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BDSM
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Pour échanger au sujet de la cage de chasteté et la manière dont elle est utilisé dans le cadre de la relation BDSM .

1. Contrôle de la sexualité : La cage de chasteté permet à la personne dominante de contrôler la sexualité de son partenaire soumis en empêchant ce dernier d'avoir des relations sexuelles ou de se masturber. Cela peut aider à renforcer la dynamique de pouvoir dans la relation BDSM.

2. Humiliation : Pour certaines personnes soumises, le port d'une cage de chasteté peut être humiliant et renforcer leur sentiment de soumission. Cela peut être utilisé comme une forme de jeu de rôle BDSM.

3. Exploration de nouveaux plaisirs : Pour certains couples, le port d'une cage de chasteté peut être une façon de découvrir de nouveaux plaisirs et d'explorer des aspects différents de leur sexualité.

4. Plaisir de l'anticipation : Le port d'une cage de chasteté peut augmenter l'anticipation et l'excitation sexuelle, car le porteur sait qu'il ne pourra pas se masturber ou avoir de relations sexuelles tant que la cage est en place.

L''utilisation de la cage de chasteté dans une relation BDSM dépend des préférences et des besoins de chaque couple. Il est important de discuter de cette pratique et de fixer des limites claires pour s'assurer que l'expérience est positive et satisfaisante pour tous les deux.

Alma
L'homme se tenait debout, nu, devant les deux femmes assises dans le canapé. La KH à son amie: "Tu vois, c'est ce dont je te parlais. C'est ça une cage de chasteté". L'amie regardait attentivement le sexe emprisonné de l'homme dans une "zz cage" sur mesure : "Mais çe ne fait pas mal ?" L'homme : "Non pas du tout, c'est même très agréable à porter. Et ça donne un sentiment d'appartenance merveilleux." La KH à l'homme : "Chéri, vas nous apporter nos tisanes, tu seras un ange." Il s'exécuta aussitôt. -Tu vois, il obéit sans broncher. L'amie : "En effet. Je suis conquise". Elle regardait le petit cul de l'encagé s'éloigner le sourire aux lèvres et les yeux brillants d'envie. Lucie s'excusa auprès de son amie Lina: "Je m'absente un instant , j'ai une consigne à donner à mon mari", qu'elle s'empressa de rejoindre dans la cuisine. -Chéri tu as fais grand effet à mon amie et son regard sur toi fait ton oiseau frétiller, tu sais que cela m'excite, bien que je préfère qu'il s’agite grâce à moi. Je vais donc te rappeler que tu ne dois être excité que pour moi , lui dit-elle en le caressant du bout des doigts. Vincent frétille de plus belle parce qu'il aime quand Lucie le caresse du bout des doigts. Il a soudain peur de couler et se concentre pour ne pas laisser perler l'oiseau. Il demande alors à sa femme : "Mais chérie, pourquoi m'avoir présenter à ton amie ainsi vêtu ?'' -Je voulais juste lui montrer pourquoi je suis autant épanouie, mais ce n'était peut -être pas une bonne idée, en attendant ressaisis-toi si tu ne veux que je retarde ta libération qui est prévue pour ce soir. -Ah je ne savais pas que tu avais prévu de me libérer ce soir. Je vais me ressaisir et être aussi serviable et obéissant que possible, retourne tranquillement dans le salon, je vous apporte votre tisane. J'espère que ton amie a compris pourquoi tu étais aussi épanouie et que ça lui a donné envie de vivre la même chose. Est-ce que je reste nu pour le reste de la soirée ?" -Je ne sais pas si Lina va enfin encager son mari qui ne peut s'empêcher de mettre ses yeux sur mon décolleté à chaque fois qu'il me voit, Paul m'a même demandé si je portais cette clé depuis longtemps, c'est vrai que depuis qu'il fait beau , elle n'est plus cachée par mes foulards. Je vais vivement conseillé à mon amie de franchir le cap, elle n'en sera que plus heureuse. Elle quitte la cuisine, se retourne et dit à son bien aimé "couvres-toi maintenant, si tu t'enrhumes, je vais devoir jouer les infirmières, je préfère cela dans un autre contexte . Il obtempère immédiatement et va enfiler un pull et un pantalon. Il est soulagé de pouvoir se couvrir, cette situation l'excite un tantinet, savoir que l'amie de sa chérie connait leur secret l'émoustille maintenant et il sait ce que cela veut dire niveau réaction physique. Il ne veut pas mettre en colère sa tendre et aimée. Il retourne au salon, apportant avec lui un plateau sur lequel, il avait disposé deux tasses de tisanes, le sucre et, comme il en a l'habitude, un petit vase et deux fleurs. En arrivant, il vit le regard de Lina se porter sur son bas ventre et cru deviner une petite déception qu'il se soit couvert. Je crois qu'elle est conquise, pensa-t-il. -Et voilà votre tisane mesdames, dit-il en posant le plateau sur la table basse. Il sentit, soudain, une goutte couler le long de sa cuisse... -Merci chéri, je vais nous servir, laisses nous entre femmes, je pense qu'il y quelques affaires à mettre en ordres dans la chambre. Il sait que lorsque Lucie lui dit cela, c'est qu'il doit préparer les accessoires dont elle aura besoin pour leurs jeux amoureux, il est ravi d'avance , la tenue sexy d'infirmière est sa préférée. Le mari parti, Lina demande à Lucie depuis combien de son homme est aussi docile, elle se souvient que quelques mois plus tôt, ils avaient eu une dispute lors d'une soirée chez des amis communs, car il avait sous entendu qu'il s'occuperait bien de la petite boulangère. Il n'a jamais trompé sa femme, mais ne peut s'empêcher de regarder toutes les autres, ce qui l'agace et attriste profondément. Sur quoi elle répond à son amie que c'est assez récent, mais qu'en 2 mois il a tellement changé que c'est un vrai bonheur. Son amie :"En 2 mois ?! mais alors il faut absolument que j'encage le mien !!" La KH lui dit alors : « Tu n'imagines pas à quel point il va devenir doué pour les cunnis ton mari ». Et elles partent alors dans un grand fou rire. ***** Vincent se dirige vers la chambre tout excité de savoir qu'il sera libéré ce soir. Aucune éjaculation depuis 10 jours, son sexe est déjà gonflé, de ce que la cage lui permet, et coule de joie mais cette fois il est ravi de cette réaction. Une fois dans la chambre, il sort la petite tenue d'infirmière qu'il sait être la préférée de sa femme. Il prépare également un petit flacon d'huile de massage, pour masser sa bien aimée afin de l'apaiser de sa journée. Il est tout excité à l'idée de faire un cunni dont il a le secret à sa chérie. Il sait qu'elle fond à chaque fois et lui adore la boire. Tout en pensant à ce qu'il va faire à sa douce, il sort du tiroir un gode qu’elle aime utiliser sur lui lors de ses libérations. Elle connait bien le corps des hommes et l'effet que produit un bon titillement de la prostate. Enfin, il disperse quelques pétales de roses de-ci de-là autour et sur le lit et allume quelques petites bougies parfumées à la vanille, la fragrance préférée de sa KH adorée ... il rejoint ensuite les femmes qu'il entend rire .... -Je vais rentrer chez moi, dit Lina, Paul est absent, je vais pourvoir regarder tranquillement le blog de Sylvia. Sur ce elle prend congé. ***** - Mmmh ça sent bon la vanille, je vais prendre une douche chéri, rejoins-moi dans 5 minutes. Le mari tout émoustillé, patiente un peu et va dans la salle de bain, la nudité de son épouse lui fait toujours le même effet, sa cage lui semble étroite, il entre dans la douche et commence à masser les épaules de Lucie, puis elle se retourne vers lui, il lui masse doucement les seins, l'embrasse, attrape un drap de bain chaud sur le sèche serviettes et le donne à sa reine. Elle va dans la chambre termine de se sécher, s'allonge sur le lit encore entourée de la serviette, Vincent la rejoint l'embrasse tendrement, prend le flacon d'huile parfumée et commence à la masser tout en douceur. Il prend son temps et elle se détend, ensuite elle met sa guêpière blanche en satin et dentelle, avec des bas assortis, sans culotte et la blouse d'infirmière, sans oublier ses escarpins blancs. Il passe sa main sous la blouse puis se met à genou devant elle. Sûrement l'une de ses positions, sinon sa position préférée... à genou devant sa reine, il se demande à chaque fois ce qu'un homme peut demander de plus. - Ma tendre et douce reine, je vais t’honorer comme il se doit, lui dit-il en la gratifiant d'un grand sourire. Ses mains remontent alors le long de ses cuisses pour aller caresser les merveilleuses fesses de sa chérie, pendant qu'il s'affaire à embrasser l'intérieur des cuisses. Il remonte doucement comme cela vers le saint Graal, sa tête disparaissant petit à petit sous la blouse. Son objectif est clair, atteindre le calice en recueillir la liqueur divine et mettre en extase sa reine. Ses mains caressent les fesses de hauts en bas en allant jusqu'aux cuisses puis retournent vers l'intérieur des fesses. Sa tête remonte toujours pour enfin arriver devant la grotte de toutes les voluptés. Il contemple cette merveille de la nature qu'est le sexe de la femme, une véritable oeuvre d'art qu'il va s'empresser d'embrasser, de manger, de déguster. Il prend son temps, sa reine aime qu'il prenne son temps. Tout d'abord, il embrasse simplement les lèvres du sexe, l'odeur commence déjà à l'enivrer. Il adore ça. Alors il glisse sa langue délicatement, sa KH chérie frémit. Elle mouille déjà, il en profite pour la goûter. Mmmmh toujours aussi délicieuse. Son bassin, commence alors à onduler. Il lèche de plus belle, sa langue est à l'intérieur du sexe, ses mains tantôt sur les cuisses, tantôt sur les fesses. Sa langue se promène maintenant sur tout le sexe, s'insérant fréquemment à l'intérieur pour mieux s'y activer et en recueillir le doux nectar. Son sexe à lui est gonflé à bloc, comme toujours dès qu'il donne du plaisir à sa femme. Il la mange encore, encore, et se dirige vers le bouton magique, le clitoris qu'il va se faire un malin plaisir à exciter... Sa reine commence déjà à trembler et gémir de plaisir ... Elle gémit doucement, elle met ses mains sur sa tête, ce qui le motive encore plus, il aime se sentir dépendant d’elle et lui donner du plaisir, il suçote si bien le clito qu'elle ne résiste pas longtemps et jouis dans sa bouche, ce qui le fait couler à nouveau, il se relève et l'embrasse car elle adore ça et aime bien sentir son goût sur les lèvres et la langue de son encagé. -Merci chéri, tu t'améliores de jour en jour. -J'ai changé d'avis pour ta libération, on verra demain matin si tu fais aussi bien. Je suis fatiguée. Il lui sourit, l'embrasse tendrement, et lui souhaite une bonne nuit ... il coule de plaisir, en récupère un peu sur ses doigts qu'il porte à ses lèvres, il est heureux ... il a bu le nectar de sa reine qu'il aime tant ... sa libération future n'en sera que plus puissante. 