La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Tout ce qui proviens de mon maître est incroyable, même ça pisse. En tant que soumis il m’est obligé de servir de VC pour monsieur.   L’uronalgie est une de mes pratiques que j’aime le plus, se sentir souillé, et salis, et surtout se sentir utile, grâce à moi monsieur a été soulager et il n’y a rien de plus important.   Me demander de lécher les toilettes public, boire de la pisse d’inconnus, la mienne ou celle de mon maître permet de me rappeler qui je suis, une simple chienne sans dignité. J’apprécie énormément les ordres comme : remplis un verre de pisse et bois le en entier, pisse toi dessus, pisse sur le sol et lèche ou encore boire essentiellement la pisse de monsieur dans une gamelle de chien.   Mais ce que j’apprécie le plus c’est lorsque l’on m’y oblige en me mettant un entonnoir dans l’anus ou dans la bouche et sentir la pisse rentrer.    confession: j'ai connue l'art de l'uronalgie sur ce site même grâce à un ancien maître à moi. La première fois qu'il m'a demandé ça j'étais surpris.. je ne savais pas à quoi m'attendre et le goût et l'odeur ne me plaisait pas. lorsque ce même maître est venue à ma rencontre et qu'il m'a fait avaler sa pisse de force j'ai compris que je n'étais qu'un chiotte, la sensation d'excitation était inexplicable... je savais enfin où était ma place. Sans même qu'il est besoin de me forcer à le faire j'étais déjà en train de lécher le sol afin d'avaler les dernières gouttes. depuis cette pratique est régulière, on me demande souvent de boire ma pisse, lécher les toilettes etc..  l'uro a une place très importante dans ma vision des choses, monsieur n'a pas besoin d'aller au toilettes tant que je suis là 🐶  
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Par : le 07/10/23
Le lendemain, Summer, Thomas et Jo vont détecter. Moi, je dois aller faire des courses avec Martha. Ah ! Si je pouvais y aller plutôt avec Summer... Le matin, pendant que je sers le petit déjeuner, Martha fait un geste un peu vif et je me recule précipitamment. Elle rit et me dit : — Je ne te frapperai pas si tu ne fais pas de bêtises. Mouais... Le bateau nous dépose dans le petit port d'Orange Creek, Dean reste à bord. C'est une petite ville, mais aujourd'hui, il y a marché. Martha vient d'une autre île, mais elle connaît bien cette localité. Je suis en uniforme, y compris le tablier. Il y a de très grosses propriétés ici et c'est vrai qu'on voit des bonnes en uniformes. Je me suis un peu renseignée sur le Net au sujet des Bahamas. Il y a des riches propriétaires blancs, arrivés ici il y a deux siècles avec leurs esclaves... Par la suite, d'autres esclaves sont arrivés avec des Blancs sudistes, après la guerre de Sécession. Actuellement, 80 % de la population est noire ou métisse. Martha commence par acheter un grand caddy que je traîne en me tenant derrière elle, puisque les bonnes marchent cinq pas derrière leurs maîtres, comme au temps de la reine Victoria.   On parle anglais, mais il y aussi un patois que je ne comprends pas, c'est ce que parle Martha avec les commerçants. Elle a l'air ravie d'avoir une servante blanche et elle parle de moi avec les commerçants. On achète de tout : des quantités de boîtes de conserves, du poisson fumé, des fruits et des légumes. Quand le caddy est plein à ras bord, je place un gros sac au-dessus. Martha me dit : — Ne mets pas le sac sur le caddy, porte-le. Tu es vraiment une fainéante ! Rires des commerçants ! Un peu plus tard, tandis qu'elle raconte sa vie à une commerçante, je dépose le gros sac par terre. Ouch ! Martha me crie dessus : — C'est sale par terre, souillon, porte ce sac... À moins que tu aies envie de te faire fesser ici ? — Non, pardon, Madame. Je porte le gros sac à deux mains. Les gens sont ravis du spectacle. Un jeune Black uniquement vêtu d'un short s'approche de moi pour me demander : — Tu vis sur un bateau ? — Oui... Il me donne une photo en disant : — Donne ça à ta maîtresse dans le bateau, c'est important. Il s'en va... Martha n'a rien vu. Je regarde discrètement ce qu'il m'a donné. C'est une photo de plusieurs monnaies en or et au verso, il y a un numéro de téléphone. Je glisse la photo dans ma poche. Je crois que ça va intéresser Summer. Martha continue ses achats et ses parlottes. Je finis par être tellement chargée qu'elle est obligée de porter un sac... La pauvre !!! Je pense à cette photo... J'ai hâte de la montrer à Summer, je pourrai peut-être négocier pour ne plus être la servante. Mais d'un autre côté, je n'ai pas envie de me retrouver face à des araignées et des alligators... Quand Martha a enfin fini, on retourne au bateau, moi chargée comme un mulet. On rejoint notre petite crique et on range toutes les provisions. Ou plus exactement, Martha s'assied et ouvre une bière. Ensuite, elle me dit où ces provisions doivent aller. Dès que j'ai tout rangé, je lui dis : — J'ai une lessive à faire, Madame. Petit geste désinvolte de la main. Je vais laver leurs vêtements sales et plein de sueur. Les trois autres arrivent tandis que je pends la lessive. Ils ne sont pas plus frais qu'hier. Je dis tout de suite à Summer : — Je dois te parler... — Tu as fait des corvées ? — Oui. C'est très important. Elle pousse un soupir... et se dirige vers notre cabine. Dès qu'on y est, elle me dit : — Si c'est pour te plaindre de Martha.... Je lui montre la photo. Elle la regarde attentivement, le retourne et voit le numéro de téléphone. Elle me dit : — Putaaaiiin ! C'est ce qu'on cherche ! Qui t'a donné ça ? — Un jeune garçon, au marché... Elle me prend par le cou et m'embrasse. Elle a eu chaud, elle sent bon. Elle prend son téléphone pour appeler le numéro qui est au dos de la photo. Quand elle a quelqu'un en ligne, elle dit : — Bonjour Monsieur, j'ai une photo... — ... — D'accord. — ... — À demain. Elle me dit : — On y va demain, toi et moi. Je vois qu'elle réfléchit... puis elle me dit : — Allons l'annoncer aux autres. On va à l'arrière du bateau. Ils boivent des bières. Thomas lui en tend une. Elle boit un coup... puis leur dit : — Ashley a eu un renseignement très important. Elle donne la photo à Dean, qui est à côté d'elle, en ajoutant : — Il y a des gens sur l'île qui ont trouvé ce que nous cherchons. La photo passe de mains en mains. Martha me dit : — Tu ne me l'as pas dit... — Le jeune homme m'a dit de la donner à ma patronne qui est sur le bateau. C'est ce que j'ai fait. Moue de la grosse ! Jo dit à Summer : — Pourquoi ils nous mettent au courant ? — Tu sais... Cette île qui est quand même proche du trou du cul du monde. C'est difficile pour des villageois  de le vendre. Si le gouvernement est averti, il le leur confisque. Les grands sites de ventes aux enchères demandent la provenance des objets. Ils ont dû se dire que nous avions la possibilité de le faire. Demain, pas de fouilles, on va à Orange Creek. On viendra nous chercher au marché, Ashley et moi. *** Le lendemain, je sers le petit déjeuner, ensuite on s'apprête à aller de l'autre côté de l'île. Summer me dit : — Mets la robe et le tablier. J'espérais... pouvoir y aller autrement qu'en bonne. Je lui demande : — Je ne peux pas y aller... en civil ? — Non, tu es ma servante. — Oui, mais... — Mauvaise réponse, recommence. — Oui, Madame, je suis votre servante. Je ne sais pas ce qu'elle a ce matin... peut-être le stress. On part tous sur le bateau. Summer dit : — Faites un tour en ville. Je vous donne des nouvelles rapidement. Ils aimeraient bien nous accompagner, mais c'est Summer et moi... Enfin, Summer et sa bonne. On arrive dans le petit port et on va au marché. On attend un peu et puis le jeune Black de la veille arrive. Il a dû faire des courses et il a un gros sac... Il dit à Summer : — Suivez-moi. Il peut avoir 18 ans et il est toujours vêtu uniquement d'un short pas très propre. Après une centaine de mètres, il dit à Summer : — Ce n'est pas ta bonne qui devrait porter les courses ? Mais non, pas du tout ! Il est deux ou trois fois plus fort que je ne le suis... Summer répond : — Si, bien sûr... Ashley ! — Oui Madame. Je prends le sac... Oh putain, il pèse une tonne ! Je me traîne derrière eux. Le Black lui demande : — Elle serait pas un peu paresseuse, ta bonne ? Summer va remettre à sa place ce petit insolent. Elle répond : — Il faut la punir de temps en temps, c'est ce que je vais devoir faire. Aussitôt, je les suis ! Pfffff.... On quitte la ville, la route asphaltée devient une route de terre... Je transpire dans ma robe et je prends de nouveau le sac à deux bras. On passe devant une grande décharge... ça pue ! On continue la petite route et on arrive devant un terrain sur lequel se trouve un invraisemblable bric-à-brac de voitures accidentées, d'appareils ménagers... de tout. Summer demande au gamin : — Ton père récupère les métaux ? — Oui. Les pièces de voitures aussi. On marche entre deux murs de... déchets ! On arrive devant une masure en bois. Trois personnes nous attendent, toutes noires. Il y a un couple d'une quarantaine d'années et une fille qui doit être la sœur de notre guide. L'homme est torse nu, les deux femmes en jeans et tee-shirt.   L'homme dit à Summer : — Viens avec moi. Et moi ? Avant que le couple n'entre dans la maison, la jeune femme crie : — Dis, Pa, elle pourrait pas nous aider pour le ménage, la bonne ? Il regarde Summer qui répond : — Bien sûr Mademoiselle. Oh non !!! Ça, c'est à cause de cette saloperie d'uniforme. Summer entre dans la maison. La fille s'approche de moi pour dire : — Je rêve d'avoir une servante blanche qui laverait mes culottes. La femme, qui doit être sa mère, rit et lui dit : — On n'en met pas. — C'est une image, M'man. Qu'est-ce qu'on lui fait faire ? — Il faudrait lui faire repasser nos robes du dimanche... Putain, je déteste repasser ! Au secours ! Elle ajoute : — On fera ça, si elles restent. Ouf, j'échappe au repassage. Elles n'ont pas l'occasion de trouver autre chose à me faire faire, car Summer et le Black sortent de la maison. L'homme leur dit : — Elles restent, son patron vient demain. Grand sourire de la femme et des enfants. L'homme ajoute : — On va arroser ça. Il se tourne vers moi et me dit : — Va chercher des bières dans le frigo. Une servante blanche, ça leur plaît ! Je vais dans la grande pièce où il y a des meubles récupérés dans des poubelles. Seule chose de bien, une grande télé et dans la cuisine, qui est juste à côté, un grand frigo. Je prends quatre bières et je leur apporte. Pas pour moi, évidemment. Ils boivent à la boîte... Quand elle en a assez, Summer me donne sa boîte à moitié pleine. Je lui dis : — Merci Madame. Je bois goulûment. Dès qu'ils ont vidé leurs canettes, la fille me dit : — Va en chercher d'autres ! — Oui Mademoiselle. Je rapporte quatre bières. La fille me dit : — J'ai vu un vieux feuilleton anglais où les servantes font des révérences. Vas-y. On est dans un casse de voiture à côté d'une décharge et je dois leur faire des courbettes ! Je lui fais une profonde révérence, en disant : — Voici votre boisson, Mademoiselle. Elle est ravie ! À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan pour le super dessin. Notre nouveau livre s’appelle : « Lizy, soumise autour du monde », il y a 60 illustrations de Bruce Morgan et vous allez l’adorer. https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 01/09/23
