JojoServiableJo
JojoServiable
Bonjour,
Il y a 10 mois, ma femme et moi nous sommes lancés dans cette aventure.
Pour elle, c'était une occasion de pimenter notrevie de couple via un "plan à trois".
Pour moi, c'était l'occasion de scénariser ma soumission.
Mais ça a vite dégénéré. Ils se sont attachés l'un à l'autre et mon couple pourtant vieux de 32 ans a volé en éclats.
Aujourd'hui on se sépare. Je regrette de m'être lancé là-dedans.
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Dominants07
C'est le risque de cette tentative d'introduire une personne extérieure au couple...
Désolé pour toi
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Hier, 06:47:49
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Anton CHIGURH
@JojoServiable tout mon soutien à vous! J’ai été dans la situation inverse, à savoir qu’en tant que Dom, ma compagne soumise voulait être plus humiliée et souhaitait donc être cocufiée à foison… elle a fini par se détacher de moi… et des fois encore maintenant, je me sens responsable d’avoir accédé à ses désirs…
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Hier, 11:03:59
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Anton CHIGURH
Je peux dire également qu’étant Bull/complice depuis plus de 12 ans, une des règles fondamentales est de ne pas s’immiscer dans le couple et/ou de chercher à remplacer le cocu… donc c’était pas du tout correct de la part du Bull auquel vous avez fait confiance, d’accepter la démarche de madame…. Il aurait dû vous en informer et partir en retrait pour vous laisser dialoguer!
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Hier, 11:22:25
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Dominants07
Oui mais si ils se plaisent, c'est imparable ! La connivence passe au dessus du couple d'origine
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Hier, 11:24:38
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Anton CHIGURH
Si c’est mutuel oui… je sais… mais c’est bien triste de balancer tant d’années ensemble, à se connaître et se chérir, simplement pour une queue…
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Hier, 11:27:16
JojoServiableJo
JojoServiable
C'est ça. Double langage du bull : à moi, c'est juste du cul, l'important c'est son couple ; à elle, elle le fait craquer un truc de fou...!
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Hier, 11:31:00
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Anton CHIGURH
J’aimerais pouvoir vous dire que ça va aller… mais j’ai bien idée de ce que ça fait… je peux seulement vous apporter mon soutien…
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Hier, 11:37:38
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driver34
je suis en phase avec Anton CHIGURH, c'est au Bull/amant de gérer cela, un vrais amant candauliste , sil sent l attachement de l'épouse doit couper court à la relation , nous ne sommes pas la pour briser des couples, Malheureusement vous êtes tomber sur une personne qui n'avait pas cette maturité d 'esprit celui ci , certainement, reproduira le même schema avec un autre couple et votre épouse en sera la 2nd victime vous étant la 1ere.
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Hier, 16:28:12
JojoServiableJo
JojoServiable
En fait, je crains qu'on ne soit pas les premiers. Il trompe sa femme depuis une quinzaine d'années avec différentes personnes au gré des opportunités. On est les derniers...
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Il y a 23 heure(s)
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Angagé
Moi ça fait plusieurs années que je côtoie un couple et aujourd'hui sa femme aimerait qu'on forme un troupe..
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Il y a 16 heure(s)
Merci Elle.a d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Bonjour
Je suis à la recherche d’un couple candauliste pour m’occuper de Mme.
Ouvert à différentes configurations.
Au plaisir
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Sarah savait qu'elle avait de la chance d'avoir un mari qui gagnait tellement d'argent qu'elle pouvait rester à la maison et n'avait pas besoin de travailler, mais parfois elle s'ennuyait. Il n'y avait qu'un nombre limité de déjeuners avec les dames du Rotary club auxquels on pouvait assister. De plus, son mari Stephen travaillait si dur qu'il était souvent trop fatigué pour avoir des relations sexuelles. Elle était donc là, une femme au foyer ennuyée et excitée, une combinaison explosive. C'était une journée chaude fin septembre lorsque le nord de la Californie a eu sa canicule annuelle.
Sarah avait l'habitude d'appeler cette période de l'année un "été indien", mais elle savait que cela ne sonnait pas bien dans la Bay Area politiquement correcte, alors elle a essayé de ne pas utiliser cette expression. Mais il faisait chaud alors elle a mis son bikini et allait sortir dans le jardin pour lire un roman d'amour à l'ombre quand elle s'est rendu compte que les paysagistes travaillaient là. Elle baissa les yeux sur son minuscule maillot de bain qui ne laissait pas grand-chose à l'imagination, puis sur les hommes latinos petits et trapus, à la peau brune et transpirant au soleil pendant qu'ils arrachaient les mauvaises herbes dans ses parterres de fleurs et tondaient la pelouse.
Ça ne me semblait pas vraiment convenable d'aller défiler ainsi à moitié nue devant des ouvriers, pensa Sarah en hésitant. Samuel ferait certainement une crise s'il la surprenait en train de faire ça. Il pouvait être si jaloux parfois. Mais encore une fois, il n'était pas encore rentré avant des heures, et Sarah aimait plutôt l'idée de donner un peu de frissons à ces petits paysagistes mexicains. Après tout, quelqu'un devrait apprécier sa silhouette sexy si son mari était trop épuisé pour lui prêter attention.
Alors Sarah a fait un sourire méchant et s'est promenée nonchalamment dans son bikini maigre juste devant les portes coulissantes en verre et dans la cour arrière devant l'ouvrier Ses seins rebondissaient et ses fesses étaient à moitié pendantes, alors elle a essayé d'accrocher son haut et tirez son bas de bikini vers le bas pour mieux couvrir ses fesses alors qu'elle marchait pieds nus et consciente d'elle-même sur l'herbe verte et fraîche. Elle sentit ses joues gonfler alors que tout travail cessa et que tous les yeux marron foncé du gang de la pelouse étaient fixés sur sa silhouette chancelante. « Caramba ! Mamacita ! s'est exclamé un camarade avec étonnement, laissant tomber sa houe alors qu'il désherbait le parterre de fleurs. "Calme-toi, pinche cabron", siffla un autre gaillard qui travaillait à ses côtés.
Sarah gloussa en réponse. Son espagnol était rouillé, mais elle savait que le second avait dit un gros mot. « ¡Hola ! Ser educado en torno a una dama », dit-elle à celui qui jura.
Elle lui disait d'être poli avec une dame et il ôta son chapeau en guise d'excuse et la regarda, intéressé qu'elle puisse parler sa langue. "Lo siento, señorita. Lo siento," dit-il en s'excusant abondamment. "Señora, Estoy casado," répondit-elle avec un sourire, lui faisant savoir qu'elle était mariée.