2. Le matin, il se réveille toujours en premier. Il regarde sa chérie qui dort encore à poings fermés. Elle est belle, il pourrait rester des heures à la contempler ainsi. Il est heureux avec elle et il sait que c'est réciproque. Il s'approche doucement de son visage et lui dépose un tendre baiser d'abord sur le font, puis un autre sur la bouche, puis à l'oreille il lui susure "Je t'aime ma Lucie chérie". Puis il se glisse lentement sous les draps et s'en va lui prodiguer un lent et généreux cunni dont il a le secret pour réveiller sa reine dans les meilleures conditions. Sa langue connait chaque partie de son anatomie et sait jouer avec chacune des zones du sexe de sa femme. Après un temps qu'il ne saurait mesurer tellement cela passe vite dans ces moments là, il sent son corps frissonner et entend un long gémissement de plaisir. Son visage à lui est totalement inondé. -Le meilleur des réveils, lui lance-t-elle alors qu'elle a posé ses mains sur sa tête à travers les draps. En son fort intérieur, il espère qu'à la prochaine séance il aura droit à un face sitting, la position des reines. Elle lui proposa ensuite d’aller ensemble sous la douche, elle lui fait habituellement confiance, mais reste prudente, il a pris tellement de plaisir à en lui donner, qu’il pourrait bien se laisser aller à jouer seul avec son oiseau. Il entra le premier sous la douche pour se passer un peu d’eau froide, c’est vivifiant et le seul moyen pour rétrécir son sexe gonflé. Elle arriva à son tour avec la clé. -Chéri, c’est le moment de la libération, tu sais que je n’aime que tu restes enfermé trop longtemps, mais tu dois me promettre d’être sage. Sur ce il promis et il sait que pour rien au monde il ne la décevrait. Il a bien tenu ses 10 derniers jours en étant encagé que le soir et le week-end. Et comme chaque matin, elle met la clé dans le cadenas, l’ouvre, l’enlève, retire doucement la cage et la pose sur l’étagère. Elle entre ensuite dans la douche avec lui, prend son visage entre ses mains et l’embrasse fougueusement, il est très surpris habituellement ils prennent leur douche rapidement, mais ce matin elle a envie de lui faire une surprise. Elle commence à lui caresser le torse tout en lui déposant de doux baisers et elle s’attarde sur son téton gauche, elle passe sa langue tout autour, le suçote et l’aspire, elle prend l’autre téton entre ses doigts et le pince doucement, il ne lui en faut pas plus pour avoir une belle érection. Elle continue de déposer des baisers sur son ventre cette fois et sa main glisse lentement vers sa verge tendue comme un porte drapeau. -Monsieur est au garde à vous, plaisante-t-elle, elle se frotte contre lui avant de continuer ses caresses, elle commence à le masturber lentement avec une main, puis les deux en alternance, du gland jusqu’à la base, il a la sensation de la pénétrer indéfiniment, il gémit de plaisir. Elle prend ses testicules dans sa main et le masse, puis elle se penche pour lui embrasser le gland, sa langue tourne autour, puis elle se redresse et l’ enserre à nouveau son sexe dans sa main et entame un lent va et vient avant d’accélérer, il voudrait que ça ne s’arrête pas tellement c’est bon de sentir la main de sa chérie lui faire autant de bien, il aimerait bien aussi lui prodiguer quelques caresses sur ses seins, ah ses petits seins qu’il les adore, plus que ça même, mais il sait à quel point elle aime gérer seule et donner du plaisir, avec cette pensée mêlée aux caresses son sexe se met à vibrer violemment et il jouit intensément. Il remercie sa reine et lui promet une nouvelle fois de rester sage jusqu’au soir. Il se lave rapidement et lui dit « je vais te faire ton petit déjeuner pendant que tu te prépares, ah et avant que j’oublie, tu te souviens que tu as pris rendez-vous chez ton médecin ? » Sur quoi elle acquiesce, puis se prépare et rejoint son homme pour le petit déjeuner. -Si seulement mon collègue ne s’était pas cassé le bras, cela m’aurait évité de partir en déplacement et de te laisser seule plusieurs jours, je t’appellerai ce soir, passes une bonne journée chérie, au fait je n’ai pas oublié ma cage, lui dit-il avant de quitter la maison. Elle n’aimait pas rester seule à la maison, cela l’angoissait, elle ressentait un vide immense. Elle prit son sac et son manteau et partit à son rendez-vous médical.
Sam
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1 ere cage Je me demandais pour passer sur un modèle metal Puis je réduire la taille de l'anneau? Model uretal est ce qu on peut le garder longtemps ? Merci
Soyez la première personne à aimer.
MâleBeta63800
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Sensibilité décuplé
SwitchLoicbidu59
Bonjour, Beaucoup de groupes m'attirent mais celui-ci est sur le podium. Les raisons ? elles sont simples, j'ai le désir profond d'en essayer une, de découvrir les sensations, les frustrations que ce petit objet est capable de provoquer. Que se passe-t-il quand le désir masculin a besoin de s'exprimer et qu'il en est empêché ? que ce soit physiquement ou et mentalement. J'apprécie beaucoup voir vos photos, vos sexes enfermés dans leur carcans et vos maitres ou maitresses jouer avec vos corps. Merci à vous même si cela ne reste que du virtuel en attendant de rencontrer un homme encagé pour échanger, voir pour m'encager. Bonne journée
Soumisxa
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Un changement de modèle , ordonné par Maîtresse
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delicieuseslechouilles
Très belle photo, Maitresse a très bon goût en matière de cage…
J'aime 19/02/25
Soumisxa
Elle sait très bien quelles cages sont inviolables, les quelles garantissent la chasteté !! Maîtresse apprécie de savoir que toute érection devra être impossible et douloureuse , surtout !!!! L’esthétique vient ensuite ….
J'aime 19/02/25
Bizbi
Superbe.
J'aime 19/02/25
Et les picots doivent être terrible lors de tentatives d’erections. ( pourquoi l’élastique ?)
J'aime 20/02/25
Soumisxa
L’élastique est là pour empêcher les cliquetis du PA
J'aime 23/02/25
Blanda
J’ai 32 ans, je suis bien foutu, quasi imberbe, 1m76 pour 70kg. Monté normalement, et depuis toujours avec des fantasmes fortement orientés autour de la domination et la soumission. Depuis de nombreuses années, me sachant bien plus passif qu’actif, je me suis naturellement tourné vers la soumission… Et j’y ai fait mes armes, et de très belles expériences aussi intenses qu’enrichissantes. Etant aventurier dans mes envies sexuelles, j’ai tenté au fil des rencontres de différents domi réguliers de très nombreux genres de trips : des plus cérébraux aux plus sexuels, du bdsm, du fétichisme, des plans crades, des situations très construites de soumission psychologique, des humiliations, des exhib’, des plans à plusieurs, des jeux crades… Les seules constantes que je me suis imposées étant de ne pas toucher aux chems, et de toujours rester safe. Mais voilà, bien que j’ai vraiment aimé tous ces moments de jouissance intense, et tout en adorant être passif, je n’ai pas le caractère du soumis. J’ai bien fait illusion en me cherchant toutes ces années, aussi parce que j’y trouvais un épanouissement sexuel certain, mais je sens bien qu’au fond de moi je suis plus un Alpha qu’un bâtard soumis… A force d’expériences en tant que soumis, en croisant le chemin de tant de domi différents, j’ai acquis également une certaine idée du style de Maître que j’ai envie d’être. Et finalement, ne supportant plus trop de me faire rabaisser par des mecs se pensant supérieurs à moi, j’ai fini par sauter le pas : ma vie de soumis n’était plus faite pour moi et il fallait que je me trouve un bâtard dont je pourrais abuser, tout en rester passif. Me voilà donc à la recherche d’une catégorie assez rare : l’actif soumis. Longtemps je me suis dit que cela ressemblait assez bien a un hétéro soumis… Sauf que je ne suis vraiment pas une nana (!), et que je n’ai aucune envie de me trouver un soumis qui se donne à moi car il n’a pas trouvé de maitresse. Il me faudrait donc un mec bi ou gay, capable de dévotion à un mec qui lui serait supérieur tout en étant passif. Il me fallait trouver une bite aux ordres, que je puisse commander, ridiculiser, maltraiter, dresser, et qui me serait totalement dévoué. La recherche ne s’avérait pas simple… Et rare sont les sites qui permettent à la fois de filtrer les profils par rapport à leurs envies actif/passif ET domi/soumis. Je tentais donc des recherches par mots-clefs, tout en ayant créé un profil clair sur ma recherche si parfois un mec intéressé le visionnai. Quelques expériences bien sympathiques, puis un jour… « Hello, je me sens très soumis, et je voudrais trouver un dresseur capable de m’utiliser à sa guise et de me mettre au pas ». Voilà donc comment mon slave m’a contacté : message basic et clair, pouvant mener aussi bien vers un fantasmeur du net que vers une lopette au bon potentiel. Rapides vérifications d’usage histoire de ne pas perdre mon temps et pour calmer le fantasmeur potentiel : pics, lieu, reçoit ou pas… Puis sur ses envies. Et j’ai l’agréable surprise de recevoir des réponses qui vont dans le sens de celles que j’attends : son principal moteur n’est pas de chercher un plan cam, fourrer sa queue dans un trou ou d’être looké pour satisfaire un quelconque fétichisme exacerbé, mais plutôt de se dévouer à un mec qui lui serait supérieur par nature, et qui aurait tous loisirs de l’utiliser pour sa propre satisfaction, sans espérer la moindre compassion ni reconnaissance en retour. Il semble assez serein et réfléchi, est capable d’aligner des phrases cohérentes et suggère ses fantasmes tout en rappelant que seuls ceux de son Maître compteront vraiment… Bref ce mec, bien foutu (et bien monté au