse, me mit la cravache entre les mains. "Trois coups, et vite!" je me redressai, me tournait vers le cul tendu de Sa soumise... Qui m'inspirait bien des envies, mais pas celles de devoir le frapper. "Madame, je ne saurais..." Elle me coupa, et gronda. "tu ne pratiques peut être pas assez la langue de Shakespeare pour discuter un ordre en anglais, mais, mon Dieu, pour ce qui est de ton français, il va falloir le travailler. Pire que tout, tu n'as même pas eu la présence d'esprit de me dire que tu souhaitais subir sa punition à sa place: c'eût été la seule chose qui aurait pu la lui épargner. Mets toi dans la même position qu'elle, à ses côtés!" je rendis la cravache à Madame, et rejoignis Elaine, en imitant sa position. La cravache tomba trois fois sur ses fesses "pour substitution de rôle", puis trois fois "pour avoir discuter Ses ordres." Les coups étaient secs, mais elle les avaient reçus sans broncher. Puis se fut mon tour, Elle m'assena trois coups d'égale force, pour ce même second motif, avant de donner la cravache à Elaine, en lui disant qu'Elle lui laissait le pouvoir, si elle jugeait que j'avais manqué de courtoisie à son égard en ne me proposant pas pour lui éviter la correction qu'elle venait de prendre, de me punir elle-même. Trois coups, bien plus fort, s'abattirent sur mes fesses, en punition de ma goujaterie. nous remerciâmes Madame et promirent que nous avions compris la leçon. je m'excusais ensuite auprès d'Elaine. Madame semblait redevenue sereine, Elle se moqua de nous, tâta nos fesses meurtries et nous fit rassoir, en nous invitant à trinquer au week-end qui s'ouvrait à nous. S'il est vrai qu'on ne se sent soumis qu'à partir du moment où on accepte d'être corrigé, alors, il semblait que je devrais l'être, ce jour là, doublement.
###PROFIL BANNI###Alma
VOYAGE AU BORD DE LA MER Cela faisait à peine quelques mois que j'étais passé au service de Dame Fulvie quand Elle me fit savoir, la veille du départ qu'Elle projetait pour moi, qu'Elle désirait me donner à une de Ses amies. Même si je n'ignorais pas que c'était le lot de tout soumis qu'un jour, une telle chose n'arrive, je ne m'y attendais pas, et en fus profondément secoué. Elle m'avait exceptionnellement fait venir chez Elle le vendredi soir pour m'expliquer Sa volonté de se séparer de moi. Si j'avais, évidemment, accepté -ou plutôt, il serait plus juste de dire que j'avais acté Sa décision sans broncher- je m'étais ouvert à Elle quant à ma grande tristesse, d'autant que je ne m'y étais pas préparé, et je ne voulais Lui cacher la peine que j'avais qu'Elle veuille se débarrasser de moi, sans en comprendre la cause, peut être seulement fatiguée de mes imperfections, ou simplement parce que lassée par moi. C'était ainsi. Mais Madame me dit me respecter assez pour m'offrir, auprès d'une autre, une seconde chance. je l'en remerciais, sans enthousiasme. Ce soir là, sans pour autant m'en dire plus sur Son projet, comme pour me marquer un signe d'attention, Elle me fit l'honneur de me faire coucher dans Sa chambre. Cette dernière nuit fut la plus douce de toutes celles que nous avions eues. Mais il me fallait pourtant l'accepter. mon service auprès d'Elle avait pris fin. Sans aucun doute, si cela avait été humainement envisageable, Dame Fulvie aurait souhaité me faire livrer à Son amie nu et ficelé, et peut-être même fourré comme une dinde dans quelque solide paquet baladé entre des commandes de livres, de café, ou de vêtements au fond d'une camionnette, comme un objet apprêté et près à être consommer par Sa destinatrice, nulle doute qu'Elle se serait délectée, une dernière fois, d'ajouter à mon humiliation en demandant à ce qu'on me prenne en photo lors du déballage du colis afin de