
Blanda
Je m'appelle Julie et j'ai 27 ans. Je ne suis pas féministe, mais je suis forcée d'avouer que ce mouvement a tout de même réussi à changer ma vision de la femme. Quand j'étais plus jeune, avec mon petit ami de l'époque, nos relations sexuelles étaient souvent à sens unique. Les préliminaires ne duraient pas longtemps, puis il me pénétrait jusqu'à jouir et ensuite oubliait mon existence. Evidemment, certaines nuits étaient plus ardentes que d'autres, mais les orgasmes que j'ai eu avec lui se comptent sur les doigts d'une main.
Aujourd'hui les choses ont bien changé et étant donné tous les messages qui circulent au sujet de l'égalité femme-homme, je me suis dit qu'il serait temps pour moi d'arrêter d'avoir des relations sexuelles qui ne plaisent qu'à l'homme. J'ai donc décidé de me rendre sur un site pornographique afin de me faire une idée de ce qui se faisait en matière de sexe. Les vidéos de la page d'accueil se ressemblaient toutes, un mec musclé qui se déchaînait sur une femme. La seule différence avec mon couple était que l'homme de la vidéo était plus violent. Je suis même tombée sur la vidéo d'une femme qui se faisait pénétrer par la bouche pendant 10 longues minutes jusqu'à ce que l'homme jouisse. La femme pleurait mais pourtant l'homme continuait. Ce n'était pas dans une catégorie "hardcore" ou "domination", c'était considéré comme du sexe casual alors qu'il était évident qu'il y avait un individu beaucoup plus dominant que l'autre. Si les rôles étaient inversés, la vidéo aurait directement été classée dans "femdom", mais comme dans ce cas la femme était soumise, alors la vidéo était catégorisée comme du sexe banal car d'après les films X, être soumise est la norme.
Se faire dominer de la sorte est peut être un fantasme pour certaines femmes, mais pas pour moi. Cependant, le rôle de l'homme m'excitait un peu, et c'est là que j'ai eu un déclic. J'ai commencé à imaginer à quoi ressemblerait ma vie sexuelle si je refusais de me soumettre comme la femme dans cette vidéo, si je forçais mon partenaire à être celui qui subit. Cette pensée à elle seule a suffit à faire frémir mon corps tout entier et a éveillé un si profond désir en moi qu'elle en a changé complètement ma vision des relations femme-homme. Tout est devenu plus limpide. Comme si chaque femme avait enfoui en elle une envie de domination inépuisable, mais que la société actuelle faisait tout pour réprimer cette envie. Sauf qu'une fois que cette envie était exposée à la lumière de ma conscience, un désire ardent de domination s'est mis à grandir en moi. S'il était normal pour un homme de faire preuve de tant de violence durant l'amour, alors une femme doit pouvoir faire pareil sans éprouver de remords. La seule différence est qu'un homme est plus fort physiquement qu'une femme et doit donc faire preuve de retenue, tandis que je n'ai pas à me retenir autant car j'ai moins de chances de le blesser par mégarde. Réaliser qu'il était possible d'avoir des relations avec quasiment aucune forme de retenue a été libérateur pour moi.
En faisant quelques recherches supplémentaires sur internet, je me suis rendu compte que je n'étais pas la seule en avoir marre de subir. J'ai été surprise de voir à quel point une femme pouvait tant déstabiliser un homme et avoir le dessus durant le sexe, et surtout à quel point cela pouvait sembler naturel pour les femmes expérimentées. Là où les hommes faisaient preuve de retenue pour ne pas blesser, les femmes avides de contrôle que j'ai pu observer sur des sites pornographiques semblaient beaucoup plus libérées et donc plus dangereuses. J'ai aussi constaté que contre toute attente, certains hommes aimaient être malmenés. C'est ce que j'allais vérifier ce soir avec mon rendez vous Tinder.
Il s'appelle Thomas et a 23 ans. Je l'ai repéré sur Tinder car il avait écrit en bio "Tant que j'aurais un visage, tu auras toujours une place où t'asseoir". Il l'a probablement écrite sans trop réfléchir, s'il savait quelle était mon interprétation de sa bio, il n'aurait jamais osé venir à notre rendez vous.
Il est 21h, Thomas sonne chez moi, je le fais entrer.
"Salut Julie, tu es encore plus belle en vrai qu'en photo"
Il a l'air timide et peu expérimenté, ce qui me convient parfaitement. Je le fais entrer dans ma chambre, allume l'ordinateur portable et netflix et on s'asseoit tous les deux sur le lit pour décider de ce que l'on va regarder. Je me couche sur le ventre, du côté droit du lit, ce qui lui offre une vue parfaite sur mes fesses. Je mesure 1m65, je ne suis pas grosse, mon IMC est exactement dans la moyenne, cependant mes fesses sont plus imposantes que la plupart des filles et ça peut impressionner certains hommes. Thomas se trouve à ma gauche et l'ordinateur portable est devant nous. Je décide de le taquiner un peu
"Intéressante ta bio tinder, tu pensais vraiment ce que tu as écrit?"
Il repense à ce qu'il a écrit, puis regarde mes fesses et rougit, c'est drôle mais je décèle aussi une part de peur dans son regard.
"Oh tu sais c'était une blague, je ne veux pas vraiment que tu poses ton derrière sur mon visage! Tu sais les mecs écrivent parfois des choses débiles pour impressionner les filles. Surtout que tu es assez impressionnante en vrai au niveau de..., je suis pas sûr de pouvoir..."
Les mecs sont tous les mêmes, ils ont une grande bouche et regardent toujours nos fesses, mais quand vient le moment d'assumer leurs propos, il n'y a plus personne.
Je le vois quand même continuer à me mater, je réfléchis donc à un moyen de m'amuser avec lui en jouant de son obsession pour mon gros derrière.
Le film commence. Il est couché sur le dos, avec la tête légèrement surélevé par le coussin tandis que je suis toujours sur le ventre.
Je repense à mon objectif de prendre le plein contrôle de mes relations, et je décide de passer à la vitesse supérieur.
Quand un homme a une énorme paire de fesses comme les miennes à côté de lui, un rien suffit à l'exciter.
"Tu es sûr que ta bio n'était qu'une blague? J'en ai marre d'être couchée sur le ventre et ton visage a l'air confortable..."
C'était très osé de ma part de dire ça, mais oser le dire témoigne d'une énorme confiance en moi, je sentais un mélange de peur et d'excitation en lui, il pensait que si j'avais assez de cran pour dire ça, c'est que mes propos étaient à prendre au sérieux.
"C'est à dire que... en vérité j'ai toujours voulu essayer, mais avec toi j'ai peur de m'étouffer ou d'avoir le nez cassé, et encore, si ce n'était que cela ça irait, mais il y a une aura sadique qui émane de toi, je ne sais pas quoi en penser." dit-il
Il m'a bien cerné, je ne savais pas que mes intentions étaient si évidentes, comme si une simple prise de décision suffisait à changer entièrement une femme au point que même un inconnu le remarque. Mais ma détermination est inébranlable, je dois le rassurer sinon il va prendre peur et fuir.
"Si ça peut te rassurer, on peut utiliser un safe word. Si tu dis "stop", j'arrête tout, d'accord?"
Il aquiesca sans trop réfléchir, obnubilé par la vu qu'il avait, il ne parvenait pas à penser clairement. A force de gigoter de manière ostentatoire je savais qu'il ne pensait plus qu'à une seule chose, mes jambes. Je me suis volontairement exposée à sa vue afin de faire monter son désir et le rendre plus docile. Je me suis mise à quatre pattes pour monter le son de l'ordinateur, ce qui l'exposa a une vue encore meilleure et j'aperçu un début de bosse sous son pantalon. Et maintenant on peut commencer les choses sérieuses. il était déjà allongé sur le dos. Je mets mes pieds de part et d'autres de son visage, face à l'ordinateur et à ses pieds et je m'abaisse lentement jusqu'à ce que mes fesses soient en plein sur son visage. La sensation physique est agréable, mais ce qui m'excite le plus est d'avoir l'ascendant physique et mental sur lui, de savoir qu'il est assez soumis à moi pour me laisser m'asseoir sur lui, malgré la taille imposante de mes fesses qui englobent tout son visage.
Je recule légèrement pour mettre sa bouche face à la partie du jean qui recouvre ma vulve. La pression exercée est agréable, mais le jean entre nous deux diminue un peu les sensations que j'aurais ressentis sans. je dois donc exercer encore plus de pression sur son visage si je veux vraiment sentir quelque chose. Le dérangement que ça lui procure a l'air très supérieur au plaisir que j'en retire. Mon ancienne personnalité aurait sûrement arrêté de presser si fort contre son visage en sachant cela, mais maintenant que j'ai réalisé à quel point les hommes sont violents par rapport aux femmes durant l'amour, je me dis que le faire souffrir est acceptable du moment que ça contribue à mon plaisir, même de manière infime, et qu'il fallait que j'arrête de prendre les choses aussi sérieusement. Si un homme pouvait baiser une femme jusqu'à la faire boiter et l'oublier le lendemain, alors je ferais pire.
Je l'entends essayer de dire quelque chose, mais je ne comprends pas quoi. Cette sensation de puissance mélangée au plaisir physique de l'avoir entre mes jambes me donne l'impression d'être toute puissante. je commence à frotter de plus en plus intensément ma vulve contre son visage afin de compenser la perte de sensation que cause mon jean. Je pourrais très bien l'enlever afin d'éprouver plus de plaisir en ayant pas besoin de me frotter aussi fortement à son visage, mais savoir qu'il souffre pour mon plaisir est encore plus excitant à mes yeux. Il me repousse fortement afin de pouvoir prendre sa respiration. Je lui laisse 5 secondes, puis je le force à remettre sa tête en face de ma vulve et je recommence à me frotter contre son visage inlassablement, de plus en plus intensément jusqu'à entrer dans un état de transe, si proche de l'orgasme que je n'arrive plus à m'arrêter. Je sens qu'il est épuisé et qu'il n'a plus la force de me résister. Il essaye de me repousser à nouveau mais cette fois rien n'y fait, il essaye de parler mais je ne comprends pas, ses jambes se débattent mais il est impuissant face à mon bassin imposant et impossible à arrêter, comme si j'étais une machine bloquée sur la vitesse maximale. Je suis à deux doigts d'atteindre l'orgasme, je me frotte si intensément contre son visage qu'on ne voit plus sa tête qui s'enfonce profondément dans le coussin et dans le lit à intervalles de plus en plus courts jusqu'à ce que j'atteigne enfin l'orgasme.
j'ai les jambes qui tremblent, je n'ai jamais atteint un orgasme aussi puissant, j'attends un peu en étant toujours assise sur son visage, afin de lui faire comprendre que c'est ma proie et que je laisserais son visage libre quand je l'aurais décidé. Le film que l'on avait mis en route arrivait bientôt sur sa fin. Je décide de continuer à regarder tout en restant encore assise sur son visage. J'entends des semblants de phrases provenant de sous mes fesses, mais le son est trop étouffé pour que je comprenne quoi que ce soit. En entendant le générique de fin, Thomas semblait soulagé, il pensait que j'allais enfin le libérer. Pour le taquiner, je décide de regarder le générique jusqu'à la fin, il dure 10 longues minutes... Puis je finis enfin par le libérer. Son visage est tout rouge, il a du mal à parler et est à bout de souffle, il a l'air résigné et essaye de reprendre ses esprits, immobile sur le lit.