passage), commence à me plaire ! Comme il ne semble pas très expérimenté, je suis conscient que je vais devoir ne pas commencer trop fort. Cependant, je sens qu’il a des fantasmes assez poussés de soumission, donc ça me fait penser qu’il a du potentiel. Les échanges se poursuivent, et j’en viens à envisager une première rencontre de test, que je finis par lui imposer rapidement. Je me bloque un samedi après-midi pour passer le voir. Afin de comprendre ses ressorts d’excitation en tant que soumis, je ne lui impose aucune tenue ni aucun prérequis : il sera libre de se présenter à moi dans la tenue de bâtard qui lui semblera la plus appropriée. Il ne sait quasi rien de mes intentions, et je lui ai bien précisé qu’il ne devait pas forcément s’attendre à une séance de sexe hard au premier test, histoire de bien calmer ses ardeurs. Ce n’est pas comme ça que je fonctionne, je veux d’abord m’assurer de son état d’esprit. Le plus important pour moi, c’est qu’il se sente inférieur et prêt à adorer son Maître. J’arrive chez lui sûr et fier, et l’observe directement quand il ouvre la porte : il correspond à ses photos, est plus grand que moi, environ 1m85, plutôt bien foutu, et il dégage un sentiment de crainte mêlé à l’excitation d’une première fois et à la stupidité du soumis qui ne sait pas où se mettre devant son Boss. Ça me plait ! Il est vêtu d’un débardeur et d’un mini short ES en sky noir, qui fait plus "petit clubeur à la démence" que sous-merde à la botte de son mec, mais j’avoue que ça lui va bien quand même. Dès la porte refermée, et alors qu’il veut m’entrainer vers la pièce suivante qui semble être le salon, je l’attrape par les épaules, le fixe face à moi, plante mon regard dans le sien, et lui ordonne de m’accueillir correctement. L’ordre veut tout et rien dire, je le sais bien, mais j’aime tester un bâtard et voir l’éclair d’inconfort traverser son regard… Petit blanc, puis il bredouille un « bonjour Maître » absolument pas convainquant. En temps normal, je le giflerai, mais une intuition me dit qu’il ne faut pas le brusquer si vite. Je me contente donc de lui maintenir fermement les épaules tout en haussant les sourcils et lui lance un : « c’est tout ? » Second blanc où sa tension est palpable… « Bonjour Monsieur, je suis ravi de vous voir et aimerais vous rendre la vie plus agréable en vous servant comme votre slave - Répète plus fort ! - Bonjour Monsieur, je suis ravi de vous voir, et j’aimerais vous rendre la vie plus agréable en vous servant comme votre slave ! - Je préfère largement ! » lui dis-je en faisant glisser ma main de son épaule à ses cheveux. « Mais tu n’es pas à ta place » Et tout en appuyant fermement sur sa tête, je le vois tomber sur ses genoux et me regarder depuis sa place d’inférieur. « Tu n’es qu’un bâtard, les pseudos mecs comme toi, ça vit pour être au service, bien à leur place d’inférieur : aux pieds. Rappelle-t-en ! » Corrigeant au passage le fait qu’il soit plus grand que moi et qu’il me regardait donc de haut, ce que je ne pouvais pas supporter. Dommage pour lui, sa taille va le forcer à passer la majorité de son temps à genoux ou à quatre pattes… De toutes façons, même si c’est un peu cliché, ça me semble être assez naturel pour un inférieur. « Guide moi là où tu voulais m’amener » lui ordonnais-je. Et de lui-même, et se retourne à quatre pattes et lorsqu’il va pour avancer vers son salon, je m’assois sur son dos pour qu’il me promène chez lui. Je jubile assez de savoir que jamais il n’aura eu le loisir de me faire voir son appartement en marchant normalement, et je me note à moi-même de garder ce rituel si jamais on venait à se revoir après aujourd’hui. Ses genoux doivent prendre cher, mais ça fait toujours du bien à un bâtard de souffrir un peu pour son Boss. Une fois dans son salon, je lui ordonne de se tenir droit sur ses genoux, et de baisser le regard. Je commence alors une inspection en règle, histoire de mieux voir la marchandise, et laisse mes doigts glisser sur ses épaules ou sa nuque en l’observant. Il a plutôt un beau corps pour un bâtard, et je lui ordonne d’enlever son haut pour vérifier. Peu de poils au torse, de beaux tétons qui mériteraient d’être travaillés, une carrure raisonnable, et un buste lambda qui sans être spécialement musclé, n’est pas gras non plus. Ce mec me plaît. J’aime aussi sa coupe de cheveux en bataille, qui fait soignée et propre tout en laissant assez de longueur pour aisément l’attraper par la tignasse… Je lui fais lever un bras, puis l’autre, et continue mon inspection : il est manifestement propre, ce que j’apprécie assez, poilu sous les bras, et frissonne de stress et d’excitation mêlés. Je m’assois sur le canapé devant lui, et lui ordonne d’enlever son short tout en restant au sol. Je me demande depuis tout à l’heure si il est nu dessous ou pas… Et j’aime voir un soumis se tortiller au sol pour exécuter mes ordres… Heureuse surprise, il s’exhibe en jock strap : j’adore ça pour un soumis. Je le remets à quatre pattes, le cul vers moi, et admire ce joli fessier quasi imberbe que je crève déjà d’envie de faire rougir… Et sans résister davantage, je le fesse 4 ou 5 fois, juste pour le plaisir de l’entendre couiner pour la première fois. Hum, un vrai plaisir. Je m’accroupis devant lui, et lui relève le menton pour planter mon regard dans ses petits yeux craintifs : « T’es pas parfait, mais t’as l’air potable… Avec un peu de dressage, tu pourrais être à mon goût. C’est un prérequis, mais ça ne fait pas tout. Si tu veux que je te fasse l’honneur de te laisser me servir, tu devras y mettre constamment du tien, et sans cesse réfléchir à comment tu pourrais me vénérer au mieux… Tu pourras jubiler d’avoir donné à ta vie de sous-merde le sens auquel un bâtard peut prétendre : servir son Maître, et en retirer un plaisir proportionnel à ma satisfaction. T’as compris ? » Il opine timidement de la tête. Du tac au tac je lui envoie un bon gros crachat sur la gueule : « J’ai rien entendu sous-merde ! - Oui Monsieur - C’est mieux. Tu peux aussi me remercier pour les fessées de tout à l’heure. Combien je t’en ai donné ? - Cinq Monsieur - Cinq occasions manquées de me remercier ! Tu commences bien. J’attends. - Merci Monsieur - Répète 4 fois de plus, pour que ça imprime ! - Merci Monsieur, Merci Monsieur, Merci Monsieur, Merci Monsieur » Je lui tiens fermement le menton, mais je vois son regards fuyant quand il dit ça. J’aime voir son malaise… Mais je sais aussi qu’il faudra que ça lui passe avec le temps si je veux qu’il s’assume dans sa vie de sous-merde à mon service… Mais ça reste beau à voir ! « Tu te sens con ? - Un peu Monsieur… Je crains de mal agir - Pas un peu. T’es probablement très con, comme n’importe quel inférieur… Mais à mon contact tu t’amélioreras. Tu apprendras, sous la contrainte si il le faut, à être un bon toutou à ma botte, qui réfléchi pas avant d’obéir, et qui cherche à me faire plaisir comme si sa vie en dépendait à chaque instant ! - Oui Monsieur - Va me chercher une bière. Si t’en as pas, fait moi un café. » Et je repousse sa tête en direction de ce que je suppose être la cuisine. Il file à quatre pattes. En même temps, j’attrape quelques trucs dans mon sac et je le rejoins. Je le retrouve debout dans la cuisine, en train de chercher de quoi faire un café. Je fonds direct sur lui comme un prédateur, le choppe par le cou en serrant bien fort, le refous à genoux, et lui dis à l’oreille : « Qui t’as autorisé à te lever bâtard ? Hein qui ? Putain tu comprends rien sous-merde ! Tu crois que tu peux faire ta vie comme d’hab’ quand je suis là ? Tu crois que les bâtards comme toi peuvent être libre ? Tu crois que toutes tes petites habitudes du quotidien s’appliquent avec moi ? Hein ? » Il regarde ses pieds, ne sachant trop quoi dire… « Quand tu sais pas, tu demandes poliment et avec respect. C’est clair ? - Oui Monsieur, pardon Monsieur - Assied toi sur tes pieds, et tend les mains vers moi. Et baisse le regard ! Putain, c’était tellement sûr qu’il allait se lever pour faire un café… Et qu’il me demanderait pas. Tu m’étonnes qu’il ait besoin de vénérer un mec supérieur et de se faire dresser… Il part de loin. Mais je jubile… J’adore tellement dresser les petites sous-merdes comme lui et les mettre sous pression… J’veux qu’il comprenne que chacun de ses gestes doit dépendre de moi, et qu’il accepte de ne plus rien contrôler sans avoir eu mon aval avant… Et c’est exactement ce que je lui explique en lui mettant des bracelets d’accroche en cuir à chaque poignet que j’avais emporté dans mon sac. « Tu trouves peut-être ça difficile, mais c’est juste que t’es une merde… La seule chose que tu dois comprendre c’est que t’es à moi, et que tu ne fais rien sans que je t’en ai donné l’ordre ou l’autorisation. Tu demandes l’autorisation pour parler, tu demandes l’autorisation pour me lécher les pieds, tu demandes l’autorisation pour me masser, tu demandes l’autorisation si tu doutes… Tu demanderas même l’autorisation pour pisser ; tant que t’auras pas intégré que c’est moi gère. » Je lui mets maintenant le collier en cuir que j’ai apporté. Pas un collier de chien banal, mais un collier assez large qui gène bien les mouvements de la tête. « Tu vois, ce collier ça symbolise quoi ? - … - Répond bâtard ! - Que je vous suis soumis - Bonne réponse. Mais même sans ce collier pour moi t’es qu’une sous-merde… Mais j’aime bien les sous-merdes qui portent des signes extérieur de servitude… Au moins ça te rappellera en permanence ta place. T’as du bol, je vais pas trop le serrer pour le moment… Mais si tu me casses les couilles, je ressers d’un ou deux crans, tu verras, ça te rendras direct plus docile. Maintenant, comme punition pour t’être levé sans mon accord, tu vas faire le café en galérant p’tite pute. » Et je lui accroche chaque poignet aux anneaux à chaque coté du collier. Le voilà avec les mains coincées à la hauteur des oreilles, avec à peine l’espace d’un mousqueton pour les mouvoir. Je m’assois sur le plan de travail et lui ordonne de se lever et de me faire ce café ! Et d’avoir des bières au frais la prochaine fois pour son Maître… Que c’est la moindre des choses ! Je suis pervers… Je le sais, et j’aime ça chez moi. Je kiff de voir ce connard galérer à