Miss Ariella
Autant que je me souvienne, et depuis que j'ai conscience de la sexualité, j'ai toujours eu des fantasmes de soumission. Je me voyais attachée, humiliée, fessée, utilisée de toutes les manières imaginables, sans possibilités de me soustraire, sans possibilités de résister,... et adorer ça. Je me voyais chienne, je me voyais au pied de cet homme qui serait mon Maître, prête à subir ses envies les plus perverses et lubriques, fière d'être sienne.
Pour être clair, je n'ai subis aucun traumatisme dans ma vie, je n'ai pas été maltraitée par un oncle ou un voisin, ou abandonnée par mon père, j'ai même eu une enfance heureuse.
Mes fantasmes sont donc purement sexuels, ils ne sont pas un moyen d'échapper à une douleur enfouie ou dus à un manque de confiance. Je tiens à le préciser car beaucoup imaginent que le BDSM est forcément conséquent à quelque chose de négatif, qu'aimer se faire pincer les seins, se faire fouetter, ou humilier n'est pas normal, alors qu'en fait c'est tout à fait le cas.
Mais bref là n'est pas le sujet, ce qui l'est en réalité c'est mon histoire, celle que j'ai vécu avec celui qui a été mon Maître pendant 4 ans.
Je l'ai rencontré à 24 ans, comme je l'ai écrit plus haut ça faisait un certain temps que je me savais attirée par le sado-masochisme. Depuis mes 16 ans pour être exacte, et précisément depuis que j'étais tombée sur une vidéo porno BDSM sur internet.
Pour revenir à ce moment précis ça ne faisait pas très longtemps que j'étais consciente de ma sexualité, et comme pour beaucoup de jeunes le porno est un moyen d'en savoir « plus ». C'est comme ça, qu'au milieu de vidéos de masturbation, je suis tombée par hasard sur cette femme qui, attachée debout au milieu d'une pièce sombre, se faisait prendre par derrière, devant une foule de personne. Dans cette vidéo il y avait un homme qui menait le jeu, qui décidait qui dans la foule pouvait la toucher, qui parfois la fessait si il considérait qu'elle ne faisait pas les choses « correctement ».
Je n'avais jamais été autant fasciné par quoi que ce soit. J'ai du la voir au moins 10 d'affilé. J'étais captivé. Jamais je n'aurais à l'époque pu imaginer que moi j'allais vivre une telle expérience un jour.
A partir de ce jour, j'ai cherché à savoir ce que c'était que « ça », internet m'a été d'une grande aide, bien évidemment. Regardant d'autres vidéos, surfant sur à peu près toutes les pages d'informations sur le sujet. Entrant peu à peu dans un monde qui plus tard deviendrait le mien.
Cette passion ne m'a pas quittée jusqu'à mes 18 ans. Je savais que je devais attendre cet âge pour enfin prétendre pouvoir essayer ce qui me fascinait tant, et qui me faisait tellement mouiller la nuit.
Mais j'ai finalement attendue mes 22 ans pour m'inscrire sur un site de rencontre BDSM, pour « voir » à la base. J'ai tout de suite eu pléthore de messages : jeune, novice, prête à essayer, j'étais un peu la « cible idéale » si je puis dire. Certains m'intéressaient vraiment. D'autres avaient une manière d'aborder les choses que je jugeais « bizarre » ou qui en tout cas n'était pas la mienne. Et c'est ainsi que je me suis mise à discuter avec 3/4 personnes en même temps qui me proposaient d'être leur soumise, et de m'apprendre.
J'ai toujours plu aux hommes, j'ai assez confiance en moi et en mon physique, je suis blonde aux yeux clairs, assez grande (1m72), avec un physique « fit », j'ai de beaux seins ronds, fermes avec de petites auréoles roses et des tétons sensibles qui pointent à chaque coup de vent. J'ai de belles fesses, que j'aime mouler dans des jeans slim, ou des short.
Bref je ne vais pas me plaindre, et je crois que ces hommes ne se plaignaient pas non plus de mon physique.