Le voir dans autant de souffrance devrait me peiner, mais pourtant je ne ressens que du positif, ainsi qu'une sensation de plaisir encore présente.
"C'était génial" dit Thomas, contre toute attente
Malgré les apparences, Thomas a aimé ce moment sous mon énorme derrière. J'ai du mal à le croire, mais il l'a dit de sa propre bouche, aussi usée soit elle. Il est donc possible de penser uniquement à soi du début à la fin tout en faisant quand même plaisir à son partenaire. Je repense à ces vidéos d'hommes si violents avec les femmes, et je comprends maintenant pourquoi ils choisissent d'être si brutal. Même si celui qui subit peut penser avoir eu une expérience plaisante, ce n'est rien comparé au bonheur de celui qui a le contrôle, au bonheur d'avoir les plein pouvoir, d'avoir le visage d'un homme sous son bassin et baiser son visage jusqu'à ce qu'orgasme s'en suive. Ce mélange d'autorité, de plaisir physique et de savoir qu'un homme est prêt à autant souffrir pour son plaisir n'est comparable à aucune sensation que j'ai pu connaître durant l'amour auparavant. Baiser son visage de plus en plus vite en sachant que c'est difficile pour lui, mais sans pour autant arrêter, est une sensation dont je ne pourrais plus jamais me passer. Faire souffrir en connaissance de causes sans connaître la moindre once de culpabilité, je n'aurais jamais cru en être capable, et surtout je n'aurais jamais deviné à quel point ça fait du bien!
C'est décidé, je dois trouver un homme qui me laissera utiliser son visage comme bon me semble quand je veux, je veux pouvoir décider de la durée, de l'intensité, de tout. Une fois qu'on a goûté au pouvoir, il est dur de s'en passer. Si je commence à me lasser de baiser son visage, alors je repousserais simplement les limites, je ferais durer ça plus longtemps, je me montrerais encore plus dure pour assouvir mes besoins toujours plus grands de domination. Au bout d'un moment je ne demanderais même plus l'autorisation pour chevaucher son visage. Je continuerais jusqu'à ce que ça devienne une dépendance pour moi et que je ne puisse plus arrêter de le faire même si je le voulais. Thomas était content de me voir prendre autant de plaisir, malgré le calvaire que je lui ai fait subir, ce qui me conforte dans l'idée de devenir encore plus égoïste vis à vis de mon plaisir pour mes prochaines relations.
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Dragosth
magnifique récit
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16/02/25

Espièglecoquin
Récit excitant et belle résolution. Il ne faut en effet penser qu'à vous. L'étouffement et l'écrasement du visage du soumis lui apportent un plaisir intense... Quand ma femme me maltraite ainsi, cela m'incite à redoubler d'efforts, enfoncer la langue aussi loin que possible, aspirer, masser et vibrer du visage et des lèvres frénétiquement
. Espérant son orgasme
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16/02/25

Esclavetoilette
Je suis totalement à vous si vous le souhaitez
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17/02/25
Bonjour, j'ai envie de servir de siège, homme ou femme peu m'importe. j'ai juste un appréhension, ne l'ayant jamais fait j'ai besoin d'une personne avec une hygiène absolu peut être qu'une personne se décidera à me faire vivre cette première expérience.
Soyez la première personne à aimer.
Salut y'a il des parisiennes ici car j'aimerais essayer cette pratique
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour,
Jeune soumis de 25 ans à la recherche d’une femme pour prendre place sur mon visage. Région lyonnaise, mais possibilité de se déplacer selon affinité…
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Un samedi gris et pluvieux en direction d’un fameux café de Lyon.
A mesure que je m’approche de ce lieu de rendez-vous, une angoisse sourde m’étreint. Je me demande quelles forces mystérieuses guident mes pas. Perdu dans mes interrogations et sans vraiment m’en rendre compte, je pousse la porte et scrute la foule qui est dense en cette fin d’après-midi. Je la vois immédiatement. Elle a posé ostensiblement sur la table, le magazine féminin qui devait me servir à la reconnaître. Je m’approche. Arrivé à sa hauteur, je balbutie un timide
« Bonjour, je suis Jérôme »
et elle m’invite d’un geste à m’asseoir. Pendant que nous débitons à tour de rôle quelques banalités d’usage, je me remémore l’annonce que j’ai passée sur quelques sites
« Jeune chef d’entreprise cherche femme soumise pour jeux… »
Nous nous étions fixés rendez-vous après quelques échanges de messages électroniques.Au bout d’une dizaine de minutes, elle prononce quelques mots qui me sortent brusquement de ma léthargie
« J’ai scrupuleusement suivi vos instructions ».
Je finis de reprendre contact avec le monde réel en la dévisageant. Visage banal, cependant mis subtilement en valeur par un maquillage léger. Yeux d’un marron profond. Cheveux blonds sagement ordonnés. Je lui demande d’ôter son manteau qu’elle avait gardé sur elle malgré l’atmosphère chaude et embuée du café. Elle est habillée d’une veste de tailleur foncée sous laquelle on aperçoit un chemisier clair. La table cachant ses jambes, je ne peux pas pousser mes investigations plus avant pour l’instant. Reprenant enfin totalement la direction de notre rencontre, je lui ordonne fermement d’ouvrir sa veste et de défaire quelques boutons de son chemisier afin que je puisse m’assurer par moi-même qu’elle disait vrai. Ses gestes mal assurés trahissent un trouble intérieur mais elle ne se défile pas à mon ordre de telle sorte que je découvre les prémisses d’une lingerie noire. Cette impression première est tout à fait confirmée quand elle se penche vers moi : un regard en sa direction aura suffit pour qu’elle anticipe l’ordre qui allait venir. Par l’entrebâillement ainsi formé, je vois le haut d’un bustier dont les bonnets contiennent une poitrine que je devine plutôt avantageuse. M’ayant demandé la permission de me quitter pour quelques instants, je la regarde s’éloigner. De taille moyenne, elle est par contre parfaitement proportionnée. Sa jupe lui arrive juste au dessus du genou mais le styliste a pris soin d’y adjoindre une fente sur le côté qui permet à tout un chacun de discerner parfaitement une jambe longiligne, recouverte ce jour d’un voile noir. Même en me contorsionnant sur la banquette que j’occupe, je ne peux identifier si cette seconde peau laisse libre la zone située en haut des cuisses. Aucune marque ne me permet non plus de savoir ce qu’elle porte sous cette jupe qui, décidément, cache bien des mystères.A peine revenue, je l’interroge
« Bas ou collants ? ».
Elle m’avoue sans détour porter des bas auto fixant. Dans toute autre situation, sa réponse m’aurait tout à fait satisfait mais je m’efforce de la tancer vertement. Je luis impose ensuite de décrire avec précision la pièce de lingerie qu’elle porte en complément de son bustier. Elle s’empresse de détailler une culotte en soie coordonnée, échancrée mais relativement couvrante, Je lui fais mille reproches encore pour ce choix, sans me préoccuper que les personnes attablées près de nous commencent à prêter l’oreille à notre conversation. Elle tente de se justifier, ce qui ne fait qu’empirer ma colère. Je coupe court à la discussion en lui lançant
« Venez ! Vous allez être punie ! ».
Nous sortons.Conscient que le succès de cette rencontre se joue à ce moment précis, j’avise rapidement une de ces lourdes portes en bois qui barrent l’accès aux immeubles bourgeois lyonnais. Un couple de personnes âgées vient de sortir et je bloque discrètement la porte avant de pénétrer sous le porche. Nous attendons silencieusement quelques minutes avant de pouvoir accéder à une cage d’escalier en profitant du va et vient des occupants des lieux. Je repère très rapidement un local sous l’escalier qui fera parfaitement l’affaire. Faiblement éclairé par un ouverture grillagée sur la porte, il sert habituellement à entreposer les poussettes et vélos.
« En position ! »
En réponse à cet ordre sans appel, elle se penche en avant, les mains en appui sur un carton qui traînait par là. Je rectifie la position en lui écartant légèrement les pieds. Ses fesses, légèrement plus hautes que son buste, sont maintenant parfaitement mises en valeur et je ne peux pas m’empêcher de prendre quelques secondes pour admirer le tableau. Je commence à caresser ce corps qu’elle m’offre à travers le tissu des vêtements. Elle trésaille un peu, par surprise, à la première claque que je lui applique sur la fesse droite. Puis, sans faiblir, je luis assène des coups réguliers alternant la cible : fesse droite, fesse gauche, fesse droite… Sous ma main, je la sens se décontracter progressivement et subir sa correction avec délectation. Je m’arrête juste pour soulever posément sa jupe et la relever sur sa taille. Sa culotte est bien tendue à cause de la position et j’aperçois à l’entrejambe quelques poils volages aussi blonds que sa chevelure. Je m’applique maintenant à la fesser plus durement et ma main chauffe à mesure où les zones de peau découvertes rosissent. Elle commence à réagir à chaque claque par un petit cri, quelques fois accompagné d’un mouvement de recul qu’elle corrige aussitôt. Elle se penche encore et s’appuie sur son avant bras, laissant ainsi son autre main libre. Alors que je pensais qu’elle allait s’en servir de protection, je la vois la diriger vers son pubis. Je l’arrête dans son geste. Il n’est pas encore temps. Je profite de cette interruption pour baisser jusqu’aux genoux le dernier rempart à son intimité, qu’elle ôte complètement de son propre chef. Les coups redoublent en intensité et je vois maintenant son postérieur franchement rougir. Seul le bruit répétitif des claques troublent le silence oppressant de l’endroit. A croire que l’immeuble s’est vidé. De sa main libre, elle a commencé à se caresser avec des mouvements circulaires de plus en plus rapides. Sa respiration plus saccadée me laisse penser que son orgasme est proche et je m’efforce de l’accompagner dans sa quête du plaisir en assénant les dernières claques avec la plus grande puissance possible. Un spasme très intense vient secouer son corps et un râle de plaisir ponctue sa masturbation. Essoufflé, je la regarde reprendre ses esprits.
« Merci » me dit elle, en se redressant et en se tournant vers moi.
