Fessée

Suite: La punie après cette longue attente avait le choix du premier instrument parmi les trois au programme (trois instruments de ma fabrication)... Sachant qu'elle redoutait la petite cane en PCV très flexible et cinglante qui lui marquait joliment les fesses mais la faisait beaucoup râler, je m'attendais à ce qu'elle choisisse le martinet qu'elle connaissait bien ou la claquette en cuir... et bien....non. Curieusement elle fit le choix de l'instrument qu'elle supportait le moins bien. Je lui proposai de fixer le nombre de coups qu'elle recevrait. Elle choisit tout d'abord 5... puis sans que j'aie beaucoup à insister elle passa directement au double: 10... Lui imposant un multiple de 6, sans protester aucunement, elle concéda: DOUZE. A voir dans la video (attention, l'accès est temporaire) https://gofile.io/d/50xPkX

Les jeux “d’Education conjugale”, quand on est dans ce cadre ci, doivent contribuer à un plaisir partagé. Qui dit plaisir dit montée d’adrénaline, montée progressive de la tension et de l’excitation sexuelle. Il faut privilégier ces moments durant lesquels “la punie” va devoir, anxieuse, attendre… La crainte, la peur de ce qui va suivre participe à son plaisir. L’anxiété est un excellent stimuli sexuel ! Ici, Madame a été menottée sur un fauteuil. Les menottes: un autre stimuli fortement symbolique extrêmement excitant. Elle se sait impuissante, elle ne pourra se rebeller. Elle est totalement soumise: les menottes engendrent la peur et donc l’excitation sexuelle ! Elle restera ainsi un assez long moment qu’elle mettra à profit pour méditer sur ce qui va suivre. Et puis après cette première attente, je vais ajouter un stimuli érotique en relavant sa robe, en érotisant le tableau. Elle expose ses cuisses, sa peau nue au dessus des bas, elle montre sa culotte de dentelles. Cette fois Madame est encore davantage dans le sujet. Elle livre son sexe même s’il est encore caché. Montée d’adrénaline garantie ! A ce stade sa petite culotte est généralement bien humide. Le cadre est posé: il est sexuel. Elle a à la fois peur de ce qui va suivre tout en le désirant. Madame est prête, prête à fleurter avec la douleur… pour son plaisir.

"Cherche Fessée en Douceur - Débutantes Bienvenues ! Homme aventurier, capitaine de trimaran et passionné de science-fiction, cherche femme curieuse, prête à découvrir l'art de la fessée. Si tu n'as jamais tenu une badine mais que l'idée te titille, je suis prêt à embarquer avec toi pour une initiation en douceur. Lieu idéal : mon bateau, où on peut ajuster les voiles ensemble tout en explorant de nouvelles sensations. L'humour et la bonne humeur sont nos guides, aucune pression (sauf celle de la main, bien sûr) !" Je suis à Paimpol, donc pour les Côtes d'Armor, Askilor.

Un peu d'humour avec ma partenaire du moment préférée. Le travail avait fort bien commencé ! Après une première longue et bonne fessée par dessus sa robe puis retroussée, les fesses de la polissonne avaient déjà pris de belles couleurs. Madame avait été mise au coin jupe relevée pour un instant de méditation avant de devoir revenir pour une fessée culotte baissée.

Façon BD.... La fessée républicaine.

Jeu de transparence. Madame n'avait pas été sage ! Elle eut donc droit à divers martinets tous "maison"... pas des joujoux de bazar ! Des instruments sérieux ! Pour des fesses habituées à être fouettées ... et pas "pour de rire !" J'ai toujours aimé fouetter Madame de façon progressive. En commençant par dessus une combinaison transparente, voir les fesses qui commencent à rougir sous le frêle tissu, je trouve cela absolument délicieux. Très excitant aussi pour Madame qui sait qu'elle sera ensuite fouettée longuement combinaison relevée, par dessus sa petite culotte qui n'en cache pas trop... avant de voir celle-ci glisser à ses pieds et offrir ses fesses nues aux lanières qui vont les faire rougir et danser.