  **Ceci s'est passé à l'Antre des Vices. C’était l’été, encore ! Il a fait chaud. Le soir allait tomber, nu, assis avec quelques autres invités : la fort sympathique Mi et son Maître Soundgen69, Maître Vince et sa délicieuse Liza, je demandais si la fréquentation du cachot était possible. Ayant reçu un avis positif, je fixais alors moi-même des menottes et des fers aux pieds. Me dirigeant vers le cachot, je me couchais sur le sol. Le Maître ferma la grille puis la porte en s’assurant toutefois qu’en cas de détresse, ne sait-on jamais, je puisse sortir. J’avais envie d’être enfermé dans ce cachot d’une surface d’environ 6 mètres carrés pour y passer la nuit. A peine installé, je m’assis, appuyé contre le mur proche des barreaux de la porte. Je constatais que j’allais avoir probablement soif. Je demandais de l’eau. Le Maître Vince m’apporta alors une bouteille d’eau… Je voulais vivre dans une ambiance dur. Je roulai le bout de moquettes qui recouvrait la moitié de la cellule pour n’avoir que la surface de béton. Avec le rouleau de moquette, j’en fis mon appui pour la tête.** Non non ! En fait, je m’étais présenté à la porte de la prison. Dès son ouverture, je fus saisi vigoureusement par les bras, tirés sans ménagement vers l’intérieur d’une salle. Deux gardiens m’attachèrent les poignets. Un troisième me banda les yeux. Mes poignets furent tirés vers le haut. Je me retrouvais presque suspendu. Après avoir reçu quelques bourrades, ils arrachèrent mes vêtements, coupés au couteau je crois. Nu, mes chevilles furent enserrées dans des fers reliés par une chaîne. Non moins brutalement, je fus soulevé et emmené vers un cachot. On m’ordonna de me coucher sur le sol brut. Etendu dans la poussière et la saleté du lieu, je savais que j’allais y passer un long moment. Mon bandeau sur les yeux fut retiré. Les gardiens lardèrent encore le corps de coups de pieds. Ils attachèrent la chaîne qui reliait mes chevilles à un anneau placé au raz du sol. Ils passèrent une autre chaîne autour du cou et relièrent celle-ci à un autre anneau fixé de l’autre côté de la pièce. J’avais assez de mou pour pouvoir me tourner dans la poussière et la saleté. Je demandais de l’eau pour boire. J’étais bien, au-début couché au centre de la cellule, je sentais le sol assez chaud mais un petit vent de fraîcheur modérait le plaisir. Je me déplaçais donc vers le fond complètement étendu, emportant de la poussière et de fins débris de gravats. Ainsi appuyé contre le mur chaud, ma tête reposant sur la moquette roulée, je fermais les yeux de plaisir. La grille se referma dans un bruit de métal et de chaînes que l’on cadenasse. Je fermais les yeux de plaisir. Il est vrai que le local jouxte une route fort fréquentée et cela me gardais éveillé. Mais quelle importance, j’étais dans l’ambiance que j’adore, être enfermé, au bon vouloir, il est vrai virtuel du Maître ou de la Maîtresse. Cérébralement cela a un effet très fort. Goûtant avec plaisir mon corps déjà bien souillé, je me roulais plusieurs fois dans toute la longueur de la pièce. Une véritable et délicieuse sensation de soumission. Je rêvais. Dans un bruit de chaînes et de métal, soudain la grille est ouverte. Entrent alors plusieurs personnes. Trois d’entre-elles portaient de gros seaux. Une dominatrice m’ordonna d’ouvrir en grand la bouche, placée au-dessus de moi, jambes écartées, j’allais pouvoir boire. En fait elle pissa plusieurs longs jets d’urine sur la tête et ma bouche (Je l'ai déjà vécu pour de vrai d'ailleurs). Puis elle me dit « et tu vas pouvoir manger si tu veux ». A ce moment-là, les trois personnes me vidèrent sur le corps et la tête les seaux contenant des déchets de cuisine et des détritus. Ces personnes quittèrent la cellule en refermant la grille. Je frottais mes jambes l’une contre l’autre pour sentir la douceur de ma peau affinée par les hormones. Roulant sur moi-même pour explorer les chaleurs emmagasinées dans la pierre, je trouvais un bout de chaîne avec deux petits mousquetons. Je me mis cette chaîne autour du cou et la reliais à mes menottes de telle façon que je ne puisse plus toucher mon sexe. Je fermais les yeux et continuais à rêver… Je sentais ces détritus sur la peau, collés par l’urine que je venais de recevoir. Je sentais une sorte de pâte fluide couler sur le côté, j’imaginais que cela devait être un reste de crème ou de purée de pommes de terre. Je sentais les liquides plus ou moins visqueux couler le long de mon corps étendu. Frottant mes fesses sur le sol, je sentais qu’elles glissaient comme si c’était de l’huile ou du beurre. Secouant ma tête, je tentais d’enlever des sortes d’écheveaux de fils ou de poils mélangés avec une matière visqueuse que l’urine faisait adhérer sur mes cheveux et le haut de ma tête sans toutefois obturer mes yeux. Frottant mes jambes, je mesurais la quantité d’immondices que l’on m’avait jeté dessus. Je rêvais d’être réveillé en pleine nuit pour une sévère session au fouet, ces fouets qui vous enserrent comme le Maître Vince sait si bien manier. D’être couché dans la terre devant le cachot pour adoucir les morsures du fouet et d’être souillé par ce sol souvent humidifié par l’urine des convives préférant arroser les environs plutôt que de s’asseoir sur la cuvette d’un WC. D’être ramené en cellule pour le reste de la nuit. J’ai adoré ces moments de rêve… tout en continuant à caresser mes jambes, en me retournant pour prendre encore de la poussière sur mon ventre, mes seins et mes bras, je flottais dans un véritable petit nuage de bonheur. Pour finir, ces sensations délicieuses mêlées à des odeurs et senteurs variées, je finis par m’endormir. J’ignore le temps qui avait passé, ni quelle heure il devait être mais je me réveillai pris d’un besoin irrépressible d’uriner. Plusieurs jets atteignirent jusqu’à mes seins. Je fus encore une fois inondé, l’urine inondant jusqu’à ma tête et souillant encore une fois mes cheveux. Je me remémorais aussi ces jours passés dans la prison de Grossenhain, dans les oubliettes, moins confortables que cette cellule finalement assez spacieuse. Une expérience si riche en introspection, de courage aussi car la dépendance est forte, tellement les portes et les serrures sont inviolables. Un mélange de contraintes et de réalités. Soudain la grille s’ouvre de nouveau. Je comprends que je vais avoir d’autres compagnons ou compagnes d’infortune, ô combien ! Les attaches de mes pieds et de mon cou, furent enlevées, mes poignets libérés. Un gardien me fis m’agenouiller. Avec une autre aide, ils m’enfermèrent la tête et les mains libérées dans un lourd carcan. Je me retrouvais donc empêché de manger ou de boire. Le gardien ordonna à l’autre, plus libre de ses mouvements quoiqu’aussi enchaîné, de m’injecter dans la bouche l’urine mélangée à du sperme et les croûtons de pain qui flottaient dans l’écuelle remplie d’urine. Je demandai à mes compagnons de s’exécuter. Pris de pitié, l’un d’entre eux me glissa, son sexe turgescent dans la bouche. Je pus le sucer avec plaisir, recevant au fond de ma gorge plusieurs jets de sperme. C’est le matin, au travers des interstices de la porte je voyais que le soleil brillait. La grille s’ouvrit, une délicieuse elfe, du nom tout aussi délicieux de Liza, entra et me réveilla. Je sortis du cachot pour me doucher et me laver à l’eau froide. Oh ! quelle merveilleuse nuit j’ai passé dans cet endroit fabuleux. Bien que les fermetures pour des raisons de sécurité aient été libres, ce séjour d’une nuit entière, fut absolument fabuleux et restera inoubliable dans ma vie de soumission. Merci Vince, merci Liza ! Kaji, portant le numéro d'esclave 386-312-138
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Par : le 06/08/23
Le compte rendu d'une aventure récente faite à une Dame ayant déclenché bien des choses depuis quelques temps. Merci à elle. Alors hier et alors que je n'y croyais pas trop... Le plan dont je vous avais fait copie du début d'échange a bien eu lieu... Ne finissant pas trop tard ma journée de travail et ayant encore le courage de conduire jusqu'au domicile de ce monsieur. Le monsieur prévenu de mon état crasseux de ma journée et n'ayant rien fait pour une hygiène intime irréprochable. J'arrive donc chez ce monsieur au format imposant... Et direct il me dirige vers son sous sol, dont une partie est aménagée avec tapis fauteuil canapé et matelas... Un véritable lupanar... 😉 Hormis un salut à mon arrivée et quelques formules de politesse, notre échange fut très bref. Là il me dit de me mettre à poil et d'aller me mettre à 4 pattes sur le matelas. Je commence à enlever mes vêtements et lui disparaît. Je m'exécute et repense à un plan foireux d'un mytho voulant juste me voir a 4 pattes pour m'enculer... Ben là c'est presque ça... Je reste comme ça plusieurs minutes attendant le retour du gars. L'imaginaire travaille forcément. La lumière s'éteint et devient tamisée, très sombre... J'entends le mec arriver derrière moi me demandant s'il allait directement m'enculer sans préparation aucune... J'avoue que je frétille un peu d'excitation. Mon humeur salope est bien là et me savoir la tête basse et le cul en l'air attendant je ne sais quoi... Inutile de vous dire que je pensais très fort à vous et ce que vous avez déclenché en moi... Bref je suis là... Entendant le gars derrière moi restant la tête dans le matelas et commençant à remuer mon cul... "Tu m'as l'air d'une bonne petite salope toi" "Un bon cul qui va avec"... Pourquoi est ce que j'aime autant me faire traiter de salope? Et là je sens un liquide chaud qui tombe sur mon cul, le bas du dos, remontant jusqu'à mes épaules pour redescendre de nouveau du mon cul... Le gars sans prévenir me pisse dessus de partout. Mon corps réagi en sursautant, mais la sensation est juste incroyable surtout quand je s'en l'urine entre mes fesses pour couler sur mes couilles... J'essaie de vouloir dire "direct comme ça" mais je n'ai pas pu aller au bout de la phase entendant un "t'as gueule ferme là grosse pute" ou un truc du genre. Je suis surexcité... Le gars commence à bouger pour venir face a moi... Moi toujours la tête basse dans le matelas. Il me dit de me mettre sur les bras et de relever la tête... Et là il relance la machine et me pisse dur le visage... Et moi de fermer les yeux et de tourner un peu la.rete dans un sens et dans l'autre pour en avoir partout. Je me mets à genoux pour mieux recevoir sur le torse et là il s'avance et colle sa bite, d'un très beau format, sur ma bouche en continuant de pisser... Forcément j'ouvre et me voilà