Sa jupe reste accrochée à ses hanches et je porte mon regard vers sa toison soigneusement taillée qui cache à peine son sexe rougi par les caresses intimes qu’elle s’est prodiguée. Ma partie de contrat est remplie, je sais qu’elle respectera la sienne. Elle s’approche de moi et me pousse vers le mur de telle sorte que je puisse m’y adosser. Elle s’agenouille sur son manteau qu’elle a posé sur le sol et commence à me masturber à travers le pantalon de costume que je porte. Mon sexe n’a pas attendu ses caresses pour être turgescent mais elles renforcent mon érection. Pendant que sa main gauche continue à me procurer un plaisir grandissant, elle défait ma ceinture prestement. Mon pantalon tombe rapidement sur mes chevilles tandis qu’elle ne cesse ses va et vient le long de ma hampe. Sa main droite s’attaque maintenant à mon boxer qui rejoint rapidement le bas de mes jambes. Ses mains courent le long de mon pénis, leurs doigts jouant sur ce clavier sensible une partition délectable. J’ai l’impression qu’elles s’approprient chaque parcelle de sexe afin de lui faire prendre des proportions insoupçonnées. Ma verge se redresse encore lorsqu’elle pose délicatement ses lèvres sur mes bourses et entreprend de les lécher avec sa langue. Maintenant mon sexe d’une main, elle accélère ses mouvements avec sa langue avant de gober entièrement mon dard. Se servant de sa bouche comme du fourreau vaginal, elle s’amuse à simuler les va et viens de deux sexes unis. Les sensations ressenties sont extrêmes et je ne peux pas m’empêcher de soupirer d’aise à chaque fois que mon sexe est au fond de sa gorge. Tout en continuant ses jeux buccaux, elle a pris mes fesses à pleines mains et me les malaxe fermement avant qu’un doigt inquisiteur n’explore le sillon qui sépare mes deux globes fessiers. Elle ne tarde pas à s’apercevoir que je suis très réceptif à ce type de caresses car son index droit s’invite sans ménagement dans mes tréfonds. Sous l’effet conjugué de cette fellation et de cette sodomie manuelle, mon excitation atteint son paroxysme et je repousse sa tête des deux mains afin de ne pas lui imposer ma jouissance dans sa bouche. Loin de s’écarter, elle continue encore quelques secondes avant que mon sperme ne gicle et ne traduise mon plaisir. En se relevant, son regard croise le mien et j’y lis une satisfaction non feinte. Elle ramasse sa culotte et se tourne étrangement pour la remettre. Je peux ainsi me rendre compte que son postérieur a pris une teinte rouge cramoisi et je culpabilise un peu en repensant à la correction administrée.
« Rassurez-vous, me dit elle en lisant mes pensées, j’ai les onguents adéquats pour effacer rapidement votre hommage».
Je me réajuste enfin pendant qu’elle s’essuie les lèvres et en rehausse la teinte d’un rouge à lèvres d’une couleur très proche de celle de ses fesses. Est-ce une pure coïncidence ? En sortant de notre cagibi, j’entraperçois le couple croisé auparavant qui s’éloigne aussi vite que possible. Je me demande s’il nous a espionné. Nous nous rendons compte que le soleil brille maintenant sur Lyon et nous dirigeons nos pas vers une station de taxis toute proche. Elle s’engouffre dans une voiture toujours sans mot dire et me fait un petit signe de la main avant que le véhicule ne démarre. En rentant chez moi de cet après-midi ludique, j’allais recevoir un message sur ma boite aux lettres en précisant que cette fois, c’est elle qui élaborerait le scénario.
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Bonjour jeune soumis qui cherche une jeune maitresse dans le var des interessée?
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Merci tarkan d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Bonjour esclave de lechage en seine maritime je recherche une femme juste pour son plaisir je me déplace 😚
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Je reviens souvent sur ces histoires sexuelles vraies, vécus sexuels plus qu'amoureux, bien que je me suis vu être très amoureux, jusqu'à coup de foudre même. Ma compagne de vie à l'époque, Françoise, son prénom, était plus jeune que moi de seulement un ans d'écart entre nous, elle étant plus jeune. Françoise m'exprimait être aussi très amoureuse de moi, cela réciproquement à l'amour que je lui donnais, soit aussi fort. Cela dit, le sexe semblait prendre aussi une place très certaine, presque continuelle, très régulières entre nous. J'aimais les choses du sexe, étant souvent en fortes excitations, dans l'envie de sexe, avec des fantasmes torrides en tête, des scènes particulières, des scènes plus d'homme soumis le plus souvent, que d'homme dominant. Des scènes où je m'imaginais tomber sur au moins une femme, qui elle, serait déjà plus attiré par le sexe que les sentiments, même en étant amoureuse, pour qui les choses du sexe, seraient prioritaires, plus fortes encore pour elle. Une femme qui serait très addicte, mais aimant l'être, assumant ces vicelardises sexuelles, jusqu'à tomber même, à vouloir aller très loin, dans le dégueulasse sexuel, le crade, la saleté, la vulgarité des gestes, des mots, des regards, des envies de sexe hard. A des époques où très jeune encore, dés les débuts de ma sexualité, mes premières masturbations, en effet, je fantasmais vraiment de ce genre de femme, plutôt dominatrice de réelle personnalité, de tempérament et caractère, d'une femme très obsédée sexuelle, une nymphomane en un mot, aimant décider des choses entre nous, ou elle sur moi, donner ses ordres et de me les faire exécuter. Une femme aimant me voir souvent, voir très souvent, devant elle, entièrement nu, voulant elle même en décider, me déshabiller et de me maintenir nu toute une journée, où plus encore, fonction de ses possibilités que de me faire venir chez elle, ou que je puisses aussi me libérer pour se faire. Cela donc, étant des fantasmes lorsque je me masturbais tout seul, ou solo, peut importe. Pour autant, je me suis trouvé être tombé précisément sur ce genre de fille, ne me doutant pas que ce genre de femme que je fantasmais, pouvait en vrai, exister, être telle qui répondait en vrai, de mes pensées, mes rêveries ou fantasmes sexuels. Peut être rare soient ce genre de femmes, serte, mais Françoise en tout cas, tant physiquement, même si moindre, banale, pas trop jolie, trop top, juste une simple femme m'attirait fortement, réussissait vraiment à me faire lui céder, à savoir par le temps, comment m'exciter par une façon d'être, de me parler, de me regarder, savait comment pouvoir attirer mon attention à elle, faire que je l'accepte telle qu'elle est, et telle qu'elle fonctionnait sexuellement, telle qu'elle était et me voulait pour elle. J'ai succombé totalement à ses désirs de moi, sur moi, pour elle. Sexuellement, elle me passait avant tous les sentiments d'amour qu'elle exprimait avoir pour moi, passait tout du sexe en premier. Elle exprimait ses sentiments amoureux, par son affection pourtant forte, sa tendresse, que lorsque que ses envies sexuelles ne la saisissaient pas quand elle était par exemple, fatiguée, pas inspirée qui lui coupait les envies. Aussi, si elle pensait que cela, je le méritait, si bon garçon avec elle, juste à point de ses envies, de répondre à ses fantasmes, ses ordres. J'aimais être ainsi traité par Françoise, qu'elle aime me mener ainsi, décider de moi, des choses sexuelles à ma place, que Françoise me commende, me gouverne, en décide de moi sexuellement, de mes propres envies de sexe, ou gère elle même ma sexualité. Que Françoise décide soit que je me déshabille à sa demande, ou qu'elle veuille elle même, me déshabiller, et aller jusqu'à même, me gouverner, me donner ses ordres lorsque je devais aller faire mes besoins naturels, m'ordonner que je les fasses devant elle, que je lui demande même la permissions d'aller sur le "pot". Je devais nommer plus le mot "pot", que wc, car Françoise s'excitait sexuellement, de me traiter comme un petit garçon, tout comme son bébé, s'excitait fortement, une fois nu, de vérifier si vraiment j'étais plein, si vraiment envie du pot, de faire mon pipi et caca aussi. Donc, Françoise me déshabillait, me déculottait entièrement, me prenait et me plaçais sous la lumière de la pièce ou nous nous trouvions, ce pouvait être sa cuisine, par exemple. Elle s'asseyait sur une chaise, me saisissant par les deux mains pour me placer devant elle, et me glisser entre ses jambes, ouvrant grand ses cuisses pour me recevoir nu sous ses yeux. Je devais m'abandonner à elle, entièrement, même si je me sentais comme humilié, que je craignait qu'elle m'abaisse, me fasse du mal en manipulant toutes les parties du corps, mais surtout les zones intimes les plus sensibles aux attouchements. Une fois nu, positionné au gout de Françoise, devant me laisser faire, la laisser procéder sur moi en gardant les bras le long du corps, Françoise ma compagne mais qui devenait plus ma Maîtresse que mon amoureuse éperdue , commençait à m'étudier entièrement, tout partout, jusqu'à observer mes expressions de regards sur elle, sur ses intentions, ses gestes, ses acts. Elle étudiait mes grimaces, mes mics-mics, comment je gesticulais, trépignais surtout quand mes envies de faire mes besoins étaient de plus en plus pressantes, fortes, elle m'étudiait jusqu'à m'entendre gémir, m'écoutait grogner en serrant les dents et les fesses en plus. De là, fixait ses regards sur mon zizi qui commençait à vouloir se dresser, se durcir par l'excitation provoquée par sa façon de me regarder, le fait de me faire traiter ainsi par elle, qu'elle m'étudie, m'ausculte, observe les choses de mon corps, de mes parties intimes toutes entières, pire encore, car, Françoise pour me vérifier, vérifier s je fonctionnais bien, partout, comme il faut, là ou il faut et quand il le faut, au bon moment, dans les bonnes positions, si également je ne lui mentais pas de mes envies de faire mes besoins natures, tant pipi que caca. Là, toujours devant elle, sous ses yeux, ses regards, observé par elle, de la tête aux pieds, le moindre détail, mes moindres conduites, mes regards, gestes, dandinements, j'en passes, Françoise passait une main sur mon bas ventre, allant même m'introduire le bout d'un doigt, dans mon nombril, quand ce n'était pas sa langue en bavant. Puis, m'examinait tout le sexe, pénis, testicules, gland, le méat qu'elle aimait m'ouvrir, le sentir, le lécher, malgré les odeurs fortement puissantes, fétides, répugnantes du trou à pipi disait elle. Elle vérifiait donc au bas ventre, si ma vessie semblait vraiment remplie de pisse. Si pas le cas, elle me grondait et m'ordonnait alors, d'attendre encore de me remplir la vessie de pipi, elle voulait me voir, me regarder faire longuement pipi devant elle, étudier mes jets s'écouler dans la cuve du wc, écouter les bruits des écoulement de mes jets, en même temps qu'elle me tenait elle même le zizi, m'écartait l'orifice pendant que je me vidait sous ses yeux. Même plus loin, plongeait un autre main libre, ses doigts, dans le jet de pipi, et quand presque fini d'uriner, me faisais me lever légèrement du "pot", m'ordonnait de bien bomber les fesses, en ouvrant aussi, grandement mes cuisses en signe de consentement, d'abandon à elle, de bon soumis sous ses ordres, bien docile, obéissant garçon à sa maîtresse. La, Françoise me frappait les fesses d'une main, puisque de l'autre, me tenait la quéquette cette fois bien raide d'excitation sexuelle, même en me faisant humilier de me faire traiter comme ça, pour lui donner de bien s'assouvir de moi, de ses envies de sexe hardes, crades, qui l'excitait à fond d'ailleurs. Je finirais l'histoire à autre retour ici, mais avant, juste le fait que Françoise, ma compagne, mon amoureuse de l'époque et ma Maîtresse à la fois, qui faisait de moi sa chose, sa propriété, son animal domestique en même temps, qui me versait dans la totale régression en m'infantilisant à la fois, au moment où, en plus de faire pipi, pipi qu'elle étudiait à s'écouler dans l'eau du wc, m'écartait la raie inter fessière, cela pour découvrir mon anus, l'étudier pendant que je devais pousser, toujours devant elle, nu, sous ses ordres, la dilatation, l'ouverture de mon orifice anal, pendant que commençaient à sortir mes premiers cacas, les regardait aussi tomber dans le fond de la cuve, en plus des clapotis, des bruits de gargouillements rectaux, anal, puis quand le caca tombait dans l'eau. Tout cela l'excitait à un point fou, malgré les odeurs qui la faisait grimacer de dégout, de répugnance des choses de la nature et animal, mais, comme c'était de moi, ça passait quand même qui la faisait bien jouir à bloque. Françoise donc, m'écartait la raie, sur la quelle elle me crachait ses baves pour me lubrifier le trou, cette fois ci, à caca. Elle suça son indexe, étalait ses crachats le long de ma raie, puis sur mon anus à moitié dilaté et à moitié ouvert qui aussi se refermait, ou se crispait fonction de mouvements et m'introduisait enfin, jusqu'au fond de moi, son doigt. Françoise agitait son doigt dans mon rectum, bien jusqu'au fond, le tournait en faisant aussi des vas et des viens, qui me fouillait en me buttant son doigt par des accoups, jusqu'à me voir être profondément saisi, pénétré, encombré d'elle, que je la sente bien en moi, en plus de mon caca qu'elle me descendait dans mon rectum, jusqu'à le mener jusqu'à mon anus, le voir sortir, qu'elle me sortait, ou m'extirpait avec son doigt. Elle s'en foutait que cela soit sale, crade à vomir, elle aimait, aimait ça, sexuellement, me faire subir, m'humilier, aimait le regarder faire mes besoins, me regarder, me doigter, me fouiller pour elle même, tout sortir de moi, en plus de me faire et regarder faire pipi et là aussi, étudier, en me tenant le zizi et ouvrant mon orifice urétral en même temps. A prochaine histoire du genre.
