La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 20/07/24
Je sais qu'elle tend l' oreille à l' affût du moindre petit déplacement d'air qui lui indiquerait ma présence.  . .  Rien. Elle n' entend rien.  Enfin si, elle entend la musique au rez-de-chaussée. Les voix des gens qui discutent au comptoir. Elle entend des  rires, des verres qui tintent, les talons qui crissent des danseurs alcoolisés sur la piste, mais tout ça n'est qu' arrière fond. Elle filtre les sons  à la recherche du moindre petit  battement d'Elle  auquel  attacher tous ses espoirs. Dans la pièce où Je l' ai laissée nue, la température n' excède pas les 20 degrés. Ce qui est bien pour une  chaude nuit d'été. Son corps va se refroidir lentement. Il était en surchauffe quand J'ai fini de l' attacher sur le lit en fer forgé qui trône au centre.  Elle avait son sourire de brat avec ses joues toutes rondes quand J'ai commencé à l' attacher. Le regard pétillant d'un mélange d'envie et de provoque qui disait " Baisez  moi Maîtresse, baisez moi " . . . Elle écoute. . . Elle écoute bien. Son ouïe s'est affûtée , ça fait plus  une heure qu'elle attend sagement. Son sourire s'est effacé mais elle reste excitée, persuadée qu'Elle va surgir de nul part tel un Diable... Elle tend l' oreille. .  Ça lui démange de tirer  sur cette foutu corde qui l'empêche de sortir du lit... Elle pourrait aller L'épier  incognito et reprendre sa place illico .Mais si elle se fait choper? . Elle ne préfère pas tenter...  . . Elle écoute. Rien. .. . Ça l'agace de ne pas savoir où Elle est..   .   La soirée est déjà bien avancée. Restait  qu'elle et Moi dans le donjon. Puis plus qu'elle.   Je sais qu'elle va commencer à cogiter et ça va bientôt partir dans tous les sens dans sa p' tite tête ... . Elle tend l' oreille. . .Rien. _ Et merde! Elle  va quand même pas m' laisser  là. A genoux sur  le  matelas, tournant le dos au seuil d'entrée,  les poignets passés et encordés au travers des arabesques  de la tête de lit forgée, elle attend . Juste cette petite corde et l' interdiction de bouger.  _  Comme si j' pouvais descendre finir mon verre d' whisky/coca. Pff!  . Ecoute . . Rien.  Aucun signe.  . _ Si ça s' trouve ,Elle m' regarde... Ouai, c'est sûr, Elle  est assise là  sur l' fauteuil du fond. Tapie dans l'ombre à m'observer.   Elle tourne légèrement la tête.  _ Non!  Hè! Hè! j' vais pas m' faire avoir, Elle attend que j' bouge pour m' prendre en faute. . Tend l' oreille. . . Le silence.  - Si j' bouge Elle m' prend en flag. .  _ Si j' bouge Elle m' prend... Rictus. "  Je bouge mes petits petons. " Dit-elle à voix mi- basse.   Sourire jusqu'aux oreilles.   . Écoute. .    Rien. " Je bouge mon popotin.  Regardez, je Vous tend ma croupe ! " Tout à l' heure j' vais m' prendre un coup d' cravache sur l'cul. Elle tourne un peu plus la tête avec une certaine appréhension tout de même. Pas folle la guêpe, elle connaît la Bête. . . _ Patience, Elle va arriver...  J' n'ai pas fait d'bourde aujourd'hui... Enfin j'crois pas... Bha! Pas plus que d'hab en tout cas... Qu'il est frisquet c' donjon la nuit!  Pour sûr j' l' aimais mieux quand Elle me r'couvrait les seins à la cire... Ha voui. C'était bon ça...  .  Écoute. Sourit à la nuit. . .   Elle redresse sa tête face au mur,  scrute une ombre. Le peu de lumière provient du hall d'escalier, et ce n' est que la lumière de l' étage d'en dessous. Tiens d'ailleurs, il n' y a plus de musique. Écoute.  . Entends des bruits de fond, des blablas tranquilles, des au-revoir.   _ Mais quelle heure il est?    Non sérieux, Elle va v'nir... Allez, vas-y bouge, laisse La gagner... Et hop! J'écarte les cuisses... Et mince, ça commence à m' faire mal aux g'noux... "  Attention, je tends une jambe." Dit-elle d'un ton plus haut.  . Tend l' oreille bien droite. . . Rien. . _ Heu! J'ai merdé ou quoi? ... Voyons, j' L'ai sûrement agacée à la dévorer des yeux tout à l' heure, voire tout à 3 heures même... Non! c'n'est pas ça, j'ai vu dans son r'gard qu'Elle avait envie...  Envie d' quoi?   . Pas d'enfiler son gode ceinture  apparemment . Mince, ça commence à cailler en plus... Qu'Elle arriverait maintenant pour m' baiser serait tellement bon. .  Ho merde! C'est quoi c' bruit?  ÉCOUTE. . Rien. ECOUTE ENCORE. Rien. . Plus rien. _ Putain mais y a plus personne ou quoi? Elle peut pas m' oublier quand même, j' suis sa soumise, j' porte Son collier. Mais ils sont où les autres? Elle peut pas embarquer tout l' monde dans son délire. Heu.... Si... Ho Non!   "  Maîtresse! " Le son de sa voix qui résonne dans l'escalier  la surprend presque .Elle tend l'oreille, le cou, le cul, les bras, les jambes, elle se démène pour essayer de La voir.  . Rien. Elle ne voit rien.  _c'est resté allumé en bas, il y a de l' espoir.  . _ Si y a la lumière c'est qu'y a quelqu'un. Elle me met encore une fois dans un drôle d'état.Enfin drôle faut l'dire vi Un bruit! S'IMMOBILISE NET. ECOUTE FORT. Cœur qui bât la chamade. Des pas. Oui, elle reconnaît le bruit de pas qui se dirige vers le couloir d'escalier.  Trépignement d'espoir.  _ Vite reprend  ta position à g'noux, cuisses serrées, tête face à c'putain d' mur noir. Elle va v'nir t' libérer. Et p't-être même qu'Elle aura envie de t' baiser . Ca lui plait de t' faire des misères, tu sais bien  et j' suis .OH NON PAS CA! Clic!  La lumière s'éteint.  Bruit de pas qui s'en va.  Bruit de porte.  Bruit de verrou. . Un vent de panique souffle sur son corps crispé qui frissonne. Écoute  mais n' entend que les battements de son cœur qui s'emballe.  Son souffle rapide, ses larmes aux yeux. Le bruit d'une voiture qui démarre. _ Ho merde!  Elle l'a fait?  .  _ Non, Elle est là, quelque part..   . Écoute . .  Entend que le silence de la nuit. . Appelle. . Écoute le silence. . Supplie. . Silence. .  Crie, appelle, supplie encore, sanglote, tire, bouge, hurle, maudit. . Il  rend dingue ce silence qui résonne dans l'vide! .  Chiale, renifle sa morve, implore, explore.  _ Mais Elle est où bordel?  L'obscurité devient familière laissant voir les détails du fauteuil vide.  Pleure de plus belle. .   Bruit de sanglots dans la nuit. . . Le corps se trouve une position tenable.  . . . Les larmes sèchent sur ses seins.  . . . . L'esprit ne tient plus qu'à un soupir. . . . La nuit garde sous silence ma soumise séquestrée... 