me faire un Nespresso en devant se foutre la gueule sur la machine pour l’allumer, et de toutes nos discussions précédentes j’ai la ferme impression que c’est ce genre de traitement qu’il recherchait en voulant un Boss. De toutes façons, si je le veux, il le fait ; c’est comme ça que ça doit marcher… J’ouvre les placards comme si j’étais chez moi, il me voit faire mais reste focalisé sur son café sans rien oser me dire… Je prends un bol et sers au robinet de l’eau tiède. Dès que le café commence à couler, je le choppe, le fou à genoux et lui dis que je préfère qu’il attende au sol à sa place de sous-homme que le café soit prêt. Et quand c’est enfin fait, il me demande si il peut se lever (première victoire), puis me tend la tasse en devant approcher son visage si prêt de mes mains que ça lui fait faire une révérence comme un slave ferait devant son Maître… Bonne petite pute… Je lui fais bien remarquer, évidemment. Poignets décrochés, je prends le bol et le café, et le siffle pour qu’il me suive à quatre pattes en bon cleps. Une fois au salon, je m’assois dans le canap’, crache dans le bol un bon mollard, et lui mets sous le nez en lui ordonnant de laper. Et je bois mon café peinard, en me servant de mon bâtard comme repose pieds. Pieds que je finis par lui mettre sous le nez pour qu’il commence enfin ce pour quoi il est fait : être littéralement à mes pieds, et s’en occuper avec dévotion… Il va commencer par décrasser mes shoes. J’ai fais exprès de mettre des pompes basiques plutôt que des skets sur lesquelles beaucoup de mecs fantasment… Je veux qu’il me vénère moi, pas ma marque de pompes. Une fois que je serai plus certain de sa dévotion, alors peut-être aura-il l’honneur de mes skets, et si il a du bol il aura même droit à ma sainte odeur quand je sors du sport… Il s’applique, et j’en suis agréablement étonné. Il lèche pour de vrai, sans faire la chochotte. C’est manifestement quelque chose qu’il aime, et il marque des points. Ça doit être important pour un bâtard que les pompes de son Boss brillent à force de sa salive. Sur mon ordre, il me les enlève, et après l’avoir mis sur le dos, je lui fais bouffer les pieds en chaussettes. Malheureusement pour lui je le grille en train de se toucher la nouille en même temps. « Vire tes mains de là tout de suite bâtard. Ta queue m’appartient, même pas en rêve tu te touches sans mon autorisation. Et tout en me levant sur lui, je lui notifie qu’il a pas intérêt à me faire répéter ça un jour si il veut pas le regretter fortement. Il acquiesce d’un « oui Monsieur, pardon Monsieur », tout en galérant à respirer puisque je lui marche littéralement dessus. J’aime voir ma carpette plus bas terre comme ça. Bien statique sur lui, j’entreprends de lui faire tomber de gros mollards sur la gueule, en lui ordonnant d’ouvrir grand la bouche pour les avaler… Il me regarde à la fois excité et tellement humilié… Sa queue sort de son jock et il bande à mort… Décidément ce bâtard me plait de plus en plus. Un tour dans mon sac et j’attrape un bandeau que je lui noue autour des yeux. J’en profite également pour attacher ses deux poignets ensemble. Le voilà aveuglé les mains attachées dans le dos. Je me mets à poil et me pose devant lui dans le canapé. Il va me découvrir à la seule force de sa langue… Il doit lécher mon pied, que je ramène au sol le faisant se rabaisser au passage. Au gré de mes ordres, il va lécher chacun de mes pieds pendant un moment, bouffer mes orteils, lécher la plante, et remonter le long de mes mollets, puis genoux, et lécher tout autour, et en se prenant des p’tites claques quand il faiblit… J’en profite pour prendre quelques photos car je le trouve kiffant comme ça, aveuglé et la langue dehors, à lécher son Boss comme un bâtard qui vénère son Maître. C’est assez long, car j’aime ça, et aussi parce que je veux tester son endurance. Mais manifestement il a une bonne volonté pour une sous-merde, car sans lui mettre une pression folle, il continue à bien s’appliquer. Alors, grand Seigneur que je suis, je commence à lui autoriser à aller plus haut que les genoux… Il me chauffe grave depuis un moment, et j’ai envie de sentir sa langue se rapprocher de mes couilles. Il lèche l’intérieur de mes cuisses, je lui bloque régulièrement la tête en serrant les jambes et m’amuse à lui fourrer les doigts dans la gueule et à lui fouiller la bouche… Il s’étrangle un peu ce gland, et bave qu’il en peut plus… Je commence à très bien l’imaginer encaisser des trips bien plus hard et a me délecter de le voir en galère… Et ça me file la trique… Je me lève, lui détache les mains pour qu’il puisse être à quatre pattes, et vais à l’autre bout du salon alors que lui reste à sa place, aveuglé. « Tu veux continuer à lécher ton Boss la pute ? - Oui Monsieur, s’il vous plait - Alors vient chercher mes pieds. Démerde toi, guide toi à la voix. Dit moi ce que t’es prêt à faire pour moi pour que j’te réponde et que tu saches où je suis. Et t’es chez toi, alors rien à foutre si tu te tapes un meuble, t’avais qu’à mieux ranger ta tanière de sous-merde. » Et j’en profite pour bouger un peu sans frère de bruit… Il commence à venir dans ma direction, mais ne me trouve pas là où j’étais quand je lui parlais, et il va être forcé de me dire ce qu’il a envie d’être pour moi si il veut me trouver… J’en profite pour sortir mon portable et le filmer. « Monsieur, j’ai envie de vous servir, de vous décrasser, d’être votre slave à dispo - C’est bien bâtard, vient me voir. Tu veux prendre des baffes aussi ? - Oui Monsieur, si vous pensez que j’en ai besoin - Tu en auras forcément besoin, t’as une tête à claques, alors pour me satisfaire tu devras forcément les encaisser - Oui Monsieur, tout ce que vous voulez » A chaque fois que je parle, je bouge, et je le vois me suivre comme un toutou qui cherche son os… Ma vidéo va être au top. « Monsieur je voudrais vous servir - bouge pas, tu te répètes là. Dit moi autre chose sous-merde - Pardon Monsieur, j’ai envie de vous donner du plaisir. Je suis prêt à obéir à tout ce que vous voulez si ça peut vous faire revenir le plus souvent possible. - C’est bien ça bâtard, tu commences à comprendre ton rôle. Mais encore ? - Vous pourrez me traiter comme la pire des sous-merdes, vous défouler sur moi, m’utiliser comme gode humain, ou me frustrer. Me contrôler par tous les moyens que vous voudrez, m’humilier et me rabaisser encore plus qu’aujourd’hui, et me dresser de force à tous vos délires - Tu aimes être puni ? - Non Monsieur parce que je préfère vous servir au mieux, et être puni veut dire que j’ai failli à vous satisfaire - Mais tu accepteras toutes les punitions que je te donnerai ! - Oui bien sûr Monsieur, vous êtes Supérieur, je n’ai pas mon mot à dire J’ai entendu ce que j’avais envie d’entendre, alors j’arrête de bouger et je le laisse enfin trouver mes pieds… Qu’il est si content de trouver qu’il me les dévore avec envie… Aalala… Ces putes, toutes les mêmes, timides au départ, puis on leur agite une carotte et elles finissent par se lâcher et faire péter les barrières psychologiques qu’elles se mettent elles-mêmes, et crachent tous leurs kiff juste pour le plaisir de venir me vénérer… Je suis content de lui. Je pensais passer ici en coup de vent, et au final ce soumis me fait bien tripper. Je m’assois sur le tapis, et lui ordonne de remonter le long de ma jambe… Il va enfin trouver mes couilles, et je lui fais les gober, les lécher, les sucer… Je pose sa tête sur ma cuisse, lui mets mes deux couilles dans la bouche et lui dit de rester sagement là. Pour de vrai, je pourrais rester des heures comme ça, avec sa bouche qui tient mes couilles au chaud… J’aurais pu mater un film comme ça si on se connaissait mieux… Mais j’ai d’autres projets pour lui aujourd’hui. Il est allongé entre mes jambes, et sur mon ordre entreprend de me lécher la queue sur toute sa longueur… Hum le pied. Je finis évidemment par lui choper la tête et l’enfoncer sur ma bite en lui calant direct bien au fond… Je sens qu’il galère, alors je le laisse me pomper à son rythme un petit peu, puis très rapidement je reprends les choses en main et lui bourre la bouche en bloquant bien au fond régulièrement, jusqu’à ce que j’arrive enfin à passer la glotte et à kiffer dans sa gorge. Il s’étouffe, râle, manque un peu d’air, et doit surement avoir des larmes qui commencent à couler… Mais je m’en fou, ça sert à ça un bâtard, alors je lui fais encaisser comme je veux plusieurs fois d’affilé… Il fatigue, couine, respire fort et chiale un peu. Je suis fier de voir ma queue le démonter comme ça… Qu’il comprenne qui commande ici. J’en ai une trique deux fois plus forte… Comme il bande aussi comme un malade, et pour le récompenser, je lui autorise à se frotter la queue contre mon tibia… Et comme il semble marquer un temps d’arrêt, je lui colle une bonne baffe qui lui fait oublier ses doutes et m’obéir direct. « Réfléchi pas quand j’te donne un ordre, t’appliques direct et tu la fermes. Ouai t’as l’air très con à t’exciter contre la jambe de ton Boss, mais tu vaux pas mieux. C’est ta place de chienne. Compris ? - Oui, Pardon Monsieur. - Enlève ton bandeau et vient me lécher le cul sous-merde ! » Il me lève les jambes, et commence à approcher sa langue de mon cul… Putain, j’adore voir un mec sous mes ordres venir me lécher le cul… Je fixe son regard, et il n’ose pas le soutenir longtemps et baisse les yeux, l’incitant à se concentrer sur ma rosette… « Vas-y fait moi du bien… Montre de quoi t’es capable pour moi. Bouffe moi le cul, c’est ta rôle de sous-merde ! » Encouragé, il y va franco et me dévore le fion. Il lèche comme si sa vie en dépendait, tente de bien rentrer sa langue à fond, et je lui choppe la tête en l’appuyant encore plus. Il manque d’air, mais me fait prendre un bon pied pendant un moment. Je finis par le repousser, et lui envoie capote et gel à gueule. « Rend toi utile, montre moi que t’es capable de me faire prendre mon pied bâtard ! » Ca fait un moment que je matte sa queue qui sort du jock, qu’il a plutôt XXL, et son bouffage de cul m’a grave donné envie de me la faire. Je le pousse sur le dos à même le sol, lui travaille les tétons le temps qu’il vire son jock strap et s’encapote. Ca le fait couiner, j’adore… Et