Nos discussions commençaient toujours de la même manière : quelques messages sur le site, puis un échange de photos par mail, et selon si la personne me plaisait, nous allions discuter sur skype. C'est par ce moyen surtout que je jugeais si la personne me conviendrait ou pas, et si j'accepterais une rencontre en « vrai ».
J'ai donc rencontrer quatre hommes en un peu plus d'un an, mais ces rencontres n'étaient pas à la hauteur de ce que j'avais passé des nuits à fantasmer.
Déçue, je pensais même arrêter mes recherches, jusqu'au message de celui qui quelques mois plus tard serait mon Maître.
Il n'était pas comme les autres, je l'ai su directement. Il m'a écrit un très long message, me parlant de lui, m'expliquant sa recherche. En guise de signature un J. et son numéro de téléphone ainsi que ces mots « si tu veux que je te montre ce que tu as toujours voulu connaître, si tu veux que tes fantasmes, ceux qui te hantent depuis si longtemps deviennent réalité, appelle moi demain soir à 20h. Ne sois pas en retard. ».
Ce message m'a troublé, je ne savais vraiment pas quoi faire. Appeler? Pas appeler? La question a tourné dans ma tête toute la journée. Finalement je me suis dit qu'il n'y avait aucun risque : au pire la conversation tournerait court, et s'en serait fini.
A 20h03 je composais son numéro, il décrocha dès la première sonnerie :
-Tu es en retard.
Sa voix était calme, grave, quelque chose en elle m'électrisa. Je m'excusais aussitôt alors que nous n'avions même pas échangé de message au préalable. Nous avons parlé plus de 3h au téléphone, discuté de moi, de mes attentes, de mes connaissances en la matière, de ce dont j'avais envie, de mes fantasmes. Il pris également un moment pour m'expliquer ce que lui attendait, qu'à ses yeux ce type de relation demandait du temps, et surtout de la confiance. Et que cela il fallait le construire. Il m'a expliqué ses règles (l'usage du vouvoiement et du Monsieur, l'honnêteté en tout circonstance et la ponctualité) le temps de cette « construction de liens ». Puis nous avons décidé de nous rappeler le lendemain.
A partir de cet appel nous avons parlé tous les jours, soit par texto, soit par skype soit directement au téléphone. Je me suis sentie rapidement très à l'aise avec lui, je n'avais pas honte, je me sentais bien. La seule question qui restait en suspend était : qui se cachait derrière cette voix? En effet nous ne nous sommes jamais « vus » (pas de photo, pas de vidéo sur skype, pas de liens sur les réseaux sociaux, bref aucune information) avant notre rencontre « en vrai ». Je savais qu'il avait 40 ans, qu'il était chef d'entreprise dans le bâtiment, qu'il avait deux enfants, de 14 et 12 ans qui vivaient avec son ex-femme dans le sud de la France (nous habitons tous les deux à Paris), qu'il avait une certaine expérience dans le BDSM,... Mais pas à quoi il ressemblait. Il ne voulait pas non plus me voir moi, il considérait que le physique est accessoire dans ce type de relation, et que le lien que nous allions créer était plus important que cela.
Nous avons passé ainsi 4 mois à nous découvrir, à nous confier, à partager nos envies et nos fantasmes, à s'envoyer des vidéos porno qui nous plaisaient, à écrire des textes érotiques à 4 mains... Puis un soir il me jugea enfin prête à passer à l'étape supérieure : celle de la rencontre.
Il me proposa un bar du 17ème arrondissement de Paris. Me demanda de mettre une robe moulante noir, des bas, des talons et me dit de ne pas mettre de culotte. Il me demanda également d'acheter un plug anal que je devais mettre dans mon sac (je lui avais confier ma peur de la sodomie, et nous en avions longtemps discuter).
