Branding

Vue sur le même site que celui que celui d'e dessous. L’image de marque, la dernière frontière Par Baadmaster Ce n’est pas exactement ce que vous voudriez utiliser sur la peau humaine ! Ce n’est pas exactement ce que vous voudriez utiliser sur la peau humaine ! Avec l’entrée des jeunes kinksters dans la communauté BDSM traditionnelle (avant que vous ne supposiez quoi que ce soit, je pense que c’est bien !), il y a maintenant une faction alt/ink/kink/bondage qui est défendue par ces milléniaux. Les tatouages « traditionnels » d’esclaves/salopes ont été rejoints par des tatouages sur le cou, le visage, les seins et même des tatouages « à l’encre noire ». Beaucoup de ces nouveaux modes de vie repoussent les limites de l’encre et du kink. Et même si mon esclave légèrement tatoué a dit : « On dirait que tout a été fait », c’est loin d’être le cas. Pourtant, l’époque où l’on choquait les gens avec une manche est révolue depuis longtemps. (Peut-être que ce n’était pas une bonne raison de se faire tatouer de toute façon.) Les tatouages, comme la marijuana, sont devenus courants. Oui, nous avons fait beaucoup de chemin depuis le tatouage « Propriété de Maître Untel » (le baiser de la mort pour les relations selon les tatoueurs professionnels). Étant donné que repousser les limites fait partie intégrante de notre mode de vie pervers, il existe une option de marquage permanent qui est, par définition, vraiment avant-gardiste : l’image de marque. La dernière frontière ! Le marquage, en termes simples, consiste à brûler la surface de la peau pour laisser une marque. Cette marque peut être temporaire ou permanente. Le type temporaire est souvent appelé « brûlure de surface ». Une brûlure de surface habilement faite commencera généralement à s’estomper en quelques mois ; Au bout d’un an, il ne restera plus qu’une rougeur résiduelle – selon le type de peau. Les masochistes extrêmes adorent ce type de jeu, qui ne manque pas de douleur. Le danger des brûlures superficielles réside dans l’attitude cavalière que les gens ont à la fois en donnant et en les obtenant. Comme ils n’ont pas vocation à être permanents, la plupart ne font pas appel à des professionnels du branding pour cela. Ils plient un fil de cuivre dans la forme souhaitée, le chauffent et le marquent. Même en supposant que la température était correcte pour l’effet temporaire, les niveaux professionnels de stérilité et de suivi sont souvent ignorés. Cela peut entraîner des cloques et des infections. Je suggère qu’un professionnel de l’image de marque fasse la brûlure de surface et supervise le suivi – comme s’il s’agissait d’un marquage permanent. À défaut, vous devriez avoir quelqu’un de compétent dans l’art des brûlures de surface et son suivi présent lorsque l’image de marque est terminée. Bien qu’il y ait ceux qui sont marqués de manière permanente juste pour le plaisir, le marquage permanent est généralement réservé aux couples BDSM les plus sérieux comme marque de propriété. Il exige le plus haut niveau de confiance – le soumis doit avoir une confiance totale dans la compétence de marque du Dom/moi ou dans son jugement dans le choix d’un marqueur. Cela entraîne une douleur extrême, à la fois pendant le marquage proprement dit et tout au long du processus de guérison. Et cela exige de l’engagement – une marque est pour la vie. Il ne s’agit pas d’une brûlure de surface temporaire qui s’estompe avec le temps ; Il n’y a pas de « déminage au laser », comme dans le tatouage. Dans sa totalité, l’image de marque est le poids lourd de tous les marquages. L’image de marque permanente est un peu plus compliquée qu’on ne le pense. La plupart des marqueurs expérimentés travaillent dans de la tôle d’acier inoxydable 316L et la façonnent en différentes parties de la marque. Ils construisent leurs designs en utilisant des « frappes » séquentielles de fines pièces métalliques pour créer la marque complète. Chauffée par un chalumeau au propane, la température est critique. Trop chaud, vous pouvez blesser les tissus musculaires ou ruiner la marque avec trop de scarification. Trop peu de chaleur, la marque aura l’air faible. Et toutes les frappes doivent être appliquées avec la même pression et une chaleur identique, sinon il en résultera une marque inégale. Pour bien marquer une personne, il faut beaucoup de compétences ; Après tout, nous ne sommes pas du bétail. Mis à part les questions de compétences, la principale préoccupation de la plupart des gens est la permanence de la marque. « Et si le Maître/Maîtresse me libérait et que j’avais une marque sur les fesses ? » Cette question semble légitime. Comme peu de choses durent éternellement, la vraie question devrait être : « Puis-je vivre avec cette marque si la relation devait prendre fin ? » Dans ce contexte, la décision semble plus simple. Si la marque est esthétique et que vous pensez, si vous deviez rompre, que vous pouvez toujours porter votre marque avec fierté, alors l’image de marque pourrait bien avoir du sens. D’un autre côté, si la relation dure éternellement... pleurage!!! Après une carrière de dix ans en tant que scénariste en chef du légendaire bondage.com, et une course tout aussi longue en tant qu’animateur de l’émission à succès sur Internet « Baadmaster’s Dungeon », nous sommes heureux d’accueillir le seul et unique Baadmaster sur KinkWeekly. Ses réflexions sur tout ce qui concerne le BDSM apparaîtront désormais régulièrement sur ces pages. Des aspects mentaux de D/s aux rouages du jeu SM, Baadmaster couvrira toutes les facettes de ce style de vie en constante expansion.