"Eso está muy mal", a-t-il taquiné, suggérant qu'il souhaitait qu'elle soit célibataire. Sarah mesurait quelques centimètres de plus que le petit paysagiste et alors qu'ils se contemplaient, elle fut frappée par les différences entre eux. Elle était grande, mince et pâle, et il était petit, brun et musclé.
Il lui rappelait une boulette de viande mexicaine, et il avait cette étincelle dans les yeux que certains hommes latinos avaient lorsqu'ils s'imaginaient être un homme à femmes. Elle n'allait pas normalement pour les types ethniques. Elle n'était sortie qu'avec des hommes blancs mais elle trouvait ce petit bonhomme charmant.
Il avait un sourire contagieux. Ils ont conversé pendant quelques minutes en espagnol pendant que les autres gars retournaient au travail à contrecœur, regardant avec envie de temps en temps pendant que leur copain discutait avec la maîtresse sexy de la maison. Sarah a découvert que l'homme s'appelait Oscar et qu'il venait du Salvador, pas du Mexique. Elle lui a dit qu'il devait être fatigué de tout ce travail acharné, mais il a juste fait un signe de la main avec dédain et lui a dit que sa famille avait une ferme à la maison et que c'était un vrai travail, ce n'était rien.
Il lui a parlé de leurs chèvres et de leurs cochons, et du labourage des champs avec un âne, et s'est vanté que le travail agricole l'avait rendu grand et fort. Il retroussa la manche de sa chemise et forma un muscle, invitant Sarah à le sentir. Elle a ri et l'a obligé, et elle a dû admettre qu'il avait un biceps assez dur. Elle remarqua qu'Oscar continuait à regarder son corps pendant qu'ils parlaient et, après avoir serré son bras musclé, il mit précipitamment sa main dans sa poche.
Elle aurait pu jurer qu'il essayait de garder le contrôle de son érection pour que ça ne se voit pas et elle a décidé de le taquiner un peu. « Tu n'aimes pas mon bikini, Oscar ? lui demanda-t-elle en espagnol, lui tendant une hanche pour flirter. "Oh, oui, tu es magnifique," jaillit-il, la sueur perlant sur son front alors que sa main bruissait vigoureusement dans sa poche. « Qu'as-tu dans ta poche, Oscar ? demanda-t-elle innocemment, toujours en espagnol. « Est-ce quelque chose pour moi ? Il blêmit quand elle dit cela, et elle pensa qu'elle était allée un peu trop loin, mais elle réalisa alors qu'Oscar regardait la maison par-dessus son épaule.
Sarah se retourna à temps pour voir son mari Stephen sortir en trombe par la porte arrière coulissante en verre, le visage assombri par la rage. "Pour Chrissake, Sarah, qu'est-ce que tu penses faire ?" il cria. « Je, euh, parlais justement à Oscar.
Saviez-vous que sa famille possède une ferme au Salvador ? » balbutia Sarah sous le choc. Oscar baissa la tête et se mit à genoux à la hâte et commença frénétiquement à arracher les mauvaises herbes. "C'est putain de merveilleux, je suis tellement fasciné d'entendre ça", a hurlé Stephen. Il portait toujours son costume du travail et se tenait au-dessus du petit ouvrier dans son t-shirt sale et son jean.
Stephen dominait le paysagiste à la fois physiquement et en termes de statut. « Ne crie pas, Stephen, tu lui fais peur », gronda Sarah. « Ne crie pas ? bredouilla-t-il d'indignation.
« Regarde-toi Sarah, à moitié nue, fraternisant avec l'aide. A quoi penses-tu ? "C'est une belle journée, je voulais juste prendre un peu de soleil", a-t-elle déclaré sur la défensive. Elle a consciemment couvert son entrejambe avec son roman d'amour. Stephen regarda sa femme qui rétrécissait devant lui et sa colère se refroidit quelque peu et se durcit en une résolution d'acier. "D'accord mon cher, d'accord, mais ces petits Mexicains sont payés pour travailler, pas pour reluquer ma femme", a lancé Stephen.
"Toi José, lève-toi, viens avec moi, on va aller discuter un peu avec ton patron." "Maintenant, Stephen, ne sois pas téméraire", a déclaré Sarah, regardant son mari avec peur. "Sarah, tu es douce. Tu es une femme. Mais ces travailleurs ont besoin d'une main ferme.
Je ne les paie pas pour se relâcher et draguer ma belle femme", a déclaré Stephen, et il a donné à Sarah un gros bisou sur la joue. qu'elle essuya alors qu'il se détournait d'elle. « Allez, lève-toi, Don Juan », demanda Stephen en désignant Oscar avec impatience.
« Qu'est-ce que ça veut dire ? demanda Oscar, regardant de Stephen à Sarah avec une expression inquiète. "Il ne parle pas anglais, Stephen," soupira Sarah. "Je quiere ir con l", expliqua-t-elle tristement à Oscar. Stephen lança un regard étrange à sa femme lorsqu'elle parla en espagnol à Oscar mais remarqua que le paysagiste s'exécutait.
Oscar s'est levé et a brossé la saleté de son jean et a consciencieusement suivi Stephen dans la maison. Sarah traînait derrière, se tordant les mains anxieusement. Elle se sentait mal d'avoir causé des ennuis à Oscar avec son flirt frivole et elle espérait pouvoir intercéder en sa faveur. Stephen a traversé le salon en courant et a ouvert la porte d'entrée en criant pour le superviseur, Manuel.
Manuel était un gros homme d'une cinquantaine d'années avec des cheveux grisonnants et un visage de gorille. Il a pris son temps pour entrer dans la maison. "Qu'est-ce qu'il y a, patron, qu'est-ce qu'il y a?" demanda-t-il avec impatience. "Nous avons encore trois travaux à faire aujourd'hui. J'essaie de finir ici pour que nous puissions passer à autre chose." Manuel vit Oscar debout sur le tapis et sursauta, puis il vit Sarah debout là dans son bikini et ses yeux lui sortirent presque de la tête.
" ¿ Que pasó?, Oscar, ¿ que pasó?" "Nada, lo juro", insista Oscar en levant les mains sur la défensive. "Pouvons-nous parler anglais ici, s'il vous plaît?" cheveux." J'ai surpris votre homme ici en train de se détendre et de discuter avec ma femme. Je paie vos hommes pour qu'ils travaillent, pas pour flirter avec ma femme. » Manuel regarda Sarah de haut en bas avec lubricité et cela lui donna la chair de poule. Elle aurait aimé qu'elle ait un peignoir à enfiler.