comme il m’a bien dilaté avec sa langue, je m’enfonce d’un coup sur sa queue tout en prenant appui sur son visage de façon à bien lui écraser la face. Il ne contrôle rien du tout, et fini en trois secondes au fond de mon super cul… Putain j’adore sa queue, droite, longue et bien large : tout ce que j’aime. Il a intérêt à être endurant. J’ondule sur sa queue en lui crachant régulièrement au visage et en le couvrant d’insultes. Il me fait prendre un pied de fou. Sa queue frotte ma prostate régulièrement, et sous mes encouragements il commence aussi à mettre de grand coups de queue en cadence avec mes propres va-et-vient. Je sens sa respiration qui s’accélère, et comme il hors de question qu’il jouisse trop vite, je me pose sur lui en arrêtant de bouger, et j’entreprends d’un coup de lui tordre à fond les deux tétons. Son visage se fige de douleur, il reste bloqué la bouche à moitié ouverte et couine d’un coup. Je le fixe dans les yeux et lui explique, sans lâcher ses tétines, qu’il aura toujours l’interdiction de jouir sans mon autorisation, et qu’il devra toujours me prévenir quand il sent que ça vient… Et devra se retenir tant que je ne l’y autorise pas. Il me sort un « oui… monsieur… » entre deux râles plaintifs, avant que je relâche ses tétons et appuie fortement dessus pour faire redescendre la douleur rapidement… Je me lève, prend dans mon sac un gode, et lui lance en disant : « Tu sers à rien, tu vas jouir en deux minutes comme un pauvre merde qui peut pas se retenir assez pour offrir un vrai kiff a son Maître. Tu vas me goder et te concentrer sur mon plaisir plutôt que sur le tien pauvre merde ! » Il a l’air dépité. Sa queue bande à fond, et pourtant il se fait violence et vient me goder en suivant mes ordres. Il y va petit à petit, puis fait de grands gestes amples qui me font kiffer à mort. Je sens vraiment le plaisir monter, et d’un coup je le repousse sur le dos et me recale sa queue dure comme du béton dans le cul. Et tout en recommençant tranquillement de petits va-et-vient tout en douceur, je lui ordonne d’embrasser ma main, la main de son Maître qu’il adore… Excité comme il est, il lèche, embrasse, et roule des patins à mes doigts comme la meilleure des pétasses, et je lui ordonne alors de me branler pendant que je continue de me faire du bien sur mon gode vivant. Il y a rien a redire, je prends un pied d’enfer. J’ai chopé un soumis vraiment kiffant là. Bien à sa place de sous-homme, et efficace comme j’aime. Je suis tellement excité que je deviens plus agressif dans mes paroles et le traite vraiment comme un moins que rien. Il commence à bégayer qu’il va jouir et semble tout faire pour essayer de se calmer vu que je ne l’y autorise pas. Je fais encore durer le plaisir un peu, et quand je sens que je vais jouir aussi, je lui donne le go pour me niquer autant qu’il veut et me faire jouir, quitte à ce que lui aussi jouisse. Il se déchaine, autant du poignet sur ma queue qu’en me donnant de grands coups de reins qui me font grimper au 7e ciel. Et alors qu’il se crispe dans un râle profond et que je le sens se vider dans la capote, je vire sa main de ma queue, prend le relais, et choppe sa tête de mon autre main pour la relever face à ma bite, et lui éjacule abondamment sur le haut du torse et le visage… Huuuum putain j’en tremble encore tellement j’ai joui fort. Je commence à étaler mon foutre sur son visage, et il se laisse faire… Y’a rien de plus beau qu’un soumis avec mon foutre étalé sur la tronche. « Tient le bon jus de ton Maître sur la gueule. T’es content ma pute ? Tu vas le garder jusqu’à ce soir. Remercie moi - Oui merci Monsieur - Bon bâtard » dis-je en m’essuyant les doigts dans ses cheveux… Je sais qu’il est en redescente. C’est le moment crucial où je vais savoir à quel point il est soumis… Va-t-il tout à coup galérer à rester en mode sous-merde docile, ou va-t-il rester dans le trip ? Le meilleur moyen de l’inciter est de ne pas lui laisser le choix. Je me relève, chope la capote pleine de sa jute de bâtard, m’affale dans le canapé et lui dis de venir s’asseoir par terre dos à mes jambes. Je choppe sa tête, et la reverse en arrière sur le bord du canapé et le bloque entre mes cuisses. « Ouvre la bouche bâtard » Je lui crache dans la bouche et le force à avaler « Tu vas bouffer ta jute de sous-merde pour rien polluer bâtard » Et avant même sa réponse, je vide dans sa gueule le contenu de sa capote, et le force à avaler. « C’est bien salope ». Et je le laisse coincé comme ça entre mes cuisses pour qu’il profite bien du goût de son propre foutre encore un moment pendant que je redescends tranquilou. Bon aller, faut que je bouge sinon j’vais m’assoupir avec cette pute entre les cuisses. Je me lève et lui ordonne rester aux pieds pendant que j’me rhabille. « Monsieur ? - Oui quoi bâtard ? - Vous voulez rester un peu ? - Non sale pute, j’ai pas que ça a foutre » Il semble déçu, et pour de vrai, j’apprécie vraiment sa réflexion, il marque encore des points. Mais pas grave, il s’en remettra cette pute, et au pire le frustrer un peu le rendra plus accro. C’est pas plus mal. Il continue a me lécher les pieds jusqu’à ce que j’ai remis mes shoes, puis je lui dis de se rhabiller en se grouillant alors que je finis mettre mon haut et récupérer mes trucs. Il est habillé à genoux devant moi, il est moins beau sans son collier je trouve…Je choppe mon sac, et vais vers la porte alors qu’il me suis à quatre pattes. En passant devant la sdb, je le prends par la tignasse et le guide de force dans la douche. Je sors ma queue et lui pisse sur la gueule direct, en le trempant de la tête aux pieds. Il ferme les yeux, essaye de se protéger, alors même que je lui ordonne de se tourner vers moi. Ça me soulerait presque. « Aller ciao sous-merde. Prend pas d’assurance, c’est juste là que t’es à ta place » Je tourne les talons et j’me casse en claquant la porte, alors qu’il est encore dans sa douche, trempé, à mariner dans ma pisse. …Je l’ai souvent revu pendant longtemps et ma première intuition était bonne : il avait un potentiel énorme et je lui en ai fait voir de toutes les couleurs. Un pur kiff ce soumis. Je vous raconterai peut-être la suite un autre jour si vous le demandez.
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DEINOVE
a vivre ,excellent moment de lecture
J'aime 21/02/25
Giel17
Imaginé ou vécu, qu'importe, c'est magistral.
J'aime 21/02/25
Bizbi
a partagé une photo
Taille raisonnable.
6 personnes aiment ça.
Ruftus
bien compact, belle cage 1f609.png
J'aime 19/02/25
J'adore !
J'aime 19/02/25
Bizbi
Oui.. sensations très agréables.. je n’aurais pas imaginé en diminuant par rapport à la précédente @Ruftus.
J'aime 19/02/25
Plus on diminue, plus les sensations sont excitantes. Je pensais impossible de mettre une cage plate, que je croyais réservée aux micro-penis. Mais avec habilité et en prenant le temps, je peux la mettre. Et honnêtement, voir sa queue disparue, exhibant uniquement mes couilles... C'est très humiliant et excitant !
J'aime 19/02/25
Bizbi
Je prévois de trouver une micro cage.. une étape de plus.. mais vraiment, avec l’anneau qui s’ouvre et le tube à mettre en place.. il manque une 3ème main .. ça me limite pour trouver les moments/endroits me permettant de la poser 😓
J'aime 19/02/25
Oui ! Je vois ce que tu veux dire ! J'avais du mal au début ! Mais on y arrive. Les sensations de la cage plate sont différentes des autres cages, en ce qui me concerne. Mais toutes sont intéressantes. Et expérimenter est délicieux, n'est-ce pas ?
J'aime 19/02/25
Bizbi
Essayer c’est.. l’adopter 😅.
J'aime 19/02/25
Haha ! En ce qui me concerne, c'est ce qui s'est passé !!!!
J'aime 19/02/25
Dark Julien
a partagé une photo
9 personnes aiment ça.
Tav
Le gland se fracasse sur les barreaux de cette cage! J’adore !
J'aime 17/02/25
Ruftus
Voila un gland bien a sa place
J'aime 17/02/25
J'adore quand le gland est totalement maîtrisé comme ça... qu'il donne l'impression de vouloir casser sa prison !
J'aime 17/02/25
Tav
La prison est très solide, ce pauvre gland n’a aucun chance !
J'aime 17/02/25
Oui Tav ! C'est ça qui est excitant !
J'aime 17/02/25
bien à sa place
J'aime 18/02/25
Bizbi
Ce que j’aime c’est les marques une fois la cage enlevée.. éphémère mais superbes.
J'aime 19/02/25
Dark Julien
a partagé une photo
8 personnes aiment ça.
Très belle cage !
J'aime 17/02/25
Bien adaptée...pour ma part, dommage que les couilles sont poilues
J'aime 18/02/25
SwitchLoicbidu59
Qui a déjà été dans un sauna en portant sa cage ?
1 personne aime(nt) ça.
Lechieurencouches
Non...mais j'en porte une sous mes couches de temps en temps
J'aime 16/02/25
SwitchLoicbidu59
moi j'ai envie d'être emmené dans un sauna avec un mec qui m'aurait poser ce jouet
J'aime 16/02/25
Lechieurencouches
Seuls tes orifices sont libres dans ce cas...
J'aime 16/02/25
LT
moi ca m'arrive ou sexcrusing aussi
J'aime 16/02/25
SwitchLoicbidu59
oui, c'est surtout le fait de ne pas pouvoir bander que j'aimerais bien. Bien si quelqu'un a besoin de soulager qu'il profite
J'aime 16/02/25
Soumise trav
Moi j'ai été avec cage de chasteté et à la plage naturiste et au sauna
J'aime 16/02/25 Edité
SwitchLoicbidu59
Comment as tu vécu ces moments ?
J'aime 16/02/25
Soumise trav
Très bien
J'aime 16/02/25
DEINOVE
je l'ai mise en club très gays refoulés à toulon club Meet X , j'ai fait le sac à semence à volonté un dimanche après midi de ces chiens frustrés
J'aime 16/02/25 Edité
DEINOVE
pour la plage naturiste les Salins Hyères impossible depuis que le syndicat des casquettes jaunes se sont installer pour éviter toutes dérives , avoir des relations non conformistes appartiennent au doux passé
J'aime 16/02/25
Davina
Je dois régulièrement m'y rendre... les premiers temps, ma cage interrogeait les gens, plus maintenant.
J'aime 17/02/25
Laura
Moi, j'y suis allée avec sur ordre de mon maitre. Mais les mâles qui voyaient en avaient peur, je n'est donc plus trop envie d'y retournée encagée. Enfin ce n'est pas à moi d'en décider.
J'aime 17/02/25
Je suis atypique comme beaucoup d'entre nous, je crois. Soumise, beaucoup. Eprise de liberté, aussi. Chatte sauvage, sans conteste. Chatte qui aime être apprivoisée, oh oui ! Lou .:.
Tav
a partagé quelques photos
Quelques photos trouvées sur le net....