Vue sur le site " kinkweekly.com " Branding BDSM – ce qu’il faut savoir par baadmaster La dernière question que l’on m’a posée est plutôt technique : Lecteur : « J’ai lu de nombreux articles, à la fois pour et contre, sur le branding. Je peux déterminer ce qui est le mieux pour moi d’un point de vue spirituel et personnel. Ce que j’aimerais, c’est un conseil technique pour savoir comment choisir au mieux une marque afin de ne pas me retrouver avec une vilaine cicatrice. Tout d’abord, pour répondre à votre question, vous devez décider si vous voulez une « brûlure de surface », qui s’estompe avec le temps ou une « marque permanente », qui est – DUH – permanente. Étant donné que l’image de marque n’est pas (encore ?) devenue populaire comme le piercing et le tatouage où il y a des magasins à chaque coin de rue, comme Starbucks, il peut être intimidant de trouver une bonne marqueuse. Ainsi, il existe un niveau de compétence qui doit être évalué avant d’embaucher un brander. Donc, pour vous aider, voici quelques bases : Le marquage, en termes simples, consiste à brûler la surface de la peau pour laisser une marque. Cette marque peut être temporaire ou permanente. Le type temporaire est souvent appelé « brûlure de surface ». Une brûlure de surface habilement faite commencera généralement à s’estomper en quelques mois ; Au bout d’un an, il ne restera plus qu’une rougeur résiduelle – selon le type de peau. Les masochistes extrêmes adorent ce type de jeu, qui ne manque pas de douleur. L’image de marque permanente est un peu plus compliquée qu’on ne le pense. La plupart des marqueurs expérimentés travaillent dans de la tôle d’acier inoxydable 316L et la façonnent en différentes parties de la marque. Ils construisent leurs designs en utilisant des « frappes » séquentielles de fines pièces métalliques pour créer la marque complète. Chauffée par un chalumeau au propane, la température est critique. Trop chaud, vous pouvez blesser les tissus musculaires ou ruiner la marque avec trop de scarification. Trop peu de chaleur, la marque aura l’air faible. Et toutes les frappes doivent être appliquées avec la même pression et une chaleur identique, sinon il en résultera une marque inégale. Pour bien marquer une personne, il faut beaucoup de compétences ; Après tout, nous ne sommes pas du bétail. Et n’oubliez pas que les résultats ne sont pas aussi prévisibles que ceux des tatouages, vous devez vous attendre à des résultats inattendus. Le mieux est de garder ces paragraphes à l’esprit et de lui demander comment EXACTEMENT la marque est appliquée. S’ils disent simplement qu’ils chauffent du fil de cuivre, le mot est SUIVANT ! Mis à part les questions de compétences, la principale préoccupation de la plupart des gens est la permanence de la marque. « Et si le Maître/Maîtresse me libérait et que j’avais une marque sur les fesses ? » Cette question semble légitime. Comme peu de choses durent éternellement, la vraie question devrait être : « Puis-je vivre avec cette marque si la relation devait prendre fin ? » Dans ce contexte, la décision semble plus simple. Si la marque est esthétique et que vous pensez, si vous rompiez, que vous pouvez toujours porter votre marque avec fierté, alors l’image de marque pourrait bien avoir du sens. D’un autre côté, si la relation dure éternellement... pleurage!!! Cet article est plus court que mon article habituel pour kinkweekly.com. Mis à part le nombre de mots, vous êtes au bon endroit. L’image de marque peut être permanente et je ne peux pas vous apprendre comment marquer ou être marqué dans un seul article. Ce que j’ai fait, c’est vous donner quelques lignes directrices pour vous aider à choisir un brander habile. Et j’ai gardé le conseil le plus important pour la fin : Insistez pour que tout brander digne de ce nom (bien sûr, ne mettez pas de sel sur la marque !) viendra avec une trousse médicale / de premiers soins contenant au moins un antibiotique topique, un anesthésique topique, des bandages et toutes sortes de premiers soins. Et il/elle doit, à l’ère du coronavirus, être extrêmement insistant sur la stérilité. Gardez ceci à l’esprit : « Un brander sale devrait être un brander au chômage. » Je pourrais ajouter, c’est cette période déroutante re. le virus corona, il pourrait être sage d’être très stérile dans toutes les formes de jeu BDSM. Mieux vaut prévenir que guérir ! À propos de l’auteur Après une carrière de dix ans en tant que scénariste en chef du légendaire bondage.com, et une course tout aussi longue en tant qu’animateur de l’émission à succès sur Internet « Baadmaster’s Dungeon », nous sommes heureux d’accueillir le seul et unique Baadmaster au sein de KinkWeekly. Ses réflexions sur tout ce qui concerne le BDSM apparaîtront désormais régulièrement sur ces pages. Des aspects mentaux de D/s aux rouages du jeu SM, Baadmaster couvrira toutes les facettes de ce style de vie en constante expansion.