à moi aussi, » rit-il, agitant ses sourcils broussailleux vers Sarah et lui faisant une grimace. Sarah détourna le visage de dégoût et Oscar croisa son regard pour qu'il puisse hausser les épaules en signe d'excuse. « Quoi ? Quoi ?" bredouilla Stephen, choqué par l'insolence de l'homme. "Oscar a dit qu'il n'avait rien fait, et je le crois.
Oscar est un homme bon. Il était dans l'armée, tu sais, dit Manuel. Ce n'est pas sa faute si ta coquine de femme se promène sans vêtements.
Qu'est-ce qu'un homme est censé faire ? Faire un nœud à sa bite ? Ce sont des hommes là-bas, patron, pas des poules mouillées. Ils aiment voir un beau corps comme n'importe quel homme le ferait. Si vous voulez qu'ils travaillent, gardez votre femme à l'intérieur jusqu'à ce qu'ils aient fini." "Des animaux ! Vous n'êtes qu'une bande de sales bêtes ! s'exclama Stephen indigné.
Je devrais trouver un autre paysagiste. pas du tout intimidé par Stephen.Sarah était mortifiée et voulait s'éloigner de cette scène tout de suite, mais elle voulait aussi s'excuser auprès d'Oscar pour tout cet épisode.Soudain, elle eut une idée. "Oh, Oscar, tu n'as pas dit que tu devais aller aux toilettes ?" dit Sarah à haute voix. " ¿ Qué ?" dit Oscar sans la comprendre. "Venez, je vais vous montrer où aller," dit-elle en le prenant par la main et en le conduisant vers les escaliers.
"Que fais-tu?" a demandé Stephen quand il a vu sa femme conduire l'Oscar confus à l'étage par la main. "Je montre au pauvre Oscar où se trouve la salle de bain", a déclaré sa femme. « Qu'il utilise celui d'en bas », dit Stephen avec exaspération. "Il y a trop de cris ici", a reniflé Sarah en poussant Oscar à l'étage. Stephen était trop distrait pour se plaindre davantage alors que Manuel s'enfonçait dans ses talons.
« Écoutez patron, nous avons un contrat, vous ne pouvez pas simplement nous virer pour une petite chose comme ça… » Les sons de la dispute s'estompèrent quelque peu alors qu'Oscar et Sarah montaient les escaliers et se tenaient sur le palier. Sarah regarda par-dessus la rampe et put voir les sommets des têtes de Stephen et Manuel. Elle conduisit Oscar plus loin dans le couloir. « Pourquoi m'as-tu amené ici ? demanda Oscar en espagnol, son visage un masque de confusion.
"Votre mari va être suspect." "Je sais," admit Sarah. "Mais je me sentais tellement mal à propos de la façon dont mon mari agissait, que je voulais m'excuser." Elle ouvrit les bras pour recevoir un câlin. "Pas d'émotions fortes?" Oscar regarda son corps de haut en bas pendant un moment puis jeta un coup d'œil à la rampe qui surplombait le salon en dessous. Le son des voix de Stephen et Manuel était toujours perceptible alors qu'ils se disputaient.
Il embrassa Sarah avec empressement et ils restèrent un instant dans une étreinte amicale. Sarah sentit un picotement dans son ventre lorsque l'odeur d'Oscar la frappa. Il sentait la terre et la sueur et ça l'excitait.
Sa poigne était forte mais douce et elle pouvait sentir son érection presser contre sa cuisse alors qu'il devenait de plus en plus dur. "Oh, Oscar, je ressens ça", lui a-t-elle dit. "Tu aimes ça?" lui demanda-t-il, la regardant avec un sourire en coin, son menton appuyé sur sa poitrine. Elle se pencha et attrapa sa tige à travers son jean, le faisant crier de surprise.
Mais, quand il a réalisé ce qui se passait, il a rapidement saisi les seins de Sarah et a commencé à lui pincer les mamelons à travers son haut de bikini. « Vilain garçon », le gronda-t-elle en continuant à serrer le renflement dur du jean d'Oscar. "Mon mari serait très en colère contre vous s'il vous voyait faire cela." "Oh, non, il comprendrait, j'en suis sûr", a ri Oscar.
"Je pense qu'il m'aime bien." Sarah a ri de cela, puis a décompressé la braguette d'Oscar et a sorti son pénis raide. Stephen était tellement connard à propos de tout ça qu'elle ne se sentait pas vraiment coupable. De plus, c'était incroyablement pervers de branler le paysagiste pendant que son mari se disputait juste en bas. La bite d'Oscar était sombre et veinée et il grogna de plaisir alors qu'elle caressait son sexe de haut en bas. Il a cessé de caresser ses seins et a commencé à lui frotter la chatte, essayant de localiser son clitoris à travers le tissu fin de son bas de bikini.
Sarah a repris son souffle et a senti son pouls s'accélérer et son entrejambe devenir humide alors qu'Oscar et elle se touchaient effrontément les organes génitaux à seulement cinquante pieds de son mari en colère. « Sarah, qu'est-ce que tu fous là-haut ? appela Stephen d'en bas et le cœur de Sarah lui sauta à la gorge. Elle mit ses doigts sur ses lèvres et relâcha à contrecœur la bite d'Oscar alors qu'elle se retournait et courait vers la rampe solide qui surplombait le salon. Sarah se pencha par-dessus la rambarde et appela son mari.
« Je garde un œil sur ce type. Je ne veux pas qu'il vole quoi que ce soit », dit-elle dans un faux murmure. Juste à ce moment-là, une idée diabolique lui vint à l'esprit et elle enleva son bas de bikini et le laissa tomber sur ses talons. Stephen et Manuel pouvaient lever les yeux et la voir de la taille vers le haut, mais sa moitié inférieure était dissimulée par la rampe. "Oh allez, Oscar est un homme bon, il ne volerait rien", a insisté Manuel, clairement choqué par la suggestion même.
Sarah gloussa et remua ses fesses nues vers Oscar et il comprit rapidement l'allusion. Il s'est glissé derrière Sarah et a poussé son pénis entre ses fesses rondes, poussant du coude avec la tête de son pénis, essayant de trouver l'entrée de ses lèvres. Elle haleta de surprise quand son gland trouva sa chatte glissante et il s'enfonça en elle, s'accroupissant derrière elle pour rester hors de vue des hommes en dessous. Heureusement, Stephen était distrait et n'a pas remarqué son halètement. "Hmm, je ne suis pas si sûr.