une bite en bouche faisant des va et vient tout en pissant... Ça coule de partout et j'adore ça. Mais même si le gars s'est préparé il ne peut uriner des heures. Une fois fini le jet d'urine, il pose ses mains sur ma tête et commence à me baiser la bouche... Avec les mots qui vont avec. Honnêtement je ne sais plus où je suis... L'urine encore chaude sur mon corps et un sexe qui commence à grossir sérieusement dans la bouche. Plus il grossit plus il va chercher loin et plus il y va fort...le moment n'est finalement pas très agréable. Mais la sensation d'être une grosse pute ayant perdu le contrôle de tout. Diantre que cela provoque de la jouissance et ne m'incite pas a stopper ou réfréner les ardeurs de ce mec. Heureusement le mouvement devient plus acceptable et il prend plaisir à me gifler le visage avec sa queue bien dur. J'adooore ! Bien sûr toujours les mots doux... Je ne sais au bout de combien de temps il finit par lâcher ma tête et me remet en position initiale...la tête basse et le cul relevé... Une nouvelle fois j'attends quelques minutes... Il revient "tu dis que tu aimes être a 4 pattes en prendre comme il faut espèce de pute... On va voir ça" Il jette à côté de moi quelques godes... Sur le coup je suis un peu déçu... Je veux une vraie bite bordel! Quelques bonnes claques sur mon cul, mes couilles tirées et triturées... Mais juste ce qu'il faut et je sens ses doigts pénétrer mon cul. De ces doigts il passe a un gode... La sensation est tout de suite plus agréable. Ne pouvant me voir je m'imagine en position avec ce mec jouant de ses jouets avec mon cul... Je commence à gémir... Comme une bonne petite salope... Je sens un gode plus gros... Plus long... Mon cul semble pas trop merdeux...et c'est tant mieux... Alors que je suis a onduler mon cul et de couiner un peu... Le jeu s'arrête et le gars s'en va de nouveau. La pour le coup je me sens terriblement frustré... Et limite a vouloir me barrer. Mais bon j'attends un peu et le gars revient pour directement me renfouner sa bite dans la bouche... Encore des mots crus... Je suis sa plus belle salope etc... Je me dis qu'il va me cracher son jus en bouche ou au visage... Ce que j'adore... Mais non. Il arrête. Je crois qu'il va encore me laisser quelques minutes... Et bien non... Il vient se positionner derrière moi, et vient frotter et taper sa bite contre mon cul et ma rondelle... Je commence à m'exciter tout seul à l'idée de me faire démonter... Enfin! Pas le temps de finir ma pensée... Je sens sa bite me pénétrer sans hésitation jusqu'à son pubis. Me voilà embroché sur sa queue et le plaisir est infini. Je voulais me faire démonter... C'est ce que je lui avais écrit... Et bien il me démonte... Les mains sur mes hanches a me ramener vers lui quand il vient vers moi... Il me défonce le cul et j'adooore ça... Je ne peux m'empêcher de gémir bruyamment a chaque mouvement, ma tête s'enfonçant toujours plus dans le matelas au drap humide. Il y va... Sa bite sortant par moment pour mieux me pénétrer de nouveau. Combien de temps je ne sais pas mais c'est jouissif. Je crois être au comble de mon plaisir quand il décide de me prendre les bras pour me les tenir en arrière me relevant du haut mais mon cul bien cambré... Alors là c'est le summum... Je m'entends crier de plaisir et lui m'insulter de chienne a bite. Je le sens se retirer volontairement et rapidement je sens la percussion de son éjaculation chaude sur mon anus brûlant... J'en serre mon cul de plaisir rien que de repenser a cette sensation. C'est exquis ! Je suis toujours à 4 pattes sur mes coudes, tremblant de plaisir... Il vient se mettre a genoux devant moi, me relève la tête et place sa bite devant mon nez pour commencer a essuyer le sperme encore sur sa queue. Je le prends en bouche pour tout nettoyer... "Bonne, très bonne salope..." Je déguste cette bite demi molle encore un instant... La sensation de mon cul encore plein. Ce moment est délicieux je l'avoue. Le gars retire sa bite, se relève et me dit que j'ai une douche au fond si je le veux et que je peux partir par la porte du sous sol... Lui remonte. Le retour fut hallucinant... Aujourd'hui et encore ce soir je suis tout excité de ce moment ...j'avais besoin de le partager avec vous. Mais j'ai encore plus envie de me faire démonter comme une salope. De votre faute tout ça...
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Par : le 31/07/23
A la fois brillant, entrepreneur, sportif mais prêt à tout pour fuir un quotidien insupportable, avec cette fragilité et ce refus de s’adapter aux normes sociales établies. Louis a longuement trouvé un refuge dans une épaisse carapace d’indifférence et d’adaptation. Il nomme si bien cette période « l’hibernation ».  Il voyait son paradoxe, cultivant l’excellence, recherchant l’intensité dans tous les sports extrêmes pour se sentir vivre tout en contrôlant admirablement ses émotions. C’est assez touchant la manière dont il évoque ce processus de questionnement existentiel, sa quête réelle de sens, lui qui vous parlera si bien de Yung.    Navigant sans protection, Emilie aime tant se réfugier dans son imaginaire, créative, passionnée. Elle a cette splendeur, cette sensibilité sans égard et la puissance de ses émotions. Elle vous observe lentement, scrutant le moindre détail. J’ai toujours apprécié sa douceur et son exigence.    Ils ont en commun ce désir absolu d’arrêter de penser et de détester l’ennui. Je dirai que je n’avais jamais vu une aussi faible tolérance à l’ennui avec ce besoin permanent de nouveauté, de stimulation et d’intensité.    Ils s’étaient rencontrés depuis quelques années sur un site d’adultère et avaient progressivement laissé leurs cerveaux fonctionner pour s’auto-entraîner dans un nouveau monde sans limites. L’alternance était leur jeux, perdre le contrôle, le reprendre, apprendre, s’abandonner, découvrir… soumis ou dominant à la recherche de l’extase sensorielle.    J’ai toujours trouvé formidable leur liberté. Cette harmonie face à la complexité, leur analyse pour personnaliser l’instant et ressentir nos émotions.    Ils semblaient totalement complices et fusionnels à la fois. Nous étions dans leur danse sans jamais pouvoir pénétrer dans leur espace. Ils parlaient peu, toutes leurs attitudes, mouvements, décisions, se jouaient dans une forme d’intuition, de connivence pour stimuler nos esprits et maximiser nos plaisirs. On voyait qu’ils prenaient aussi du plaisir à nous voir transcendé.    Nous avions fait leur connaissance alors que notre couple battait de l’aile. Ils offraient leur talent à dominer des couples. C’était une expérience spirituelle pour eux. Ils n’étaient pas un couple comme les autres, ni des dominants stéréotypés. Ils avaient leurs règles du jeux, celles de la spontanéité et de l’absence de scénarios établis. Louis nous avait expliqué qu’il me transporterait vers un chemin qu’il ne connaît pas encore et qu’il essayerait de faire participer ma femme.   Je recherchais à être dominé mais je ne me sentais pas assez en confiance pour y aller seul. J’avais réussi à convaincre ma femme de m’accompagner. Nous avions répondu a quelques questions sur nos pratiques et tabous.    Nous nous retrouvions la première fois dans une cabane améliorée, poutre en bois, atmosphère de chalet. Cet espace était au milieu de la nature. Ils aimaient nous emmener dans ce lieu en forêt que nous réservions pour une journée.    Ma femme était réticente et j’étais gêné de voir son attitude. Elle était pourtant prête à jouer un peu. Émile allait la guider pour d’abord me dominer légèrement puis s’abandonner.    Nous nous sommes retrouvés nus et ils nous ont mouillé et huilé le corps. L’idée était qu’on se regarde avec nos corps brillants.  Nos mains furent attachées en l’air, nous étions tous les 2 proches pour se toucher par nos corps, légèrement suspendus. Je découvris alors les coups d’un martinet léger, puis d’un martinet plus lourd. C’est Louis qui donnait les coups. Je me retrouvais à crier et à mettre ma tête entre les seins de ma femme. Ce moment était d’extase, les coups étaient de plus en plus fermes et je découvrais de nouvelles sensations.    Émilie détacha ma femme et me banda les yeux. Elle accompagna ma femme à parcourir mon corps avec ses mains puis l’invita à nouer fermement mon sexe avec une cordelette. Il y avait beaucoup de bruit dans la pièce. Nous ne devions pas parler. J’entendais des chaînes, des bruits métalliques … d’un coup, une goutte brûlante de cire me tomba sur le corps. Émilie montrait à ma femme comment utiliser la bougie et dessiner sur mon corps.  Cette sensation me coupait le souffle, entre plaisir et supplice.  Ma femme respirait intensément. Je sentais son plaisir et j’étais excité à cette idée.  Voyant mon sexe en érection, Emilie lui demanda de verser des gouttes de la bougie sur mon pubis. C’est Louis qui la stoppa voyant que nous allions très loin et que j’étais presque en apnée depuis 30 s. Je crois que c’est le plus grand souvenir de la soirée, un souvenir d’une première fois que j’ai encore à l’esprit.    Ils m’enlevèrent le masque et mon corps était marqué de ces gouttes noires et rouges. Je fus détaché et ils m’ont demandé de m’allonger sur le dos. J’ai mis du temps à reprendre mes esprits.    Louis pris un couteau aiguisé et m’enleva la bougie sur mon corps. Mon sexe lui, a été frappé par un petit martinet léger. J’avais vraiment l’impression de m’abandonner et de ne plus savoir où je suis.    Ma femme était trempée et voyant son excitation Émilie lui demanda de venir s’assoir sur mon visage pour que je la déguste longuement.   Pendant ce temps, Louis m’attachait avec les cordes de shibari l’intégralité de mes membres. Je n’avais que ma langue pour s’occuper de ma femme.    Je revois encore Camille et Emilie se regarder lorsque ma femme eu un orgasme sur mon visage.    Emilie demande alors à ma femme de se mettre accroupi et de m’uriner dessous. Nous avions dit que nous ne voulions pas de jeux uro. Cette idée était totalement tabou dans nos esprits. Ma femme semblait avoir perdu totalement le contrôle. Je vois sa résistance et une forme de complexe à cette idée et j’adore. Émilie agit plus fermement sur ma femme en lui mettant des pinces sur les seins et en lui exigeant d’uriner. Ma femme subit des coups de badine sur les fesses. Émilie n’arrêtera pas sans cette urine chaude sur mon corps.  De petites gouttes puis un jet chaud me parcourent le visage. Je dois ouvrir la bouche et remplir ma bouche. Je ne sais plus quelle quantité j’ai avalé mais j’ai senti cette humiliation et ce plaisir si intense d’être entravé et trempé.    Mon sexe fut détaché par ma femme et les principaux noeuds sur mon corps par Camille. Ils nous laissèrent enlacés et allongés tous les 2 dans cette humidité en quittant la pièce. Nous avions perdu la notion du temps. Je découvris que nous avions été dans cet espace sans limites pendant plus 2 h.                 