Redécouverte d'une photo oubliée: je me souviens fort bien de cet épisode car c'était la première fois que ma Petite Chérie avait accepté de relever ce challenge. Habituellement le nombre de coups de canne était un chiffre pair, généralement 6, 12, parfois 24 très rarement plus. Par ailleurs la canne n'était ni en bambou ni anglaise mais bien française, une fabrication perso, "maison", en rotin assez épais. Elle cinglait infiniment moins qu'une vraie canne anglaise. C'est bien plus tard avec internet que j'en ai commandé en Angleterre. Celle-ci n'était pas très redoutable et Madame la connaissait fort bien. Elle marquait peu, cinglait modérément. Parmi nos jeux d'éducation conjugale, il y avait de "vraies-fausses" punitions que nous pratiquions généralement en week end ou en vacances. Après d'âpres négociations, Madame avait accepté de tester 50 coups de canne la prochaine fois qu'elle ferait une très grosse bêtise. Plus de quarante ans plus tard, je ne me souviens plus de la bêtise qui avait servi de prétexte à mais je me souviens que Madame n'avait pas même eu le temps de se préparer à relever le défit. Habituellement elle devait mettre sa panoplie d'épouse à punir: tenue appropriée, petite culotte sexy, bas, porte-jarretelles... pour se présenter en épouse désobéissante; mais là, elle avait été d'accord pour être punie sur le champ ! Elle avait donc tombé le bas, s'était laissée gentiment attacher et avait offert ses fesses nues à la punition. Pas très esthétique mais pragmatique ! Elle savait évidemment puisqu'elle en avait été d'accord que les cinquante coups seraient au programme. En fait et bien que cela puisse paraître sévère, la canne en rotin est plutot légère. Certes, elle rougit fort bien les fesses de "la punie" mais même si on voit quelques traces des impacts, ils ont été plutot bien supportés, d'autant que sa position cuisses écartés, autorisait quelques pauses entre les dizaines pour s'occuper de ce qu'elle offrait aux caresses. Au final, le mélange douleur et plaisir lui avait permis de plutot bien supporter les cinquante coups convenus: challenge remporté ! Certains ont été appliqués maladroitement beaucoup trop haut, ce qu'il faut éviter, alors que le bas de fesses a été trop oublié. Je vous laisse imaginer comment la séance s'est terminée... toujours attachée, fesses marquées et cuisses écartées. Ouvertures offertes ! Charmant souvenir !

Gif du net

Une vraie afficionados de la fessée comme l'est cette partenaire éprouve toujours beaucoup de plaisir à savoir ses fesses marquées et à devoir les montrer. "M" ne résiste pas à l'envie de montrer ses marques un peu comme on porte un trophée. Elle aime aussi à contempler dans un miroir, une glace... ses fesses rougies ou qui portent encore les traces des impactes d'une canne anglaise, d'une badine ou d'un fouet. C'est avec une certaine fierté qu'elle exhibe les preuves d'un challenge remporté. Les marques que laisse une canne anglaise peuvent subsister durant plusieurs heures voire quelques jours. Joli spectzavle ! Non ?

A vos fantasmes: Au temps où dans "les bonnes maisons" il était de bon ton de fouetter les servantes ! Clic pour agrandir.

Façon roman-photo mais vraie punition ! Consentie et désirée évidemment ! J’ai redécouvert et restauré récemment une vidéo d’un samedi consacré à nos ”vraies / fausses fessées”. Ma petite chérie avait eu assez tôt le matin les fesses marquée à la baguette et la punition que j’avais pensé provoquée, avait été très franchement appuyée. La belle avait même quelque peu râlé sur le moment et boudé par la suite… Bouderie vite passée puisque peu avant midi elle avait enfilé une de ses panoplies de petite fille à punir : généralement une jupette ou une robe courte, un porte-jarretelles et des bas. Ce jour-là elle avait revêtu avant le repas une petite robe aisément retroussable qu’elle réservait à ces moments là. Manifestement, la punition qui l’avait fait râler avait été vite oubliée et avait même fortement titillé sa libido. Madame avait envie d’une suite. Moi aussi ! Mais cette fois, Madame était prête, la libido au beau fixe ! S’en était suivie, une mise au coin jupe relevée pour exposer ses fesses encore marquées. A la vue de son derrière où se dessinaient encore nettement douze coups de baguette, la précédente vraie / fausse punition présentait tous les aspects d’une vraie. L'attente étant un des éléments clé de la montée d'adrénaline, la ''punie'' avait été mise au coin longuement, d'abord fesses tendues, puis retroussée puis avait encore dû patienter culotte baissée et exposer ses fesses marquées. Ma petite chérie adorait ces moments là qui lui laissait tout le temps nécessaire pour envier et redouter la suite: excitation sexuelle garantie ! Puis l'heure de la punition ayant sonné, entre la cravache que je lui avais proposée et une sévère fessée à la main, Madame avait opté pour une fessée classique sur les genoux, J'avais insisté sur le fait que ce serait sévère. Effectivement cette première fessée de l'après midi fut rougissante et gigotante : fort réaliste.

Souvenir, souvenir... Comme j'ai eu l'occasion de la dire précédemment, il convient d'initier nos épouses (ou autres...) le plus tôt possible aux joies de la fessée "éducative"... . Il faut donner aux arbustes la forme qu'on leur souhaite avoir quand ils seront de grands arbres. Et quand on a la chance d'avoir une jeune épouse avide de découvrir les délicieuses subtilités de "l'éducation conjugale" alors ce n'est que du bonheur.