Je ne fais pas confiance à ces immigrants mexicains, ils n'ont rien à perdre", a déclaré Stephen en se frottant le menton. "Mieux vaut qu'elle garde un œil sur lui." "Mon Dieu, il n'est même pas mexicain, il vient du Salvador", s'est plaint Manuel. "Aucune différence," renifla Stephen avec dédain. Pendant ce temps, Oscar pompait furieusement, glissant sa grosse bite dans et hors de Sarah tandis que ses jointures blanchissaient alors qu'elle agrippait la rampe de toutes ses forces. Elle haleta à nouveau alors qu'elle essayait de cacher son excitation.
« Qu'y a-t-il, ma chère, vous semblez pâle », demanda Stephen en remarquant enfin sa femme. "Et tu trembles." Son front se plissa d'inquiétude. Sarah se mordit la jointure en luttant pour se contrôler alors qu'Oscar la pénétrait par derrière avec de plus en plus d'urgence, la faisant se balancer d'avant en arrière.
Elle haleta et gémit malgré elle. "Je, je n'arrive pas à croire à quel point tu es raciste, Stephen," haleta-t-elle. Puis elle cria avec une démonstration d'émotion.
"Ungh, c'est juste, oh mon Dieu, je peux à peine le supporter." Manuel et Stephen échangèrent un regard confus devant la soudaine explosion d'émotion de Sarah. Elle semblait être au bord des larmes. "Je suis, je suis désolé, chérie, je ne voulais pas que tu sois si bouleversée," balbutia Stephen contrit. "Je veux dire, je suis juste un con parfois je suppose." Oscar tendit la main et tripota le clitoris de Sarah jusqu'à ce qu'elle soit au bord de l'orgasme. Elle agrippa la rampe encore plus fort qu'elle ne l'aurait cru possible et baissa la tête, tremblant alors que l'orgasme arrivait.
De là où il se tenait, il sembla à Stephen que sa femme pleurait littéralement et il lança un autre regard maladroit à Manuel. « Les femmes ! Allez comprendre », dit Manuel avec un haussement d'épaules. "Mais vous êtes raciste, cependant." "C'est ça, bébé, c'est ça", a chuchoté Oscar. "Maintenant c'est mon tour." Et le petit paysagiste d'El Salvador a pompé charge après charge de sa semence chaude à l'intérieur de la grande et magnifique épouse de Stephen tandis que le cocu pompeux regardait sa femme pâle et secouée avec inquiétude. "Oh ouais", a convenu Sarah, à Stephen et à Oscar.
Elle se redressa et essuya son visage de façon dramatique. "D'accord, euh, j'ai besoin d'une minute pour moi en ce moment. Je n'arrive pas à croire ce qui vient de se passer ici. Je veux que tu réfléchisses au genre d'homme que tu veux être, Stephen", a-t-elle dit à son mari. Puis elle s'est éloignée de la rampe et s'est précipitée dans le couloir bras dessus bras dessous avec Oscar alors que le couple éclatait de rire nerveux et frénétiques.
"Oh mon dieu, as-tu vraiment joui en moi?" demanda Sarah sous le choc, sentant la charge généreuse d'Oscar commencer déjà à suinter d'elle. « Juste un peu, » admit-il avec un modeste haussement d'épaules. "Oh merde, tu dois redescendre là-bas," dit Sarah. "J'ai besoin de temps pour me ressaisir." "Je vais juste leur dire que je laissais tomber une grosse charge", a-t-il dit avec un sourire diabolique. "Ne dites pas à Stephen que vous l'avez laissé tomber à l'intérieur de sa femme", gloussa Sarah, touchant affectueusement la poitrine épaisse d'Oscar alors qu'il fermait son jean.
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Bonjour, je partage l’annonce de mon maître au cas où ça intéresserait une soumise ici (virtuel uniquement). 😉
« Bonjour,
Je suis à la recherche d’une soumise, dans un cadre exclusivement virtuel, pour m’accompagner dans la soumission et l’éducation.
Votre rôle consisterait à vous placer sous mes ordres et à participer virtuellement à la relation que j’ai instaurée. Il est important de préciser que ma soumise actuelle (l’autrice de cette annonce) est informée et accepte pleinement cette démarche. Vous serez toutes deux considérées sur un même rang à mes yeux, sans distinction, avec des rôles complémentaires.
Si cette annonce vous interpelle, je vous invite à me contacter pour échanger et poser des bases solides dans cet espace virtuel. »
Vous pouvez le contacter sur Twitter : Msm_017 ou prendre contact avec moi ici. Bonne journée/soirée à vous. :)
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bonjour j'ai 30 ans et je cherche un couple candaulisme sur rennes et ses alentours pour suivi et jouer avec madame devant le mari cocu soit chez le couple ou chez moi j'ai beaucoup d'expérience des couples caudau en attente de vos réponse biz et si question nécessitez pas
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Je m’appelle Nicolas, j’ai 45 ans, et depuis quelque temps, un désir brûlant me consume. Ma relation avec Isabelle, ma femme depuis vingt ans, est solide, mais la routine s’est installée. Les écrits captivants d’une auteure que je lis en secret ont éveillé en moi des fantasmes inexplorés. Je ressens le besoin de partager ces envies avec Isabelle, même si l’appréhension me retient.
Un soir, après un dîner aux chandelles, je décide de me confier. Le cœur battant, je m’assieds près d’elle sur le canapé.
— Isabelle, j’aimerais te parler de quelque chose d’important, dis-je en prenant sa main.
Elle me regarde avec douceur, une lueur d’inquiétude dans les yeux.
— Qu’est-ce qu’il y a, Nicolas ?
Je prends une profonde inspiration.
— J’ai des désirs, des fantasmes que je n’ai jamais osé partager avec toi. J’aimerais que nous explorions de nouvelles expériences pour raviver la flamme entre nous.
Elle reste silencieuse un instant, surprise par ma confession.
— Tu sais que tu peux tout me dire. Qu’as-tu en tête ?
— Et si nous invitions un autre homme à partager un moment intime avec nous ?
Ses yeux s’écarquillent légèrement. Je perçois un mélange de surprise et de curiosité.
— Tu voudrais que je sois avec un autre homme… devant toi ?
— Oui. C’est un fantasme qui m’excite depuis un moment. Je pense que cela pourrait apporter une nouvelle dimension à notre relation.