Vue sur le site " blog.kinkly.com " Marque BDSM Revu par Dr. Laura McGuire on janvier 8, 2024 Le branding BDSM fait référence à l’application d’une chaleur ou d’un froid extrême sur la peau, généralement d’un soumis, pour faire une marque de brûlure. Les marques faites grâce au branding humain BDSM peuvent être temporaires ou permanentes, selon les techniques et les outils utilisés. Le branding BDSM est parfois appelé body branding ou skin branding. Pourquoi les gens s’engagent-ils dans le branding BDSM ? La comtesse Diamond, une dominatrice professionnelle du Royaume-Uni, déclare : « L’image de marque permanente est considérée comme le plus grand honneur qu’un dominant puisse accorder à un soumis. C’est une dédicace visuelle qui symbolise le lien entre le soumis et le dominant. Certaines personnes apprécient également la sensation physique d’être marquées. Comme pour de nombreuses activités BDSM, le branding crée une douleur intense qui peut être agréable pour certaines personnes. Certaines personnes disent qu’elles entrent dans un état agréable et calme pendant le marquage, ce qui ressemble à la méditation ou à la prière profonde. L’image de marque peut également être excitante pour les soumis masochistes, qui se sentent excités lorsqu’ils reçoivent de la douleur, et pour les dominants sadiques, qui s’amusent à infliger de la douleur aux autres. Tout comme les agriculteurs marquent leur bétail pour montrer qu’ils en sont propriétaires, les dominants peuvent aimer marquer leurs soumis. Le marquage d’esclave BDSM montre qu’un soumis est la propriété de son dominant. Un soumis dans n’importe quelle dynamique peut aimer ce rappel visible de sa connexion avec le dominant. Un dominant peut également marquer son soumis pour le punir. Le branding humain BDSM est également le dernier type de marquage qui repousse les limites. Autrefois, les soumis se faisaient tatouer pour montrer leur lien avec leur dominant, mais les tatouages sont devenus courants. Les personnes qui souhaitent un type de marquage plus audacieux peuvent choisir l’image de marque à la place. La possibilité de choisir une image de marque temporaire ou permanente est également attrayante pour certaines personnes. Alors que le marquage permanent est un bon moyen de montrer l’engagement d’un soumis envers son dominant, le marquage temporaire peut être un excellent moyen de s’essayer à l’image de marque sans recevoir de marque à vie. Toute personne de la communauté BDSM peut également se marquer ou voir un professionnel de la scarification ou de la modification corporelle. Il est important de noter, cependant, qu’il existe des problèmes juridiques, de sécurité et de santé mentale qui accompagnent l’image de marque, en particulier les types permanents. Il s’agit d’une activité BDSM extrême qui doit être abordée avec un consentement total et une extrême prudence - si tant est qu’elle le soit. Options de marque Les marques BDSMS peuvent être temporaires ou permanentes. Les marques temporaires sont parfois appelées brûlures de surface, car elles n’affectent que la surface de la peau et s’estompent en quelques mois. Les marques temporaires sont créées en appuyant une fois un outil de marquage contre la peau. Le marquage permanent consiste généralement à frapper la peau à plusieurs reprises pour faire une marque plus durable. Les types de marques utilisés ne sont limités que par l’imagination. Un dominant peut choisir un symbole, un motif ou un mot qui a une signification particulière pour lui et son soumis. Les initiales, les chiffres, les cœurs et les X sont quelques-uns des choix de marque les plus courants. La comtesse Diamond suggère aux gens : « Gardez le design simple. Une fois qu’il est guéri, s’il y a trop de détails, il se perdra dans la peau. Tenez-vous-en à des lignes claires et des formes géométriques." Marquage et scarification Le branding BDSM est souvent considéré comme un type de scarification, car il peut laisser une cicatrice permanente sur la peau. Lorsque la peau est brûlée, ses tissus se séparent. La brûlure est ensuite inondée par les cellules immunitaires, qui repoussent les infections et aident les tissus de la peau à