pouvoir juger, Elle-même, du degré de déstabilisation que j'aurais pu atteindre... Mais, pour le coup, je ne pouvais que m'en féliciter, la poste et ses délais étant ce qu'ils sont, et ma destination trop éloignée, Elle se résigna à me faire prendre le train. Elle me conduisit à la gare de Moulins, très tôt ce samedi là, sans plus de bagage que un ticket de métro et un billet de vingt euros pour me permettre ma traversée de Paris et d'acheter de quoi manger, et un courrier scellé que je devais remettre à la Dame auprès de qui Elle m'envoyait. De ce qui avait motivé mon "expulsion", je ne savais pas plus que la veille, mais je souffrais de constater Lui avoir déplu et désespérais qu'Elle me punisse ainsi en me privant d'Elle à jamais. j'avais réussi, un temps, durant la nuit à me rassurer, et maintenant éprouvais une bizarre satisfaction à m'être laisser convaincre que, sans doute, Elle me pensait maintenant assez bien éduqué pour m'imposer cette sorte de renaissance que constituait ce voyage, et la rencontre qu'Elle avait souhaité que je fasse. Était-ce sans retour? Pour autant, je le pensais... désespérément. Avant de me quitter, Elle me fit cette dernière recommandation. "Considère la Dame que tu vas voir comme LA Maîtresse que je t'ai choisie, et que tu dois désormais servir. Je te confie à Elle, complètement. Sa volonté, Ses désirs, Ses envies, seront comme les Miens. Elle aura tout pouvoir sur toi, et tu Lui obéiras comme tu m'obéis, et Je compte sur toi pour éviter que les fautes que tu pourrais faire ne rejaillissent sur Moi! Nul doute que tu as des qualités, et il se pourrait bien qu'Elle veuille de toi à Son service, si tu continus dans ta voie. " Dame Fulvie m'assura qu'on viendrait me chercher à la gare où j'arriverai. Elle me fit comprendre que je n'avais rien d'autre à savoir, sinon qu'Elle espérait pouvoir être fier de ma conduite à venir, car cette amie comptait énormément pour Elle, et qu'Elle ne m'aurait pas donné à Celle-ci si Elle me jugeait incapable de La satisfaire. je ne su donc pas, jusqu'à ce qu'Elle me donne les billets, où j'allais, ni auprès de Qui Elle m'envoyait, et c'est seulement quand je franchis les portes de la gare que je connus ma destination finale. Nantes. Le trajet me sembla long, d'autant que quand je Lui avais demandé, Dame Fulvie ne m'avait pas permis de prendre quelque lecture que ce soit. Rien qui puisse me sortir des idées sombres que je broyais. "Contente toi de réviser tes gammes, petit homme, intériorise seulement que tu es le jouet que j'ai décidé de donner à une amie, Je te veux comme neuf, à l'arrivée." je restai tout le trajet sagement assis, l'enveloppe en kraft où se lisait au feutre noir "de Dame Fulvie à la Dame de la Côte" posée sur mes genoux, face retournée pour ne pas que mes voisins s'imaginent... ou devinent... ce que je savais moi... mon sexe lisse et encagé me rappelait avec une constance entêtante mon statut de soumis, seulement perdu entre deux appartenances. Durant les longues heures à ainsi méditer sur le sort qui m'attendait, comme durant ma traversée de Paris, j'essayais de me concentrer sur ce que Dame Fulvie avait appelé une "nouvelle découverte". mon esprit vagabondait, je tentais de m'imaginer quel accueil me serait réservé, et qui, surtout, j'allais devoir servir. Les indices se résumait à ces mots, une amie, la "Dame de la Côte", et je me perdis en de vaines conjectures, tentant d'imaginer à quoi cette Dame pouvait ressembler, aux attentes qui pourraient être les Siennes, aux services qu'Elle souhaiterait que je Lui donne, ou encore à la manière qu'Elle aurait d'imposer Sa volonté... Même si je n'avais jamais servi d'autres Dominas que Dame Fulvie, j'avais bien conscience