Souvenir, souvenir.... Il convient de convertir nos épouses aux joies de la fessée conjugale le plus tôt possible. Sur cette photo, Madame était bien jeunette ! Il s’agit du haut de gamme des jeux de fessées entre adultes que j’ai eu la chance et le bonheur de pratiquer durant de nombreuses années avec mon épouse. La chance, d’avoir une partenaire de jeux à la fois cérébrale et masochiste, qui puisse son plaisir dans ces situations ponctuelles où elle cesse d’être une femme libre et libérée du patriarcat, pour devenir une épouse obéissante et surtout désobéissante, qui demande à être traitée, pour son plaisir, comme une vilaine petite fille… le temps d’un jeu sexuel... Et bien évidemment il s’agissait alors de pratiquer la fessée franchement punitive la plus réaliste possible. La règle d’or étant le consentement. Quand Madame était très joueuse, il nous arrivait de décider d’un commun accord que durant une période donnée qui pouvait aller d’un après midi à plusieurs jours, ma petite Chérie enfilerait sa panoplie de petite fille «à punir», de vilaine gamine qui désire être fessée ou fouettée ”pour de bon” dans le cadre d’un jeu désiré. Quand on est enfant on essaie de jouer «pour de vrai». Quand on est adulte aussi. Dans ce cadre ce jeu, ma chère épouse ponctuellement aimait à faire en sorte de mériter d’être fessée. Pour son plaisir et le mien ! Fessées méritées ou non dans le respect de règles de jeu établies d’un commun accord.

Une illustration de jeux d'éducation conjugale façon "Roman photos" des années 60. C'est exactement le genre de situation que nous mettions en pratique mon épouse (en petite jupe plissée) et moi.

Quelques dessins ...

Photo qui ne me rajeunit pas. Un charmant souvenir. Nous avions expérimenté les joies de la fessée au martinet depuis pas mal de temps avec de petites fouettées peu sévères, pas trop longues mais pas encore de "vraies fouettées" les plus réalistes possibles. Ce fut chose faite lors de cet épisode. Madame avait accepté de recevoir une vraie fouettée "pour voir" ce que cela faisait en quelqu sorte. Pour corser l'affaire, alors que nous avions déjà quelques martinets, j'avais repéré dans un "Bazard" de mon quartier (à l'époque ces charmantes boutiques recelaient des trésors en tout genre), quelques charmants instruments alors encore destinés à l'éducation des enfants peu sages. J'avais donc envoyé Madame en acheter un. Toute une histoire que je raconterai plus tard. Toujours est-il que le martinet rapporté fut testé aussitôt. Ayant accepté d'être fouettée comme une vilaine petite fille, elle le fut. Et effectivement, ce fut une superbe fouettée qui lui laissa les fesses d'un très beau rouge. On peut apprécier les arabesques dessinées par les lanières sur les pourtours de la zone fouettée. A l'intérieur de celle-ci, elles ont été si nombreuses qu'elles se confondent en un rouge quasiment uniforme. La Dame avait parfaitement relevé le challenge et avait repoussé ses limites le plus loin possible avant de demander "grace". La photo papier est de piètre qualité contrairement à cette fouettée qui figure surement dans son top 10. Je conserve soigneusement comme des reliques les instruments que nous avons utilisés. Ils reprennent du service de temps en temps !

Parmi mes martinets "maison" que je fabrique avec passion à l'aide de cuir parfois ancien trouvé sur des vide-greniers, il y en a quelques uns qui peuvent se révéler redoutables. Celui-ci par exemple, avec ses longues lanières épaisses et lourdes, ne met pas longtemps à faire rougir les fesses d'une polissonne ! L'appliquer directement culotte baissée n'est généralement pas mon choix. Ce serait beaucoup trop sévère ! A moins que la punie l'ait désiré ! Non, je préfère être méthodique et commencer par dessus la jupe ou la robe ce qui permet un échauffement progressif. Fervent partisan du jupon ou de la combinaison, une fois la jupe retroussée, j'aime prolonger une flagellation encore une fois progressive. Le frêle tissu ne protège plus guère et les cinglages se font sentir. Le petit jeu pervers consiste aussi à faire voler la combinaison en appliquant le martinet de bas en haut "sous les fesses". Il cingle alors les cuisses et le bas des fesses qui ne tarde pas à rougir. Un charmant petit jeu qui fait s'agiter délicieusement la punie. Celle-ci redoutera d'autant le moment où la combinaison sera retroussée. La petite culotte ne préservera plus guère son charmant derrière des cinglades et lorsque celle-ci sera descendue sur ses genoux alors commencera la danse des fesses fouettées accompagnée par la musique des claquement du martinet sur la peau nue et au chant par les plaintes de la punie.