guérir. Le collagène se forme dans la peau pour remplir la zone brûlée, créant une cicatrice. Ce processus est similaire à la façon dont le corps cicatrise après une coupure profonde. Les gens ont pratiqué la scarification tout au long de l’histoire. Certaines civilisations anciennes utilisaient la scarification comme rite de passage. Certains propriétaires d’esclaves ont marqué leurs esclaves pour montrer qu’ils en étaient propriétaires ou les punir, tout comme les dominants modernes peuvent utiliser le marquage. L’image de marque dans le BDSM fait-elle mal ? Le branding est un processus douloureux, car il nécessite une chaleur ou un froid si intense qu’il brûle la peau. La comtesse Diamond dit : « Ily a diverses choses que quelqu’un peut faire pour minimiser la douleur, comme des crèmes anesthésiantes, mais d’après mon expérience, la douleur fait partie du plaisir et de l’expérience. » Au cours du processus de marquage, le cerveau libère de la dopamine, une substance chimique de bien-être, pour résister à la douleur. Cette libération de dopamine peut créer une dépendance, ce qui amène certaines personnes à choisir plusieurs marques pour chasser l’euphorie. Notez que l’automutilation a également été liée à des troubles de santé mentale et à des traumatismes infantiles. Ceux qui s’engagent dans un jeu douloureux pour ces raisons peuvent envisager de consulter un thérapeute pour d’autres moyens de faire face. En savoir plus sur le branding BDSM Comment marquer un partenaire ou vous-même dans le cadre du jeu BDSM La plupart des experts BDSM suggèrent que toute personne souhaitant une marque devrait consulter un professionnel de la scarification ou de la modification corporelle. Des spécialistes qualifiés peuvent donner aux marques cette cicatrice de la manière souhaitée avec un risque d’infection plus faible. Bien que ce professionnel soit peut-être en dehors de la scène BDSM, la comtesse Diamond dit qu’il vaut la peine de rechercher "un professionnel dominant qui offre la scarification en tant que service. Ils sont formés, comprennent les risques pour la santé et vous pouvez toujours en faire une expérience intime entre vous et votre partenaire. Tout comme le fait qu’un tatoueur fasse un tatouage du nom de votre partenaire, le fait que l’artiste vous fasse le tatouage ne diminue pas l’intimité et la connexion que le tatouage apporte à votre relation. Cependant, comme le matériel de marquage est facilement disponible, certaines personnes préfèrent marquer leur partenaire ou se marquer à la maison. C’est quelque chose qui devrait être abordé avec une extrême prudence, voire pas du tout. Le marqueur peut appliquer un anesthésique topique sur le site de marquage pour engourdir la zone. Ils doivent porter des gants médicaux en latex et des vêtements propres, stériliser leur espace de travail et leurs outils, et nettoyer la peau de la personne destinataire avec des lingettes antiseptiques ou de l’alcool pour prévenir l’infection. S’ils utilisent un outil qui utilise de la chaleur, au lieu de l’électricité ou de l’azote liquide, ils doivent attendre qu’il se réchauffe avant de l’appliquer sur la peau pour le marquer. « Il a besoin de brûler la chair, et une chaleur trop basse ne fera que laisser une brûlure inconfortable qui guérira sans cicatrice », a expliqué la comtesse Diamond. Les marqueurs peuvent appliquer des outils électriques et de congélation directement sur la peau. Ils ne doivent pas pousser trop fort, comme le dit la comtesse Diamond : « C’est la chaleur qui fait le travail plutôt que la pression. » Outils de marquage et fers à repasser Certains des outils de marque les plus courants sont : Fer à marquer : Ce morceau façonné de fer ou d’acier inoxydable est chauffé, puis appliqué sur la peau pour laisser l’empreinte de la forme derrière. Bandes d’acier inoxydable : Le brander place ces bandes chauffantes sur la peau selon un motif et les frappe pour créer une marque permanente. Équipement de cautérisation : Cet équipement de qualité chirurgicale chauffe jusqu’à 2 000 degrés F pour provoquer des brûlures au troisième degré. Crayon électrochirurgical : Cet outil de qualité médicale utilise des charges