qu'Elles étaient chacune unique... Cependant, pris dans mes pensées, je cherchais à trouver une espèce de dénominateur commun, qui aurait pu être comme le fil conducteur que je pourrais suivre, afin de pouvoir sinon satisfaire au mieux, au moins être agréable à cette mystérieuse Dame de la Côte, quelles que seront Ses attentes. je me répétais les paroles de Dame Fulvie. "Sa volonté, Ses désirs, Ses envies, seront les Miens." Il me faudrait ne pas l'oublier. Quoiqu'Elle veuille de moi. Il m'avait semblé sentir, dans l'enveloppe que je devais bientôt donner, quelque chose d'assez dur et lourd pour que je l'identifie à la clé de ma cage. j'en étais, pour tout dire, apeuré, comme si la perspective d'appartenir complètement à une Autre constituait une trahison, un tabou, une limite que je ne devais enfreindre, mais que je devrais subir, et à laquelle je devrais me plier, pour satisfaire une dernière fois Madame Fulvie. Et si, finalement, Maîtresse me testait. Oui! Était-ce cela, l'objet d'un test? Pourquoi, alors, m'aurait Elle dit qu'Elle me rejetait... Souffrance... Quand j'arrivais en gare de Nantes, je m'étais persuadé que, comme tout mâle, j'avais fait preuve d'un stupide péché d'orgueil en plaçant entre mes jambes l'attrait premier que je pouvais constituer aux yeux d'une Femme qui pourrait vouloir de moi à Son service. je décidais donc que je m'en tiendrais à ma promesse d'honorer cette Dame du mieux que je pourrais, qu'Elle est ou non l'envie d'utiliser la clé qui symbolisait mon esclavage, qu'Elle décide ou non de faire de moi Son soumis. La gare de Nantes était animée, et grouillait d'une foule bigarrée. Et quand j'y mis le pied, c'était avec plus de trois quart d'heure de retard. je n'avais qu'une crainte... ne plus y être attendu. Mais, très vite, je vis en bout de quai une femme portant un écriteau... "monsieur petithomme" je rentrais la tête dans mes épaules et je souris de la perversité de la Dame qui m'avait abandonné, et du dernier clin d'œil qu'Elle m'adressait alors. Vingt mètres nous séparaient encore, et je profitais qu'Elle ne m'ait pas encore repéré dans la foule pour me ravir de Son éblouissante beauté. Elle était plutôt petite, je Lui donnais approximativement l'âge de ma Maîtresse, peut être un ou deux ans de plus, la finesse de Sa silhouette mise en valeur par une robe d'été pastelle, légère et sans manche, qui laissait entrevoir Ses courbes exquises et admirer l'incroyable blancheur de Ses bras et Ses jambes nus, de superbes cheveux roux encadraient en cascades un visage plutôt rond et, lui aussi d'une pâleur d'ivoire, divinement moucheté de tâches de rousseur. je me sentis presque défaillir, et j'allais à Elle, très fébrile, avant de La saluer en me courbant jusqu'à la main qu'Elle me tendit dès qu'Elle me vit. Elle me fit me redresser, plongea deux yeux verts assez froids dans les miens "Please to meet You!" Surpris autant qu'un peu gêné de l'entendre parler anglais, je Lui répondais sans attendre: "Please to meet You too, apologies for my bad English, do You speak French?" Elle acquiesça, tout en prenant l'enveloppe que je Lui tendais. Rassuré, j'osais dans ma langue. "Comment dois-je Vous appelez, Madame? - Le moins possible. - je Vous prie de bien vouloir m'excuser... - Elaine! - Très bien Madame Helene. je Vous suis?" Elle me reprit, visiblement agacée. "Elaine." Elle fit un geste m'indiquant le chemin des parkings, et j’ accompagnais tremblant cette déroutante et redoutable beauté celtique jusqu'à Sa voiture, sans le moindre mot. Si, dans ma vie "d'avant", quand j'étais basiquement mâle, j'avais dû définir entre deux bières partagées avec mes copains le type de femmes qui me faisait craquer, nulle doute que j'aurais