Dîner et 'slosh' de Février

F.A.Q. Evenement . Je n'ai pas réservé ma place au restaurant, puis-je venir malgré ça ? Oui, bien sûr. Mais il faut savoir que nous occupons une table en fonction du nombre d'inscrits par messagerie. A arriver à l'improviste et après que nous soyons déjà attablés, peut-être que vous serez placés en voisin avec un petit espace vide entre les positions. . Le restaurant est qualifié 'tout public', qu'est ce que cela implique ? Le Yako nous reçoit en toute connaissance du fait que nous discuterons de sexualités alternatives. Mais pour le diner il accueille également sa clientèle habituelle composée de couples, de groupe d'amis et de familles parfois accompagnées d'enfants. Il nous appartient donc de veiller à ce que ni le vestimentaire ni le comportement ne puissent heurter la sensibilité de ces autres clients ni celle de notre hôte restaurateur. Cela n'interdit pas d'être naturel, un peu sexy ou travesti, de porter des objets peu ostentatoires... . Arrivé sur place, comment puis-je retrouver le groupe ? Que ce soit au Yako ou au QG, c'est très simple : demandez à être conduit à l'association ERRANCES. Il n'y a pas besoin d'énoncer quelconque pseudonyme ni donner d'explication. La simplicité est de mise. Eventuellement, contactez-nous par téléphone au 06.51.40.27.22 (attention, les messages sur les réseaux ne sont plus lus à partir de 18h00) . J'ai des questions mais je n'oserais pas intervenir publiquement... A cela nous proposons de recevoir à l'avance la ou les questions/sujets auxquels vous attendez des avis extérieurs. Nous nous chargerons d'amener le débat. Au cours de nos échanges, nous acceptons tous les thèmes, sans aucun tabou. Convictions: oui, idéologie: non, alors nous demandons à chacun d'accepter la controverse, les points de vue divergents et les pensées hors du commun. L'humour aussi. . Quelles pratiques sont autorisées au QG de Monbadon ? Par principe, l'établissement est qualifié de libertin mais il acepte toutes les tendances en salle et quasiment toutes les pratiques dans l'espace dédié (cave). Il nous revient ici aussi de veiller à ne pas heurter le public qui n'appartient pas au BDSM. En cas de doute sur l'exercice de certaines pratiques (aiguilles et lames, feu et cire,...), il est recommandé de solliciter l'avis du propriétaire avant toute entreprise. Par ailleurs, au sous-sol, chacun doit s'attendre à la proximité d'activités sexuelles au cours de la soirée. Autre détail : nos rendez-vous n'ont pas vocation au spectacle (événementiel ou performance). . La présentation du rendez-vous n'alerte pas sur le consentement, la bienveillance, etc. ! Effectivement, pour ceux qui sont adeptes du langage à la mode et qui pensent que cela est une protection, des mots manquent. Individuellement, nous estimons que chacun est responsable de ses actes et ses choix, tant du côté Dominant que du côté soumis, et la Loi se doit d'être respectée sans nécessiter de surenchère. Par ailleurs, il y a suffisamment de 'bdsmeurs' qui jouent les surveillants et répandent leurs conseils pour que tous les publics soient bien avisés de ce qu'est le BDSM. . Pourquoi le nombre de participants est-il si faible ? Ce diner mensuel était au départ l'envie de se retrouver entre amis BDSMeurs, de garantir un lien régulier malgré les occupations de chacun. Nous l'avons rendu public pour que le cercle ne se referme pas sur lui-même et que d'autres, désireux de relations différentes, distinctes des séances, séparées du virtuel et attachés à l'échange verbal, puissent, peut-être, nous rejoindre. Sans que cela ne devienne un rendez-vous de masse. . Errances est une association. Faut-il cotiser ? Non, l'association ERRANCES n'applique pas de procédure d'adhésion. Nous considérons que seule la bonne volonté est nécessaire pour que l'effet associatif se concrétise. D'autant que l'association ERRANCES n'a pas de dépense financière ni de fonctionnement, ni de location, ni d'organisation. Les frais minimums obligatoires tels que déclarations, assurances, etc. sont tous pris en charge par les membres déclarés (deux personnes). . On m'a dit que... Ce qui a été dit peut être vrai. Ou pas. Mais l'idéal est de découvrir par soi-même et prendre le temps de connaître. Après seulement, vous saurez si ce qu'on vous a dit est fondé. Ou pas. Notre dernier mot : Ne venez pas pour nous faire plaisir ou juste vous montrer. Venez plutôt pour profiter d'un instant de libre pensée et de dialogue, parfois pour feuilleter un livre ou observer un objet, pour mettre à profit le diner en y invitant un partenaire (acquis ou potentiel), pour passer quelques heures dans un petit coin d'intimité.... En quatre mots : pour vous faire plaisir ! Merci. Asso. ERRANCES (01/2025)