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Par : le 18/10/22
Madame Wolf lui dit : — Si je peux vous donner un conseil, cher ami, c'est de garder Summer. Sans elle, cette fille fait n'importe quoi. Non mais, de quoi elle se mêle ? Je lui dis : — Dites, Madame... — Oui ? Tout le monde me regarde, je rougis. Et Sara, sa petite chérie, me dit : — Si tu laissais parler les grandes personnes ? Comme sur le toit du building ! Oh, celle-là, je vais la... et puis non, je m'en fous. Je murmure : — Sale garce ! Je me lève et je me dirige vers la porte. J'en ai marre ! Monsieur Sam dit : — Summer, intervient ! Aussitôt, elle vient vers moi, pour me prendre fermement par l'aisselle et l'épaule, comme elle a l'habitude de le faire. Elle me pousse contre un mur, puis elle approche son visage à deux centimètres du mien en disant : — Arrête de faire la gamine, sinon je te corrige devant tout le monde ! Elle a parlé assez bas heureusement. Je réponds : — Mais, je... je suis perdue... Je ne comprends même pas ce qu'on me veut. Est-ce que tout ça est vrai ? Je ne sais pas si je dois accepter. Qu'est-ce que je dois faire ? — Tu acceptes et tu demandes deux choses, d'abord moi, et ensuite de continuer à habiter dans la maison de Malibu. — Mais... Elle me serre méchamment le bras en disant : — Non, Ashley, pas de mais. La seule chose que tu as le droit de dire c'est "Oui Summer". Vas-y. — Oui... Summer... Un "mais" me brûle la langue, mais... je me tais et je me frotte le bras. Summer ajoute : — Va t'excuser. Elle m'amène devant le groupe qui discute. On nous regarde et je dis : — Excusez-moi, mais... tout ça est tellement inattendu et... Summer me dit : — Excuse-toi poliment auprès de Sara. C'est la deuxième fois que je m'excuserai ! Je lui dis : — Excusez-moi, Mademoiselle, je suis un peu perdue et... Elle a un petit geste désinvolte comme pour chasser un insecte. Monsieur Sam s'adresse au Président : — Vous voyez, Summer est indispensable. — D'accord, on l'engage. Et là, je surprends un échange de regard entre Monsieur Sam et Summer... Je crois qu'ils savent très bien ce qu'ils font : Summer, Monsieur Sam, Madame Wolf, Sara... Ils veulent que le Président engage Summer... pour quelle raison ? Je ne sais pas, mais, moi, ça m'arrange. Je dois avouer que même quand Summer m'oblige à faire quelque chose, ça me plaît. Je ne parle pas du saut à l'élastique ! Ils parlent encore de choses et d'autres, moi je colle Summer, comme à mon habitude. Le Président me dit à nouveau : — Alors Ashley, on se marie ? — Oui, avec plaisir... mais il y a deux choses que je voudrais : Summer et pouvoir continuer à aller dans la maison de Malibu. — Summer, je viens de l'engager, quant à la maison... Il se tourne vers Sam qui lui dit : — C'est la maison de Leyssens, on y a été ensemble. Il est en Thaïlande. — Ah oui, je m'arrangerai avec lui. C'est d'accord pour que tu habites là quand tu n'es pas à la Maison-Blanche. Je me lève pour aller l'embrasser. Monsieur Sam me dit : — Il y a quelques documents que tu devrais signer. C'est l'homme grisonnant qui me les apporte. Je les signe sans les lire. Je fais confiance à Monsieur Sam. Depuis que j'ai assisté à la punition des filles, j'ai un peu le feu au cul,  comme on dit, dans ma campagne. Je voudrais Summer ou un mec costaud et hétéro (non, pas le Président). Justement, il me dit : — On va aller dans la chambre, il y a une petite surprise pour toi. Quoi ? Un yacht, un brillant ? On monte et dans la chambre, il y a Tex, mon beau Texan. On s'embrasse et je dis au Président : — Juste ce qu'il me fallait après avoir vu les filles fouettées. John rit et nous dit : — Je vous laisse, j'ai du travail. Je viendrai vous chercher pour le petit déjeuner, demain matin. Là, je veux quand même une explication. Je lui demande : — John, voulez-vous bien venir trois minutes sur la terrasse? — Oui, bien sûr. On sort et je lui dis : — S'il vous plaît, expliquez-moi. — J'aime les femmes volages, surtout s'il s'agit de ma future femme. Je suis excité à l'idée que ma femme se fait trousser dans la chambre à côté de la mienne. Tu comprends ? — Oui. Non, mais ça ne fait rien, tant que je peux m'envoyer en l'air avec Tex. Il m'embrasse... sur la joue et il sort de la chambre en disant : — Bonne nuit, les amoureux J'enlève ma robe... Tex me dit : — C'est dingue, tu vas devenir la première dame. — Il paraît, mais je n'ai pas envie que tu me baises comme si j'étais la future femme du Président. Il comprend ce que je veux dire. Il me donne une bonne claque sur les fesses en disant : — À poil, petite salope ! Ouiii, c'est ça... J'enlève ma robe... On s'enlace, on s'embrasse, on se renifle, on se lèche. Il me dit : — Mets-toi à 4 pattes, je vais te monter. — Oh ouiii !  Après avoir baisé et joui, on s'endort dans les bras l'un de l'autre... *** Le lendemain, je me réveille et dans la pénombre, je vois le Président assis dans un fauteuil. Il me sourit et dit : — Bonjour Ashley. Ton Texan t'a bien baisée ? — Comme une reine ou plutôt comme une pute. Il rit. Je fais rire le Président des États-Unis... Tex se réveille et se lève. Il salue le Président, la bite à l'air, puis il va ouvrir les volets. Je me lève, on est tous les deux nus. J'embrasse Tex en disant : — Bonjour mon chéri. Oui, j'ai compris que c'était ce qu'il voulait, le Président ! On s'enlace... mais sans s'embrasser, ce sera après le lavage des dents. Le Président semble fasciné par le spectacle de sa future femme nue dans les bras d'un autre homme. Summer lui dirait "ferme la bouche, on va déjeuner". Je vais lui faire comprendre : j'enfile ma robe et je lui dis : — J'ai faim... — Oui, moi aussi, on descend... Tex me prend par la taille, tandis que le Président marche derrière nous. Franchement, cette situation est tellement bizarre que j'ai encore un doute. Qu'il soit le vrai, c'est sûr. Personne ne ferait une blague aussi énorme... C'est plutôt que je doute qu'il m'épouse... Bah, j'aurai pris du bon temps ! Dès qu'on arrive dans la salle du petit déjeuner, des hommes viennent à notre rencontre. Certainement des gardes du corps. Ils sont suivis par une jolie femme dans la trentaine. Elle nous dit : — Bonjour Monsieur le Président, bonjour Mademoiselle. Le Président me dit : — Voici Madame Conway, elle sera... ta secrétaire. On se serre la main. Qu'est-ce que je vais faire avec une secrétaire, moi ? Elle est jolie, c'est une brune aux yeux clairs, mais bon, j'ai ce qu'il faut à la maison. On va s'asseoir à une table. Des serveuses apportent du café, des crêpes et pour moi, des oeufs aux lards avec des patates. Ils sont vachement bien renseignés sur mes goûts. Monsieur Sam a dû leur en parler. Le Président me dit : — Madame Conway te mettra au courant. Puis à elle : — Comme je vous l'ai dit, je vais épouser Mademoiselle Stirland. — Toutes mes félicitations, Monsieur le Président. Elle est très belle. Peut-être vêtue d'une façon un peu révélatrice pour une première dame... On rit... C'est vrai, je suis nue sous ma robe transparente de sex shop.  Il répond : — Oui, c'est exceptionnel. Je dois y aller. Termine ton petit déjeuner, Ashley. Madame Conway te déposera où tu veux. Il m'embrasse sur la joue et s'en va, suivi de ses gardes du corps. Je mange mes oeufs et, entre deux bouchées, je dis à la femme : — Vous savez, je continue à me demander pourquoi le Président m'a choisie. — Oui, je comprends que vous soyez un peu perdue. Il a besoin d'une très jolie épouse pour faire taire les rumeurs sur ses... moeurs. Et aussi pour ses voyages à l'étranger. Paris, Tokyo... Je vous expliquerai tout ça. Fin de la troisième partie. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour le super dessin. Nos 7 livres illustrés sont ici :  https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Bruce Morgan et Mia vous proposent «Ashley et les esclaves » 319 pages, 81 dessins + « Les vacances de Mia » 35 pages, 14 dessins de Bruce. Vous allez passer de super moments pour 10 € via paypal à : leslivresdemia@gmail.com Vous les recevrez directement sur votre mail.