Alma
Mon compagnon et moi sommes ensemble depuis plus d’une dizaine d’années. Nous nous sommes rencontrés plus tôt jeunes. Il a 28 ans, j’en ai 26. Nous nous considérons comme un couple fun, actif et d’humeur joviale. Nous aimons faire du vélo, regarder des documentaires et cuisiner ensemble. J’estime avoir un appétit sexuel sain, mais sans surprise les désirs de mon compagnon ont toujours été plus importants que les miens. Plus jeune, je n’étais pas peu fière de savoir séduire les hommes. Je pensais que cela serait un atout dans ma relation, mais je me suis rendu compte, une fois en couple, que séduire mon homme l’excitait rapidement et qu’il voulait avoir des rapports sexuels. Ne vous méprenez pas, j’aime le sexe, mais je ne suis pas toujours dans l’ambiance ou prête pour ça. De mon point de vue, des baisers ou des câlins ne sont pas nécessairement des préliminaires à un acte sexuel. C’est juste un moment de tendresse et d’intimité partagé. Mais, ce n’est pas le point de vue de mon homme. Une fois qu’il est excité, il veut aller « droit au but » : il vaut me pénétrer tout de suite, puis finit malheureusement (ou heureusement, parfois) en un rien de temps. Rapidement, j’ai appris à réfréner ma nature coquette avec mon homme par crainte de provoquer sa libido. Le cercle dans lequel nous nous sommes retrouvés n’était pas sain et il tuait l’aspect romantique de notre relation. Bien sûr, à l’époque, je n’avais aucune idée des dégâts que cela causait. Je pensais juste que notre relation allait être un grand sacrifice en ce qui concernait la romance et le sexe. Après avoir lu un article sur le partage des fantasmes au sein du couple, j’ai pensé qu’il serait bon pour nous d’essayer. Profitant d’une soirée romantique, j’ai orienté la conversation sur ce sujet. J’ai commencé, je lui ai dit comment j’aimais l’embrasser juste pour le plaisir de sentir ses lèvres contre les miennes. Combien j’aimais nos ballades romantiques dans la montagne et d’autres désirs romantiques que j’avais. Puis, ce fut à son tour et… vlan ! Il m’a dit son fantasme. Il voulait que je verrouille sa virilité dans une petite cage. J’ai été abasourdie. D’une part, nous avons mes petits fantasmes romantiques, angéliques et, d’autre part, son fantasme pervers, moyenâgeux. Du moins, c’est ainsi que je l’ai perçu à ce moment-là. J’étais frustré avec notre vie sexuelle, alors quand j’ai entendu les désirs intérieurs de son cœur, je suis devenue dingue. Je sais que j’aurais dû l’écouter, l’entendre et essayer de comprendre, mais mon esprit était confus et, pour être honnête, je ne pensais vraiment qu’à moi-même. La nuit a été longue, car mon esprit a gambadé au sujet de l’homme que je m’apprêtais à épouser. Le lendemain, alors qu’il était au travail, je suis allée sur internet. J’ai posté quelques messages, principalement sur des forums féminins. Une partie de moi espérait trouver des femmes qui se sentaient trahies par leurs hommes pour que l’on compatisse ensemble, tandis que l’autre moitié espérait que d’une façon ou d’une autre je découvrirais que mon fiancé n’était pas si étrange. J’ai reçu une réponse incroyable que vous pouvez lire ici. J’ai été soulagée de découvrir que, bien qu’elle ne soit pas extrêmement courante, la chasteté masculine est un fantasme quelque peu commun pratiqué par de nombreux adultes « normaux » et équilibré à travers le monde entier. Je me sentais tellement ridicule de m’être emportée ainsi, et j’ai décidé de tenter sincèrement de comprendre mon homme. J’ai voulu reprendre la conversation sur les fantasmes. J’ai dû convaincre mon mari, car il avait été blessé par ma réaction la dernière fois. Je me suis excusée, et je lui ai dit combien je me sentais mal. Que je voulais qu’il se sente émotionnellement en confiance avec moi pour partager tout ce qui était dans son cœur. Il était encore un peu hésitant, alors je lui ai juste dit : « La mèche est vendue. Ce n’est plus un secret, maintenant ». Je lui au parlé de mes conversations en ligne et de mes recherches. Il a été surpris que je me sois donné tant de mal et il a commencé à s’ouvrir. Nous avons discuté longuement et il a fait de son mieux pour essayer de m’expliquer. La conversation s’est poursuivie les jours suivants jusqu’à ce que je commence à comprendre un peu mieux son fantasme. Permettez-moi d’essayer de vous l’expliquer ici aussi succinctement que possible. Quand il était au début de l’adolescence, mon mari a commencé à ressentir une attirance normale pour les filles. Il a eu des coups de cœur envers certaines filles, mais il était trop timide, effrayé ou introverti pour faire quoi que ce soit. Il semble que les filles qui l’attiraient étaient probablement confiantes et plutôt intimidantes. En grandissant, ses coups de cœur devenaient de nature plus sexuelle. Il s’est rendu compte que les filles l’avaient, en quelque sorte, pris en otage par ses propres sentiments amoureux. Nous avons tous connu ça, dans une certaine mesure, à un moment donné de notre vie. Lorsque la personne pour qui nous avons le béguin entre dans la pièce, on perd nos moyens, on n’arrive plus à penser ou à parler, on commence à transpirer et à rougir. C’est intensément agréable et cruel en même temps. C’est assez commun, quand nous sommes jeunes, mais pour une raison ou une autre ses sentiments se sont ancrés profondément dans sa psyché. Il en était devenu avide de ces sentiments de soumission érotique qu’il ressentait lorsqu’une fille exerçait son pouvoir sur lui. Depuis il est sorti de cette phase et quand nous nous sommes rencontrés au lycée c’était un homme suave et confiant. Aujourd’hui il est responsable d’une équipe d’une centaine de collaborateurs dans une entreprise stratégique. Pourtant, cette envie profonde d’être submergé sexuellement et romantiquement par une femme est encore tapie sous sa robuste façade. Quand nous avons introduit certains jeux de bondage soft dans nos ébats amoureux, cela a ravivé cette passion en lui de soumettre une partie de lui-même à une femme, à moi. Je n’avais pas conscience de tout cela, je pensais juste que nous jouions à un petit jeu coquin. Un jour, il a découvert l’existence de la cage de chasteté pour hommes et que les couples étaient de plus en plus nombreux à l’utilisée. À partir de ce moment et sans qu’il en prenne conscience, il a été subjugué par celle-ci. Maintenant, revenons à notre histoire. Après cette longue conversation, j’ai commencé à comprendre mon mari et à appréhender son fantasme. Aussi, je me suis sentie plus confiante et prête à l’accompagner dans sa concrétisation. Je lui ai dit que j’étais disposée à tenter le coup. Il a semblé soulagé et nerveux en même temps, puis a sorti une cage de chasteté qu’il avait achetée quelques mois avant. Je me suis, alors, rendu compte que cela devait faire un moment qu’il pensait à ce fantasme, mais qu’il n’avait jamais osé m’en parler par crainte de ma réaction. Cela m’a peiné et je me suis promis de devenir une personne plus tolérante. Il m’a remis la cage et je l’ai examinée. Elle était en plastique, dur et transparent, elle me semblait petite. Trop petite ? Il m’a expliqué comment cela fonctionnait et comment elle s’assemblait pour piéger l’équipement de l’homme sans que cela ne provoque de blessures ou d’inconfort. Ensuite, il m’a montré comment le petit cadenas permettait de garder l’ensemble solidement lié. C’était une expérience très sensuelle, car je savais que je tenais un accessoire puissant entre mes mains et je pouvais voir l’effet qu’il produisait sur mon mari alors qu’il m’observait la manipuler. Ensemble, nous l’avons mis sur lui. Puis, je l’ai enlevée et je l’ai reposée plusieurs fois tout en m’assurant de ne pas le pincer. Cette nuit-là, nous avons improvisé notre petite cérémonie de verrouillage, dans une ambiance romantique avec quelques bougies allumées. Nous avons fixé deux ou trois règles de base et de sécurité. Nous avons décidé de faire un essai de deux jours pour commencer. De quoi nous assurer que le dispositif ne causait pas de problème. Puis, il était, alors, temps de le verrouiller. Une fois, le dispositif en place, il a tenu à ce que je ferme le cadenas. Je pensais que ce serait plus romantique s’il l’avait verrouillé et qu’il m’avait donné la clé, comme un signe de sa dévotion envers moi. Mais bon, c’est son fantasme, n’est-ce pas ? Juste avant de fermer le cadenas, je lui ai dit : « Maintenant que tu m’as remis ton sexe, je prendrais la place d’honneur dans ta vie que tes orgasmes occupaient autrefois. » C’était ringard, mais je suppose que cela ne sonne pas ringard pour un homme qui vient juste d’être enfermé dans une cage de chasteté. Son visage était inestimable, et m’a étreint fermement. J’ai pensé qu’il pourrait pleurer. Ensuite, nous nous sommes embrassés. Depuis que nous sommes mariés, il n’a jamais pu m’embrasser plus d’une minute ou deux sans qu’il commence à enlever ses vêtements. Maintenant, avec le dispositif empêchant ses érections, il a été amené à son maximum de désir de moi sans être autorisé à le satisfaire. Là, nous sommes restés des heures à nous embrasser, à nous câliner, à parler et à nous embrasser encore. À mon grand étonnement nous avons pulvérisé tous nos records de temps passé à nous embrasser, même ceux de l’époque on nous « sortions ensemble ». Le lendemain était son premier jour au travail en portant le dispositif. Il était nerveux que cela se voie à travers son pantalon, mais après quelques essayages et, autant que je puisse en juger, c’était imperceptible. Je pensais à lui tout au long de la journée et je me demandais ce qu’il pouvait ressentir et penser. Quand il est rentré à la maison (à l’heure), il m’a dit que le dispositif lui faisait constamment penser à moi. Il le ressentait comme une main douce, mais ferme, comme le prolongement symbolique de ma main. En pensant à moi, il ressentait des papillons dans le ventre pendant toute la journée. Le soir même, nous avons fait une inspection de la cage de chasteté pour nous assurer que tout aller bien. Il a fait un petit ajustement, il a remplacé une entretoise par une plus courte. Une fois le dispositif remis en place, nous avons décidé de continuer deux jours de plus. Ces deux jours sont passés si vite et, après une vérification plus approfondie, nous avons constaté que le dispositif était bien ajusté et ne lui causait aucun problème. Il est chanceux. Nous avons lu que de nombreux hommes avaient besoin de faire de nombreux essais avant de trouver le bon ajustement, voir même pour trouver le bon dispositif. Mon homme semble être fait pour la CB-6000s qui est un des dispositifs les plus populaires sur le