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Bonsoir, je cherche une maîtresse qui saura me dominer et m’avoir comme esclave .
Je suis un jeune soumis voulant apprendre à être esclave
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N’hésitez pas à me contacter si vous voulez vous faire bouffer le cul.
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01/02/25
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N’hésitez pas à me contacter si vous voulez vous faire bouffer le cul.
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01/02/25
open uniquement à une candidature d'un slave de ma région proche, les "je me déplace sans problème" ça ne m'intéresse pas. je sais exactement ce que je veux ou non .:.
01/02/25
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Je m'étendrai alors, sur le dos pour que vous fassiez de moi, votre monture. Mon visage, la selle. Cuisses contres mes joues, mes lèvres et ma langue à la disposition de votre intimité ouverte par la positon , vouée à votre plaisir.
Au grès de vos envies et balancement de hanches, sucant et lechant ce que bon vous semblera.. Vulve ou Anus, avide du contact des deux. Tantot m'y s'enfonçant avec application, tantôt aspirant avidement, bouton de rose et pétales. Je parcourrai les creux, les reniflement , flatterai chaque texture intime, guettant gémissements, contractions, écoulements, ivre d'être digne de ma tâche.
N'écoutez que vos sensations, pesez de votre poids, soyez brutale . Je vous y en couragerai de mes bras plaqués contre vos hanches.
Ma seule récompense, les goût et les parfums, de vots parties intimes et de leur liqueurs , que j'espère lourds et capiteux, et même négligés
Aussi longtemps que nécessaire à votre plaisir, qui très probablement déclencher le mien, étalé sous vos yeux en giclees saccadées , voire dans vos mains... Offert à votre langue
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Ma tête entre vos mains, m'abandonner, vous laisser m'apaiser de vos paumes sur mes joues, de vos doigts sur mes tempes, ne pas retenir ma nuque, écouter où vos mains m'entraînent, comprendre mon visage devenir tactile, voir mes yeux s'écarquiller en mode macro, ma bouche calice, la langue pistil, mon nez arçon pour votre croupe cavalière...Bridez moi amoureusement, murmurez moi vos humiliations affectives.
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Même de me faire lors d'activités sexuelles, ausculter de partout, de tous mes orifices également, un fantasme souvent que je nourri de vivre en vrai, que par des femmes aimant sexuellement dominer, humilier un garçon, même vieux. Me voir être contraint par des femmes vicelardes sexuelles en plus, à exécuter des ordres très rabaissants qu'ils seraient pour moi, je ne sais en vrai si je cèderais à leurs envies sur moi, leurs désirs sexuellement de m'assujettire à leur désir de disposer de moi à volonté, jusqu'à devoir faire des choses dégoutantes, humiliantes à fond, des choses indescriptibles mais qui les exciteraient à bloc, les feraient bondir tellement que leurs orgasmes les saisiraient des plus fortement, qu'elles même ne se seraient douté que cela leur arriverait de vivre. Qui d'ailleurs, en voudraient encore subir. Ces femmes seraient des nymphos , pour qui le sexe vécu ainsi, avec des acts crades, même répugnants, des faits sexuels indescriptibles écœurants, qui leur feraient honte même de révéler faire, exercer sur un homme qu'elles exploiteraient qu'à des fins uniquement sexuels, dont elles en auraient envie comme elles auraient envie de drogue, par exemple. Cette drogue serait pour elle, donc, du sexe, que pour du sexe, rien d'autre, que pour envie de sexe uniquement. Ces femmes seraient comme malades sexuelles, des prédatrices affamées sexuelles, même, je dirais, boulimiques sexuelles, jamais rassasié, toujours envie de sexe. Bon, j'exagère bien sur le cas de figure, mes fantasmes, mais bon. Me penser ainsi, voir même, capturé par des femmes malades sexuelles, vraiment des pures obsédées sexuelles, des femmes qui me séquestreraient pour pouvoir m'exploiter sans limite, sans fin, durablement dans le temps, qui me déshabilleraient entièrement et me maintiendraient tout nu, qui me dresseraient à coups de fouet, trique, cravache et ceintures, aux fesses, cuisses, mollets, sur le ventre, en plus de quelques gifles et de très fortes fessées cuisantes et bien dégradantes tellement humiliantes, cela, que pour du sexe, s'assouvir de moi pour leur compte, leur nom de femmes dominantes, pour assoir sur moi, leur suprématie de femmes supérieurs sur moi, leur autorité ferme. Sexuellement, en tout, tous instants et lieux, je serais dépendant d'elles , livré, donné corps et âme, devant obéir à leurs ordres sans contester, grogner, me plaindre, ni râler, juste que lorsque je me ferais fesser, fouetter, cravacher, que je recevrais le martinet, la tric, frapper sur le ventre, par ces femmes à qui désormais j'appartiendrais comme esclave sexuel, comme domestique, chien et objet sexuel, comme jouet sexuel, pantin même. Je leur servir de sextoy, de crachoir, voir aussi, de tapis de masturbation où elles pourront se frotter sur moi, se masturber, me souiller d'elles, de leur féminité, m'engluer de leurs baves, en se soulageant même de leurs besoins naturels sur moi. Mais elles me mettraient une main sur les yeux, ou un bandeau, tout choses pour ne pas que je les voies faire, se soulager sur moi. Il y aurait qu'elles qui pourraient me voir faire mes besoins, me regarder faire devant elles, sur leurs ordres, et à leurs pieds, tout comme, et parce que leur chien. En plus, devrais me soulager, tout nu, bien ouvrir les cuisses pour me donner à leurs visions, que tout de moi, de mon intimité à me soulager de mes besoins, se voie, qu'elle puisses étudier me jets, et la sortie, et tomber mes excréments pour vouloir s'exciter de m'humilier, me rabaisser, même de me régresser, me traiter vraiment en vrai petit garçon, qui tour à tour, me tiendraient même le zizi pendant mes besoins naturels. En plus, elles me regarderaient faire, dans les yeux, comme si elles étaient mes mamans, m'avaient conçu et pondu, reçu de leur ventre, d'entre leurs cuisses. Elle me parleraient tout comme vraies mamans, en vers moi, devenu leur petit garçon, qui me mettraient sur le pot, vérifieraient si et quand j'aurais envie de faire mon pipi, mon caca ou les deux. Examineraient mon bas ventre en le tâtant, passant les mains, pour observer au niveau de ma vessie si pleine, ainsi qu'elles me feraient me retourner, me baisser en bombant bien les fesses, qu'elles m'écarteraient afin de voir si je suis plein là aussi. Si mon anus semble vouloir se dilater, s'ouvrir, si des flatulences se produisent et qui, si pas encore sure, finiraient par me doigter, me fouiller bien, et tout au fond dur rectum. Que si je me crispais faute de gêne, d'humiliation totale et profond, quitte que quitte, tant pis pour le dégueu, si vulgaire, au contraire, allé, on le fouille et lui sort tout nous même, on s'en fout de ses sentiments, s'il à honte, même s'il n'aime pas se faire traiter de la sorte que par des femmes, tout nu devant elles, dominé, contraint, rien que pour nous assouvir, que du sexe, on le doigt et lui retire nous même le caca. Il nous sert aussi pour engraisser, servir à faire ses boues, nous produire du purain pour lui exploiter tout ça. Voici là, un fantasme de sexe extrême, bien hard, vulgaire, à, la fois animal ou bestial, aussi, de sexe rabaissant par regression, car traité comme un petit garçon, infantilisé et subissant de force en plus, le maternage et la suprématie de femmes, qui me feraient encrer dans le cerveau, qu'elles auraient bien pu être mes mamans, m'avoir fabriqué de la tête aux pieds, zizi, fesses, anus, rectum compris, testicles aussi, m'avoir porté dans leur ventre ou utérus, et reçu, souillé de leurs sang, de leur liquide amniotiques dont d'elles j'aurais pu être englué. Je ne sais si un tel fantasme sexuel avec des femmes, des femmes en seraient intéressé, les exciteraient sexuellement, elles même que de fantasmer lors d'activités sexuelles, masturbation également. A savoir.