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Par : le 02/09/22
Abus des sens. Envie d’abuser … Tumulte de mes pulsions… plus envie de gérer… Mettre en place cette envie de dominer… Attendre… Vivre l’instant présent… Jouir du mal absolu… Peut-être un peu trop bu… ----------------------------------------------------------------------------------------- Un vent d'amour s'est levé ... L'orage s'éclate! La tempête vit. La nuit est belle... ----------------------------------------------------------------------------------------- Petite nuit une fois l’heureux orage passé. La tête dans un bien être, Je vaque à mes occupations, c’est la rentrée… Peu d’occasions de me poser aujourd'hui, mais qu’importe, les lendemains de mes tumultueuses pulsions sont , pour Moi, source de légèreté d’esprit. Je repense à là où la foudre est tombée avec intensité… Instant violent et ardent… En tout point jouissif… Aboutissement d’une belle journée… C’est la rentrée… Heureuse d’être et d’avoir, Je veux jouir avec fracas… Jouir à travers l’un des Miens… Prendre ce qui m’appartient et l’emmener sans mégarde au cœur d’un somptueux orage… Là où mon amour fait rage. Oui ça gronde, il fait sombre et rude … Les impacts foudroyants déchaînent mes sens… Juste le temps d’enfiler ma tenue de pluie et d'accrocher mes bas… Ô fabuleux orage! Que J’aime tout emporter sur mon passage. Bien amarrer Mon tendre soumis et l’introduire sous ce temps qui claque. Le faire hurler en ordonnant le silence. Lui faire goûter à ma rage d’aimer et prendre tout ce qu’il a à me donner. Perdu au milieu d’un monde nouveau , là, à sa place, dans Mon Antre, découvrant la force d’une tempête d'amour aux milles éclats… Oui, ce n’est que de l’amour. Un tumultueux et ô combien diabolique amour… Marquant à souhait, corps et âme. Aux frontières d'insupportables douleurs , Je prends mon dû de jouissance... Je puise à outrance... J'abuse en toute conscience à grands Coups de tonnerre et éclairs... Jusqu'à ce que le vent s'apaise... Que l'amour tournoyant retrouve sa sérénité... Une pluie dorée calme les dernières bourrasques... Les griffes se rétractent... Je desserre les liens de ma pute et laisse éclater ses sanglots en pluie fine...
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Par : le 17/01/22
200 C'est le nombre de pinces à linge que j' ai accrochées sur Mon soumis . Rangées serrées tout autour du dos, des fesses et l' entre cuisses... Retirées plus ou moins lentement, brutalement, délicatement parfois par poignée. D'autres judicieusement laissées... Virées à la cravache, à la main ou au pied. Il faut bien les enlever... Un long moment fun et intense et des traces... Humm! Ces traces... Une multitude de petites morsures qui sillonnent son corps... C'est aussi le plaisir de les mettre. Une à une les placer soigneusement... Chercher ce filon de peau qui accueillera mes pinces pour dessiner sur son dos... C'est le croquer à petit feu à travers mes belles qui se fixent à ma volonté... Je veux qu'elles tiennent, qu'elles tendent, qu'elles soient le prolongement de mes phalanges... Des centaines de doigts pressent sa chaire pour moi. Pour me procurer ce plaisir que je sens monter en moi... Déjà une centaine solidement ancrées en rangs serrés... Une autre tourbillonne à pleine dents sur son cul et glisse sur ses cuisses... Les rebelles refusant de prendre part à ma perversité voleront loin de moi. Je refuse que l' on vienne troubler mon plaisir. Je veux les 200 sur lui... 150 Mon plaisir se précise... Mes envies se précipitent... 180 Mon excitation m' enivre... Mon corps s'agite... 190 Je vibre... Mon pouls s'accélère... J'y suis presque... CLIC... CLAC.. 2 se détachent... Non! Reviens par là! Plus que 5. Plus de place... Sa peau est si tendue, Il commence à gémir... Hum! Attends un peu que je les retire... Oh oui tu vas gémir.... Plus que deux. Vache! Je suis en train de jouir. Non! Pas encore! Vite une place... Là, sur la peau du cou, une... La dernière sur l' aisselle. Humm! Oui 200! Les voilà mes belles carnivores qui te sucent lentement... Humm! que tu es beau ma bête à pinces... Que tu m' excites ainsi.... Tant d'attente pour arriver à tout placer , tant de plaisir à venir à tout enlever. Tant de jouissance déjà présente qu'une pulsion me vient: Comme on sabrerait de champagne une victoire bien méritée, J' arrose Ma chose de son champagne préféré avant d'ouvrir les festivités... CLAC!
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Par : le 03/09/21
Les premiers maniaques du fouet arrivent. L’un deux est très différent, d’abord parce qu’il est beau, ensuite parce que ses vêtements sont classes : pantalon noir, chemise blanche à manches courtes, lunette de soleil Ray Ban. Il est le seul à avoir deux gardes du corps, des Asiatiques costauds qui ont un revolver dans un holster sous le bras. Nos gardes se précipitent en faisant de profonds saluts. L’homme élégant leur dit : — Je voudrais voir les filles sur un rang. Il parle bas, comme les gens qu’on écoute tellement ils sont importants ou parce qu’ils disent des choses essentielles. Un garde gueule : — Sur un rang, immédiatement ! Il manque "Schnell, police allemande ! " Après nous avoir examinées l’une après l’autre, l’homme dit à une blonde : — Toi, viens à côté de moi. Il dit la même chose à une brune, puis à Julien et moi. Nous allons nous mettre près de lui. Qu’est-ce qui va nous arriver ?? Il parle un peu avec "nos gardes", puis s’en va en nous faisant signe de le suivre. Un peu plus loin, il y a son moyen de transport et ce n’est pas une charrette tirée par une fille, mais une 4X4. Un garde conduit, l'autre s'assied à côté de lui. On est quatre à l’arrière, ça fait beaucoup, même pour une grande voiture. Je rassemble tout mon courage pour lui demander : — Je peux venir sur vos genoux, Maître ? Je l’ai cueilli, là. Ou je prends une gifle ou... Il rigole et répond : — Tu es gonflée toi ! Ça me plaît, mais tu es un peu trop sale... attends. Il déplie le supplément du Financial Times sur ses genoux. YES !! Je grimpe dessus... Je sens qu’il va tomber amoureux, on va se marier et Julien sera notre témoin. Il pose la main sur ma cuisse et là, j’ose à nouveau : je lui dis : — Pardon, Maître, mais je voudrais vous prévenir... — De quoi, petite ? — C’est Monsieur de Préville qui nous a punis et... — Je sais, mais ne t’en fais pas pour lui, il a des problèmes. Oh, comme ça fait plaisir ! D’accord, ce n’est pas très chrétien, mais il nous a fait payer très cher une simple tentative de larcin. Nous croisons des charrettes tirées par des filles. Quand ce n’est plus moi qui suis attelée, je trouve ça assez excitant à regarder... On arrive en bordure d’une prairie rase. La voiture s’arrête et on descend tous. L’homme nous montre un tas de vêtements en disant : — Habillez-vous. On sort des jeans, des tee-shirts et des baskets du tas. Tout est en taille 38, ça va aussi bien à Julien qu’aux filles et à moi. L’homme nous dit : — Je m’appelle Monsieur King... Ce nom me plaît, je voudrais être sa Queen ! Il poursuit : — Nous allons sur une petite île privée au large de l’Île de Henan. Le travail que vous aurez sera beaucoup plus facile, mais vous devrez obéir. D’accord ? On répond : — Oui Monsieur King. Il me regarde en ajoutant : — Ça vaut surtout pour toi, Samia. Celle qui essaie de s’évader retournera tirer des charrettes... Si vous faites bien ce qu’on vous demande, vous pourrez avoir un travail de plus en plus intéressant. Super !! On entend un léger vrombissement... C’est un hélicoptère qui vient se poser dans le champ. On monte tous... Ce sera mon premier voyage en hélicoptère. Les gardes ne montent pas avec nous. Je touche la main de Monsieur King. Il rit en secouant la tête, puis change d’avis et dit : — Oui, viens. Je me changerai. Je sais que je ne suis pas très propre et que je sens la respiration, mais j’ai trop envie d’être à nouveau sur ses genoux. Julien et les deux filles se mettent sur le deuxième siège... Vous voyez bien qu’il n’y a pas assez de place. Monsieur King me dit : — Tu sens la transpiration, mais... ce n’est pas désagréable. Je mets mes bras autour de son cou et je l’embrasse sur la bouche. C’est un vrai baiser. Quand nos lèvres se séparent, il dit pensivement : — Si on m’avait dit ce matin que je trouverais agréable d’embrasser une fille qui ne se lave pas les dents... Je réponds : — Je les ai nettoyées avec de la cendre... C’est vrai en plus, je suis maniaque des dents propres. Je me pelotonne contre lui, comme un bébé perdu qui retrouve sa mère. Le voyage ne dure pas longtemps, hélas. On se pose sur une petite piste d’atterrissage, proche de la mer. Autour de nous, la végétation est tropicale. Au bord de la plage, il y a des palmiers et la mer est d’un bleu profond, une vraie carte postale. Monsieur King nous demande si on a faim, nous répondons en cœur : — Oh oui, Monsieur King ! On marche le long d’un petit sentier bordé de fleurs, ça sent bon... On arrive devant une série d’établissements, disséminés le long d’une plage. Il y a un hôtel, des restaurants, des terrasses... Le style devrait être chinois, mais ça ressemble plus à l’architecture japonaise. Il y a beaucoup de gens – hommes et femmes – habillés, en maillots et nus.     Tout le monde salue Monsieur King. Un gros homme lui demande : — De la chair fraîche ? — Oui et de première qualité, comme tu peux voir. Cool... Enfin, à part qu’on dirait ça pour de la vraie viande. Je remarque des jolies filles vêtues d’une robe comme en ont les prostituées à Hong Kong. Enfin, c’est comme ça que je les imagine. Une robe une pièce en soie, décorée de fleurs et de dragons. Elles descendent jusqu’à la cheville, mais le côté est fendu jusqu’à la hanche. Il y a un petit décolleté rond et pas de manches. Je remarque ces filles parce qu’elles ont toutes un collier comme nous. On va s’asseoir à une terrasse. Monsieur King nous dit : — Prenez un sandwich. Je lui demande : — Et un dessert, on peut, Monsieur King ? Il rit, puis répond : — D’accord... Ensuite, il ajoute : — Tiens, tu n’es plus sur mes genoux ? Ça, il ne doit pas me le dire deux fois : je vais aussitôt m’asseoir sur lui et je mets mes bras autour de son cou, en disant : — J’adore être sur vos genoux, même si j’aimerais être plus fraîche.   