Nous étions un samedi soir, du mois de mai, et c'était la première fois de ma vie qu'un premier rendez-vous me faisait aussi « peur ». Je n'avais pas « peur « de ce qui allais arriver, mais plutôt « peur » que ça n'arrive pas, je me demandais ce qui allait se passer ensuite, si je ne lui plaisais pas, ou si ce premier rendez-vous se passait mal.
C'est avec angoisse donc que je me préparais pour cette rencontre. Après un saut chez l'esthéticienne, et un bon bain, je me suis maquillée, et finalement je mis la tenue demandée, même si je n'étais pas très à l'aise de sortir ainsi sans culotte. En toute honnêteté je me trouvais vraiment « bonne » en sortant de chez moi, et j'espérais vraiment que ce serait également son cas.
A 19h55 j'arrivais donc devant un petit bar assez sympa, ambiance lounge, avec assez peu de monde. Ca m'allait parfaitement.
Et puis je le vis arriver. Oui je savais que c'était lui au premier regard : séduisant, avec un corps bien entretenu, une petite barbe de 3 jours, bien habillé.
Il me souris en me voyant, j'étais heureuse : visiblement je lui plaisais! Il s'approcha de moi, me pris dans ses bras comme pour me faire la bise. Il ne me relâcha pas, profitant de cette étreinte pour me chuchoter à l'oreille :
-Tu vas entrer dans ce bar, aller aux toilettes, et mettre ton plug, quand ce sera fait tu viendras t'asseoir avec moi. Pendant ce temps là je commande à boire. C'est clair?
Sur ces mots, il relâcha son étreinte, et nous sommes entrer dans le bar.
Je m'exécutais sans me poser de question, me dirigeant vers les toilettes, la chatte trempée par cette seule phrase.
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Gappap
Très jolie mais c'est plus à mettre dans les articles histoire ton texte 😇
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15/11/24
Mamancarole
J'ai adoré mais je voudrais la suite de l'histoire
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15/11/24
Quelques jours passent sans nouvelle de ma « cliente », je meurs d’envie qu’elle m’écrive après cette soirée incroyable où elle m’a prise avec son gode ceinture sur son canapé. J’avoue que cela m’a fortement excité et donné envie de recommencer.
Nous voici fin novembre, machine à café avec les collègues quand mon collègue magasinier me téléphone pour me dire que j’avais un petit colis.
Surpris car je n’ai rien commandé sur internet je me rends immédiatement au magasin.
Il est 14h15 je récupère mon précieux et file me réfugier dans mon bureau afin de l’ouvrir.
Des l’ouverture un mot me disant
Bonjour mon petit soumis 😉 je t’ai fait patienter pour laisser l’envie monter. Ouvre, découvre et lit mon deuxième mots.
Mon cœur bat, je pose le mot sort le premier papier et je découvre un rosebud bleu ciel de taille moyen, une cage de chasteté et un tout petit flacon de gel lubrifiant.
Je suis excité mais gêner car mes collègues ne sont pas loin.
J’ouvre le petit mot en dessous…
Maintenant que tu as la surprise tu vas dans les toilettes, tu insères le plug avec ou sans lubrifiant et tu me mets en place la cage. Tu m’appartiens. Je veux des photos maintenant.
Heureusement je n’ai pas forcément de rendez vous clients très important cette après midi.
Me voilà partie aux toilettes, je commence par mettre la cage de chasteté , difficile car je suis déjà un peu excité ! Je fini par le rosebud que je lubrifie évidemment. Plusieurs photos arrivent sur son téléphone et la réponse ne tarde pas.
Maintenant tu retourne travailler et je veux que tu sois chez moi le plus tôt possible après le boulot. Ne passe pas par chez toi.
Je passe l’après midi ainsi, je sens que je mouille et que mon sexe a parfois envie d’exploser cette jolie cage quand je suis assis sur la chaise avec le plug en moi et ce qui pourrait m’attendre ce soir.
17h30 je quitte la concession avec une bonne excuse « rendez vous clientèle ».