Namio je crois que nous aimons tous ces gravures et nous aimerions tous etre dans ces situations
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Mа рrеmіèrе ехрérіеnсе dе sоumіssіоn BDSM ? J'аvаіs 22 аns à реіnе еt jе сrоіs quе jе m'еn sоuvіеndrаі tоutе mа vіе… С'еst là quе tоut а соmmеnсé, с'еst се sоіr-là quе lа sоumіsе quе jе suіs аujоurd'huі еst née…
Cela fаіsаіt dеuх sеmаіnеs quе jе dіsсutаіs аvес Mах, сеt hоmmе mаturе dе 20 аns dе рlus quе mоі аvаіt réussі à mе fаіrе mоuіllеr dès nоs рrеmіеrs éсhаngеs, еt çа m'аvаіt tеllеmеnt іntrіguéе quе jе nе роuvаіs раs m'еmрêсhеr dе mе рréсіріtеr роur lіrе sеs mеssаgеs еt luі réроndrе іmmédіаtеmеnt mаlgré mа rétісеnсе lіéе à sоn âgе. Quеlquе сhоsе еn mоі mе роussаіt déjà à luі оbéіr соûtе quе coûte…
Déjà jе n'аvаіs раs lе drоіt dе luі роsеr dеs quеstіоns sur sа vіе рrіvéе, іl m'аvаіt dіt “sі tu еs vrаіmеnt mоtіvéе à dеvеnіr mа sоumіsе lе tеmрs d'unе sоіréе оu аttіtréе tu dоіs lе рrоuvеr”, аlоrs jе mе suіs рlіéе à sеs règlеs еt jе m'étоnnаіs mоі-mêmе d'unе sі fоrtе dосіlіté dе mа раrt, сеlа nе mе rеssеmblаіt раs du tоut, mоі quі аvаіs un саrасtèrе sі fоrt hаbіtuеllеmеnt, nоtаmmеnt аvес lеs hоmmеs. Mаіs аvес Mах, іl sе раssаіt vrаіmеnt quеlquе сhоsе dе nоuvеаu еn mоі, с'étаіt рlus fоrt quе mоі, jе sеntаіs quе j'étаіs fаіtе роur luі оbéіr еt jе соmmеnçаіs à соmрrеndrе се quе роuvаіt êtrе lе désіr d'êtrе sоumіsе, mаіs surtоut lе рlаіsіr еt tоutе l'ехсіtаtіоn quе сеlа mе рrосurаіt !
Іl étаіt еnfіn vеnu lе sоіr оù jе mе rеndіs à sоn dоmісіlе, рrêtе à рlоngеr dаns l'іnсоnnu, dаns un unіvеrs quі m'еffrауаіt еt m'аttіrаіt à lа fоіs… J'аvаіs déjà еntеndu раrlеr dе séаnсе BDSM, dе bоndаgе еt dе sоumіssіоn, mаіs jе n'аvаіs еnсоrе jаmаіs vu nі tоuсhé d'ассеssоіrеs SM, nі véсu dе rеlаtіоn dе sоumіssіоn аlоrs с'еst аvес unе сеrtаіnе аррréhеnsіоn quе jе mе рrésеntаіs аu sеuіl dе sа роrtе. Lеs mоts dе Mах résоnnаіеnt еn mоі : “tu dеvrаs rеsресtеr сеs trоіs règlеs : оbéіssаnсе, vоuvоіеmеnt еt іntеrdісtіоn dе dіrе nоn !”.
Jе sоnnаіs trоіs fоіs соmmе іl mе l'аvаіt dеmаndé еt Mах m'оuvrаіt rаріdеmеnt mêmе sі сеs quеlquеs sесоndеs mе sеmblаіеnt іntеrmіnаblеs… Іl étаіt élégаnt еt bеаu, sоurіаnt еt mе fіt еntrеr еn mе fаіsаnt lе bаіsеmаіn. С'еst unе рrаtіquе соurаntе сhеz lеs lіbеrtіns, mаіs jе fus surрrіsе еt ехсіtéе dе сеttе аttеntіоn. “Bоnsоіr Mоnsіеur Mах” luі dіs-jе аvаnt d'entrer.
“Entre dаns lе sаlоn Lаurа, tu tе déshаbіllеs іntégrаlеmеnt, jе nе vеuх раs dе tіssu nі dе bіjоuх sur tоі…”. Сеttе іntrоduсtіоn m'аvаіt ехсіté аu рlus hаut роіnt, еt étrаngеmеnt, сеlа m'аvаіt mіsе еn соnfіаnсе égаlеmеnt. Jе m'ехéсutаі tоut еn оbsеrvаnt lа ріèсе, j'ареrçus sur lа tаblе dе nоmbrеuх ассеssоіrеs : dеs соrdеs, un соllіеr, unе раіrе dе mеnоttеs, un bаndеаu, dеs ріnсеs, unе сrаvасhе... Jе mоuіllаіs іntеnsémеnt à l'іdéе dе се quі аllаіt sе раssеr… “Jе suіs рrêtе Mоnsіеur Mах !”.
Іl mіt lе bаndеаu sur mеs уеuх, mе fіt mеttrе à gеnоuх, іl mе suffіsаіt dе mе lаіssеr guіdеr, dе mе lаіssеr fаіrе. Jе sеntіs lа соrdе еntоurеr mа роіtrіnе, аu-dеssus еt еn dеssоus dе mеs sеіns еt sе sеrrеr dаns mоn dоs, рuіs іl mе mіt lе соllіеr аutоur du соu, dеs ріnсеs sur lеs tétоns. J'еus mаl, jе сrіаіs еt j'аі rеçu mеs рrеmіеrs соuрs dе сrаvасhе sur lеs fеssеs… “Tu sоuffrеs еn sіlеnсе, jе nе vеuх раs t'еntеndrе”. Mаіs іmроssіblе роur mоі dе nе раs gémіr еt jе соmрrіs vіtе quе l'іntеnsіté dе mеs сrіs аugmеntаіt сеllе dе sеs сlаquеs рunіtіvеs еt j'еn étаіs déjà ассrо ! А quаtrе раttеs dаns sоn sаlоn, іl рrаtіquаіt lе fіst dаns mа сhаttе аvаnt d'іnsérеr dаns mоn реtіt trоu un сrосhеt anal.
Quand jе sеntіs lа соrdе rеlіеr lе сrосhеt аu соllіеr quе jе роrtаіs jе mе sеntіs аlоrs tоtаlеmеnt sоumіsе à Mах, sа рuіssаnсе еt sа vіrіlіté fаіsаіеnt dе mоі unе сhіеnnе déрrаvéе luі арраrtеnаnt tоtаlеmеnt dès сеt instant.
Іl mе рrоmеnа соmmе unе сhіеnnе еn mе guіdаnt раr lе сrосhеt аnаl, m'аmеnа dаns unе аutrе ріèсе оù j'ареrçus dеs grаndеs соrdеs quі реndаіеnt. Іl m'аttасhа аlоrs lеs сhеvіllеs à сеs соrdеs à l'аіdе dе brасеlеts dе сuіr, еt lеs mаіns mеnоttéеs à un аnnеаu fіхé dаns lе sоl. J'étаіs susреnduе, lеs jаmbеs еn l'аіr très éсаrtéеs еt lеs mаіns аu sоl аu-dеssus dе mа têtе.
Jе rêvаіs dе sа quеuе dаns mоn vаgіn, mаіs jе n'у еu раs drоіt dе suіtе, lоіn dе là. Іl рrіt un vіbrоmаssеur wаnd еt іl соmmеnçа à tоrturеr tоus mеs sеns. Іl lе раssаіt sur mеs tétоns très sеnsіblеs арrès m'аvоіr еnlеvé lеs ріnсеs, sur mоn сlіtоrіs еt dès quе j'аррrосhаіs l'оrgаsmе, іl lе rеtіrаіt… Mоn соrрs соnvulsé bоugеаіt dаns tоus lеs sеns, j'étаіs рrіsоnnіèrе dе sеs gеstеs еt dе mеs stіmulаtіоns sехuеllеs ! Jе n'аvаіs рlus dе bаndеаu sur lеs уеuх еt tаndіs qu'іl соntіnuаіt dе tоrturеr mоn сlіtоrіs, іl mе bаіsаіt lа bоuсhе еt mе fоrçаіt à luі léсhеr l'аnus. Jе n'étаіs рlus mоі-mêmе, j'étаіs dеvеnuе sоn еsсlаvе, un оbjеt sexuel.
La suіtе dе mа рrеmіèrе séаnсе dе sоumіssіоn fut sі іntеnsе quе tоut sе mélаngе еnсоrе dаns mа têtе. J'аvаіs реrdu tоtаlеmеnt lе соntrôlе dе mеs реnséеs еt dе mеs sеns. Jе fus bаіséе, sоdоmіséе, fоuеttéе… Jе mе sоuvіеns аvоіr été détасhéе еt bаіséе à quаtrе раttеs lа têtе à tеrrе еt lеs mаіns mеnоttéеs dаns lе dоs. Lе SM еt lе bоndаgе n'étаіеnt рlus un fаntаsmе, с'étаіt dеvеnu unе évіdеnсе еt tоutе mа sехuаlіté s'еn еst trоuvéе trаnsfоrméе еt еnrісhіе. Mах fut mоn mаîtrе реndаnt 5 аns, с'еst grâсе à luі quе jе suіs dеvеnuе unе sоumіsе épanouie.
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Il me l’a annoncé cet après-midi. Pour fêter mes 27 ans, nouvelle séance de 2 heures environ, dîner à la maison, une seule consigne : tenue publique.
Tenue publique fait partie du vocable du contrat : Petit haut boutonné sur le devant, jupe courte, escarpins assortis. Bien entendu, aucun sous vêtement. J’ai eu tout le temps nécessaire pour me préparer. Une douche minutieuse, un lait légèrement parfumé pour le corps, quelques retouches épilatoires, maquillage, coiffure.
Le dress code « tenue publique » me laisse quelques options, jupe plus ou moins courte, haut plus ou moins transparent. Voyons… Dîner à la maison signifie que nous ne sortirons pas. Je pourrais me permettre une petite initiative en portant un chemisier très fin, à peine opaque, qui laisserait entrevoir mes seins. J’hésite… Et me ravise : La consigne était simple et ne laissait aucune place à l’improvisation. Je reste donc dans les clous avec une mini-jupe à volants qui m’arrive un peu au-dessous des fesses, et un chemisier à boutons cintré mais somme toute, assez pudique.
Quelle imbécile ! Dans quoi j’étais embarquée et pourquoi j’avais commis cette erreur. La vie était simple et agréable, pas de gros moyens mais beaucoup de temps libre et puis cette sottise il y a environ un mois, cet adultère, qui avait failli ruiner mon couple et ma vie. Sept ans d’amour, de connivence et bien sûr, de fidélité. Qu’est ce qui m’a pris !
De l’abattement, il était passé à la colère, puis aux décisions : séparation, vente, divorce. Heureusement, aucune progéniture, c’est déjà ça. Bien penaude et paniquée par sa détermination, j’essayais de relativiser, de faire peser ces sept années sans accroc. Sans aucun succès.
Il est 19 heures. C’est l’heure, je descends.
Comme à chaque fois, un sentiment m’envahit. L’appréhension : je n’ai aucune idée de ce qui va se passer.
J’ai mis au point une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit de toutes préoccupations matérielles, je rentre dans une espèce d’état second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne m’appartient plus. Mon Dieu, qui aurait dit que j’étais capable de faire ça ! Deux heures par semaine d’abandon et d’obéissance avec des règles que je dois respecter à la lettre.
Je suis en bas, je traverse l’entrée, la porte vers la pièce à vivre est ouverte. Il m’accueille.
« Tu es très belle ma chérie ».
« Merci » (ça fait toujours chaud au cœur de l’entendre quand cela vient de l’homme qu’on aime)
« Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu le sais »
Oh, je sais ce que ça veut dire : séparation, vente, divorce. Affreux chantage mais bon, je m’y suis mise toute seule dans cette situation.
