A propos du groupe
BDSM
Créateur

"Brat" est un terme utilisé pour décrire un type spécifique de comportement ou de rôle adopté par certains participants. Voici quelques caractéristiques principales d'un.e brat en BDSM :

  1. Défi et Provocation : Un.e brat aime provoquer ou défier son partenaire dominant, souvent de manière insolente ou taquine. Ce comportement est généralement destiné à attirer l'attention et peut être considéré comme un jeu entre les participants.

  2. Jeu et Interaction : La dynamique entre un.e brat et son partenaire dominant implique souvent un jeu de pouvoir où le dominant cherche à "dompter" ou à contrôler le comportement provocateur de la/du  brat.

  3. Non-conformité dans le Cadre Consenti : Un.e brat se distingue souvent par une volonté de ne pas se conformer complètement aux attentes ou aux commandes du partenaire dominant, mais cela se fait dans le cadre consensuel et négocié de leur relation BDSM.

Un(e) "brat tamer", à l'inverse, est la personne qui joue le rôle du partenaire dominant face à un(e) "brat". Le brat tamer est celui qui relève le défi de gérer, de "dompter", et de répondre au comportement provocateur et espiègle du brat. Voici quelques aspects clés du rôle du brat tamer :

  1. Gestion des Défis : Le brat tamer doit être capable de gérer les défis et les provocations lancés par le brat de manière créative et assertive. Cela peut impliquer de la discipline, des jeux de pouvoir, ou des réponses qui maintiennent l'équilibre entre l'autorité et le jeu.

  2. Jeu de Pouvoir : La dynamique entre un brat et un brat tamer est souvent marquée par un jeu de pouvoir intense. Le brat tamer doit faire preuve de fermeté et d'assurance pour maintenir son rôle dominant tout en jouant avec les provocations du brat.

  3. Communication et Consentement : Comme pour tous les rôles dans le BDSM, la communication ouverte et le consentement mutuel sont essentiels. Le brat tamer doit s'assurer que les limites sont clairement définies et respectées, et que le jeu reste sûr et agréable pour les deux parties.

  4. Créativité et Adaptabilité : Face à l'imprévisibilité d'un brat, le brat tamer doit faire preuve de créativité et d'adaptabilité pour maintenir le contrôle et la dynamique souhaitée dans la relation.

  5. Établissement de Limites et de Règles : Le brat tamer peut établir des règles ou des limites pour canaliser le comportement du brat, tout en respectant les limites et les désirs du brat.

Le rôle de brat tamer demande donc une compréhension profonde des dynamiques de pouvoir dans le BDSM, ainsi qu'une capacité à gérer et à répondre de manière appropriée et consensuelle aux défis posés par un brat.


  1.  