Après avoir réfléchi, il répond : — C’est très curieux, mais j’aime ton odeur. Ça, c’est comme un coulis de framboise qui coule dans mes oreilles... non, c’est comme du chocolat liquide et de la crème fraîche qui coulerait dans ma gorge. Une fille avec un collier, habillée en serveuse, vient prendre notre commande tout en faisant de nombreuses courbettes à Monsieur King. Il lui demande : — Tu te plais ici, Éva ? — Oui, beaucoup, Monsieur King. Je commande un club sandwich (petit pain, poulet, salade, tomates) et une glace vanille avec de la sauce caramel et de la crème fraîche. Il commande une bouteille de vin... Monsieur King mange un sandwich, lui aussi. Nous, on dévore ce qu’on a demandé. Il nous dit : — Je vais y aller... Vous pouvez rester ici, on viendra vous chercher. Si quelqu’un vient vous demander quelque chose, dites qu’il doit s’adresser au bureau des filles. Quand il se lève, je lui dis : — On vous est infiniment reconnaissantes de nous avoir sortis de cet enfer, Monsieur King. Je suis prête à m’asseoir sur vos genoux quand vous voulez... Il me sourit, puis répond : — Viens, j’ai quelque chose à te dire. Il va me demander ma main ! La réponse est OUI ! On fait quelques pas et il me dit : — Mailla travaille pour moi, elle va s’occuper de vous. N’oublie pas une chose, c’est grâce à elle que tu es ici. Oh, putain ! Mailla, une traîtresse ? Voyant ma tête changer, il ajoute : — C’est elle qui m’a dit de venir vous voir. Tu dois lui obéir, OK ? — Oui Monsieur King... Je vous reverrai ? — Dans deux jours, on passera un moment ensemble... — Je serai toute à vous. Il m’embrasse sur la bouche et s’en va. Je retourne tristement près des autres. Ils me demandent tous les trois ce qui s’est passé. Je leur explique : — C’est grâce à Mailla qu’on est ici. La blonde dit : — Elle nous fait un vrai cadeau. Oui, sauf que j’espérais qu’elle contacte le Russe et qu’on soit libérés pour de vrai. Quand je pense à tout ce que je lui ai dit, je n’ai jamais imaginé qu’elle soit une taupe. Et quand on parle du loup, on voit sa queue – ou sa chatte, dans ce cas-ci. Je la vois apparaître. Elle n’a pas une robe en soie, mais un pantalon de cuir et un tee-shirt "Led Zeppelin" ! Julien se lève quand elle s’approche de nous, les filles et moi aussi. Julien va prendre une chaise vide et la met à notre table en disant : — Si vous voulez vous asseoir, Maîtresse. Quel lèche-cul, celui-là ! Au propre et au figuré. Elle répond : — Merci, vous pouvez aussi vous asseoir... Alors contente d’être ici, les filles ? Les filles, y compris Julien, répondent : — Oui, merci Maîtresse. Elle se tourne vers moi pour me demander : — Et toi, tu ne dis rien, les charrettes te manquent ? — Non, Maîtresse, c’est la Mailla d’avant qui me manque... Je n’ai pas arrêté de penser à elle. Ça la fait rire. Garce ! La serveuse vient lui demander ce qu’elle veut boire, elle répond : — Une margarita. Oh, j’adore ça ! C’est de la tequila, du curaçao et du jus de citron sur de la glace pilée. Mailla nous dit : — Vous en voulez également ? — Oui merci Maîtresse — Et toi, tu acceptes mes cadeaux, Samia ? — Oui Maîtresse. — Bon, je t’explique : on savait que tu préparais quelque chose, genre t’évader avec l’aide d’un maffieux russe. Je dirige la sécurité et j’ai choisi la méthode douce, tu n’aurais pas aimé l’autre. — Si vous pouviez me laisser un tout petit peu oublier "ma" Mailla Elle lève les yeux au ciel... Les margaritas arrivent. Ne voulant pas me mettre à dos le chef de la sécurité, j’ajoute : — C’est que je suis tellement... déçue de mon manque de "feeling". Pour éviter de me mettre à pleurer, je bois une gorgée de margarita. Quand on a fini, Mailla nous dit : — Venez, on va vous habiller et vous dire les règles... Il va de soi que celle qui ne les suit pas retournera aux charrettes. On quitte le bord de mer pour aller dans une maison japonaise typique. Beaucoup de gens la saluent et les filles en robe de soie s’inclinent à 45°. On va dans une grande pièce où il y a plusieurs robes suspendues à des cintres. Mailla nous permet de choisir. Je prends une robe bleue avec un dragon rouge. Julien, une robe rouge avec des chrysanthèmes jaunes. Il sera donc en femme. Mailla continue ses explications : — Voilà comme ça se passe. De 10 h à 23 h, vous devez être dans le village, à la plage, à une terrasse, au restaurant... partout où les clients peuvent vous voir. Une des deux filles lève la main comme à l’école, Mailla lui dit : — Oui ? — On ne doit pas payer ? — Non, tout est gratuit. Et vous pouvez choisir où dormir. Bon, je dois y aller. Si vous avez un problème revenez ici. Soyez sages, les filles. On sort de là, assez désorientées... Les filles proposent d’aller à la plage. Je leur réponds : — On vous rejoint... Je voudrais d’abord visiter. Julien me demande : — Je peux venir avec toi, Samia ? — Évidemment... Et c’est là que la prédiction des lignes de ma main se réalise. Mailla vient vers nous. Elle a l’air de râler un peu, pourtant j’ai rien fait ! Elle me dit : — Tu vois cet hôtel ? Va sur la terrasse, quelqu’un t’attend. Elle repart... Bon, ce sera mon premier client, ici. On y va tous les deux, j’aime bien avoir Julien sous la main... On arrive à l’hôtel et... Oh ! Monsieur King est installé à une table avec trois hommes et une femme. Il fait les présentations : — Voilà Samia et son mari. Puis, à moi : — Nous sommes intéressés par ce projet d’hôtel et de parc d’attractions dans l’Atlas, ça te dirait qu’on fasse ça ensemble ? Je rêve ?? Est-ce que c'est pour de vrai ou alors est ce que le Prince charmant va se transformer en citrouille et moi me réveiller attachée à une charette ? Non ! Je réponds : — Cette région, a un énorme potentiel. Les gens viendront voir la cascade, les villages Berbères et si en plus, il y a un parc d'attractions, ça va être la folie. Monsieur King me dit : — Nous avons vu un film avec les singes. Est ce que tu pourrais refaire ça, disons, une ou deux fois par semaine ? Et là, j'ai une idée. Je réponds : — Bien sûr, je me suis super bien entendu avec les singes... Et je pense à une chose, il faudra que Julien aussi se fasse prendre par les singes. Ils sont surpris par ma proposition et se regardent, puis Monsieur King me dit : — Super idée Samia ! Tu vas être responsable des singes et de pas mal d'autres choses. Je me lève, je vais m'asseoir sur ses genoux et je l'embrasse sur la bouche pour le remercier. C’était écrit dans les lignes de ma main. Alors, en route vers de nouvelles aventures... Fin ? Peut être pas, je continuerai à écrire de là bas... Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …  
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Par : le 13/08/21
Le vin et le chocolat, ça m’a fait du bien, un rayon de soleil dans une nuit noire. Il n’y a qu’une chose de positive dans cette affreuse punition que nous inflige mon beau père... c’est Ailla. Elle est belle et intelligente et elle sent bon. Je sais bien qu'elle ne doit pas être facile à vivre, mais c’est elle, le vrai rayon de soleil. Et puis, j’ai un plan. Pas un plan foireux comme le casse, un plan qui va nous sauver. Sainte Sara veille sur nous, pauvres Roms rejetés de partout et... — Samia ! — Oui, la Voix, mais j’ai pas le moral... Bon, j’ai Ailla, le vin, le chocolat... Un peu avant 22 h, les gens quittent le bar. On se rhabille et on s’en va aussi. Ailla sait où sont nos chambres... enfin, nos chambres, c’est une façon de parler. On dort dans le dortoir n° 8. Dans cette très grande pièce, il y a des rangées de minces matelas posés directement sur le sol et dans un coin, un tas de couvertures crasseuses. La salle de bains et les toilettes consistent en quelques seaux. Bonjour l’hygiène et les odeurs. Il y a heureusement une grande fenêtre ouverte, je vois même la lune... Ailla sait aussi qui est le chef de cette chambre. Madame Lóng dirige tout le groupe, mais chaque chambre a une dure à cuire qui fait la loi. Ailla est un génie, je crois l’avoir déjà dit. Elle va s’incliner devant une grosse Chinoise. Elle lui parle et la fait rire ! Cette fille est... — SAMIA ! — Oui, d’accord la Voix. Je disais qu’elle la fait rire et la Chinoise lui caresse même la hanche et les fesses. Elle ne va quand même pas passer la nuit là ? Non, heureusement, elle revient vers nous. Intriguée, je lui demande : — Et alors ? — Je te dirai ça demain, je suis crevée. Elle se couche sur un des matelas en ajoutant : — Va chercher des couvertures. — Il n’en reste que deux, les filles ne vont pas me laisser les prendre. — VAS-Y ! — Oui... On me donne quand même les deux dernières couvertures, mais c’est peu pour trois personnes. En me couchant, je demande à Ailla : — Je peux me mettre contre toi ? — Oouiii.... Maintenant, tais-toi. Julien se couche lui aussi derrière moi et il me colle. Je le laisse faire, pour une fois. *** Au milieu de la nuit, on est réveillés par la lumière du plafonnier et une voix qui crie un truc en chinois. En fait, ce n’est pas le milieu de la nuit, mais l’aube. Il doit être horriblement tôt. Je vais vite faire la file pour pouvoir m’asseoir sur un des seaux. C’est pressé. Ailla me dit : — Laisse tomber, on peut aller ailleurs. Comment elle sait ça ? Cette fille est... non, j’ai rien dit ! On sort dans une cour qui donne sur un champ, il y a plusieurs tranchées et des filles qui se soulagent, pantalons baissés. Et le papier pour s’essuyer ? Et la douche ? De là, on va manger du riz collant avec un peu de légumes et des bananes mi-jaunes, mi-noires. Ensuite, on doit toutes se mettre en rang dans une autre cour. Là, tous ceux qui ne sont pas en orange viennent faire leur marché. D’abord, les gens en civil. Un homme fait signe à Julien et il part avec lui.     