marché. Maintenant, il était temps de commencer à jouer le jeu pour de vrai. Je dis le jeu parce qu’à bien des égards c’est un jeu. C’est amusant et nous y jouons tous les deux de notre plein gré. Cependant, aucun d’entre nous n’a voulu le prendre à la légère. C’est un jeu qui doit être pris au sérieux pour que ce soit amusant, alors peut-être que cela en fait plus un sport. Je lui ai demandé combien de temps il voulait rester enfermé. Il m’a répondu que c’était à moi de prendre cette décision. Il m’a rappelé que son but n’était pas de rester verrouillé pendant une période donnée, ni même d’être verrouillé. C’était son désir de me remettre ce pouvoir et de me laisser faire ces choix. J’ai répondu : « Très bien. J’accepte. Tu resteras enfermé pendant une semaine. Je me réserve le droit de prolonger la durée si je le juge opportun. » C’était un peu difficile de ne pas pouffer de rire en disant cela, ce qui a suivi était un nouveau marathon de baisers tandis que son membre est resté résolument verrouillé dans sa cage. La semaine suivante était comme si nous étions à nouveau de jeunes fiancés. Des fleurs apparaissaient sur la table du séjour. Les tâches ménagères semblaient se faire magiquement dans la maison. J’ai été traitée avec des massages spontanés du dos et des pieds (mes préférés). Je pense que l’effet que j’ai préféré a été les petits sourires et les regards que nous avons commencé à nous redonner. Au cours de la semaine, j’ai continué à lire et à apprendre sur l’expérience de la chasteté masculine. J’ai appris que vous ne pouvez pas juste verrouiller un type et vous attendre à ce qu’il se transforme comme par magie en un prince. S’il se sent abandonné ou si le garder verrouillé n’est qu’un moyen pour le manipuler, il perdra cette excitation érotique et cela deviendra qu’un fardeau. Ces dispositifs ne sont pas très sécurisés et il serait facile d’en venir à bout avec de simples outils. La clé pour maintenir le jeu amusant et érotique, et le garder ainsi perpétuellement, consiste à attiser son désir alors qu’il est incapable de l’assouvir. Ce n’est pas difficile à faire. Cela se résume à le taquiner et à le refuser. Pour cela, vous pouvez porter des tenues suggestives pour lui, l’effleurer sensuellement alors que vous ne faites que passer, faire courir vos orteils sur sa jambe alors que vous êtes assis en face à face. Vous pouvez, aussi, vous penchez afin que son regard se fixe avec appétence sur votre décolleté, ou malicieusement sur vos seins si vous ne portez pas de soutien-gorge. Tout cela ne demande pas énormément d’efforts de votre part et ne le laissera pas de marbre. Le plus efficace cependant, reste de distiller innocemment de petits commentaires taquins par-ci, par-là. Certains sont très directs, comme, « Comment se sent mon petit prisonnier aujourd’hui ? » ou « Ça fait tellement longtemps, je me demande bien où j’ai pu cacher la clé » ou « Es-tu sûr que nous devrions aller voir ce film ? J’ai entendu dire que [nom d’une star] apparait en bikini et je crains que cela te mette, savoureusement, mal à l’aise… » D’autres taquineries sont plus subtiles, comme réfléchir à haute voix à ce que je pourrais ressentir en embrassant une autre fille (un classique des fantasmes masculin) ou même un autre gars. Le second l’excite terriblement. Par ailleurs, des mots comme « verrouillage », « clé », « dispositif », « piégé », « cage », placés dans une banale conversation en public le font toujours réagir. Il rougit toujours quand je les dis et que je sais que je viens de lui donner un petit frisson. La clé pour le garder verrouillé et sur le qui-vive n’est pas la petite clé en laiton que j’ai cachée dans ma cuisine, ce sont les taquineries constantes qui permettent de garder son excitation élevée. Une autre chose que j’ai apprise, c’est que la chasteté masculine est une pratique de longue date, bien établie, dans certaines communautés BDSM et la plupart des informations que vous trouverez là-bas vous conduiront vers d’autres pratiques BDSM. Attention ! La pratique de la chasteté masculine transcende cette communauté et si vous n’êtes pas une dominatrice dans l’âme, si vous ne voulez pas inclure les fouets, le travestissement ou toutes autres activités dans votre jeu, vous n’êtes pas obligé de le faire. Ne laissez jamais quelqu’un vous dire comment vous devriez jouer au jeu de la chasteté. Ce jeu est à vous et à votre partenaire, c’est à vous de définir ce que vous voulez en faire. Comment tout cela l’a-t-il changé ? Eh bien, contrairement à certaines de mes craintes initiales, cela ne l’a pas transformé en homme efféminé ou en pervers taré. Il est le même mec viril que j’ai toujours aimé. Il est toujours responsable de ses affaires au travail et il est toujours très sincère et influent parmi nos amis. Il a cependant changé. Il sait maintenant montrer son amour pour moi. Peut-être que ce n’est pas tant une question de savoir comment, mais une question d’envie de le faire. Je pense que c’est le plus grand changement dans son caractère. Il m’a toujours parfaitement bien traitée, mais il met maintenant mes besoins romantiques et sexuels au-dessus de ses propres besoins sexuels. Permettez-moi de reformuler : ses besoins sexuels incluent, maintenant, d’abord mes besoins romantiques. Il ne s’agit pas juste qu’une question cérébrale d’ailleurs. Ce n’est pas juste, « Eh bien, je veux de relations sexuelles, alors je ferais mieux de faire ce qu’elle veut, alors elle me déverrouillera ». Il sait que cela ne marche pas comme ça et il ne le voudrait pas. Il semble m’avoir présenté quelque chose de plus profond que ça et il se réjouit de me donner du plaisir selon mes conditions. Comment ai-je changé ? Eh bien, d’abord, je suis beaucoup plus confiante dans ma propre sexualité. J’ai maintenant la liberté de m’exprimer sans crainte d’avoir à me soumettre sexuellement. Je peux flirter (avec mon mari), l’embrasser, le caresser, l’allumer et être sexuellement libre comme je l’entends, et je sais que j’enrichis l’expérience pour mon mari, sans donner quoi que ce soit en contrepartie. Je pense que cette prise de confiance se répand dans d’autres domaines de ma vie aussi. Je n’aurais jamais eu le courage de partager cette histoire il y a encore quelques mois. La chose vraiment ironique à propos de tout cela est que lorsque nous nous sommes engagés dans la voie de son fantasme, qui me semblait moyenâgeux, le résultat a été la satisfaction de mes désirs romantiques. Tous nos baisers sont maintenant faits pour le plaisir des baisers, parce qu’il sait — maintenant — qu’un baiser n’implique rien d’autre. Nous faisons ces ballades romantiques dans les montagnes. Nous faisons toutes ces choses que je voulais et nous les faisons parce que cela lui plaît aussi. Je ne sais pas dans quelle mesure j’ai réussi à la décrire, et franchement, j’en apprends toujours sur la chasteté masculine. Je ne sais pas où cela nous mènera, comment tout finira ou même s’il cela s’arrêtera. Mais, je sais nous nous amusons beaucoup, nous sommes sexuellement épanouis et nous sommes plus proches que jamais. Si l’un ou l’une se retrouve dans ce fantasme, il ou elle devrait le partager avec son ou sa partenaire et se donner les chances de tenter le coup ! La chasteté masculine a le potentiel incroyable de changer votre relation pour le meilleur.
8 personnes aiment ça.
Soum46
Magnifique récit et bravo et félicitations pour votre complicité
J'aime 16/02/25
docile74
Quel beau témoignage !
J'aime 16/02/25
CYRUS dsl
félicitations de ce très long monologue exprimant toute votre sexualité , votre homme à une agréable compagnie qui s'exprime sans filtre , passer un moment avec vous au restaurant doit ètre un excellent rendez vous ou les conversations sont riches d'enseignement
J'aime 16/02/25
Asoumettre68
Bravo. Bien écrit. Merci pour le partage, ça donne envie.
J'aime 16/02/25
Dark Julien
Grrrrrr..... quel chanceux.....
J'aime 16/02/25
Je recherche un homme soumis pour assouvir ma passion de la domination. Je suis particulièrement sévère et fétichiste, j’exige que mon soumis soit un adorateur de la suprématie féminine et qu’il me soit entièrement dévoué .:.
Fabricest
J'ai aussi ce phantasme
Soyez la première personne à aimer.
Merci Eloetjames d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Badbubby
a partagé quelques photos
Difficile quand on a un sexe de chaire mais en force ouà force de témérité on... Se sent serré🤪
7 personnes aiment ça.
C'est un anneau de combien cela serre pas trop
J'aime 31/01/25
Badbubby
C'est un anneau réglable avec des crans... On s'arrête quand c'est idéalement serré Franck29
J'aime 31/01/25
Badbubby
Comme des menottes
J'aime 31/01/25
Mon mec a la même , elle est lourde , top comme ça il ne l’oublie pas , le réglage est bien , elle est confortable, Par contre mon mec a beaucoup de peau de couille , du coup elle se coince régulièrement entre les 2 parties articulre par contre attention serrure très fragile. La mienne : la serrure à lâché, du coup je l’ai supprimé et j’ai taraudé et je met un boulon à la place ,
J'aime 16/02/25
Badbubby
J'ai les mêmes désagréments avec des pincements de peau derivolier. Il n'y a pas assez d'espace entre la cage et l'anneau... Mais j'aime bien aussi que ce soit un peu inconfortable 🤪
J'aime 16/02/25
Bêtacuckold
Bonjour comment allez vous ?, je trouve le groupe super sympa, et ce que par hasard il y aurait des gardeuse de clef, car je souhaiterais être mis en cage et plus en ressortir pour le reste de l'année, voir plus, je suis du grand est Strasbourg
Bêtacuckold
Bonjour comment allez vous ?, je trouve le groupe super sympa, et ce que par hasard il y aurait des gardeuse de clef, car je souhaiterais être mis en cage et plus en ressortir pour le reste de l'année, voir plus, je suis du grand est Strasbourg
soumis54
Enfin une cage qui m'aille, il ne me reste plus qu'a trouver ma KH
6 personnes aiment ça.
SwitchLoicbidu59
Bonjour, tu as eu la possibilité de l'essayer ? escque cela t'empehce de jouir ?
J'aime 14/02/25
soumis54
Oui mais la porter seul sans dom ne m'intéresse pas
J'aime 14/02/25
SwitchLoicbidu59
Je vous comprends enfin j'imagine merci
J'aime 14/02/25
SwitchLoicbidu59
Chaque passage sur ce groupe me donne une érection mémorable, j'imagine le jour où l'on me posera enfin une cage pour contrôler la fougue de mon sexe que je n'arrive pas à éduquer. je vous imagine m'avoir encagé puis s'amusant de différentes manières avec ma petite chatte pour provoquer la montée du désir, mais bloquée dans sa prison. Humilié soumis dressé quel plaisir pour le dominant !!
4 personnes aiment ça.
delicieuseslechouilles
Et quel plaisir pour le dominé…!!!