électriques pour créer un design de marque. Baguettes violettes : Certaines baguettes violettes ont une fixation qui peut concentrer leur sortie électrique. Lorsqu’il est appliqué sur la peau et déplacé, un utilisateur peut créer un design. Cônes de moxa : Utilisés dans l’ancienne médecine chinoise, ces cônes d’herbes peuvent être brûlés et appliqués sur la peau pour laisser des cicatrices dans un processus appelé moxibustion. Lasers: Un laser imprime un dessin précis sur la peau. Outil de congélation : Cet outil utilise de l’azote liquide très froid pour créer une marque de congélation. Les outils de marquage BDSM doivent être conçus pour les humains, car les outils de marquage pour les animaux brûlent trop profondément. Les outils chirurgicaux sont les outils les plus sûrs, car il est très peu probable qu’ils rouillent. La comtesse Diamond suggère également de choisir un crayon électrochirurgical ou un laser de précision, car ces outils modernes "permettent un meilleur contrôle de la profondeur, un risque d’infection plus faible. Ces processus permettent également de réduire les cicatrices chéloïdes, ce qui crée une marque plus attrayante. Encore une fois, cependant, la meilleure façon d’atténuer les risques est de consulter un professionnel de la scarification ou de la modification corporelle, ou d’éviter complètement la pratique. Marque BDSM, consentement et sécurité Comme pour toutes les activités BDSM, le consentement est essentiel pour l’image de marque. Un soumis devrait toujours avoir le droit de refuser le marquage s’il n’est pas à l’aise avec celui-ci. Il est également important de noter que l’image de marque comporte des risques importants. L’équipement rouillé peut transporter la bactérie qui cause le tétanos. La personne qui fait l’objet d’un marquage doit s’assurer qu’elle a reçu un vaccin contre le tétanos au cours des 10 dernières années afin de réduire le risque de contracter cette maladie. Les sites de marque peuvent également être sujets à l’infection. S’assurer que la peau est propre et stérilisée, stériliser l’équipement et s’assurer que le marqueur porte des gants peut minimiser les risques. Après le marquage, ils doivent appliquer une pommade thérapeutique, comme une crème antibiotique ou de la vaseline, pour réduire la douleur et couvrir le site de marquage d’une pellicule plastique. Cette enveloppe gardera la zone propre sans coller à la peau brûlée. Il peut être retiré et remplacé par un pansement après une heure ou deux. Les bandages protègent également la plaie des infections tout en lui permettant de respirer et de guérir. La personne de marque doit également s’occuper du site pendant qu’il guérit. Ils doivent laver soigneusement le site et réappliquer le pansement deux fois par jour pendant les premiers jours. L’application quotidienne de plus de pommade thérapeutique jusqu’à ce que la marque ait guéri devrait réduire la douleur. La guérison prend généralement deux ou trois semaines. Ils doivent également surveiller les signes d’infection, tels que l’enflure, la chaleur, la rougeur et le pus. Toute personne qui remarque ces problèmes devrait demander à un professionnel de la santé d’évaluer le site de marque. Recevoir une formation d’une dominatrice professionnelle qui propose des services de scarification peut également rendre l’image de marque BDSM plus sûre. « Il s’agit [généralement] d’une marque permanente et il ne faut pas se précipiter », a souligné la comtesse Diamond. « Si vous n’avez pas la patience de faire des séances d’entraînement, vous ne devriez pas le faire du tout ! » Comme le marquage implique de donner des brûlures au troisième degré, il est considéré comme des lésions corporelles graves dans de nombreuses régions du monde. Selon 10Masters, il n’est légal qu’en Autriche, en Nouvelle-Zélande et dans certaines régions des États-Unis. Les autorités peuvent poursuivre toute personne qui effectue une image de marque dans des endroits où c’est illégal, même si elle reçoit son consentement. Les personnes intéressées par l’image de marque BDSM doivent faire des recherches sur les lois de leur région afin de comprendre ce qui est légal dans leur région.