Dans la voiture je lui envoie un sms en lui disant « j’arrive dans 5 minutes »
Elle m’ouvre, m’embrasse, ferme la porte derrière moi et baisse directement mon pantalon.
Elle inspecte le tout pour me dire qu’elle est fière de moi. Elle retire les gouttes sur la cage avec sa bouche ce qui a pour effet de m’exciter comme pas permis.
Maintenant suis moi ! Assis toi sur le canapé !
Elle prend une chaise s’installe en face de moi me bâillonne la bouche et sort plusieurs godes de sa petite boîte.
Maintenant regarde moi jouir petit soumis.
Elle se caresse et se gode devant moi en me regardant droit dans les yeux ! Je me dandine sur son canapé j’ai envie de tout arracher et partir lui sauter dessus mais elle m’a donné des ordres et je me surprends à les respecter.
Elle insère un vibro en elle et commence à ce caresser son petit trou avec un doigt
Je sens son corps monter en pression et je sens qu’elle ne vas pas tarder à jouir.
Elle se rapproche de moi, elle gémit de plus en plus fort, elle est maintenant debout son sexe face à mon visage, des cris arrivent et je sens un liquide chaud m’envahir le corps et le bas du visage.
Je suis surpris mais excité par la scène je suis trempé, elle s’assoit sur mes jambes sans dire un mot en attrapant mon coup me glissant à l’oreille j’espère que tu aimes les femmes fontaines !
Uns fois ses esprits revenus elle ouvre la cage de chasteté et sans dire un mot commence une excellente fellation, je ne tiens pas longtemps avec tous ces événements. Elle ôte mon plug et avale toute ma semence.
Nous avons fini par dîner et elle m’a dit ne pas avoir fini avec moi.
J’espère que mon histoire vous a plu , toutes ces histoires sont réelles et me sont bien arrivées ! D’autres reste à venir si vous voulez 🙂
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Bonjour, débutant dans me milieu du BDSM je recherche une maîtresse ou un maître pour me passer un collier et m'aider a découvrir ce milieu. Je suis en Isère 38.
Bonne journée
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Je parlais des deux commentaires juste au-dessus du mien. Merci de votre demande d'ami mais ça aurait été bien de lire mon profil avant. Je ne vais pas lui donner suite bien évidemment.
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28/10/24
J’ai 30 ans, j’habite bordeaux, nous sommes en novembre il pleut énormément, une cliente à moi habituelle rentre dans ma « concession automobile » pour renouveler sa voiture.
Je ne donnerais pas son nom par respect et discrétions, elle était assez grande 1m70 assez fine rousse avec une très belle poitrine. Ce jour là elle avait un jean clair avec un body et une veste de tailleur assortie à de magnifiques Louboutin.
A chacune de ses visites nous nous dévisagions, je la trouvais sublime mais c’était avant tout une cliente. Elle avait toujours un rouge à lèvre à faire tomber à la renverse.
Cette après midi là elle s’installe dans mon salon pour recevoir mes clients avec son sourire ravageur et me dit clairement que pour fêter la nouvelle voiture elle m’invite à boire le champagne chez elle le soir même. A ce moment là je reste de marbre, j’ai du sûrement rougir un peu n’ayant pas l’habitude qu’une femme prenne les devants comme tel mais j’accepte.
Il est à ce moment là 19h40 je ferme le garage rentre chez moi, douche, habillage, sélection de la bouteille de vin et direction chez ma cliente.
Durant le trajet je suis le plus heureux et on ne peut m’enlever le sourire sur mon visage.
Me voici devant chez elle : je sonne, elle ouvre ! Mes yeux explosent !
Elle n’est plus du tout habillée comme ce matin, le jean a laissé la place à une robe très courte où je peux voir des bas et un porte jarretelle bleu très foncé, toujours les Louboutin aux pieds et son rouge à lèvre.
Elle m’installe sur le canapé nous discutons autour de la bouteille de champagne qu’elle m’avait réservé pour me remercier.
A ce moment là tout va bien puis elle me dit : ce soir t’es à moi ! J’ai très envie de toi mais à ma façon !