Et puis, pour être honnête, au fil des séances et grâce à ma technique, il m’est arrivé de prendre du plaisir. De plus en plus même. Ben oui ! Ça y est je l’ai dit. C’est compliqué : Bien sûr, ce chantage, cette domination qu’il exerce sur moi me dégoûte. Mais…cette attention qu’il me porte pendant les séances pour que je n’ai jamais froid, pour que les douleurs qui me sont infligées soient non seulement supportables mais même excitantes, pour que je me sente belle et désirée à tout instant, me font perdre mes aprioris.
« Je suis prête » Je respire profondément.
Au rez de chaussée, l’entrée donne sur la pièce principale qui comprend une vaste salle à manger avec cuisine intégrée et un petit salon contigu. La table est longue, massive. Elle peut recevoir jusqu’à huit convives. Quatre fenêtres s’ouvrent sur la rue, distante de quelques mètres de pelouse. Il s’assoit.
« Alors nous allons commencer ! Position n°1 ! »
Depuis un mois, même à raison d’une fois par semaine, j’ai eu le temps d’apprendre les positions.
Position n° 1 : Je me tourne vers lui, je baisse les yeux, je mets mes deux mains sur la tête, j’écarte légèrement les jambes. Ne jamais avoir les jambes serrées.
« Oui monsieur ! »
Je fais le vide dans mon esprit. Je ne pense plus qu’a sa voix, aux ordres qu’il me donne, et à la façon d’obéir au plus près de ses attentes et même, si je peux, un peu au-delà. Ça y est, ça commence : En relevant les bras pour mettre mes mains sur la tête, j’ai fait ressortir ma poitrine et j’ai senti le tissu glisser sur la pointe de mes seins. Pas assez pour m’emmener au septième ciel, bien sûr, mais comme je n’ai plus que ça en tête, j’ai l’impression que mes tétons ont commencé à durcir. J’ai les yeux baissés mais je sais que c’est précisément l’endroit de mon corps qu’il observe et cette fois ci, c’est sûr, malgré moi, mes tétons pointent à travers le tissu. Quelle Chienne !
Ah oui ! Pendant les séances, je suis sa chienne, sa salope et sa pute. A l’occasion, je suis également sa pisseuse et sa suceuse. Cette vulgarité et ce manque de respect ont étés spécifiés sur le contrat que j’ai signé. La première fois, ça fait drôle. Je me suis dit : c’est fini ! Il ne m’aime plus du tout et même, il me méprise pour m’insulter de la sorte. J’ai vécu l’enfer pendant toute la première séance, persuadée que c’était la fin de notre amour.
« Bois un verre d’eau ! » Ah ? Bon !
« Oui Monsieur ! »
Le verre est là sur la table. Il l’avait déjà mis en place. Curieux ! Je bois puis je reprends la position. Je n’avais pas vraiment soif mais la température est en hausse et ce verre d’eau ne m’a pas fait de mal.
« Place toi devant la fenêtre ! »
« Oui Monsieur »
J’avance vers la fenêtre, toujours les mains sur la tête. Je m’arrête devant la vitre, j’écarte légèrement les jambes.
Nous sommes en été, il est 19 heures et il fait grand jour. Je sais que je suis visible de l’extérieur. Rien de bien méchant puisque, de la rue, on ne doit voir que la partie haute de mon corps à partir du nombril et mon chemisier est tout ce qu’il a de plus correct. Quand même, s’il y a des passants, ils doivent se demander ce que je fais dans cette position.
« Retrousse ta jupe pour que je puisse voir tes fesses ! »
« Oui Monsieur, je suis une bonne petite pute ».
Toujours le contrat : j’ai des seins de chienne, une chatte de salope, des fesses et un petit trou de petite pute. C’est comme ça, j’ai signé. Et je ne dois pas manquer une occasion de le dire. A voix haute en privé, à voix basse en public. C’est le contrat.
Me voilà donc face à la fenêtre, mains sur la tête et le postérieur à l’air. Dans cette tenue, je me sens terriblement exposée, je sens le regard de mon homme sur mes fesses et un petit courant d’air me rappelle que je ne porte pas de culotte.
D’ordinaire, je veux dire, dans la vie de tous les jours, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue « érotique ». C’est même le contraire : mon corps et plus précisément les zones dites érogènes me donne plus de tracas que de plaisir. Je m’oblige à porter un soutient gorge alors que je n’en ai nul besoin, je me rase intégralement vite fait parce que sinon, dans les vestiaires, les autres femmes trouveraient que je suis négligée, je mets une culotte parce qu’il le faut, donc je mets un vieux machin, voire un slip d’homme.
Je suis tentée de relever les yeux pour voir s’il y a des passants, mais, et c’est l’erreur que je commettais au début, je sortirais du scenario et reprendrais contact avec la réalité. Non ! Plus maintenant. Pour que cela fonctionne je sais qu’il faut que je respecte les ordres et que je me concentre dessus. Alors, voyons :
1- Il m’expose à la fenêtre : je redresse ma position pour faire ressortir mes seins. Il y a peut-être des gens dehors mais je ne regarde pas. Tiens, le tissu a encore glissé sur mes tétons.
2- Il m’a fait relever ma jupe pour voir mes fesses : je me cambre et j’écarte un peu plus les jambes. Je sais qu’il apprécie quand je fais du zèle. S’il s’assoit, son angle de vue étant plus bas, il pourra voir au-dessous de mes fesses le renflement de ma chatte.
Que fait-il ? J’entends des bruits de cuisine, le tintement de verres. C’est un apéritif qu’il prépare ? Apparemment puisqu’il découpé des tranches de….
Ah ?… Une caresse dans le dos. Plus exactement, une légère griffure qui partait de la nuque et allait mourir sur les reins. Je frissonne malgré une température ambiante au-dessus de la moyenne.
D’ordinaire, disais-je, je ne pense pas à mon corps d’un point de vue érotique. Mais dans cette situation, je sens que mes fesses sont nues et exposées, je sens que mes seins saillent sous le tissu et que cela se voit de la rue, je sens l’air circuler sur chaque millimètre de ma chatte mais surtout, je sens que mon homme n’en rate pas une miette et que surement, je le fais bander.
Aaaah! …Faire bander les mecs !
Evidemment, pour une femme, c’est plutôt flatteur ! Quelque part cela veut juste dire qu’ils te trouvent désirable. Sauf que : si tu fais quoi que ce soit de manière « intentionnelle », tu n’es plus « désirable » tu es une allumeuse, une salope. Et ça, chez les femmes encore plus que chez les hommes, c’est très, mais alors TRES, mal vu. De nos jours, il est quasi obligatoire de se raser la foune, de porter des ficelles à la place des slips, de passer une heure à se maquiller, mais ça, ça n’est pas pour plaire aux mecs, non, c’est parce que c’est plus hygiénique, plus fun, plus tendance. Comment s’y retrouver ?
Là, au moins, les chose sont claires. Dans ce jeu, il me fait comprendre qu’il a envie que je me comporte comme la dernière des chiennes et que ça lui plait.
Le mois dernier, pendant les quatre premières séances, il m’a fait apprendre :
Les 5 positions.
La façon de m’habiller, de m’asseoir, de faire pipi.
Les réflexes de langage que je devais adopter.
Le tout avec des différences selon que l’on est en public ou en privé.
Il a aussi ajouté une grille au contrat avec des cases à cocher. Par défaut, tout était sur « J’accepte », mais au fil des séances j’avais modifié :
Port de pinces sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Port de pinces sur la chatte : J’accepte Ça m’excite X
Port d’un rosebud : J’accepte X Ça m’excite
Claques sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Claques sur les fesses : J’accepte Ça m’excite X
Claques sur la chatte : J’accepte Ça m’excite X
La grille s’était étoffée au fil des semaines :
Martinet sur les seins : J’accepte X Ça m’excite
Martinet sur les fesses : J’accepte Ça m’excite X
Martinet sur la chatte : J’accepte X Ça m’excite
Port d’un collier de chien : J’accepte X Ça m’excite
Être promenée en laisse : J’accepte X Ça m’excite
Boire dans une gamelle : J’accepte X Ça m’excite
Une nouvelle rubrique « exhibition » était apparue cette semaine.
Etre nue devant un inconnu : J’accepte X Ça m’excite
Séance devant un inconnu : J’accepte X Ça m’excite
Être nue devant un inconnu ? cela me terrorisait. Si j’avais pu, j’aurais tout de suite cocher « Je n’accepte pas » si la case avait existé, mais malheureusement, cela ne marchait pas comme ça. Autant dénoncer le contrat tout de suite et donc perdre mon mari. J’avais fait une grosse bêtise, il me fallait maintenant en payer le prix et j’étais là devant la fenêtre, les mains sur la tête et les fesses à l’air à attendre la suite.
Entre deux séances, j’ai le droit de demander à modifier la grille mais en dernière instance, c’est lui qui décide.
Le collier par exemple, c’était un de ces colliers pour chien en cuir noir qui me serrait le cou en me donnant une désagréable et permanente sensation d’étranglement. J’avais demandé à en changer. J’espère que…
Toc Toc Toc ! Je sursaute.
Tout s’entrechoque dans ma tête : Si quelqu’un est arrivé jusqu’à la porte d’entrée, c’est qu’il est passé devant la fenêtre et qu’il m’a forcément vue. De là où il est maintenant, la porte d’entrée étant vitrée, si la porte de la salle à manger est restée ouverte, il a vue sur mes fesses. Mon mari : d’accord mais un inconnu, c’est autre chose. Je lutte pour ne pas m’échapper. Les secondes sont des heures.
« Fais redescendre ta jupe et tourne-toi. Position n°3 ! » Ouf !
Il va vers la porte d’entrée. Je n’ai pas entendu la porte intermédiaire s’ouvrir. Aie ! Ça veut dire qu’elle était ouverte ? Et que mes fesses étaient bien visibles ? Ou alors, la porte était resté ent’ouverte et il n’a eu qu’à la pousser pour rejoindre l’entrée. Impossible de savoir.
Je rajuste ma jupe, me retourne. Cette fois, je suis dos à la fenêtre. Position n°3 c’est la position d’attente en public : Yeux baissés, bras croisés derrière le dos, jambes légèrement écartées. Je me félicite d’avoir choisi le chemisier opaque.
« Entre Laurent ! Juste à l’heure »
« Woua ! Quelle vue ! »
Le sang me monte à la tête. Est-ce qu’il parle de mes fesses ?
« Je ne savais pas que tu étais si proche de la plage »
Mais non ! Il parle de la maison. Depuis le décès de ses parents, la maison familiale est inoccupée et mon homme est venu l’habiter en attendant de régler notre histoire. Devant les fenêtres, un peu de pelouse, la rue, et juste derrière, un terrain vague qui descend vers la plage et donc : la mer.
Laurent est dans l’entrée, je suis dos à une fenêtre de la salle à manger, dans l’axe de la porte d’entrée. Cette fois la porte intermédiaire est fermée mais l’était-elle tout a l’heure ? J’entends la voix de mon chéri.
« Tu permets ? J’ai un mot à dire à ma femme »
Il revient, laisse la porte intermédiaire ouverte cette fois. Je pourrais voir Laurent mais j’ai les yeux baissés. Je lutte pour ne pas les relever et essayer de lire sur le visage du nouvel arrivant s’il ne m’a pas vu à moitié nue.