Vue sur le site " steeltoyz.fr " BDSM Branding - toujours aborder les choses avec beaucoup de prudence de: Marcel von Steeltoyz 1 Commentaires (1 évaluation) vlcsnap-2023-01-13-16h26m37s628_Bildgroesse-aendern Le marquage signifie qu'un corps est marqué par une marque. Un fer à marquer est chauffé et pressé sur la partie du corps concernée. Autrefois, les esclaves étaient ainsi marqués par leurs maîtres. S'ils s'enfuyaient, ils pouvaient être ramenés et punis en conséquence. Il s'agit ici du véritable esclavage, pas de l'esclave BDSM ! Aujourd'hui, le marquage n'est plus utilisé que dans l'élevage. On le trouve encore aujourd'hui sur les bovins et les chevaux. Mais de nos jours, le marquage est également considéré comme un ornement corporel. Certaines personnes acceptent donc de se faire marquer de la sorte pour l'exhiber comme un bijou. Le marquage se fait alors à un endroit visible du corps. Mais dans le cas du marquage BDSM, il s'agit en fait de marquer un subs ! Il indique le lien entre le sub et la dominatrice. C'est sans doute la reconnaissance la plus élevée lorsque le sub souhaite être marqué par le branding. Inhaltsverzeichnis 1 Temporaire ou pour l'éternité ? 2 S'entraîner avant ! 3 Comment crée-t-on une marque ? 4 À quoi doit ressembler le marquage ? Temporaire ou pour l'éternité ? Si un subordonné souhaite montrer son estime et se faire marquer durablement, c'est un grand honneur pour le dom / la dominatrice. Mais pour l'éternité, cela signifie aussi que cette marque ne disparaîtra jamais. Il en résulte une cicatrice durable. Pour toujours ! L'esclave doit vraiment en être conscient. Le marquage temporaire, quant à lui, signifie que la marque de la dominatrice ne dure que quelques semaines ou quelques mois. Il est superficiel et peut se guérir sans cicatrice. Ainsi, on n'affiche son appartenance et sa soumission que pendant un certain temps. Certaines personnes souhaitent aussi simplement ressentir la douleur provoquée par le fer chaud. S'entraîner avant ! Avant d'entreprendre de marquer ton esclave, tu devrais t'entraîner à utiliser le fer rouge. On peut être étonnamment effrayé de ressentir cette sensation et d'entendre le sifflement lorsque le fer chaud touche la peau. Les courgettes ou les aubergines sont idéales pour s'entraîner. Mais il peut être encore plus judicieux d'utiliser une peau ou une couenne de porc. C'est la peau qui ressemble le plus à la peau humaine. Tu peux t'entraîner à connaître la température du fer et la durée et l'intensité de la pression à exercer. Avant de passer au marquage correct, tu devrais tester un petit marquage sur ton esclave à un endroit discret. C'est le seul moyen de savoir à quel point la peau de ton subs est sensible. Et le sub peut faire une petite expérience pour savoir à quel point cela va être douloureux. Les parties non visibles du corps signifient tout ce qui peut être bien caché par les vêtements. La zone d'exercice devrait également être cachée si l'on ne porte que des maillots de bain. Comment crée-t-on une marque ? Pour réaliser un marquage, tu as besoin de désinfectant, d'un fer à marquer et d'un bec bunsen. Avant l'application, la partie du corps concernée et le fer à marquer sont désinfectés. Ensuite, le fer à marquer est chauffé avec le bec bunsen. Il n'est pas possible de dire concrètement combien de temps le fer doit être chauffé. ###0### Cela dépend de l'intensité de la marque et de la sensibilité de la partie de la peau concernée. Ensuite, le fer est appliqué sur la peau directement après le chauffage. Avec pression et pendant un certain temps. L'intensité et la durée doivent être convenues au préalable. Si le marquage doit être temporaire, il suffit d'exercer peu de pression et de le maintenir brièvement. Une marque de dominatrice permanente nécessite une pression plus forte et doit rester plus longtemps sur la peau. Mais il faut tout de même procéder avec prudence, il ne faut pas que les plaies soient extrêmement profondes ! Les soins ultérieurs sont importants. Le branding doit être soigné avec des produits cicatrisants afin que la cicatrice puisse se former proprement. Si le branding s'enflamme, une visite chez le médecin s'impose ! À quoi doit ressembler le marquage ? Un branding BDSM peut être un petit logo que seules les parties concernées savent interpréter. Mais il peut aussi s'agir des initiales de la maîtresse ou du nom complet de la dominatrice. Si un fer à marquer n'est pas assez délicat, tu peux aussi utiliser le Violent Wand. Il te permet de travailler comme avec une machine à tatouer et de dessiner des lignes fines. Le marquage est réalisé par des brûlures électriques. Tu peux ainsi faire de ton marquage de dominatrice une véritable œuvre d'art. ###1### Merci à Cruel Reell

