08/11/2013 15:30:00
Corum (Montpellier), Languedoc-Roussillon, France
Brigitte Giraud dans Attache-moi si tu peux
Vendredi 8 novembre à 16h30 Corum (Montpellier)
Attacher, attachant, être attaché à quelqu’un ou à un radiateur, c’est jouer avec la question du désir, tourner autour, sans y répondre. Il y a des personnes attachantes, des objets attachants, mais s’agit-il de désir ou de torture ? Question de point de vue… Brigitte Giraud, écrivain, viendra présenter le sien aux côtés de Catherine Robbe-Grillet, maîtresse sado-masochiste, et Jean Streff, auteur du Traité du fétichisme à l’usage des jeunes générations. Pour Brigitte Giraud, la sexualité doit être abordée, avant tout, de manière non frontale et plus symbolique qu’explicite. La pudeur, la maladresse, la peur… intéressent cet écrivain, qui explore les paradoxes et les ambiguïtés de la sexualité dans la vie quotidienne, comme dans son dernier roman Avoir un corps. Elle s’y interroge aussi sur l’ambiguïté sur la sexualité des garçons, qui doivent minimiser les attitudes féminines, et la transmission de la féminité par les injonctions de la mère et de la société, qui dit à une fille de ne pas se ronger les ongles, de s’asseoir en croisant les jambes ou de porter des talons hauts.
En savoir plus sur Brigitte Giraud sur www.liberation.fr
Vendredi 8 novembre à 16h30 Corum (Montpellier)
Attacher, attachant, être attaché à quelqu’un ou à un radiateur, c’est jouer avec la question du désir, tourner autour, sans y répondre. Il y a des personnes attachantes, des objets attachants, mais s’agit-il de désir ou de torture ? Question de point de vue… Brigitte Giraud, écrivain, viendra présenter le sien aux côtés de Catherine Robbe-Grillet, maîtresse sado-masochiste, et Jean Streff, auteur du Traité du fétichisme à l’usage des jeunes générations. Pour Brigitte Giraud, la sexualité doit être abordée, avant tout, de manière non frontale et plus symbolique qu’explicite. La pudeur, la maladresse, la peur… intéressent cet écrivain, qui explore les paradoxes et les ambiguïtés de la sexualité dans la vie quotidienne, comme dans son dernier roman Avoir un corps. Elle s’y interroge aussi sur l’ambiguïté sur la sexualité des garçons, qui doivent minimiser les attitudes féminines, et la transmission de la féminité par les injonctions de la mère et de la société, qui dit à une fille de ne pas se ronger les ongles, de s’asseoir en croisant les jambes ou de porter des talons hauts.
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