Isabelle détourne le regard, pensive. Un silence s’installe.
— C’est une proposition audacieuse, admet-elle finalement. Je ne sais pas quoi en penser.
— Je comprends que cela puisse te surprendre. Je ne veux rien te forcer. Prends le temps d’y réfléchir.
Les jours suivants sont teintés d’une légère tension. Nous continuons nos routines, mais je sens qu’elle y pense. Un soir, alors que nous regardons un film, elle met en pause l’écran et se tourne vers moi.
— J’ai réfléchi à ce que tu m’as dit, commence-t-elle. L’idée m’intrigue, même si elle me fait un peu peur.
Mon cœur s’accélère.
— Vraiment ? Tu serais prête à envisager cette expérience ?
— Peut-être. Mais il faut que nous en parlions sérieusement. Quels seraient les termes ? Comment cela se passerait-il ?
Nous passons la soirée à discuter, établissant des limites, exprimant nos peurs et nos attentes. Isabelle est hésitante, mais je perçois une curiosité grandissante.
— J’ai besoin de temps pour m’y préparer, dit-elle. Et je veux que nous fassions cela ensemble, en respectant nos sentiments.
— Bien sûr, je suis là avec toi. Nous ne ferons rien que tu ne souhaites pas.
Après plusieurs jours de réflexion, elle me donne son accord.
— D’accord, essayons. Mais soyons prudents.
Nous commençons à chercher le partenaire idéal. Parcourant des sites spécialisés, nous échangeons sur les profils qui pourraient correspondre. C’est une étape délicate, teintée de gêne. Certains messages sont trop explicites, d’autres manquent de respect.
Finalement, nous tombons sur le profil de Thomas, un homme de 18 ans, charmant et respectueux. Après quelques échanges cordiaux, nous convenons de le rencontrer dans un café discret.
Le jour du rendez-vous, la nervosité est à son comble. Isabelle passe du temps devant le miroir, choisissant sa tenue avec soin.
— Comment me trouves-tu ? demande-t-elle, vêtue d’une robe élégante qui met en valeur sa silhouette.
— Tu es magnifique, comme toujours.
Nous arrivons au café. Thomas est déjà là, assis à une table au fond. Il se lève à notre approche, souriant.
— Nicolas ? Isabelle ? Enchanté de vous rencontrer.
— De même, répondons-nous en chœur.
L’ambiance est d’abord un peu tendue. Les premiers échanges sont polis, presque formels. Puis, peu à peu, la conversation se détend. Thomas est charmant, il sait mettre à l’aise.
— Je comprends que ce soit une première pour vous, dit-il avec tact. Je veux que vous sachiez que je respecterai toujours vos limites.
Isabelle semble rassurée.
— Merci, c’est important pour nous.
Après cette rencontre, nous discutons longuement.
— Qu’en penses-tu ? demandé-je.
— Il me plaît bien. Il est respectueux, et je me sens à l’aise avec lui. Mais je suis toujours un peu nerveuse.
— C’est normal. Nous pouvons prendre notre temps.
Nous décidons de fixer une date pour passer à l’acte. Les jours qui précèdent sont remplis d’excitation et d’appréhension. Isabelle exprime ses doutes.
— Et si je n’y arrivais pas ? Si je me sentais mal à l’aise au dernier moment ?
— Nous pouvons arrêter à tout moment. L’important est que tu te sentes bien.
Le soir venu, nous nous retrouvons dans une suite d’hôtel élégante. L’atmosphère est feutrée, les lumières tamisées créent une ambiance intime. Isabelle porte une robe en satin rouge qui souligne ses courbes, sa peau délicatement parfumée. Je sens mon cœur battre plus fort en la regardant.
Thomas arrive peu après. Il est souriant, détendu, ce qui contraste avec notre tension palpable.
— Bonsoir, dit-il en entrant. Vous allez bien ?
— Un peu nerveux, avoué-je avec un sourire.
— C’est tout à fait normal.
Nous partageons un verre de vin pour détendre l’atmosphère. Les conversations sont légères, mais la tension est palpable. Je pose ma main sur celle d’Isabelle pour la rassurer.
— Prête ? murmuré-je.
Elle hoche la tête, prenant une profonde inspiration.
Thomas s’approche d’elle avec douceur.
— Puis-je ? demande-t-il en effleurant sa main.
— Oui, répond-elle dans un souffle.
Ils commencent à danser lentement au milieu de la pièce, la musique douce en fond. Je les observe, mon cœur battant à tout rompre. Leurs regards se croisent, intenses. Thomas se penche et dépose un baiser léger sur ses lèvres. Isabelle ferme les yeux, se laissant porter par le moment.
Je m’approche d’eux, posant une main sur l’épaule de ma femme.
— Tout va bien ? demandé-je.
— Oui, chuchote-t-elle, ses yeux brillants.
Thomas reprend ses baisers, plus profonds cette fois. Ses mains glissent le long du dos d’Isabelle, trouvant la fermeture de sa robe qu’il défait lentement. Le vêtement glisse sur ses épaules, révélant une lingerie fine en dentelle.
L’odeur subtile de son parfum se mêle à celle, plus musquée, du désir naissant. Isabelle tourne la tête vers moi, cherchant mon approbation. Je lui souris, caressant sa joue.
— Tu es magnifique, dis-je sincèrement.
Elle sourit, rassurée. Thomas continue ses caresses, ses mains explorant son corps avec une attention soutenue. Il dégrafe son soutien-gorge, libérant sa poitrine que j’admire avec fascination.
Je m’assieds sur le lit, les observant. Isabelle déboutonne la chemise de Thomas, dévoilant un torse athlétique. Elle semble plus détendue, s’abandonnant aux sensations qui l’envahissent.
Ils s’allongent sur le lit, leurs corps s’entremêlant. Je me rapproche, posant ma main sur la cuisse d’Isabelle. Sa peau est chaude, douce au toucher. Elle me regarde, une lueur de désir dans les yeux.
Thomas descend lentement le long de son corps, déposant des baisers sur sa peau frémissante. Lorsqu’il atteint son intimité, il la caresse avec une délicatesse qui arrache des gémissements à Isabelle. Sa langue pénètre son sexe, il renifle cette chatte luisante, aspire le clitoris, rendant folle Isabelle. Elle gémit elle se tord de plaisir, plus qu’avec moi pensé-je. Elle agrippe sa tête, plaquant sa bouche sur sa chatte en me regardant droit dans les yeux.