pu dépeindre les traits de Dame Elaine. j'imaginais que Dame Fulvie en avait conscience (Elle savait tout de moi), et me dis qu'il ne pouvais s'agir d'une coïncidence... je l'en remerciais, intérieurement... me retrouver dans la voiture de la Dame de la côte, avec comme perspective de faire Ses quatre volontés, n'était pas sans me faire trembler d'excitation, mais mon appréhension n'était pas moins présente. Elle me fit mettre une sorte de bandeau sur les yeux -du type de ceux que les Scandinaves mettent sur leurs yeux pour dormir durant les nuits trop courtes de leur été, et tout en pressant mes lèvres d'un doigt levé et ferme, m'intima un "not a word!" qui sembla absolutly non négociable, et où pointait un léger et sublime accent écossais, puis fit démarrer la voiture. Les yeux fermés, les repères temporels se perdent, et l'esprit se balade. je ne pourrais dire combien de temps nous roulâmes. Sans doute plus d'une heure. Il me semblait réussir à sentir son parfum, léger. Un mélange de lavande, avec un je ne sais quoi de frais, qui me faisait penser à l'air iodé de l'océan tout proche. je remerciais intérieurement Madame Fulvie de m'avoir mis entre de si belles mains, mais parallèlement, j'espérais que Dame Elaine n'était pas déçue du colis qu'Elle avait réceptionné. Il me faudrait être à la hauteur des attentes dont j'étais porteur, combler la Femme qui me conduisait... Et garder... la tête froide... Ce qui ne serait pas facile, mon esprit en ébullition. La voiture s'arrêta enfin, Elle enleva mon bandeau. La lumière du ciel, bleu et pure, m'éblouit. L'endroit était magnifique et désert. Une petite corniche douce et herbeuse, en avant d'une maison blanche couverte de tuiles romaines, surplombant de petites dunes qui courraient jusqu'à une crique abritée. Le petit parking où Elle s'était garée était assez vaste, mais ne comptait d'autre véhicule que le Sien. je profitais du paysage une trop petite minute. Un "out" et un "follow me" plus tard, je descendais en La suivant la dune qui y menait, non sans regarder discrètement le vent jouer avec Sa jupe. Ma cage me rappela à mes devoirs, et je tentais de ne pas avoir remarqué qu'Elle ne semblait porter aucun sous-vêtement. Une fois arrivée sur le sable, Elle déploya la serviette qu'Elle portait dans Son sac, s'y assit face à moi. "Take off your clothes!" j'enlevais donc veste, chemise, chaussures et chaussettes que je posais à Ses pieds, puis ouvrant mon pantalon, je voulus Lui faire part de ma réticence à l'enlever, bafouillant en mauvais anglais que s'il y avait des passants qui venaient jusqu'ici, ils pourraient voir "ça". "Not a word!" Fut Sa seule réponse, et je dus exhiber mon sexe encagé devant Ses beaux yeux visiblement ravis de ce qu'Elle découvrait. Elle me sourit malicieusement, et pointa la Mer de Son délicat menton. je me retournais, et fus pris de panique en constatant qu'elle était basse, et que l'estran était si large que j'aurais à marcher plus que nu une bonne minute pour y arriver. On allait me voir, c'était certain, je me tournais à nouveau vers Elle, le regard suppliant, mais Son bras se tendit vers l'immensité salée. "toi, au bain!" je Lui montrais à nouveau ma cage, sans rien prononcer. Elle écarta, provocante et narquoise, Ses cuisses en réponse, me laissant entrevoir Son pubis rasé, et confirma ainsi ce que j'avais pu voir plus tôt. Elle m'avait, déjà, mise à genoux... et ne l'ignorait pas... Elle pointa à nouveau le chemin que je devais prendre, puis claqua les doigts avant que je me décide à Lui obéir. je courrais presque, mes deux mains cachant mon sexe, jusqu'à l'eau où j'entrais jusqu'à la taille le plus vite possible malgré sa fraîcheur, afin de soigner ma pudeur. Quelques