J'aime 11/02/25
DEINOVE
ben si a chaque passage ICI il y a hisseo , conseil ne prennez pas une petite camisole pour commencer votre éducation car là ça va poser de très grosses douleurs
J'aime 11/02/25 Edité
pantyhose-fetish
J'aimerai qu'on me l'impose. Me force a porter un collier, appartenir a quelqu'un
J'aime 13/02/25
Maîtresse Luna
J’étais sur le point d’écrire et de raconter l’une de mes solitaires soirées extrêmes, mais j’ai pensé que mieux que de vous narrer une séance d’il y a quelques temps. Pourquoi ne pas vous raconter celle que je vais vivre dans quelques minutes. Pour vous situer la scène, je suis dans notre chambre, notre lit est un king-size , un couvre lit pourpre en soie le recouvre. Le mur face au lit est celui du dressing il est couvert de miroirs. Je suis là assise sur le bord du lit, totalement nue. Je ne déteste pas me regarder. Je suis loin d’avoir un corps parfait, mais je me trouve plutôt jolie et attirante. Ma peau est blanche piquetée de taches de rousseur sur presque la totalité de mon corps Je suis assez petite, un peu ronde, mais pas grosse. Mes seins sont lourds et ronds, mes aréoles et mes tétons sont d’un rose soutenu. Très granuleux ces tétons sont gros et le plus souvent tendus. Si je mets un T-Shirt j’attire le regard, on ne voit que mes pointes qui déforment le tissus et tous les yeux des mâles sont attirés. Ceci ne me déplait pas. Ma taille n’est pas celle d’une guêpe mais mes hanches sont larges et ma silhouette est de proportions agréables Le piercing de mon nombril est orné d’un brillant. Un vrai une coquetterie de femme je l’avoue aisée et je n’en ai pas honte. Debout nue devant le miroir mes yeux descendent vers mon sexe glabre, épilé définitivement. J’ai toujours trouvé que ma toison rousse assez touffue était moche, je l’ai rasée longtemps mais les démangeaisons quand cela repoussait et les petits boutons ont eu raisons de ma patience. L’épilation laser fut longue, horriblement couteuse mais on s’en moque. J’ai a offrir a mon homme un abricot rebondi pour qu’il le dévore. Mes petites lèvres sont vraiment petites et sont masquées pas mes grandes lèvres bien charnues. En haut de cette blessure le capuchon de mon clitoris est très saillant, et dès que je suis excitée mon bouton grossit rapidement et pointe le bout de son nez comme une bille toute rose. Mon clitoris est d’une taille largement au-dessus de la moyenne. Une sensibilité incroyable également. Mais mes intenses séances de masturbation l’ont sans doute endurci tout comme le traitement qui lui sera bientôt infligé. Je suis toute fraiche sortie de la douche, pas question de faire ce qui va suivre sans être certaine d’être parfaitement clean. Dans le coin l'écran est en marche et une blonde allemande, prend une volée de coups et cries sa détresse, sa douleur mais aussi son plaisir. Je ne m’attache qu’aux vidéos dans lesquelles je sens que ce n’est pas factice. Je ne peux être sûre à 100% évidemment. Mais quand on observe les partenaires on peut noter des gestes, des regards, des attitudes qui montre que ce n’est pas de l’esbrouffe pour la caméra. Je pense être assez perspicace pour voir si une femme jouie vraiment et ne simule pas. Pour ma part je ne sais pas simuler, je ne le désire pas non plus. Quelquefois il m’est arrivé d’être incapable d’atteindre l’orgasme avec mon mari. Seule ce n’est jamais arrivé. Mes préparatifs, mes allez retour entre le lit et mon clavier car je fais tout çà en live. Cela contribue à faire monter mon excitation c’est comme si j’étais observée par tous ceux et celles qui liront ce texte. L’humidité entre mes cuisses est déjà sensible, et bien sûr je me suis déjà plusieurs fois passés les doigts sur le clito qui est bien gonflé. J’ai également passé quelques minutes a me tortiller les tétons, a les pincer les étirer. Ils sont bien gonflés et tout sensibles. Mes aiguilles sont là sorties de leur enveloppe de papier mais sagement dans leur étui. Elles font 5cm de long et ce ne sont pas des fines, mais des moyennes. Les fines je ne les sens presque pas tandis que celles-ci c’est autre chose. Au début l’utilisais des toutes fines. Mais au bout des quelques mois je ne sentais plus vraiment l’aiguille dans ma chair. J’ai donc changé de taille. Car le plaisir s’amenuisait. Je pense que celles-ci finiront par moins me satisfaire. L’œil sur l’écran et sur le miroir ou je regarde mes doigts jouer avec mes pointes de seins, mon visage se crispe quand je commence à incruster mes ongles dans la pointe tout en tourant. Suffisamment fort pour que je pousse un petit gémissement involontaire. Mes joues s’empourprent rapidement ainsi que la base de mon cou sur ma peau Blache c’est si visible. J’écarte largement mes cuisses et ouvre mn sexe en grand, je suis déjà très mouillée, plein de fils de mouille barrent l’entrée de mon sexe je glisse mon doigt dans mon vagin il en ressort luisant et couvert de ma liqueur je lèche j’adore ce gout. Quand on pratiquait l'échangisme j’aimais beaucoup manger les minous des femmes, fouiller leur sexe avec ma langue la faire entrer loin. J’aime aussi me faire dévorer, sentir qu’on me fouille. Sur l'écran la blonde prend des coups de canne en bambou, elle hurle, les coups sont vraiment violents. Cette vidéo n’est pas truquée. Les marques sur les fesses puis les seins de la fille sont de longues balafres boursouflées et presque au sang. Sur son sein il y a même un endroit où il y a une petite blessure. C’est trop excitant, avec le ceinturon je m’applique des coups sur les fesses, puis le dos et je finis par une dizaine de coups sur mes seins avec force. Mes seins rougissent et commencent à me brûler. Je dois me retenir pour ne pas marquer mes seins. J’ai du mal à me contrôler. Je ne reviendrais pas écrire au fil de l’action à partir de maintenant je raconterai après. Là je suis trop excitée. Je reprends après avoir un peu soufflé. Je me suis donnée comme une folle Vous y êtes peut-être un peu pour quelque chose, j’espère que les garçons vont se branler en me lisant, vraiment je vous imagine la queue tendue entre vos doigts, décalottés, les couilles qui montent et descendent suivant le rythme. Pour m’asperger de votre semence. Encore une chose que j’adore, le sperme sur ma peau. Mon visage et dans ma bouche. A genoux devant le miroir, je prends le ceinturon et je mets 5 coups très violents sur mon sexe. Par 5 fois mon clito prend le coup et je crie à chaque choc. Je mouille de plus belle. Je mets 3 doigts loin dans mon vagin quel bruit de clapot. Je suis trempée. On ne joues plus maintenant. Je prends une aiguille je la sors de son étui avec mes dents. J’ai le visage rouge, mon souffle est court, je tremble un peu Je griffe légèrement mon sein gauche avec la pointe de métal, puis mon aréole. Je place la pointe sous mon téton. Je pousse, petit pincement puis crissement de l’acier dans la chair tendre de mon bout de sein. La douleur irradie dans toute la pointe. Je pousse lentement, mm par mm elle s’enfonce. Maintenant je vois la pointe de l’aiguille qui tends la peau de mon téton. J'ai presque percé, c’est comme un petit bouton qui nait sous mes yeux. Et d’un coup sous la pression la peau cède enfin et l’aguille glisse au travers de mon téton. Un râle de plaisir nait dans ma gorge. Je me regarde dans le miroir, mon regard est un peu fou, trouble. J’aimes çà me sentir aussi perverse, salope. Si seulement on me fouettait sans relâche pendant que je me perce ainsi. Le premier barreau de l’échelle de mon plaisir. Je suis comme enivrée, j’en veux plus. Une seconde aiguille, à l’horizontale sur mon téton gauche. Lentement je force, le téton cherche à se dérober, mais la pointe acérée crève ma peau, je sens nettement la progression du métal dans ma chair, des frissons de plaisir me parcourent naissants dans mon sexe et se diffusant partout sur ma peau. Mon souffle est de plus en plus court, ma peau commence à être moite et brillante. Dans le miroir je me trouve belle, offerte aux sévices. La seule ombre c’est moi qui dois officier. Que j’aimerais attendre tremblante, que les mains de mon maitre ou maitresse m’inflige toutes les douleurs possibles. Mon vagin trempé, palpite appelant les caresses. Je pousse encore mon aiguille, enfin elle est là cette pointe sur le côté de mon téton. On la devine, elle fait une petite bosse, elle va crever la peau dans quelques secondes, j’ai mal mais je pousse lentement. La pointe brille sur le rose de mn téton. Elle émerge et là elle traverse la pointe de mon sein facilement. Mes doigts courent dans ma fente inondée, chaque frôlement de mon clito me rapproche d’un orgasme que je sens puissant. Sans doute le fait de penser que je vais tout vous raconter augmente mon plaisir. A cet instant, je suis à vous, votre chienne, esclave prête à tout subir. Je ne suis que votre jouet, on peut me casser me jeter, m’abimer me détruire avec mon consentement. En récompense vous cracherez sur ma langue, me giflerez violemment. Je fais subir le même traitement à mon téton droit. Je suis percée par des aiguilles en croix. J’évites de trop me caresser au risque de jouir trop vite. J’aimerais m’enfoncer un gode, violemment dans la chatte tapant dans le fond de mon sexe, ébranlant mon corps. Mais cela doit durer, j’ai besoin de souffrir longtemps. Cette fois je prends deux aiguilles, une chaque main. Je pose les pontes au bout de mon téton. Je me regarde dans le miroir, prête à pousser ces aiguilles doit dans mes seins. Jamais je ne l’ai fait avant de cette façon. Pression la pointe pénètre mais la résistance est bien plus forte que prévue. Mes tétons semblent reculer pour éviter d’être empalés. Je pousse plus fort, elles entrent un peu comme par un a coup. Je pousse un cri car la douleur est vraiment plus forte, l’excitation l’emporte, une poussée encore. Douleur et plaisir irradient dans mon corps. Mon sexe c’est un peu contracté puis un spasme à laisser couler un peu de ma liqueur. Je le vois dans la glace. Ça coule le long de mes cuisses en petite rigoles brillante. Au haut de ma fente mon clitoris est saillant et dressé, d’un rose foncé et luisant. Le sang bat contre mes tempes. Ce soir la vidéo c’est moi. La salope qui souffre c’est moi et j’adore ça. Je m’imagine au milieu d’un cercle d’hommes et de femmes nus, qui me frappent à coup de cravache, de ceinturon. Ils vont sans doute me prendre ensuite, me faire subir des tas de sévices. Je pousse plus fort les aiguilles avancent lentement dans ma chair. J’aimerais être vue, être touchée par vous tous. Je gémis car la douleur est vraiment forte. Dans un effort ultime je pousse si fort qu’enfin le plastique bleu de l’aiguille touche la pointe de mes seins. Avec un frisson d’extase je me dit que j’ai 5 cm d’acier plongé droit dans les pointes de mes seins. Je me sens au bord de l’orgasme. Souffle court, la peau humide de sueur je tremble comme une feuille, je m’insulte, me gifle. Le ceinturon frappe mes cuisses qui rougissent et se marquent. Je n’ai plus la notion du temps. Je me laisse aller en arrière, cuisses écartées dans le miroir je vois mon sexe béant qui ruisselle, une liqueur laiteuse plus épaisse est en train de couler lentement en dehors de mon sexe qui palpite. A tâtons je trouve une aiguille, la sors de son étui. Respiration saccadée, ma tête est embrumée, je suis dans une demi conscience presque. Je pose la pointe de l’aiguille sur mon clito et d’un coup je l’enfonce. Je hurle et fébrilement je cherche une autre aiguille, je prends le plastique entre mes dents dégage le métal. Au seuil de l’orgasme je travers a nouveau mon clito dans un cri de douleur. Et éblouissement de l’orgasme. Tétanisée, renversée sur le dos, mes jambes repliées sous moi. J’explose la douleur et mon désir se mêlent, mes fantasmes accourent, je ne sais plus si je suis seule si une foule me touche et me martyrise. Submergée par le plaisir je me masturbe, enfonce mes doigts dans mon sexe. Les aiguilles me font mal mais je branle quand même mon clito. Un autre orgasme approche. Je vois bien que je perd un peu de sang, un peu seulement, mais j’ai trop envie de jouir à nouveau. Cela ne tarde pas je suis secouée de spasmes violents qui s’espacent et s'épuisent comme moi. Mon sexe est barbouillé de rose, un peu de sang mêlé à ma mouille laiteuse. Il me faut facilement 10 ou 15 minutes pour sortir de cet état léthargique d’après orgasme. Mon dieu, quel pied !! C’était gigantesque ce n’est pas si fort à chaque fois. J’ai mis un peu de temps à arrêter l'écoulement de sang de mon clitoris. Ce matin je peux à peine le frôler. J’ai renoncé à la petite culotte car elle frottait trop contre mon gros bouton. Il reste un peu tuméfié, je pense à cause des coups de ceinturon. Si mon corps, n’est pas tout à fait prêt à recommencer de suite. Mon esprit, ma libido serait partant pour une nouvelle séance tout de suite.
11 personnes aiment ça.
lolomaso78
encore encore
J'aime 06/02/25
lolomaso78
beau récit très excitant et dur à lire quand on est sous cage de chasteté
J'aime 06/02/25
CYRUS dsl
Superbe , à vous lire on chavire dans le scénario
J'aime 06/02/25
Sous cage vous nous torturer de bonh
J'aime 11/02/25
Si vous le souhaitez je suis
J'aime 11/02/25
boychasteté
a partagé une photo
en cage pour le week end
13 personnes aiment ça.
SwitchLoicbidu59
Bien portée
J'aime 12/01/25
Bien adaptée, très jolie
J'aime 17/01/25
Bonjour, quelle taille l'anneau cela serre pas trop
J'aime 31/01/25
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