Excitée, n en pouvant plus, elle lui retourne le plaisir en embrassant cette queue énorme, qu elle découvre les yeux écarquillés. Elle soupèse les couilles et reniflant ce gland devenu rouge vif d’excitation. Il sent le mâle, elle adore ça. Elle lèche ce membre dressé du gland à l’anus. Ma petite femme adore lécher les culs. Elle pousse le vice et lui insère un doigt tout en avalant profondément cette queue. Je ne reconnais plus ma femme. Elle le pénètre vigoureusement, il gémi tout en repoussant la tête de ma femme pour ne pas jouir trop vite.
Je bande ! Je caresse les cheveux de ma femme, l’encourageant à profiter pleinement.
— Tu es si belle.
Thomas remonte vers elle, et après un regard complice, il se positionne. Avant de la pénétrer, il demande :
— Es-tu prête ?
— Oui, répond-elle, la voix tremblante d’excitation.
Il entre en elle avec une lenteur maîtrisée. Isabelle ferme les yeux, un soupir profond s’échappant de ses lèvres. Je m’approche davantage, fasciné par la vision du sexe de ma femme comblé par un autre.
Je pose ma main sur le bas-ventre d’Isabelle, ressentant les mouvements de Thomas en elle. L’odeur enivrante du désir emplit la pièce. Mon propre désir atteint son paroxysme.
Je caresse le clitoris sensible d’Isabelle du bout des doigts, synchronisant mes gestes avec les va-et-vient de Thomas. Ses gémissements s’intensifient, son corps se tend.
— Oh, Nicolas… murmure-t-elle.
Je lui souris, l’encourageant.
— Laisse-toi aller, profite.
Thomas accélère le rythme, ses respirations se faisant plus courtes. Je sens la chaleur de leur étreinte. Je ne peux résister à l’envie de toucher le sexe de Thomas qui s’unit à Isabelle. Le contact est brûlant, humide. Cette queue est ferme, luisante de la mouille de ma femme.
Isabelle est sur le point d’atteindre l’orgasme. Ses mains agrippent les draps, son dos se cambre.
— Je… je vais… halète-t-elle.
Elle est submergée par une vague de plaisir intense, son corps secoué de spasmes laissant échapper un jet de cyprine. Thomas continue ses mouvements, puis, dans un dernier élan, atteint lui aussi l’apogée, contrairement aux consignes, il se vide entièrement dans ma femme. Il se retire doucement, laissant échapper un soupir de satisfaction et un long filet de sperme.
Le foutre de Thomas s’écoule légèrement d’Isabelle. L’odeur mêlée de leurs désirs m’enivre. Je suis submergé par une vague de désir.
Thomas se lève et commence à se rhabiller.
— Merci pour ce moment, dit-il avec un sourire sincère. C’était une expérience incroyable.
— Merci à toi, répond Isabelle, encore sous le coup des émotions les cuisses encore écartées et du foutre dégoulinant.
Je le raccompagne à la porte.
— Prends soin de vous, nous dit-il avant de partir.
Une fois seuls, je retourne vers Isabelle. Elle me regarde avec une intensité nouvelle.
— Viens, me dit-elle en tendant la main.
Je m’allonge à ses côtés, caressant son visage.
— Comment te sens-tu ?
— C’était… incroyable. Mais j’ai envie de toi maintenant.
Je souris.
— Moi aussi.
Je descends lentement le long de son corps, déposant des baisers sur sa peau encore chaude. Lorsque j’atteins son intimité, je sens l’odeur du sperme et de la chatte de ma femme. Le mélange crée une saveur unique. Sans hésiter, je la couvre de caresses, prolongeant son extase. N’y tenant plus je descend versa sa chatte et nettoie de ma langue tout ce sperme. Une première pour moi. J’ai failli jouir en la léchant.
Elle gémit, ses mains dans mes cheveux.
— Nicolas…
Je remonte vers elle, nos regards se croisent. Sans attendre, je la pénètre, tellement excité que je n’ai pu me retenir longtemps, en me vidant en allé, j’embrasse ma femme, sa bouche à le goût de la bite et du cul de son amant.
L’odeur persistante du désir flotte dans l’air, ajoutant une dimension sensuelle à notre étreinte.
Nous restons enlacés, reprenant notre souffle. Isabelle pose sa tête sur mon torse.
— Je ne pensais pas que cela serait aussi intense, confie-t-elle.
— Moi non plus. C’était au-delà de mes espérances.
Nous passons le reste de la nuit à discuter, à partager nos ressentis. Cette expérience a renforcé notre complicité.
Le lendemain, alors qu’Isabelle dort encore, je ressens le besoin de partager ce que j’ai vécu avec l’auteure dont les écrits m’ont tant inspiré. Je lui écris un long message, exprimant mes émotions, en entrant dans les détails intimes.
Elle me répond rapidement.
« **Cher Nicolas,
Je suis heureuse que mes écrits aient pu t’inspirer à vivre pleinement tes désirs. Ton récit est émouvant. Je te souhaite de continuer à explorer ces nouvelles dimensions avec ta femme.
Affectueusement,
O. ** »
Je souris en lisant sa réponse. Je réalise que cette aventure a ouvert de nouvelles perspectives dans notre couple.
— Je suis heureuse que nous ayons partagé cela. Je me sens plus proche de toi.
— Moi aussi. Et si nous continuions à explorer ensemble ?
— Avec plaisir, mais prenons notre temps.
Nous décidons de nous offrir un week-end en amoureux pour nous retrouver. Loin de l’agitation, nous profitons de moments simples, renforçant notre lien.
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Explorer pour mieux se découvrir, et mieux découvrir l'autre ! Découvrir de nouvelles sensations qui transporte encore plus profond dans nos désirs, et laissez libre cours à notre instinct !
Nicolas venait d’emménager dans ce quartier calme, typiquement résidentiel, où les maisons se faisaient face dans une symétrie presque parfaite. Tout le monde semblait se connaître, et il n’avait pas fallu longtemps pour qu’il fasse la rencontre de Murielle, sa voisine directe. Elle avait cette prestance naturelle, cette manière de parler avec assurance, son regard malicieux toujours agrémenté d’un sourire qui semblait avoir tout vécu. Elle avait soixante ans, mais portait cet âge avec une légèreté et une sensualité troublantes.
Ils s’étaient mis à discuter régulièrement, des banalités au départ, puis des conversations un peu plus profondes. Nicolas, quadragénaire et récemment installé avec sa femme, appréciait ces échanges. Il y avait dans la voix de Murielle une chaleur, une attention, et peut-être une once de provocation, à peine dissimulée sous des airs amicaux.