« Va faire un tour jusqu’à la plage et reviens dans 10 minutes, marche doucement ! »
Ce disant, il défait le bouton supérieur de mon chemisier qui déjà n’était pas fermé jusqu’au col. Ce bouton en moins c’est déjà beaucoup moins correct. Si je me penche, on peut voir mes seins par l’encolure et si je …. Qu’est-ce que ? Un autre bouton. Cette fois, le chemisier est ouvert à moitié. Nul besoin de me pencher, le simple fait d’avoir les bras croisés dans le dos écarte le tissu et dévoile ma gorge jusqu’au nombril. Les deux pans du vêtement cachent à peine les tétons et je vais devoir passer devant un inconnu qui m’a peut-être déjà vue les fesses nues. Je passe pour une sacrée salope. Ah Oui c’est vrai C’est le but. Il va falloir que je m’interroge sur la définition de ce mot : Salope. Dans certains cas c’est une insulte, dans d’autre c’est un compliment…. Compliqué. Mais ça n’est pas le moment. J’ai reçu un ordre, j’obéi, c’est simple.
« Oui Monsieur »
Toujours les yeux baissés, les bras croisés dans le dos, je passe devant Laurent qui s’efface. J’ai l’impression de sentir le feu sur mes seins. Je sors, contourne la maison, traverse la rue et m’engage sur le terrain vague.
Le savait-il qu’il y avait du vent ? Bien sûr que oui ! Il avait évalué ma jupe, déboutonné mon chemisier. Il m’avait mise en position n°3, les bras dans le dos, sans aucune possibilité de retenir les pans de mon chemisier ni ma jupe légère. Il aime me mettre dans ces situations embarrassantes. Chaque épreuve que je surmonte est pour lui un gage d’amour et c’est de ma faute s’il en a tant besoin. Il ne cherche pas à m’avilir mais il adore m’exhiber, comme on expose un beau bibelot chez soi et qu’on est fier de montrer. Je sais qu’il me trouve belle alors je veux qu’il soit fier de moi. Donc, j’y vais.
En cette soirée d’été, nombreux sont les touristes qui remontent de la plage, ainsi que les véliplanchistes qui plient leur matériel assis par terre et je suis là, en prise avec les courants d’air qui s’ingénient à dévoiler les parties les plus intimes de mon corps. Par moments, je sens l’arrière de ma jupe se soulever jusqu’à la taille puis se rabattre pour me claquer les fesses. Un pan du chemisier est parti sur le côté, mettant presqu’à nu mon sein gauche. L’instant d’après, c’est le contraire : la jupe se soulève sur le devant et puis c’est mon sein droit qui apparait.
Je lutte pour ne pas replier les bras sur mes seins, retenir la jupe qui s’envole, mais je sais que de la fenêtre, il prend plaisir à me voir ainsi, obéissante et soumise. Je suis sa chienne, sa salope, sa pute. J’ai confiance en lui et ça me détend.
« Marche doucement ! » Avait-il dit.
Malgré mes yeux baissés, je sens les regards. Moins ceux des touristes, tout à leurs préoccupations « tu as bien les clés de la voiture ? Tu as plié les serviettes ? ». Moins ceux des touristes donc, que ceux des planchistes qui eux, m’ont repérée dès mon arrivée. Certains, en apercevant furtivement mes fesses, se demandaient si je portais un string. Jusqu’à ce que le vent arrive dans l’autre sens et réponde à leur question.
En temps normal, je suis d’un naturel plutôt prude. Me retrouver, comme ça, dehors, à moitié nue n’est pas fait pour m’exciter. Il y a deux mois, j’aurais été morte de honte, imaginant que tout le monde me prenait pour la dernière des salopes ou pire si c’est possible.
Mais qu’est-ce que je fais ! je réfléchis trop ! Pour que ça marche, il faut que je me concentre sur les ordres. J’ai une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit de toutes préoccupations matérielles. Je l’ai signé ce putain de contrat ! Et pas en cinq minutes. Deux jours ! à discuter de chaque terme, à remplir des grilles de ce qui m’attendait. On ne peut pas dire que j’ai été prise en traître.
J’arrive au bout du terrain vague, après c’est la plage. Je doute qu’il ait envie que j’aille plus loin puisqu’il ne me verrait plus. Je sais qu’il veut me voir. Pour profiter du spectacle certainement, mais aussi pour assurer ma sécurité.
Je respire profondément, je vide mon esprit etc… etc…..
Sur le retour, avec le vent dans le dos et sans avoir esquissé le moindre geste pour me couvrir, la jupe s’est plaquée sur mes fesses et les pans du chemisier se sont remis en place. J’ai cru pouvoir palper la déception chez les planchistes qui m’observaient. En effet, dans ce sens là, le vent aurait dû soulever le devant de ma jupe sur presque tout le trajet offrant ainsi la vue sur une chatte parfaitement épilée. Je crois savoir que c’est un spectacle que les hommes apprécient particulièrement.
Je marchais d’un pas tranquille, les bras dans le dos, les yeux au sol, en me demandant ce qui allait maintenant se passer. Il avait dit à Laurent : « juste à l’heure » donc cette visite était prévue. Qui était ce Laurent ? Ça y’est ! Je recommence à me poser des questions. Ce n’est toujours pas le moment. J’ai été une bonne soumise, j’ai répondu aux ordres de mon homme, je n’ai pas triché, je n’ai pas levé les yeux, je n’ai pas essayé de me cacher des regards des inconnus. Je peux être fière et rentrer près de lui.
Je frappe à la porte. Ben oui ! Ça n’est pas chez moi, ni chez nous d’ailleurs. C’est une sorte de terrain neutre ou ont lieu nos séances depuis deux mois, une fois par semaine, le temps de régler nos affaires. C’est pratique : ici et alentour, personne ne nous connaît.
Il vient m’ouvrir :
« Viens nous rejoindre au salon ! »
«Oui Monsieur ! »
Je traverse l’entrée, la salle à manger. Laurent est assis au salon, un verre à la main, je suppose qu’il me regarde, je ne sais pas, j’ai les yeux baissés. Un autre verre est posé sur la table basse, à la place que doit occuper mon chéri. Vite je revois le contrat dans ma tête.
En public, si cela reste discret, je dois m’asseoir en relevant l’arrière de ma jupe de façon à ce que mes fesses soient à même l’assise. C’est d’autant plus réalisable, quand je porte un manteau. Ensuite je dois écarter légèrement les jambes et, quand c’est possible, faire en sorte qu’il ait vue sur ma chatte. Je choisi donc la place qui fait face à mon mari, tout en m’asseyant je relève l’arrière de ma jupe dans un seul mouvement. Avec un peu de chance, si Laurent regarde ailleurs, il n’y verra que du feu. Sinon… Eh ben sinon, tant pis. Le cuir est un peu froid, c’est agréable. Le devant de ma jupe est remonté très en haut de mes cuisses. Pour Laurent qui est à ma droite, le tissu cache mon intimité mais pour celui qui est en face, la vue est imprenable. J’écarte un peu les jambes. Toute à mon calcul, j’avais un instant oublié que mon chemisier ouvert ne cachait pas grand-chose, surtout pour quelqu’un situé à mon côté. Je sens le rouge monter à mes joues. Je respire profondément. Je place les bras le long de mon corps, les mains posées à plat sur les accoudoirs. Je ne cherche pas à cacher mes seins sinon je serais punie.
Alors !… C’est pareil. Les punitions, c’est compliqué. Parce que comme j’ai coché sur le contrat ce qui m’excitait, ben… quelque fois, j’ai juste envie d’être punie.
Il revient avec mon cocktail préféré qu’il pose devant moi.
« Ou en étions-nous Laurent ? Ah oui ! Tu t’es mis au tennis la semaine dernière ?» Passionnant !
Laurent semble gêné :
« Oui ……mais… excuse moi, mais….. Tu ne m’as pas présenté ta femme. C’est bien ta femme… enfin, c’est bizarre….. »
Je prends une gorgée de ce cocktail, je prends bien le temps d’avaler pour ne pas m’étouffer.
Mon chéri, très à l’aise :
« Qu’est ce qui est bizarre ? »
« Ben.. Tu fais sortir ta femme dès mon arrivée sans même me la présenter. Ensuite tu passes ton temps à la fenêtre, et puis quand ta femme revient, tu ne me la présentes toujours pas et puis il y a…. »
« Il y a quoi ? «
« Non rien, mais bon c’est bizarre … et puis elle ne dit rien »
« Je comprends, je te dois des explications : Ma femme et moi avons mis en place un jeu selon lequel, à certains moments, elle doit se soumettre à certaines règles. Ce soir est un de ces moments. Mais si ça te gêne, je peux lui demander de se retirer dans une chambre et nous passerons la soirée tous les deux. »
Curieusement, j’ai envie de tout sauf ça. Je n’ai toujours pas levé les yeux sur Laurent mais après tout je m’en fiche de savoir à quoi il ressemble. La soirée toute seule dans une chambre ? Non merci !
Laurent reprend :
« Je ne comprends pas : certaines règles ? comme quoi par exemple ? C’est un truc à la Christian Grey ou je sais pas quoi ?»
Mon homme opine :« Oui si tu veux. C’est un jeu à connotation sexuelle. »
Il ressert son invité
« Je te passe les détails, mais elle a accepté, à certains moments définis à l’avance, d’obéir à tous mes ordres. Sans discuter. »
Je ne vois pas Laurent mais je sais qu’il me regarde. Incrédule.
« Tu veux dire que tu peux lui demander tout ce que tu veux et qu’elle va accepter ? Mais je croyais que ta femme était médecin ou un truc comme ça ».
Mon chéri ne relève même pas.
« C’est ça ! Tu veux voir une démonstration ? »
« Ben…. Oui »
Nous y voilà ! Je comprends pourquoi la rubrique exhibition est apparue dans le contrat. Donc, cette fois ci, je passe pour une salope devant un de ses amis. D’ailleurs, un ami ? c’est curieux ! Au bout de sept ans de vie commune, je croyais tous les connaître. Je respire profondément, je vide mon esprit.
Un ordre fuse :
« Mets-toi debout. »
« Oui Monsieur ! » Ma jupe est sympa, elle est, semble-t-il, redescendue toute seule.
« A quatre pattes et viens vers moi !»
« Oui Monsieur ! » J’obéi : je pose les genoux puis les mains au sol et j’avance lentement à quatre pattes vers lui. Laurent est maintenant juste derrière moi. N’importe quelle femme dans cette situation aurait passé une main derrière elle pour vérifier que la jupe était bien en place et même tirer un peu sur le tissu. Moi je n’ai pas le droit. Si la jupe s’est mal repositionnée, j’offre actuellement une vue sur mes fesses, ma chatte et peut être même mon petit trou à un parfait inconnu. Une fois à destination je pose ma joue sur la cuisse de mon homme. C’est le moment décisif. Soit Laurent s’offusque et tout se termine là, soit il se prend au jeu.