Me voici extrêmement excité mais intrigué ! Que veut dire à ma façon ?
Elle m’ordonne d’enlever ma chemise, et de rester assis sur le canapé ! Elle se met face à moi enlève sa robe !
Elle est devant moi dans un ensemble magnifique aucun homme ne pourrait résister !
Elle se met à 4 pattes devant moi, me déboutonne mon chino et commence à me caresser. J’ai une vue magnifique sur ces fesses.
Au bout de 5 minutes environ elle se relève et part dans sa chambre, elle pousse la table basse et revient avec une petite boîte.
Mon cœur bat à 10000, je m’interroge fortement, elle pose la boîte devant moi sort du lubrifiant et me demande si j’ai déjà été soumis.
Je lui rétorque absolument pas, c’est à ça qu’elle ajoute « si tu veux me pénétrer il faudra que tu accepte que je te pénètre d’abord » …
Me voilà sans voix , mais le champagne avait fait un peu son effet, je lui dis « d’accord mais doucement je t’en supplie ».
Je me retrouve nu à 4 pattes avec la tête sur le haut du canapé. Son miroir est placé sur le côté et je peux la voir me mettre des fessées et commencer à lubrifier mes fesses.
Tout en me caressant elle insère un doigt en moi, c’est surprenant mais agréable, puis le deuxième arrive rapidement, puis un jolie rosebud avec un cœur rose !
A ce moment là elle s’arrête et prend son téléphone pour me montrer mes fesses avec un plug cœur ! Cela me fait rire et surtout me fait bander encore plus.
Voyant mon érection, elle retire le jolie plug et se met un gode ceinture de taille très raisonnable mais le stresse augmente, je me sens excité.
Elle me demande de me retourner et de sucer ce faux sexe, ça m’excite énormément et elle mouille fortement.
Je me remet dans la position adéquate, doucement elle présente le gode et là voilà qui commence ses va et vient ! Je prends mon pied c’est incroyable, au bout de 5 petites minutes je jouis une quantité incroyable tellement cette nouvelle sensation est surprenante et excitante.
La voilà ravi et moi aussi. Je reste allongé un bon moment sur le canapé avant de pouvoir lui faire l’amour en étant cette fois le dominant.
Cette femme m’a fait découvrir beaucoup d’autres choses et pratiques.
Je ne sais pas si mon aventure vous a plu, si j’ai des retours positifs je vous raconterais d’autres histoires avec ma cliente dominatrice.
Au plaisir
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C'est sympa ! Merci pour vos écrits mais peut-être qu'ils seraient plus à leur place dans le blog : https://www.bdsm.fr/blog/
Les groupes sont plutôt destinés aux annonces...
😉
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27/10/24
Pour qu’il y ait passion, il faut que l’union soit brutale,
que l’un des corps soit très avide de ce dont il est privé
et que l’autre possède en très grande quantité.
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Tout le monde a des fantasmes, mais tout le monde n’en a pas forcément dans le domaine du BDSM. En effet, ils sont généralement plus violents ou plus choquants dans la réalisation. Si vous désirez avoir quelques exemples concrets, en voici certains :
le plan à 3 ou carrément le gang-bang
la gorge profonde guidée
se soumettre complètement à l’autre, en portant notamment un collier de soumis(e) et pourquoi pas se faire promener en laisse
réaliser des scenarii, comme la visite médicale (je parlerai de ces scenarii un peu plus bas, si vous avez envie de vous en inspirer)
se faire kidnapper (avec +/- viol)
Bien entendu, un fantasme peut être une combinaison de plusieurs fantasmes. Par exemple, cela peut être une soumise qui porte son collier de chienne et qui se fait promener par son maître, devant plusieurs hommes. Le maître peut alors lui donner des ordres, comme assis ou couché. Les hommes peuvent aussi participer, et notamment l’injurier, lui ordonner de les lécher ou de faire pipi, la faire manger dans une gamelle. Ils peuvent aussi la mettre à quatre pattes pour la prendre virilement.