Puis un couple vient nous observer. L’homme dit : — Elles sont spectaculaires ! La femme répond : — Oui, mais elles puent, il faudrait les laver et leur donner un uniforme propre. La faute à qui si on pue ? Le même homme dit à un des gardes qui nous surveille : — On prend ces deux-là. Le garde s’incline en disant : — Très bon choix, Monsieur. On suit le couple jusqu’à une salle de douche. La femme nous dit : — Lavez-vous soigneusement et vite ! Ailla et moi, on se savonne mutuellement. J’aimerais me frotter à elle, mais c’est impossible avec cette femme qui nous surveille. Quand on est lavées et rincées, elle nous donne une serviette propre pour nous essuyer. Ensuite, l’homme revient avec deux uniformes propres. On suit ce couple jusqu’à l’entrée de l’usine, la vraie, la grande. Derrière un comptoir, il y a deux filles en tailleur noir, sûrement des Thaïs, à nouveau. L’homme leur dit : — C’est elles qui vont rester à l’entrée pour accueillir les gens et prendre les bagages. Elles doivent vous obéir, sinon, il faut les punir. Charmant ! Moi qui pensais qu’on allait devoir coudre dans un atelier... Les filles parlent entre elles, puis l’une d’elles nous annonce : — Je vais montrer à ma collègue comment vous punir. Penchez-vous en avant. Je m’exclame : — Mais on n’a rien fait ! — Obéissez ! Bon, on se penche, la fille prend une canne en bambou et elle me donne cinq coups sur les fesses, heureusement sans me faire baisser mon pantalon. Ça fait quand même vraiment mal, ce bambou, je crie à chaque coup. L’autre fille s’exerce sur les fesses de Ailla qui reste stoïque et ne crie pas, évidemment... La fille qui m’a frappée me dit : — Quand des visiteurs arrivent en voiture, vous devez vite leur ouvrir la portière, les saluer et prendre leurs bagages. Chaque fois que vous ne le ferez pas bien, ce sera cinq coups sur les fesses. Compris ? Ailla et moi on répond : — Oui Mademoiselle. On passe l’heure suivante à courir quand il y a une voiture et à s’incliner devant ceux qui en sortent. On se prend chacune encore 5 coups de canne sur les fesses. Pourquoi ? La fille qui ne savait pas comment frapper nous le dit : — Ça, c’est sans raison. À part que c’est amusant. N’est-ce pas ? — Oui Mademoiselle Grrrrr ! Et puis... une grosse voiture arrive, je cours ouvrir la portière côté passager et il en sort... Satan ! Non, pire que ça, mon beau père ! Il est accompagné d’une jolie brune sexy. Il me demande : — Qu’est-ce que tu fais là, toi ? Tu devrais être dans un atelier aux ordres des ouvrières. Je vais m’en occuper. Ma Voix intérieure a beau me hurler "Ta gueule !", je réplique : — Je suis ici parce qu’un psychopathe m’y a envoyée. Il sourit... Aïe, aïe, aïe... Cette expression me rappelle de très mauvais souvenirs, qu’est-ce que j’ai fait ! Il me répond : — Tu n’as pas envie d’une semaine de vacances avec ton mari ? À la campagne, par exemple. Ça te plairait ? Cette fois-ci, je me tais. Sa copine lui demande : — C’est quoi cette folle, darling ? Darling (!!) répond : — Son mari et elle travaillent pour moi. Ils ont essayé de voler la paye des ouvriers, alors je les ai envoyés ici, plutôt qu’en prison. — Tu as trop bon cœur, darling. Bon cœur ! Oui, autant qu’un tigre affamé ! Quand il parle aux hôtesses, je l’entends dire : — On va venir chercher la brune, la rousse peut continuer à travailler. — Certainement, Monsieur. Profondes courbettes des deux hôtesses. On ne vient pas me chercher tout de suite. J’ai le temps d’expliquer mon plan à Ailla. Les hôtesses ont beau crier et me donner des coups sur les fesses, je ne sens rien ou presque. Je lui répète plusieurs fois de suite, en finissant par lui demander : — Tu as tout retenu ? — Tout, Samia. Un garde arrive. Il me passe un collier autour du cou. Plus exactement un épais cercle en fer avec une chaîne comme laisse. Ailla me dit : — Tiens bon ! — Ouiiii... Le garde tire sur ma chaîne. On sort de l’usine pour nous diriger vers une camionnette. Il me tire à l’intérieur du véhicule et attache ma chaîne à un anneau au plafond. Je suis obligée de rester debout. Julien est là, il me fait un signe de tête "Ça va ?", je réponds de la même façon "Impec !" Il y a deux Occidentales attachées de la même façon. On roule pendant une petite heure, debout, se cognant les unes aux autres dans les tournants. Par le pare-brise, je vois qu’on arrive devant une forêt de bambous géants. Lorsqu’on y pénètre, je m’aperçois que cette forêt n’est qu’une ceinture de bambous cachant une haute palissade, surmontée de fils de fer barbelés. C’est une prison ! Deux gardes ouvrent une grande porte et on se dirige vers de vieux bâtiments... Autour de nous, des champs s’étendent à perte de vue. Un peu partout, il y a des gens qui travaillent. Les femmes et les hommes sont nus, à part un collier en fer, des sandales et un très grand chapeau conique, sans doute en paille. Ce serait une scène... bucolique, s’il n’y avait des gardes qui encouragent les prisonniers en leur donnant des coups de cannes en bambous sur le dos, les fesses et les jambes ! Je remarque que les gardes ne sont pas Chinois, mais Occidentaux. C’est le cas du garde blond qui vient détacher nos chaînes et nous fait descendre de la camionnette. Julien vient près de moi. Le garde appelle une jeune Chinoise – nue, évidemment – pour lui dire : — Donne-leur de l’eau. La fille s’incline en répondant : — Oui, Maître. Ah, carrément ! La fille se plie encore en deux, puis va nous chercher deux bouteilles d’eau qu’elle dépose à nos pieds. Le garde nous jette : — Buvez. Beaucoup ! On lui obéit, ça fait du bien, surtout qu’il fait vraiment chaud. Quand tout le monde s’est désaltéré, le garde nous annonce : — Vous allez rencontrer vos Maîtres. Quand ils seront à dix pas, vous vous mettrez à genoux, puis vous poserez vos fronts sur le sol, mains croisées sur les reins. Faites-le ! On se met tous en position, le garde passe derrière nous et... — Aïe !! Il vient de me donner un coup de canne en bambou sur les fesses en disant : — Cambre-toi plus ! — Aïe !! Nouveau coup sur mes fesses ! — Mieux que ça, je veux voir ton trou du cul ! Les deux filles et Julien se prennent aussi deux ou trois coups de canne. Il nous dit : — Debout et vous avez bien compris, à dix pas. On attend au soleil... Je passe mes mains sur mes fesses et je sens les deux boursouflures laissées par la canne. Enfin, nos maîtres arrivent... Un gros Chinois d’une cinquantaine d’années et une adolescente fluette, également chinoise et... habillée. Ils sont suivis par deux filles nues qui tiennent chacune un parasol pour protéger les Maîtres du soleil. Deux autres filles portent un lourd fauteuil. Dès qu’ils sont à ce que j’estime être dix pas, je me mets à genoux, puis je pose le front sur le sol. Julien et les filles font la même chose. Je suis incapable de voir ce qui se passe, je dirais que l’homme s’est écroulé dans le fauteuil et la jeune fille fait le tour de notre petit groupe prosterné. Elle s’arrête derrière moi et elle me donne un petit coup de pied dans les fesses en disant : — Samia ? — Oui Maîtresse. Pas facile de parler avec la bouche presque contre le sol. Elle tâte mes fesses du bout du pied en disant : — Tu as un beau cul... À côté de toi, c’est ton mari ? — Oui Maîtresse. — Vous êtes aussi bien assortis qu’une grenouille et un lapin. Pourquoi l’as-tu épousé ? Je lui réponds la vérité : — Par intérêt, Maîtresse, son père est riche et il faisait tout ce que je voulais. A suivre. Un tout grand merci, à Bruce Morgan, pour les super dessins. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search  
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Par : le 23/05/21
Dans la vie, on dirait qu'il y a des périodes positives et puis d'autres qui le sont nettement moins. Dans le jet, qui nous amène en Chine, je me doute que tout ne va pas être rose, loin de là, mais je suis tenace et j'ai un plan. — Encore ! Oui la Voix, encore un plan... Pas pour tout de suite, mais dans quelques semaines, on s'évadera. Je regarde les lignes de ma main et je vois un grand changement pour bientôt. Vous n'y croyez pas ? Vous avez tort : la chiromancie est une science, pour nous, les Roms. On voyage avec mon beau-père et des cadres de la société. J'ai essayé de lui parler, mais il m'a coupé la parole : — Ton complice et toi, vous êtes punis, tu pourras me parler dans 3 mois. Ce genre de phrase n'incite pas à poursuivre la discussion... On reçoit à boire et à manger et c'est déjà ça. Julien me confie tout bas : — J'ai peur, Samia. Je lui montre la paume de ma paume pour lui expliquer notre avenir. Il me croit, lui. On somnole, puis je m'endors carrément. *** On atterrit dans un aéroport régional. Certainement pas celui de Pékin ou d'une grande ville. En descendant du jet, je me dis qu'on doit être dans le sud de la Chine, étant donné la chaleur. Les formalités douanières sont rapidement expédiées, on dirait que mon beau-père est "personna grata" ici. Il montre nos passeports, c’est curieux parce que je n'en avais pas ! Des Chinois nous attendent : il y a des poignées de mains et des courbettes, sauf pour nous. Ils parlent tous anglais, coup de chance. Mon beau-père nous désigne en disant : — Ce sont les petits voleurs dont je vous ai parlé. Sourires entendus des Chinois, ils voient très bien. Un gros homme ricane en me regardant et dit : — Non allons les rééduquer. Oh que ça ne sent pas bon ! Je me demande à quelle sauce soja nous allons être mangés. Des voitures nous attendent. Julien et moi on est seuls dans une voiture avec deux hommes qui sont nettement moins souriants que ceux qui ont accueilli mon beau-père. Julien doit monter à côté du conducteur, tandis que je suis à l'arrière avec un autre homme. On quitte la ville. Il y a des champs mais aussi une végétation tropicale et puis il fait chaud... L'homme avec qui je suis se tourne vers moi, plonge la main dans mon décolleté et caresse mes seins moites en disant dans un anglais approximatif : — Vous, les femmes occidentales, vous avez une seule qualité : des beaux seins ! C'est un peu restrictif, non ? Je réponds : — Merci, monsieur. Qu'est-ce qu'on va nous faire ? — Ouvrières de 3e classe. — C'est dur Monsieur ? — Vous êtes punies ! Ouais... On pénètre dans une vraie forêt de bambous, j'apprécierais si je n'avais pas une boule au ventre. Je regarde vite la paume de ma main, le changement positif est toujours là, écrit dans ma paume, ouf ! On roule un moment entre les bambous géants et on arrive devant l'usine. C'est un