The cane, the birch, the whip

et ceux-là aussi ...

Du bel ouvrage...

En réalité l'instrument n'était pas celui des stries sur la photo mais ça rendait bien comme ça pour ce shooting de fin de séance de fouet, la longueur du véritable instrument n'aurait pas pu tenir en équilibre entièrement posé sur ma fesse

elle est superbe ...

Oui, moi aussi je mériterais de subir cela, en misérable pervers.e que je suis...

La prochaine fois j'essayerai d'être réellement suspendu en l'air par les pieds pour voir si je peux endurer la douleur du poids de mon corps sur les attaches en plus du reste

Oh, mon Dieu mon Diable, que ça doit faire mal ! Mon micro-pénis en coule d'avance...

@Giel17 : Et bien au risque de devoir éroder un peu ton plaisir, la réelle perception de l'expérience est un peu différente : Cette phase était en toute fin de séance quand mon badineur m'avait déjà bien chauffé, ce qui fait que lorsqu'il a accéléré de la sorte la douleur du fouet n'était plus vraiment significative, c'était devenu supportable et le rythme et l'intensité des coups m'ont entrainé dans cette danse d'acceptation de passivité absolue. Ce fouettage vif, violent et soutenu m'était devenu des plus agréable, je dansais enfin au rythme de la badine du Maître, mes coups de rein faisant l'amour à son fouet. Par contre, en tout début de séance quand il avait commencé par me donner de petits coups progressifs très variables et de manière aléatoire sur différents endroits du corps à l'arrière c'était assez désagrablé, la sensation de vulnérabilité semblant être accrue du fait de ma position debout les poignets attachés à la nuque, une jambe fixée au piquet menotant les parties génitales, les chevilles enchaînées à la palette au sol. Le moindre petit coup de fouet est tout de suite plus dur à encaisser puisque le fouetté ne peut pas compter sur un support pour s'accrocher et mieux encaisser le coup.

Merci pour la précision de ta description et la grande finesse de ton analyse ; à te lire, un vertige de tentation me prend : celle de subir ce que tu décris si bien, et que tu rends désirable.

Ouaahou ! Merci du compliment Giel17. Pour moi c'est marant quand tu parles de vertige car ces temps-ci je pense pas mal àAlain Bashung, vertige de l'amour et Madame rêve .

Oui. Et à Vertigo...

En fait, c'est pas vraiment "subir", c'est juste qu'on a la chance de pouvoir le faire entre amis et que l'un d'eux peut accepter de nous recevoir très aimablement chez lui pour se prêter au jeu de flagellations mutuelles. Dans le cas présent il n'y a pas à priori de rapport de domination entre nous mais le jeu peut très bien s'y prêter. On s'essaye c'est tout. J'essaye malgré tout de faire preuve de créativité quand je me mets en scène d'être fouetté, je choisi les angles des prises de vues, les accessoires, la disposition du décors en arrière-plan, les instruments et bien sûr le ou les partenaires, le tout étant ensuite de pouvoir faire visuellement profiter du résultat à ceux que cela intéresse.

Voici une fort jolie fouetteuse équipée d'un bien bel instrument sachant bien s'en servir. Comme j'aimerais avoir la chance de pouvoir un jour y goûter !

ca fait bien circuler le sang

... comme le disait si bien aussi ma grand-mère qui me coursait au martinet