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Mon quotidien quand j'étais plus jeune et que j'aimerais bien retrouver, tout comme ma jeunesse.
@soumbcbg : pour avoir la chance de connaître, dans une même vie, deux psychés -l'une masculine et l'autre féminine- je veux vous garantir que le processus intellectuel est tout autre. Sans doute une histoire d'hormones sexuelles sécrétées, entre autres, par l'hypophyse. Ce n'est pas une histoire de surestimer quoi que soi, juste de penser les choses, fantasmes compris, de façon clairement différente.
Quant à vos remarques qui suintent la misogynie, c'est comme pour ma première petite culotte...
@soumbcbg : votre opinion est au contraire des plus mainstream ! Vous êtes l'archétype du bon gros beauf. Et les gens comme vous sont légion. Un mec paumé sur un site BDSM ne sachant ni se présenter ni ce qu'il recherche au vu de votre profil d'un vide abyssal. Votre faible participation à la communauté nous indique que vous semblez aimer l'humiliation, j'espère vous avoir satisfait...
@soumbcbg : Ce n'est pas avec moi que nous glisserons doucement mais surement vers le wokisme et autres conneries... C'est une doxa que contrairement à vous, je ne suis pas. Comme toute doxa d'ailleurs. Il serait temps de penser par vous-même... Par contre, pour bien connaître le milieu BDSM, je maintiens qu'il est rempli de beaufs. Des beaufs qui restent derrière leur écran. Des gens que , heureusement, on ne croise pas dans les soirées autant privées que publiques. Bonne soirée malgré tout.
Sabine a 24 ans , elle est étudiante en psychologie à l’université de Namur, c’est une fille avec des formes, son mètre soixante-huit et sont 95D ni sont pas étranger. Elle est en seconde année et comme tous les jeunes de son âge, elle participe à de nombreuses fêtes étudiantes. Elle est actuellement célibataire, ce qui lui facilite la vie et lui permet de n’avoir rien à respecter.
Tout se passe donc bien pour elle, on parle de loin d’un virus qui contamine la chine, mais personne n’y fait réellement attention. Jusqu’au moment où il commence à toucher l’Europe et qu’on annonce prendre des mesures en confinent les gens chez eux, elle est dans son studio pour ses études et n’a pas spécialement envie de rentrer chez elle, elle se dit que pas mal de ses potes resteront aussi. Elle prévient ses parents de ne pas s’inquiéter qu’elle reste là.
Elle se rend très vite compte que finalement elle restera quasi seule dans sa demeure, juste une fille au premier apparemment. Les premiers jours elle ne s’inquiète pas trop cela durera que 15 jours après tout… à l’annonce du prolongement elle se dit que finalement il y a intérêt à trouver une occupation.