Un témoignage d'une fille soumise (traduit de l'espagnol) : BRANDING - ASPECTS PRATIQUES Comme le titre l'indique, j'écris sur les aspects pratiques du sujet qui nous préoccupe, en ce qui concerne les sentiments et les émotions, comme je le dis toujours, chaque personne est différente et sait ce qu'elle a dans la tête. Je répondrai quand même aux questions s'il y en a. Le premier aspect pratique dont je voudrais parler est celui qui m'a le plus surprise, peut-être pas quelqu'un d'autre bien sûr. Depuis que nous avions prévu de le faire, ma tête était occupée à s'inquiéter beaucoup de la douleur de la brûlure sur le moment, rien de plus, et corroborant ce que l'une des personnes qui nous a conseillé nous a dit, le moment était une seconde et demie de douleur (je ne peux pas parler d'échelle de douleur parce que je trouve que c'est une question très personnelle, pour moi la seconde et demie a été intense). Il y a une logique à ce qu'on nous a expliqué, le fer chaud brûle immédiatement les nerfs de la zone concernée et il n'y a plus de sensibilité. Immédiatement après la brûlure, une autre personne (chirurgien plasticien) qui nous conseillait m'a administré le premier traitement (crème antibiotique, filet de cicatrisation et pansement). La marque fait environ un centimètre et demi de large et 4 doigts de long. Je devais faire la cicatrisation une fois par jour (je sais que certains produits peuvent être laissés en place plus longtemps, mais j'ai préféré faire la cicatrisation toutes les 24 heures, après la douche). Après 3 à 7 jours, j'ai remplacé la pommade antibiotique par une pommade cicatrisante et j'ai suivi le même processus. Je dois dire que dans mon cas, les 2 ou 3 premières semaines, je n'ai rien senti dans la zone, elle était complètement engourdie, ce qui était assez surprenant. La véritable douleur a eu lieu plus tard lorsque, je suppose, les nerfs ont commencé à se régénérer, les traitements ont été assez compliqués car, aussi bien lors du lavage que lors de l'application de la crème, dans mon cas, j'ai pu voir les étoiles..... (Et non, je n'aimais pas cette douleur). À cause de la zone où j'ai la marque, à l'époque je ne pouvais pas la guérir toute seule et je devais être accompagnée parce qu'à certaines occasions, la sensation de douleur me donnait un peu le vertige. Il m'a donc guérie et est resté avec moi jusqu'à ce que la douleur la plus intense du premier moment soit passée. Cela a duré environ un mois. Il faut dire que les choses se sont compliquées pour moi car j'ai développé une allergie à la colle contenue dans le patch et j'ai dû cesser de l'utiliser. À l'époque, la plaie était à un stade où elle suintait, l'alternative était donc de mettre un slip entre le filet de cicatrisation et la culotte (on m'a également parlé des patchs en silicone). Un autre aspect à prendre en compte est que je ne pouvais pas vivre une vie tout à fait normale car les mouvements quotidiens du corps (marcher, s'asseoir, etc.) faisaient que la peau s'étirait et se rétractait, ce qui me faisait mal et m'obligeait à ralentir. Je reconnais que je suis une imbécile et j'ai continué à faire du sport (adapté, bien sûr) et à certaines occasions, la plaie s'est ouverte et la cicatrisation a recommencé, je dis cela parce que je suppose que si quelqu'un d'autre est plus calme et a d'autres circonstances dans lesquelles il peut se reposer davantage, la cicatrisation irait sûrement plus vite. Quoi qu'il en soit, il est évident, après avoir expliqué tout cela, que si nous parlons de pratiques ou de sexe en général, les choses ont également été assez limitées pendant un certain temps (maintenant, après presque trois mois, nous commençons à reprendre certaines d'entre elles), cela implique beaucoup de patience et parfois des sacrifices si vous êtes habitué à certaines choses. Parfois, j'ai/nous avons préféré laisser la blessure souffrir un peu plutôt que de renoncer à quelque chose. Au bout d'un mois environ, la plaie a cessé de suinter, il y avait à nouveau de la peau, très fine bien sûr, et la douleur n'était plus du tout la même. J'ai simplement appliqué un filet (linitul) et des vêtements en coton qui ne me frottaient pas trop. J'ai rendu visite à la personne qui a fait le premier traitement deux ou trois fois pour le suivi (merci mille fois encore, un énorme bisou❤). Au jour d'aujourd'hui ce n'est pas encore complètement guéri mais c'est pratiquement guéri. Enfin, je voudrais souligner que le mois qui a été le plus compliqué pour nous, nous n'avons pas pu laisser de côté la famille, le travail et les obligations banales à la fin de la journée, et peut-être pas pour quelqu'un d'autre, mais dans mon cas, il était compliqué de devoir dissimuler la douleur, les postures, les gestes et de ne pas pouvoir me consacrer corps et âme au processus que je suivais. Nous avons eu beaucoup de chance avec toutes les personnes qui nous ont conseillés, ce que je trouve essentiel dans ce processus qui peut-être raconté avec tant de réalisme peut sembler très dur (et il l'est en partie) mais pour nous il en a valu la peine dans toute sa signification et il nous a compensé plus que compensé. Je t'aime, mon Seigneur.