Mur de commentaires

la tête, les mains sur la tête. les seins, je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains. le dos, bras croisés dans le dos. la chatte, je présente ma chatte en l’écartant avec les deux mains les fesses, je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains. Numéro deux, c’est présentation des seins. Allons y. « Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers l’avant. C’est la position qu’il a inventé pour la pose des pinces. C’est bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec les clochettes. Elles sont réglées pour pincer juste ce qu’il faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur. Quand je les porte, j’entends les clochettes tinter, me rappelant que j’ai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements. Quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon plus nette et j’adore ça. Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées. « Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne » J’ai rajouté un « merci » je sais qu’il apprécie. « Position n° 4 ! » Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 c’est présentation de la chatte. Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille. Je connais la procédure : J’avance le bassin pour faire ressortir la vulve, j’écarte largement les grandes lèvres et je n’oublie pas de dire, s’agissant de ma chatte : « Je suis une bonne petite salope » Dans cette position, j’expose carrément mon clitoris. Je l’ai senti quand j’ai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. J’ai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à l’entrée de mon vagin, c’est mon homme qui vérifie. Le doigt rentre facilement, je suis plus mouillée que je ne pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de l’intérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. C’est plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça n’est pas le tout de le dire parce que j’y suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope. Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est ! C’est les chutes du Niagara. Quand il retire son doigt, il est trempé. « Merci Monsieur » « Assieds-toi et finis ton cocktail » « Oui Monsieur » En mode privé je dois m’asseoir d’une certaine façon : je pose mes fesses sur l’assise, j’écarte les jambes au maximum, je me penche d’un côté en écartant la fesse opposée avec une main, je me penche de l’autre côté en écartant l’autre fesse, de sorte que mon petit trou soit bien en contact avec le cuir. Ça c’est une trouvaille ! Assise comme ça, je sens mon petit trou qui touche le cuir frais. Pour parler crument, ça énerve mon trou du cul. Avec l’excitation, à chaque contraction de mon périnée, mon petit trou se décolle du cuir puis se recolle. J’ai alors pleinement conscience d’être une petite pute. Quand c’est le cas, puisqu’il s’agit de mes fesses cette fois, je dois dire : « Je suis une bonne petite pute » Je prends mon verre qu’il a rempli et je…Ah ! Ça y’est, j’ai compris ! il veut me faire boire mais pas pour m’enivrer, il a une autre idée en tête. Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte. Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus : « Mais comment vous en êtes venus à … Enfin à ça ? » Mon homme explique : « Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. C’est un jeu dangereux pour des personnes qui s’aiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ». « Et elle ? elle en a des fantasmes ? » « Elle y réfléchit » Pour l’instant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, les fesses disjointes sur le cuir d’un fauteuil, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est l’attraction, j’entends que l’émotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça n’est pas moi qui mène le jeu. Etonnement ça n’est pas ça qui m’excite. Je n’ai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul d’ailleurs. Moi, mon homme, je veux qu’il soit male Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort…Alors ce n’est pas pour l’attacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes. Non ! Je n’ai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant d’hourdir des plans, de passer des annonces, d’organiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, c’est ça qui me fait mouiller. J’en ai presque honte. A notre époque ou le féminisme est roi, sexuellement, c’est en étant la proie que je me sens vibrer. En parlant de vibrer, c’est autre chose qui m’arrive maintenant et c’est normal avec tout le liquide que j’ai ingurgité : j’ai envie de faire pipi. Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand j’ai envie d’uriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ». Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour aller à quatre pattes faire sur la pelouse, soit il me demande d’aller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui. Le collier, la laisse, la gamelle c’est un truc qu’il m’a fait faire à la deuxième ou la troisième séance. Après m’avoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il m’a fait faire tout un tas d’exercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. J’ai appris par exemple à manger et à boire dans un bol pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref… Pour le moment, Je ne tiens plus. Pour me retenir, je contracte mon périnée et….je sens mon petit trou qui se détache du cuir, ce qui me ramène à ma situation actuelle : entièrement nue, les jambes, la chatte et les fesses écartées avec une furieuse envie de faire pipi, pendant que deux hommes à côté et en face de moi devisent gentiment. J’attends une pause dans la conversation et je dis : « Je suis une petite pisseuse » Laurent en reste bouche bée, enfin je crois, je n’ai toujours pas levé les yeux. Mon homme doit sourire. « Va chercher ta gamelle » Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne m’appartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle je mange parfois, je reviens et je m’installe debout devant mon homme. « Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter » Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour qu’ils soient tous les deux aux premières loges. J’écarte les jambes, j’avance le bassin. D’une main je dégage les lèvres de ma chatte pour qu’elle soit bien ouverte et de l’autre main je positionne le récipient entre les cuisses. En termes d’humiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez. Toute à mon envie de faire pipi, je n’avais pas pris conscience de la situation. Nue devant deux hommes, le bassin tendu en avant, m’écartant la chatte au maximum et m’apprêtant à me soulager comme la dernière des chiennes. J’exerce une profession médicale, j’ai fait des études, passé des concours. J’ai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues : Qu’est-ce que je suis en train de faire ? C’est sexuel, c’est ça ? C’est vrai ! Le sexe c’est à part de tout. Des l’instant où on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même ! Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal. Les hommes se taisent, ils ont les yeux rivés sur ma chatte béante. C’est moi qui mène le jeu ? Non ! je n’ai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute. Le contrat : Quand j’ai fini, je m’essuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne pisseuse » ensuite j’attends l’ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous ma chatte et les doigts mouillés de mon pipi. Je compte les secondes. J’ai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de l’exciter. « Va ! » Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. J’entends la conversation dans le salon. C’est Laurent : « Ben mon salaud, tu t’emmerdes pas. Et ça va jusqu’où votre histoire ? » Ça, j’aimerais bien le savoir ! D’après le contrat, il n’est pas question d’avoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouse. Il n’a pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit d’autre que mon mari. J’ai confiance en lui. Je reviens vers le salon. « Position n°5 ! » Je révise. Voyons…. Mnémotechnie, 1 2 3 4, 5 c’est la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. C’est la position idéale pour la pose d’un plug anal par exemple. C’est ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Donc je me mets dos à lui, je penche, j’écarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il n’y avait plus que ça que Laurent n’avait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il m’aura vue sous toutes les coutures. Je tiens la position. Je m’attends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente : « Ça m’a fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt qu’un apéritif, on dîne au restaurant ? » Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal : « Oui moi aussi… Bla Bla …… Bla Bla….. » Et ce jusqu’à la porte , « Bon ben Salut » Le voilà parti. Je ne sais pas l’heure qu’il est. Peut-être 20h 30, j’ai l’impression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de m’écarter les fesses.