Elle se décide à s’inscrire sur des salles de tchat et comme elle a toujours été attirée par la soumission, elle se dit autant mettre un avatar non équivoque et se diriger vers ce genre de salon. Dès son arrivée sur le site elle est agressée par des dizaines de demandes, elle répond à tous au départ puis commence à faire un tri, éliminant les impolis et ceux qui ne veulent pas discuter …
Elle reste à parler avec une dizaine de personnes, mais après quelques temps elle élimine au fur et à mesure les gens trop insistants et ceux qui se révèlent finalement n’être que des mecs qui veulent baiser. Il ne reste au final que deux personne très courtoises qui lui expliquent les tenants et les aboutissants du BDSM, car oui elle apprend qu’on parle de BDSM pour tous ce qui est soumission. La conversation dure tard dans la nuit, la confiance s’installe et elle accepte de petits jeux avec l’un d’eux. Elle doit se mettre des pinces sur les seins, marcher à quatre pattes dans la pièce, … Il lui demande de lui donner son ressenti quand elle se réveillera…
Comme elle apprécie grandement toutes ces nouvelles sensations, il lui donne un premier défi. En allant faire ses courses, elle devra aller à l’animalerie et acheter un collier pour chien. Elle est assez angoissée car elle devra ensuite rentrer avec ce collier au cou. Elle a le choix du collier mais il doit faire au minimum 4/5 cm de large. La voilà donc devant les colliers au magasin, mais que choisir, quelle taille prendre, surtout qu’il lui a dit qu’elle le portera longtemps et qu’il devait être confort pour qu’il ne lui fasse pas mal…
La vendeuse vient voir si elle peut aider, Sabine est un peu gênée et bafouille qu’il lui faut un collier de 5cm pour un chien qui a, à peu près le même cou qu’elle. La vendeuse n’est pas dupe et avec un grand sourie lui dit que le plus simple est de l’essayer… Sabine est morte de honte quand la vendeuse lui passe les premiers colliers qui s’avèrent trop grand ou trop petit au final. Au final elle lui en essaye un à sa taille et comme il va parfaitement la vendeuse lui dit « Je présume que vous le gardez » ne sachant que dire elle fait oui de la tête.. Passage en caisse et retour en plein jour devant les passants médusés
Ils continuent à parler ainsi pendant plusieurs jours, elle est parfois punie car elle ne sait garder sa langue et manque parfois de respect, jamais rien de bien méchant, elle découvre le plaisir de la douleur, elle apprend à boire dans un bol au sol, à demander la permission pour prendre du plaisir … tout un nouveau monde qui s’ouvre à elle …. Fait de plaisir et de contraintes
Un jour en discutant ils se parlent de contraintes, elle le taquine un peu en disant que pour elle la contrainte ne serait jamais un souci, il la prend donc au mot et lui charge de trouver de quoi l’entraver. Elle va voir dans la cave où elle sait que trainent plein de choses et remonte avec ce qu’elle cherchait, plusieurs chaines de plusieurs mesures… 2 de deux mètres environ, 2 d’environ un mètre et une plus courte qui doit faire 50 cm environ. Elle sait où trouver les cadenas. Ses voisins vivant à cinq dans leur appartement, ils ont tous des cadenas pour mettre leurs affaires en sécurité. Comme elle a la clé de l’appartement pour le surveiller elle sait qu’il n’y a personne.
Elle envoie fièrement la photo de ses trouvailles à monsieur, comme elle l’appelle à présent. Il lui demande d’ouvrir tous les cadenas et d’aller mettre les clés placées dans une enveloppe dans l’appartement voisin. A son retour monsieur lui explique comment s’enchainer. Après s’être mise nue, elle doit donc prendre les deux chaines les plus courtes, faire deux fois le tour de chaque cheville avant de mettre un cadenas qui prend les deux tours de chaine, à sa cheville gauche elle doit aussi fixer une des longues chaines au cadenas. On passe ensuite aux poignets en les enchainant de la même façon et la grande chaine fixée à droite. Le restant de la grande chaine fera le tour du cou avant d’être fermée par le dernier cadenas. C’est après avoir fermé le dernier cadenas qu’elle se rend compte qu’elle n’a pas réfléchi et ne peut quasi plus se mettre debout, la chaine reliant le tout étant trop courte. Elle explique cela a monsieur qui rigole et lui dit que ce n’est pas grave, elle est très bien à 4 pattes. Au soir, il lui demande de se coucher ainsi dans son lit et au matin de lui faire son rapport.
La nuit est un peu compliquée pour elle, elle s’endort assez tard et du coup se réveille vers 10h. Son premier réflexe est de faire son rapport à monsieur, décrire sa nuit et le plaisir qu’elle prend à être ainsi enchainée. Les heures passent mais pas de nouvelles de Monsieur, elle angoisse s’énerve, se sent abusée, finalement monsieur la contacte seulement vers 18h, elle lui explique qu’elle est énervée car elle a imaginé plein de chose. Il lui dit simplement qu’il a eu des soucis au boulot et n’a pas pu du tout se connecter… elle le taquine un peu trop peut être…
Il est tard, il n’a pas envie de supporter cela et la punit, il lui demande d’aller à côté et d’ouvrir le cadenas de son cou. Elle est angoissée de se faire voir mais obéit. Elle doit aussi voir s’il n’y a pas un autre cadenas. Elle revient avec le cadenas ouvert et l’autre cadenas et sa clé comme demandé. Il lui dit de prendre la chaine qui était autour de son cou et d’en faire un bâillon très serré, pour le fermer elle doit employer le nouveau cadenas.