Christophe soumis salope du 36 je veux être marqué au fer rouge sur les fesses qui peut me marquer

Enfin nous avons atteint les 90 membres ! Encore un effort pour la centaine.

Les inscriptions augmentent, mais les discussions patinent...

En fait il y a plusieurs sujets à traiter: Le pourquoi : qu'est ce qui détermine le couple à faire un branding Le quand : à quelle moment peut on consider que l'on peut le faire? Le comment : quelle technique utiliser tatoo .. fer. Tatouage ...? Le Ou : sur quelle partie du corps ? Le design; le type de motif ? Le Chez qui ? Pro ou hand made. Je pense qu'on peut peut être organiser les échanges cette base pour avancer.

Il serait bon que chaque membre de ce groupe se présente pour mettre en évidence des affinités probables...

Je suis intéressé par la symbolique que le marquage représente dans cet univers. Mais en tant que maitre je me dois de prendre en compte l'intégrité de ma soumise. Pour ce, je dois être certain que si il y a un après moi, elle puisse vivre sa vie dans les meilleures conditions. Le graphisme et sa signification est donc très important et cela peut faire l'objet d'une auter réflexion dans ce groupe. Il y a, pour moi,, un grand nombre de stade et de marquage différents avant le fer qui me parait définitif. Je ne l'exclues pas, mais il me semble qu'avant d'en arriver au fer. Des solutions de marquage peuvent être envisagées. Ces solutions ou techniques peuvent être aussi des étapes de progression dans la relation. Voici ce que je connais et que je classe du plus éphémère au plus définitif. 1- Le stylo indélébile ; qui ne tient sur la peau que quelques jours et ne nécessite pas de protocole d'hygiène stricte. cette solution est peut être une bonne première méthode pour préparer le ou la soumise à l'importance de son marquage et aux conséquences quotidiennes si il devait être définitif. 2- Les tatoo et autres marquages éphémères; qui sont moins personnalisables mais restent une solution intermédiaire et plus longues. Jusqu'a un mois pour les plus qualitatifs. idéal pour les vacances ou pour une absence du Maitre. 3- Encre médicale : Utilisé par les professionnels de la santé afin de redessiner un sourcil ou même un mamelon aprés des interventions d'ablations ou de chimio. Cette encre résiste au temps durant 3 ans. elle s'estompe ensuite. Pour les sourcils, il faut le refaire en tous les cas tous les trois ans. Cette solution est trés bien pour un engagement et peut être une bonne solution pour un engagement déja bien ancré. 4- Le fer : définitif Est ce que quelqu'un en connait d'autre? Que pensez vous de cette façon de penser? Sachant que je suis un homme hétéro classé dans les Maitres et que je suis dans l'univers DS MS . J'ai à l'égard de ma soumise un regard axé sur le beauté, son épanouissement. La douleur n'est pas le moteur de ma démarche mais une conséquences que l'on peut éviter. Merci de vos retours.

Bonjour à tous. Je suis intéressé par le sujet tant sur le plan philosophique que sur le plan technique. les quelques interventions que j'ai pu lire sont enrichissantes. merci par avance de votre accueil. Ymer

Bonjour à T/tous & à T/toutes Je viens de créer ce groupe pour ceux qui veulent mettre les infos sur ce sujet, vos impressions, vos photos persos ou du net montrant les marques de vos Maitres/Maitresses ou les marques que vous voudrez faire porter ou porter. M'hésitez pas à le faire savoir autour de vous Maitres Maitresses soumis et soumises

Bonjour à tous les nouveaux membres n'hésitez pas a mettre vos photos sur le BRANDING pour que les membres puisses voir vos réalisations. Bien à vous.