immense bâtiment à un étage. Il y a une entrée, entourée de parterres de jolies fleurs. J'aperçois mon beau-père qui monte les quelques marches avec ses collaborateurs. Je voudrais aussi prendre la grande entrée, mais au lieu de ça, on doit entrer par une petite porte. On arrive dans un grand bureau, une dizaine d'hommes et de femmes y travaillent. Il y a parfois un homme ou une femme devant leurs bureaux. Une Occidentale est nue et elle a l'air aussi mal à l'aise que moi. Le garde nous dit : — Attendez derrière la fille. Derrière le bureau, il y a un Chinois qui pourrait jouer les méchants dans un James Bond. Il interroge la fille en anglais... Je n'écoute pas, trop occupée à rêver de mon évasion. Enfin, à notre évasion... L'interrogatoire de la fille se termine, le méchant la fait venir près de lui et il écrit une série de chiffres et de lettres sur sa cuisse, sans doute son numéro d'identification. C'est à nous, il dit : — Donnez-moi vos papiers. On lui donne nos passeports. Il regarde nos noms, vérifie dans une liste puis il a un petit rire grinçant et il dit quelque chose en chinois. Aussitôt, tout le monde nous regarde. On va les intéresser de plus en plus, car l'homme nous dit : — Déshabillez-vous et déposez vos vêtements et bijoux ici. Il nous montre une boîte en carton. J'enlève mes vêtements, mes bagues et mes chaînes, j'ai le cœur gros, car j'aime mes bijoux. Nus, on est de nouveau le centre d'intérêt, surtout Giulia redevenue Julien. L'homme se lève et du doigt, il fait bouger rapidement le sexe de Julien en disant "ding, ding, ding". Ça fait rire tout le monde. Quelques-uns doivent dire un truc comique, tout le monde rit à nouveau, sauf nous ! L'homme écrit aussi une suite de chiffres et de lettres sur nos cuisses, puis il nous dit aussi : — Allez dans le local 4. On entre dans une autre grande pièce. La fille qui était devant nous est là. Elle attend, appuyée contre un mur. Il y a une Chinoise assise derrière un bureau et un homme occupé à assembler des pièces de métal. On attend longtemps, sans oser se plaindre ni même parler. Je touche la main de la fille qui fait une légère pression sur ma main. Un tout petit peu de réconfort. C'est une jolie blonde mince, peut être une Danoise ou une Suédoise. Enfin, l'homme dit quelque chose à la femme. Celle-ci se tourne vers nous en disant : — Inge, Samia, Giulia, venez ici, devant moi. On obéit et elle dit à la blonde : — Inge, tu es condamnée à 6 mois de travaux d'utilité publique, pour prostitution. L'homme va derrière elle et il referme un collier autour de son cou. Ensuite, c'est à moi : — Samia, tu es condamnée à 3 mois pour vol. Puis, c'est le tour de Giulia. Le collier est froid, mais léger. Je regarde ce qui est marqué sur celui de la fille : Inge, puis son matricule. La femme nous dit : — Vous garderez ce collier durant toute la durée de votre peine. Essayer de l'enlever est fortement déconseillé. Elle me regarde et ajoute : — Il permet de vous localiser où que vous soyez, tu comprends ce que ça veut dire ? — Oui, Madame. M'en fous, mon évasion est écrite dans la paume de ma main. La femme ouvre une porte et nous dit : — Allez vous faire photographier. On entre dans une petite pièce. Il y a un gros homme qui lit un magazine assis dans un fauteuil. Il se lève et prend une longue baguette de bambou. Mais on n'a rien fait ! Il nous dit : — Il faudra être très obéissants, sinon... Il fait siffler le bambou dans l'air. On a bien compris, là. Il nous examine et il a l'air très intéressé par Julien. Il lui dit : — Mets-toi devant ce mur blanc. Quand Julien est en place, il l'examine soigneusement, caresse ses fesses puis son ventre. Il s'arrête sur son sexe et il fait le même geste que la femme tout à l'heure "ding, ding, ding", en le tripotant. Mon mari se tortille un peu, ah, elle sait y faire, la petite salope. L'homme lui dit : — Faut qu'on le voie un peu sur les photos. Je vais arranger ça. Il se met à genoux et embrasse le minuscule service trois-pièces de Julien. J'espère que tous les Chinois ne sont pas devenus gay, car je compte sur mon physique pour m'échapper d'ici. Le Chinois lui caresse les fesses en même temps... Cette petite salope gémit et se fait aller et venir dans la bouche de l'homme. Je le connais bien et je vois quand il est prêt de jouir. Voilà, ça y est, il pousse des petits cris tandis que le Chinois déglutit. Soi-disant qu'il voulait qu'on voit le sexe sur les photos, maintenant qu'il a joui, il va avoir une bite de musaraigne pygmée !! Pardon, frère musaraigne, si ça se trouve vous en avez une énorme. Julien caresse la main du Chinois en disant : — Merci, Monsieur. C'est ça, lèche-lui le cul pendant que tu y es. Bon, réfléchis Samia. Si Julien plaît à ce point, c'est très intéressant pour ton plan. L'homme fait des photos de lui, de face de profil, à quatre pattes et même des gros plans de son sexe de musaraigne et de son anus. Ça sent la collection personnelle. Quand il a fini, c'est notre tour. Il nous dit : — Vous, vous poserez à deux. On se met devant le mur blanc. Il fait des photos de visages en passant de l'une à l'autre. Manifestement, il n'a pas de temps à perdre avec les filles. Il dit : — Tournez la tête à gauche. C'est le stress ou je ne sais pas quoi, mais je me trompe et Inge et moi, on se retrouve face à face, à la grande rage du Chinois qui prend son bambou et frappe mes mollets et mes cuisses. Sale brute ! Je pousse des cris en sautant sur place. Il me dit : — C'est pour te foutre de moi ? — Mais non, je vous jure, j'ai peur et... — À quatre pattes ! On se met aussitôt en position, l'une contre l'autre, ce qui vaut à chacune un coup de bambou sur les fesses, tandis qu'il crie : — Pas serrées, putains ! On se déplace et il fait des photos. — Écartez vos fesses. On le fait avec nos mains. Il hurle à nouveau : — C'est pas assez, vous vous foutez de moi ! Toi, écarte les fesses de ces putes. Julien vient se mettre à cheval sur mes reins et écarte bien mes fesses. Ensuite, il écarte les fesses de Inge. Le Chinois lui explique : — Tous les anus sont différents, c'est comme les empreintes digitales. Les vulves aussi, mais je ne les photographie pas : c'est trop dégoûtant. Seigneur, faites que ce soit le seul gay, ici. Il a fini et embrasse Julien sur la bouche. Il ouvre une porte et nous passons dans la pièce suivante. Sur un comptoir, il y a une série d'uniformes. Le magasinier est un mec pas mal du tout. Son œil s'allume quand il nous regarde. Ouf ! Un homme ! Je veux dire un vrai. Ayant vu les marques sur nos jambes, il dit en souriant : — Monsieur Li n'aime pas beaucoup les femmes. Je lui fais mon regard « Toi, tout ce que tu veux, quand tu veux » et j'ose lui dire : — Mais vous, vous les aimez, Monsieur ? — Moi, oui... — Mon amie et moi, on peut vous sucer à deux, ça va vous plaire... Il rit... hésite, puis répond : — Pourquoi pas. J'ai entendu que Inge est une pute. Une pute, ça sait sucer, non ? Je lui dis : — On le suce à deux ? — ... Euh... oui... On va se mettre à genoux devant le magasinier. Il écarte les cuisses pour nous faire une petite place. J'ouvre son pantalon et en sors des attributs d'homme, une belle bite, des couilles bien rebondies. Je tire sur la peau du sexe... et le lèche un moment, puis, je le passe à Inge qui a l'air tout intimidée. Elle lèche timidement, j'appuie sur sa tête pour enfoncer complètement le gland dans sa bouche, puis je le reprends dans la mienne, car elle est nulle. Si elle c'est une pute, moi je suis bonne sœur ! Je m'apprête à lui montrer ma technique pour sucer une bite, mais il me dit : — Tu fais ça bien, mais on continuera plus tard. On va être dérangés. Je retire ce que j'ai en bouche pour répondre : — Oui Monsieur, quand vous voulez. Je suis déçue... mais je pense que je lui plais quand même, surtout que deux filles nues arrivent dans la pièce. Il savait qu'elles allaient arriver. Il reprend son rôle de magasinier et nous donne des vêtements. Il s'agit d'uniforme en toile de couleur orange, comme dans les prisons américaines. Un pantalon qui s'arrête aux genoux, un tee-shirt et une petite veste. Dans le dos du tee-shirt et de la veste de Julien et moi, il est écrit « thief », « voleur » en anglais, plus des idéogrammes chinois. Pour Inge c'est « whore », pute. Et aux pieds ? Rien. Quand on est habillées, il nous indique une porte pour aller dans le local suivant. Il me sourit... Ouf ! Je plais toujours. À suivre Mes livres avec des centaines de dessins de Bruce Morgan, sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 23/05/21
Chapitre 3 - le dernier Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian. Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied. Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous. Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian". Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite.  Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! "  " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club,  Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?"  ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la  blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé. Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?"  "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer. Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées. "vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application. "Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres. "ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche "La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack  dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué. Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert. "Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire... " stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur"  ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets. Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air. D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls. " ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"... Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence. Fin
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