Un après-midi, alors qu’ils discutaient devant la haie qui séparait leurs deux jardins, Murielle apprit que la femme de Nicolas était partie pour quelques jours chez sa mère. Il ne s’attendait pas à sa réaction.
— Oh, alors tu es seul ? s’exclama-t-elle, feignant une indignation amusée. Eh bien, écoute, tu ne peux pas rester comme ça à tourner en rond. Demain soir, tu viens dîner à la maison. Mon mari sera ravi de te rencontrer.
Surpris par cette invitation, Nicolas hésita un instant avant d’accepter. Murielle lui adressa un sourire satisfait, presque complice, avant de se tourner pour rentrer chez elle, laissant dans l’air un léger parfum floral et musqué.
Le lendemain, Nicolas se présenta chez eux à l’heure convenue. La porte s’ouvrit sur Murielle, resplendissante. Elle portait une jupe courte qui s’arrêtait juste au-dessus de ses genoux et un débardeur moulant à fines bretelles, dont le décolleté plongeant soulignait ses formes généreuses. Sa poitrine était opulente, avec des seins en forme de poire. Il sentit son regard se poser involontairement sur cette ligne de peau nue, et lorsqu’il releva les yeux, il vit qu’elle l’observait avec un sourire subtil, presque imperceptible.
— Entre, fais comme chez toi, lança-t-elle en l’invitant à passer.
Son mari l’attendait dans le salon, une bière à la main et l’air jovial. L’ambiance était décontractée. Ils passèrent à table, et Murielle se révéla une hôtesse parfaite, attentive à chacun, mais aussi un peu plus tactile qu’il ne l’aurait attendu. Chaque fois qu’elle se penchait pour servir Nicolas, son débardeur glissait légèrement, offrant une vue discrète mais troublante sur ses courbes, sur le galbe de ses seins gonflés. Parfois, sa main se posait sur son épaule, ses doigts effleurant sa peau d’un geste presque innocent, mais toujours un peu trop prolongé pour ne pas être remarqué.
Au fil des plats et des verres, l’atmosphère devint plus détendue, plus intime. Murielle riait aux éclats, ses gestes devenant plus amples, plus désinvoltes. Nicolas ne pouvait s’empêcher de remarquer comment sa jupe remontait légèrement lorsqu’elle croisait les jambes, laissant entrevoir un fragment de peau nue, des cuisses bien fermes. Il sentit une chaleur monter en lui, mais il tâcha de garder une attitude neutre, bien que ses regards en disaient peut-être plus qu’il ne l’aurait voulu.
Une fois le dîner terminé, Murielle débarrassa la table avec l’aide de son mari. Nicolas, resté au salon, l’observa lorsqu’elle revint quelques instants plus tard. Cette fois, elle avait troqué sa tenue contre une nuisette légère et courte, légèrement translucide, si fine qu’elle laissait deviner la courbe de ses hanches et la rondeur de sa poitrine. On pouvait deviner ses tétons qui pointaient et même ses aréoles qui semblaient larges et sombres. Mais ce qui retint son attention, c’était autre chose : un détail à peine visible, mais suffisant pour troubler Nicolas. Juste sous le bord de la nuisette, dépassait une petite ombre sombre, sa toison pubienne. Elle ne portait rien en dessous, et ses poils pubiens s’échappaient discrètement du tissu, comme une provocation silencieuse.
Murielle s’installa près de Nicolas, cette fois encore plus proche, feignant la décontraction. Le parfum qu’elle portait, un mélange de notes florales et musquées, était enivrant, mais une autre odeur plus intime se mêlait subtilement à l’air ambiant, une odeur chaude et corporelle, presque animale. Nicolas sentit son cœur s’accélérer. Elle ne disait rien, mais le regard qu’elle lui lança, direct et appuyé, en disait long.
Elle se leva à nouveau, passant plusieurs fois devant lui pour ranger quelques objets. À chaque passage, elle s’approchait suffisamment pour qu’il capte son odeur. Une fois, elle s’arrêta juste à côté de lui, penchant légèrement le buste, ses cheveux frôlant son épaule, ses mamelles nues s'offrant à son regard.
— Tu ne veux pas rester dormir ici ce soir ? demanda-t-elle soudain, d’un ton léger mais sans équivoque. C’est tard, et ce serait plus prudent, vu ce qu’on a bu.
Son mari, déjà bien éméché, hocha la tête en signe d’approbation, ne voyant aucun problème à l’idée.
— Oui, reste donc, Nicolas. Ce sera plus sûr comme ça.
Murielle guida Nicolas jusqu’à leur chambre, tandis que son mari traînait encore dans le salon, une dernière bière à la main. Elle tamisa la lumière et l’invita à se déshabiller et à s’allonger. Lorsqu’il s’allongea derrière elle, il sentit immédiatement la chaleur de son corps à travers le tissu fin de la nuisette. Elle se pressa légèrement contre lui, et il sentit sa main chercher la sienne pour la guider. Murielle lui murmura doucement :
— Fais comme si on était seuls…
Allongé derrière Murielle, Nicolas sentait la chaleur de son corps, la douceur de sa peau sous le fin tissu de la nuisette. Elle s'était lovée contre lui, sa respiration calme mais légèrement saccadée trahissant une excitation latente. Sa main, qu'elle avait guidée sur sa hanche, glissait maintenant lentement, remontant sur son ventre, tandis qu'elle bougeait subtilement ses hanches pour accentuer le contact. Son parfum floral et musqué emplissait l'air, mais une autre odeur, plus intime, se mêlait à l'atmosphère, une odeur chaude et viscérale qui éveillait tous les sens de Nicolas.
Lorsque son mari entra dans la chambre, titubant légèrement après quelques bières de trop, Murielle se tourna légèrement vers lui pour lui sourire, comme si rien d'anormal ne se déroulait.
- Chéri, tu vas bien ? demanda-t-elle d'une voix douce et presque maternelle.
Il marmonna un vague « Oui », tout en se glissant dans le lit, face à sa femme. Sans le moindre soupçon, il posa une main sur sa hanche, la caressant machinalement, tandis que Nicolas, toujours derrière elle, restait immobile, mais toujours profondément uni à Murielle.