« Oui Monsieur ? Woua !!! ça a l’air trop cool »
Ah ! ces mecs, tu leur montre un bout de nichon et ils disjonctent.
« Aie !! » Une bonne claque sur les fesses. Mon chéri a dû deviner mes pensées. C’est vrai, je me déconcentre.
Je me cambre au maximum, j’écarte un peu plus les jambes. Je sens les lèvres de ma chatte se séparer. Je prie pourque ma jupe couvre bien mes fesses. J’ai des picotements tout autour du clito.
« Tu veux essayer ? »
Tu parles Charles. Bien sûr qu’il veut essayer.
Il se lance :
« Euh… Met-toi debout et Euh….Lève une jambe !»
« Oui Monsieur » Je me lève, me retourne vers lui, je lève la jambe droite et je suis comme ça : une chose, un pantin, une esclave. Tiens pour un peu, je trouverais ça drôle et même ridicule. Mais je sais qu’on en est qu’au début.
Mon homme intervient :
« Enlève ton haut. Position n°1 ! »
Je repose ma jambe, je défais les deux derniers boutons, je retire mon chemisier. Je me cambre pour bien faire ressortir les seins et surtout je n’oublie pas de dire, puisqu’il s’agit de mes seins :
« Je suis une petite chienne »
J’ai les yeux baissés mais je devine un air ébahit sur le visage de Laurent. En tous les cas il ne dit mot.
C’est la première fois que je montre ostensiblement mes seins à un inconnu. Pendant sept ans mon mari n’a pas cessé de me dire que j’étais jolie. Il est vrai que je suis assez grande, mince, j’ai les traits du visage fins et harmonieux, les yeux bleus, une chevelure blonde et longue, j’ai, je crois, tous les archétypes de la beauté. Enfin tous ? Peut-être pas. En effet, d’aucun dirait que ma poitrine manque d’opulence. Je remplis à peine ce bonnet B dont, de toutes façons je n’ai nul besoin et que je porte très rarement.
Mon mari reprend le contrôle :
Mets-toi en mode privé ! et position n°1 !»
« Oui Monsieur ! »
Alors… Le mode privé c’est entièrement nue. Bon sang ! Là c’est autre chose. Les seins d’accord, parce-que bon ! Il n’y a pas si longtemps, toutes les femmes étaient seins nus sur les plages, mais là, je vais dévoiler ce que j’ai de plus intime, ma chatte, mes fesses enfin tout quoi. Et puis cette satanée mode de l’épilation intégrale. Avant, le sexe d’une femme, c’était principalement une touffe de poil à travers laquelle on ne distinguait rien, mais maintenant c’est la petite bosse du mont de venus puis la fente, avec le renflement des deux grandes lèvres, et même un peu des petites qui dépassent en dessous. Plus nue c’est impossible. Mais bon ! J’ai signé.
Je respire mon esprit ?, Heu !…. Je vide profondé…. Bref, j’évite de penser. Ma jupe glisse jusqu’aux chevilles. Je ramasse le vêtement que je dépose sur un fauteuil.
Position 1 : les mains derrière la tête. Ça me fait drôle d’être entièrement nue devant deux hommes. Les jambes un peu écartées, contrat oblige, j’offre une vue intégrale sur tout mon corps et ils ne doivent pas s’en priver. Mes seins et ma chatte sont exposés dans les moindres détails. Je reste comme ça un moment pendant que les hommes discutent.
« Alors Laurent, qu’est-ce que tu en penses ? »
« Ben…Elle est super belle ! »
« C’est-à-dire ? »
Je vois ou il veut en venir. Je suis là, entièrement à poil devant eux et ils vont se mettre à parler de mon cul. Comme si on était à la foire aux bestiaux.
« Ben…moi j’aime les seins pas trop gros alors…et puis elle est entièrement épilée, on voit tout »
Les entendre parler ainsi des parties intimes de mon corps commence à m’échauffer malgré moi et je sens comme une moiteur à l’entre jambe. Il a dit : « on voit tout ». Ça veut dire qu’il a bien regardé tous les détails de mon minou ? Mon Dieu, si ça se trouve, ça se voit que suis humide. Quelle salope je fais !
« Position n°2 ! »
Je ne sais pas si c’est le cocktail ou la situation, mais j’ai l’esprit un peu embrumé. Heureusement, j’ai un moyen mnémotechnique pour les positions. On part du haut vers le bas :
la tête, les mains sur la tête.
les seins, je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains.
le dos, bras croisés dans le dos.
la chatte, je présente ma chatte en l’écartant avec les deux mains
les fesses, je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains.
Numéro deux, c’est présentation des seins. Allons y.
« Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers l’avant. C’est la position qu’il a inventé pour la pose des pinces.
C’est bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec les clochettes. Elles sont réglées pour pincer juste ce qu’il faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur. Quand je les porte, j’entends les clochettes tinter, me rappelant que j’ai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements. Quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon plus nette et j’adore ça.
Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées.
« Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne » J’ai rajouté un « merci » je sais qu’il apprécie.
« Position n° 4 ! »
Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 c’est présentation de la chatte. Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille.
Je connais la procédure : J’avance le bassin pour faire ressortir la vulve, j’écarte largement les grandes lèvres et je n’oublie pas de dire, s’agissant de ma chatte :
« Je suis une bonne petite salope »
Dans cette position, j’expose carrément mon clitoris. Je l’ai senti quand j’ai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. J’ai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à l’entrée de mon vagin, c’est mon homme qui vérifie. Le doigt rentre facilement, je suis plus mouillée que je ne pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de l’intérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. C’est plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça n’est pas le tout de le dire parce que j’y suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope.
Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est ! C’est les chutes du Niagara.
Quand il retire son doigt, il est trempé.
« Merci Monsieur »
« Assieds-toi et finis ton cocktail »
« Oui Monsieur »
En mode privé je dois m’asseoir d’une certaine façon : je pose mes fesses sur l’assise, j’écarte les jambes au maximum, je me penche d’un côté en écartant la fesse opposée avec une main, je me penche de l’autre côté en écartant l’autre fesse, de sorte que mon petit trou soit bien en contact avec le cuir. Ça c’est une trouvaille ! Assise comme ça, je sens mon petit trou qui touche le cuir frais. Pour parler crument, ça énerve mon trou du cul. Avec l’excitation, à chaque contraction de mon périnée, mon petit trou se décolle du cuir puis se recolle. J’ai alors pleinement conscience d’être une petite pute. Quand c’est le cas, puisqu’il s’agit de mes fesses cette fois, je dois dire :
« Je suis une bonne petite pute »
Je prends mon verre qu’il a rempli et je…Ah ! Ça y’est, j’ai compris ! il veut me faire boire mais pas pour m’enivrer, il a une autre idée en tête.
Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte.
Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus :
« Mais comment vous en êtes venus à … Enfin à ça ? »
Mon homme explique :
« Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. C’est un jeu dangereux pour des personnes qui s’aiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ».
« Et elle ? elle en a des fantasmes ? »
« Elle y réfléchit »
Pour l’instant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, les fesses disjointes sur le cuir d’un fauteuil, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est l’attraction, j’entends que l’émotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça n’est pas moi qui mène le jeu. Etonnement ça n’est pas ça qui m’excite. Je n’ai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul d’ailleurs. Moi, mon homme, je veux qu’il soit male Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort…Alors ce n’est pas pour l’attacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes.
Non ! Je n’ai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant d’hourdir des plans, de passer des annonces, d’organiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, c’est ça qui me fait mouiller. J’en ai presque honte. A notre époque ou le féminisme est roi, sexuellement, c’est en étant la proie que je me sens vibrer.
En parlant de vibrer, c’est autre chose qui m’arrive maintenant et c’est normal avec tout le liquide que j’ai ingurgité : j’ai envie de faire pipi.
Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand j’ai envie d’uriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ».
Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour aller à quatre pattes faire sur la pelouse, soit il me demande d’aller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui.
Le collier, la laisse, la gamelle c’est un truc qu’il m’a fait faire à la deuxième ou la troisième séance. Après m’avoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il m’a fait faire tout un tas d’exercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. J’ai appris par exemple à manger et à boire dans un bol pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref… Pour le moment, Je ne tiens plus. Pour me retenir, je contracte mon périnée et….je sens mon petit trou qui se détache du cuir, ce qui me ramène à ma situation actuelle : entièrement nue, les jambes, la chatte et les fesses écartées avec une furieuse envie de faire pipi, pendant que deux hommes à côté et en face de moi devisent gentiment. J’attends une pause dans la conversation et je dis :
« Je suis une petite pisseuse »
Laurent en reste bouche bée, enfin je crois, je n’ai toujours pas levé les yeux.
Mon homme doit sourire.
« Va chercher ta gamelle »
Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne m’appartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle je mange parfois, je reviens et je m’installe debout devant mon homme.
« Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter »
Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour qu’ils soient tous les deux aux premières loges. J’écarte les jambes, j’avance le bassin. D’une main je dégage les lèvres de ma chatte pour qu’elle soit bien ouverte et de l’autre main je positionne le récipient entre les cuisses.
En termes d’humiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez. Toute à mon envie de faire pipi, je n’avais pas pris conscience de la situation. Nue devant deux hommes, le bassin tendu en avant, m’écartant la chatte au maximum et m’apprêtant à me soulager comme la dernière des chiennes.
J’exerce une profession médicale, j’ai fait des études, passé des concours. J’ai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues : Qu’est-ce que je suis en train de faire ? C’est sexuel, c’est ça ? C’est vrai ! Le sexe c’est à part de tout. Des l’instant où on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même !
Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal. Les hommes se taisent, ils ont les yeux rivés sur ma chatte béante. C’est moi qui mène le jeu ? Non ! je n’ai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute.
Le contrat : Quand j’ai fini, je m’essuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne pisseuse » ensuite j’attends l’ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous ma chatte et les doigts mouillés de mon pipi.
Je compte les secondes. J’ai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de l’exciter.
« Va ! »
Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. J’entends la conversation dans le salon. C’est Laurent :
« Ben mon salaud, tu t’emmerdes pas. Et ça va jusqu’où votre histoire ? »
Ça, j’aimerais bien le savoir ! D’après le contrat, il n’est pas question d’avoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouse. Il n’a pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit d’autre que mon mari.
J’ai confiance en lui. Je reviens vers le salon.
« Position n°5 ! »
Je révise. Voyons…. Mnémotechnie, 1 2 3 4, 5 c’est la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. C’est la position idéale pour la pose d’un plug anal par exemple. C’est ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Donc je me mets dos à lui, je penche, j’écarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il n’y avait plus que ça que Laurent n’avait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il m’aura vue sous toutes les coutures.
Je tiens la position. Je m’attends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente :
« Ça m’a fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt qu’un apéritif, on dîne au restaurant ? »
Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal :
« Oui moi aussi… Bla Bla …… Bla Bla….. » Et ce jusqu’à la porte , « Bon ben Salut » Le voilà parti.
Je ne sais pas l’heure qu’il est. Peut-être 20h 30, j’ai l’impression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de m’écarter les fesses.
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Bonjour. Ma bouche et ma rimming-chair sont disponible pour qui veut.
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