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Par : le 15/07/20
Haya est une fort jolie jeune femme, libre et indépendante, qui travaille et refuse la domination des hommes, le port du voile. Une libanaise métis, avec du sang chinois par sa mère et arabe par son père. Une passionnnée de wing chun, l'art martial, le seul conçu par une femme et utilisé par le célèbre Bruce Lee dans ses films. Haya a tout pour être heureuse; elle est riche, jolie, très intelligente. Sauf que sa route vient de croiser celle du cheikh Hassan, un prédateur sans foi ni loi. Cela s'est passé dans les salons d'un grand hôtel de Beyrouth. Leurs regard se sont croisés. Haya a lu toute la perversité d'Hassan et elle a eu peur. Un fou....sans limites ni barrières. Le soir même Haya a été enlevée, séquestrée dans une grosse valise et expédiée via un jet privé dans un pays de sables brûlants. Une disparition de plus dans ce vaste monde. Haya a été lavée, parfumée, habillée d’étoffes précieuses et laisée libre d'aller et venir dans ce harem merveilleux, avec de beaux jardins fleuris, des fontaines et des bains, des esclaves eunuques pour faire le service, servir du thé à la menthe ou aux épices. Que des femmes somptueuses, des beautés à couper le souffle. Hassan s'est choisi ce qu'il y avait de plus beau pour décorer son harem et ses femmes sont un peu comme des meubles de luxe. -Tu es nouvelle? Fais bien attention. Hassan notre maître est un fou. Si tu lui déplaît, il te place dans un hélico et te lâche au large dans une baie infestée de requin. Ce malade filme et il nous passe les vidéos de ses meurtres. Nous filons toutes droit après avoir vu cela. Et ce n'est pas du bluff , il est vraiment fou. Haya n'a pas peur. Elle en a vu d'autres avec Karim, le loubard de son quartier qui voulait la violer. Pauvre karim, il ne connaissait pas le wing chun....c'est lui qui s'est fait enculer et Haya a posté la vidéo sur le net. Karim a du s'exiler en Argentine à cause de la honte. Un soir Hassan convoque la sublime Haya pour la troncher dans son baisodrome privé rempli de splendides tapis persans et de toutes sortes de gadgets pour ses fantasmes. Il porte son poignard acéré à la ceinture et visiblement il sait très bien s'en servir. Haya l'afronte du regard et tourne autour de lui comme un fauve. Et tout à coup c'est Hassan qui a peur. Il veut appeler ses gardes eunuques noirs, formés aux combats, mais il est trop tard. Un direct en pleine face à la Bruce Lee le met ko d'un coup. -Cela c'est pour m'avoir fait enlever, salopard de macaque de mes deux et tu vas payer. Hassan se réveille. Il est ligoté et bâillonné solidement. Haya a trouvé tout un assortiment de fouets arabes et elle commence par bien lui labourer le dos et le cul. -Mais tu es une vraie gonzesse mon Hassan, tu pleures sous les coups. Tu n'as pas l'habitude. Attends je vais t'enculer et t'empaler, tu vas hurler comme un chacal. Hassan se dit qu' il est tombé sur une folle et il a vraiment peur. Il se fait dessus. -Mais tu as la trouille, petite vermine qui donne les femmes aux requins. T'es vraiment une petite merde. Faut que je reste loin tellement tu pues du cul. Elle avise une longue lance avec un très gros manche en bois. Elle trouve sur le plateau des collations de la sauce piquante, une belle harissa bien rouge et enduit la hampe de sa lance. Hassan la regarde horrifié, les yeux ruisselants de terreur. -Dans le cul la lance avec la harissa ! Dans le cul et tu va hurler comme un goret ! On va t'entendre de la Mecque à Istanbul ! Tu va être la risée de tous les musulmans du vaste monde. Tu vois, j'ai ton téléphone. Je vais te filmer et publier toutes les saloperies que tu fais ici et comment je vais t'enculer ma salope. Le manche de la lance a perforé le cul d'Hassan. La douleur a été fulgurante. Il s'est évanoui. Haya est allée chercher toutes les autres filles du Harem pour leur montrer le spectacle. Les gardes eunuques, sans ordres, n'ont pas bronché. Ils ont compris qu' Haya était celle qui commandait, une dominante sans pitié et ils se sont mis sous ses ordres. Peut être eux aussi, en ont ils marre des extravagances sanguinaires d' Hassan. Haya leur a promis la liberté. C'est inutile. Ils n'ont plus de couilles ni de pénis, et ils sont fait pour obéir.... Hassan se réveille. Il hurle et hurle comme un goret qu'on égorge. Ses captives lui pissent dessus. La vidéo fait le tour du monde. Les ambassadeurs sont vite au courant. Les filles parlent, donnent leurs identités et les lieux de leurs enlèvements. Des hélicos et des grappes de soldats dans les jardins. Le Roi de ce pays intervient personnellement. Il fait décapiter Hassan sur-le-champ et il ordonne de jeter son corps au requins. Une justice rapide et efficace ? Le Roi regarde Haya et la trouve fort belle. - Je vous offre ce domaine et tout ce qu'il contient, ainsi que la fortune d'Hassan pour vous dédommager. Les filles sont libres de partir ou de rester. Je vous accorde des titres de séjour à vie comme invitées d'honneur. Les filles et les eunuques sont resté avec Haya. C'est vrai que la propriété d'Hassan est superbe et très richement dotée, et que ses comptes ont des chiffres avec beaucoup de zéros après.
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