Lorsque son mari glissa sa main sous le drap pour caresser son ventre, puis plus bas, Murielle laissa échapper un soupir, mélange de plaisir et d’anticipation. Ses doigts atteignirent son intimité, chaude et humide, mais ce qu’il sentit le figea sur place. Une autre présence, ferme et bien là, pénétrait sa femme. Ses doigts effleurèrent le sexe de Nicolas, profondément ancré en elle, et il s’immobilisa, troublé par cette découverte.
Murielle ne lui laissa pas le temps de réagir. Elle attrapa doucement sa main, la guidant pour qu’il explore davantage.
— Tu sens ? souffla-t-elle, sa voix douce et sensuelle. Tu vois comme je suis comblée, chéri ?
Le mari, pris dans une confusion mêlée d’alcool, sembla hésiter, mais ses doigts continuèrent à caresser son épouse. Ils glissèrent le long de son sexe, rencontrant à la fois l’intimité de Murielle et la base du sexe de Nicolas, encore profondément en elle. L’humidité qu’il sentit était différente, épaisse et chaude, une texture visqueuse qui collait à ses doigts. Nicolas venait de se libérer dans Murielle, et son sperme, encore tiède, se mélangeait à l’excitation naturelle de sa femme.
— C’est ça… murmura Murielle, son souffle tremblant alors qu’elle atteignait son propre orgasme, ses muscles se contractant autour de Nicolas. Tu sens comme c’est bon ?
Son mari, abasourdi, retira sa main, mais Murielle la reprit fermement. Avec une autorité qui ne laissait pas place à la contestation, elle guida ses doigts couverts de sperme et de ses propres fluides vers sa bouche.
— Allez, goûte-moi, chéri. Goûte ce que ça fait de me voir comblée…
Il hésita, son visage exprimant une incompréhension mêlée de soumission, mais Murielle insista. Elle porta elle-même ses doigts à ses lèvres, pressant doucement pour qu’il les ouvre. L’odeur forte et saline du sperme de Nicolas se mêlait à celle, plus douce et intime, de Murielle.
— Vas-y, chuchota-t-elle, son ton à la fois tendre et implacable. C’est notre plaisir, à tous les trois.
Sous son insistance, il obéit. Sa langue effleura d’abord ses propres doigts, puis il goûta réellement, avalant lentement ce mélange chargé de la semence de Nicolas et de l’intimité de Murielle. Son regard se perdit dans celui de sa femme, comme s’il cherchait des réponses, mais elle, imperturbable, sourit doucement.
— Voilà… maintenant tu sais ce que c’est, murmura-t-elle en caressant sa joue.
Murielle se retourna légèrement, offrant un dernier regard à Nicolas, qui, toujours en elle, haletait encore de la tension et de l’interdit. Elle posa une main sur le torse de son mari pour le calmer, l’ancrer dans ce moment.
— Tu vois, tout est parfait, continua-t-elle en effleurant ses lèvres d’un baiser léger, presque maternel. On est bien, tous les trois
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Voilà une belle entrée en matière pour des instants très chaud ! J'adore !
pour notre part ,aucun des 3 termes ne correspond vraiment , tout en ayant pratiqué les 3
pour le plaisir de la miss, c'est un tout pour se lâcher , elle est aussi sensible au lieu, à l'accueil qu 'au physique du partenaire
c'est avant tout , une complicité , un feeling réciproque et si tout est au rdv , un suivi régulier
pour que cette relation aboutisse à ces 3 termes
nous avons eu la chance de vivre cela pendant 2 ans style pote/ami/amant
difficile à retrouver
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tu prêche pour ta paroisse ...nos retours d'expériences sont complètement à l'opposés
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29/12/24
complètement d'accord avec toi Dragosth , nous pratiquons depuis une bonne vingtaine d'années comme cela et jamais jamais un complice/partenaire ne c'est permis quoi que ce soit en dehors de nos rencontres .....il ne faut pas tout confondre , drivers34 ,le plaisir ne se calcul pas en nombre d'années ,ou de multiples rencontres , ce n'est pas un tableau de chasse en écrivant , le nombre d'expériences vécues ! relire notre demande avant de contacter , et nos envies , merci
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30/12/24
Un tableau de chasse avec 3 rencontres
Je crois que vous avez très mal compris mon commentaires qui visait plus à vous montrer que je cherche plutôt des relation de qualité et suivie plus tôt que des quantité éphémère
Comment pouvez vous parler de tableau de chasse sur des relation de plus de 10 ans
Désolé mais je pense que vous avez mal lu ou mal compris ma réponse
pour clore ,nous n'avons pas la même vision sur nos recherches , bonne continuation à vous
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30/12/24
Si un couple cuckold passe par marseille n hésitez pas au plaisir Chris !
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Soirée pour vous soumettre, disponible du 11 au 19 avril sur Nîmes.
Soft ou plus corsé, venez admirer votre belle en bien mauvaise position pour le plaisir de tous.
Femme seule ou couples bienvenus.
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Dominatrice expérimentée et gynarchique, réelle et autoritaire par plaisir, sélectionne pour relation suivie, un homme esclave sachant sinvestir et comprenant son rôle dans cette relation de soumission réelle. .:.
Candaulisme et cocufiage
Candaulisme et cocufiage - Expression libre - Bonjour, Ce topic pour discuter des pratiques candaulistes, et/ ou de cocufiage.Pour être honnête, ces pratiques m’ont toujours rendue très curieuse et j
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Chapitre 2 : Mon mari m’a trouvé un amant. Nous sommes mariés depuis quelques années. Nous sommes heureux mais, depuis quelque temps, mon mari Richard me parle de son désir de me trouver un amant. Il
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CANDAULISMEChapitre 1 : Mes fantasmes réalisésMariés depuis quelques années, la vie se déroule paisiblement. Nous nous entendons bien dans la vie de tous les jours et au lit. Nous parlons librement,
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Bonjour à tous
De retour sur ce site après quelques années.
Je me permets une annonce et voir si un couple candau pourrait correspondre et être intéressé.
Je suis dominant, dans le bdsm depuis une dizaine d'années déjà.
J'ai eu à un moment une première expérience avec un couple candau et j'ai adoré cette dynamique entre avoir cette femme soumise à ma disposition et humilier le cocu, heureux de se voir ainsi trompé et rabaissé.
Je suis dominant et ne serai donc pas "un bull" à la disposition du couple.
De même que je suis hétéro donc rien à espérer de ce côté là pour le compagnon.
Je suis sur Nantes, si vous êtes du coin, 44 ou proche, n'hésitez pas à me faire signe.
Je serai ravi d'échanger et de faire connaissance dans un premier temps.
Belle journée à vous
Monsieur K
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