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Toute classe qui aspire à la domination doit conquérir d'abord le pouvoir politique pour représenter à son tour son intérêt propre comme étant l'intérêt général.
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Bonjour, jeune soumis débutant, je suis a la recherche d'une personne qui me mettra un collier pour m'éduquer comme il se doit.
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Hello tout le monde !
Je suis plusieurs fois tombée sur de vieux posts parlant de différents colliers et des étapes qu’ils peuvent symboliser dans l’avancement de la relation D/s, mais je n’ai pour l’instant jamais rencontré de personnes pratiquant de cette manière.
Je me demandais donc, est-ce qu’il y en a ici qui se reconnaissent dans cette pratique (utiliser plusieurs colliers pour signifier l’avancement dans la relation) ?
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Bonjour
Ma s avec un collier de parade lors de sortie donjon ( tissus , cuir, pvc) et maintenant elle porte un collier eternity depuis que nous avons fait notre contrat et cérémonie de la tose
@Cpdulux Je vois, et votre relation D/s a-t-elle aussi évolué avec cette étape, ou était-elle surtout une "officialisation" de la relation ?
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13/09/24
Bonjour. Oui je suis adepte et favorable au port de différents colliers. D'abord en fonction des circonstances (discret pour l'extérieur ou le travail, et très marqué pour la maison ou les sorties bdsm), et aussi pour marquer les étapes d'apprentissage et d'évolution de la soumise, un peu comme les différentes couleurs de ceintures des arts martiaux. Depuis le statut de "novice", jusqu'à celui "d'esclave", qui aura alors un collier définitif et inamovible.
Ma s a évolué dans le sens de sa dévotion et son plaisir a toujours offrir le meilleur d elle a son D, suand a moi j essaye au Max de la cadrer de la rassurer et l encourager dans son quot
Le fait d avoir un collier ou bracelet visible et reconnaissable, permet au gens qui connaissent de se reconnaître en te que et pour ma s de montrer sa fierté d etre soumise a son D
Son collier eternity est accompagné s une perle amoviquand elle travail et d un anneau lorsque nous sommes de sorties
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13/09/24
“La ressemblance n'est pas propice à la domination de l'Un sur l'Autre. Au contraire, elle incite plutôt à la paix des sexes.”
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Bonjour à tous,
Je suis Hubby01, soumis dans l’Ain, je suis à la recherche de mes doms, idéalement un couple homme femme, capable de me faire évoluer.
Très fétichiste de tenues cuir, vinyle, latex et de cages de chasteté, j’aime être féminiser.
Marié, le bdsm est mon jardin secret, mais je ne demande qu’à apprendre et progresser.
Hubby
Soyez la première personne à aimer.
Bonsoir je suis soumis du 62 et j'aimerais être en appartenance
Soyez la première personne à aimer.
Coucou tout le monde.
Voici un collier personnalisé, créé par agnescollier (Fetlife).
Je l’ai offert ce we à Val’, ma soumise.
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Il est magnifique ! Il me rappelle un peu mon propre collier, mais le vôtre est encore plus joli
Bonjour je cherche une appartenance en réel et long terme
Soyez la première personne à aimer.
Bonjour je recherche une maîtresse femme ou trav pour une appartemence accepte que je sois encager avec collier et laisse région pays de la Loire 53 Mayenne 49 Maine et Loire Bretagne 35 Ille Vilaine
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Bonjour, Je cherche une appartenance en réel et long terme discret
Soyez la première personne à aimer.