instants plus tard, une fois certain qu'on ne pouvait rien voir de mon intimité, je me retournais vers la dune et La vit qui gravissait le chemin que nous avions emprunté... Emportant avec Elle mes vêtements... Merde! je vis qu'Elle avait laissé Sa serviette sur le sable, et après m'être assuré qu'aucun promeneur ne pouvait me voir, je pris la décision d'y retourner au plus vite, les mains toujours plaquées sur mon sexe. Avant de l'atteindre, je vis qu'Elle m'avait laissé une enveloppe, qu'un gros galet empêchait de partir au vent. je déplaçais le caillou de granit, et lu "De la Dame de la Côte à petit homme". Des instructions, sans doute. Pourtant, avant de les lire, je pris d'abord la serviette, la mis autour de mes hanches pour cacher mon sexe. Ensuite, seulement, je décachetais l'enveloppe. "petit homme, tu dois savoir que la patience est une des vertus premières d'un bon soumis. Sans doute ce que tu as vu t'a donné quelques envies, et Je suis certaine que nous trouverons tout à l'heure à en discuter. Je veux que tu m'attendes, ici, sans bouger, la tête dans tes bras, allongé face contre terre, et les jambes légèrement écartées. tu ferais ça pour Moi? Je ne serai pas longue. Sauf accident! La Dame de la Côte" je replaçais donc la serviette, et m'installais comme on me l'avait ordonné, priant que cela ne dure trop longtemps, car je pressentais que mon cul blanc soit vite cuit pas le soleil qui commençait seulement à décliner. mon attente fut incroyablement courte: je n'étais pas encore sec, malgré le vent du sud ouest et le soleil, avant que je L'entende revenir -ou que je sente Son ombre. je savais qu'Elle me regardais. je ne bougeais pas. Elle posa un pied, d'abord sur mes fesses, puis l'enfila entre Mes jambes. Et j'entendis qu'Elle composa un numéro. toujours immobile, j'entendis une voix sans accent, suave, qui n'était pas celle de Dame Elaine parler. "Fulvie, bonjour... Ca y est, j'ai reçu le colis, merci! Mais... je n'ai rien compris au mode d'emploi!" Elle riait. Elles riaient sans doute... "Tourne toi!" je me retournais, gardant les yeux clos, Lui présentant ce qu'Elle voulait voir. Elle reprit Sa conversation tout en posant un pied sur mon sexe, en conquérante. "En tout cas, je sais à quoi sert la clé, merci de me l'avoir confiée aussi!"
sylvie87
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laurie
J aime aussi beaucoup le sperme
J'aime 26/02/25
sylvie87
Je suis également adicte au sperme SYLVIE
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Vous êtes receveur ?
J'aime 24/02/25
driiiii29
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Une soumise pour me boire?
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celine
EH bien ça, ça me plait, j'adore 1f60b.png
J'aime 11/02/25
très bel engin, ce doit être un plaisir à sucer mais il faudrait que je soit bien travailler pour la prendre mais ce serait quand un vrai plaisir de se faire prendre par cette queue
J'aime 22/02/25
ElieMaster
Salut comment allez vous, les profil sans photo ne m'intéresse pas j'ai une photo fait en autant, Recherche du moment : une femme ou un trans en 2 étapes pour exhibe devant couple ou trio ou juste duo. 1ere: quelque rencontre avec la femme ou trans afin que je valide 2eme étapes : rencontre avec le couple on vois les 3 scénarios possible 1er scénario : couple regarde exhib de la femme ou trans sans contact physique 2eme scénario : tout simplement un trio madame non bi. 3eme scénario : la femme ou trans sera prise devant madame.
Soyez la première personne à aimer.
celine
j'ai rien compris..1f601.png
J'aime 17/02/25
Gorparis
Copier coller et accords non maitrises
J'aime 21/02/25
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