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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent ĂŞtre des Ă©crits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Elle erre dans la brume, le cœur en éveil,
À la quête d’un maître, d’un feu sans pareil.
Ses yeux cherchent l’éclat d’un regard souverain,
Un conquérant tendre pour lier son chemin.
Elle rêve d’un homme, de force et de flamme,
Qui saura la lire au creux de son âme.
Qu’il soit doux et puissant, qu’il soit fort et secret,
Qu’il guide ses pas là où elle se tait.
Elle s’imagine, offerte à ses bras,
Soumise et sereine, sous le poids de sa loi.
Elle désire ses chaînes, douces, infinies,
Que ses mains la tiennent dans l’ombre d’un lit.
Mais plus qu’un maître, elle attend un amant,
Un roi et un rêve, un lien apaisant.
Qu’il dompte son cœur avec une tendresse,
Qu’il lui donne en amour sa juste faiblesse.
Dans le silence de la nuit étoilée,
Elle cherche cet homme, en secret, en pensée,
Un conquérant tendre, un souffle profond,
Pour que dans sa soumission, elle trouve son nom.
J'utilise une IA et je lui pose des questions
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Elle est le calme au creux des vents,
L’âme sereine aux doux accents,
Ses mains tissent des liens de paix,
Et son amour joyeux ne faiblit jamais.
Elle veille, discrète et fidèle,
Gardienne de l'âtre et des rêves,
Son cœur écoute sans détour,
Offrant tendresse jour après jour.
Elle connaît la force du pardon,
Le poids léger des concessions,
Dans son sourire, une douceur,
Qui dissipe l'ombre et la peur.
Forte sans bruit, douce sans chaînes,
Elle sait aimer sans qu’on l’entraîne.
Son savoir est de rendre léger
Tout fardeau que la vie peut poser.
Et dans l'éclat de ses regards,
Elle porte l'éclatant phare,
D’une bonté qui rassure et guide,
Une âme entière, noble et solide.
Ainsi est la soumise, celle qui se donne,
Un amour vrai qui toujours étonne,
D’être au cœur de tous les combats,
Elle est le roc, elle est là-bas.
sa chatte est toujours si douce et acceuillante,
Son Maître va vers elle comme un soc puissant de charrue laboure un champ fertile.
Elle aime sa semence et s'en délecte
Elle offre sa croupe au fouet amer
Elle est sa soumise et en est fière
Elle est son bonheur
Elle lui fait honneur
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Deux Maîtresses m’ont interrogée sur les conditions de dressage de leur conjoint.
La première Maîtresse m’a interrogée sur les conditions de dressage de son mari en chien.
La seconde Maîtresse m’a interrogée sur les conditions de dressage d’une jeune esclave en pony.
Nous avons des situations particulières dont l’analyse peut réellement intéresser les dresseuses. Mes conclusions sont la définition d’une Propédeutique au dressage, que ce soit à un enchiennement d’un mâle assez féminin, ou d'une soumise à un débourrage de pony.
Ces cas m’intéressent vraiment parce que les conditions sont originales : les deux couples sont mariés, les Maîtresses et le soumis ou la soumise sont visiblement amoureux, elles-il sont plutôt débutants, surtout dans le petplay, elles-il sont aisées (très aisées pour le second), diplômes de 3eme cycle et CSP+, en résumé de gentilles intellectuelles cultivées et intelligentes. Mais globalement ce sont encore des novices en matière de dressage et surtout de petplay, sauf une expérience réussie de HuCow pour le second couple.
Particularité du premier couple : Le mari est très féminin, il a subi une féminisation poussée sans hormones qu’il a adoré mais qui a été abandonnée pour des raisons pratiques, il est très cérébral. Le couple pratique le déni, la chasteté forcée, le cuckolding (hotwifing). La cage de chasteté a été un échec (douleurs rapides).
Particularité du second couple : Il est entourée par d'autres couples de femmes. La soumise a de nombreuses lacunes, elle a été formée sans cohérence par deux maîtresses successives, elle est un peu brat à ses heures. Malheureusement ou heureusement, la soumise est séparée de la Maîtresse plusieurs jours par semaine pour des raisons pros. Un maître, qui sait se faire respecter, est associé étroitement et efficacement à la Maîtresse. Ce genre de trio offre de nombreuses possibilités.
La suite dans le prochain article.
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Vivre à plusieurs dans le même corps, s'oubliez au profit d'une carrière, caché les sentiments pour se sentir moins vulnérable, caché qui nous sommes réellement, ne pas montrer où ne pas savoir qu'il l'on ait réellement voilà les différents passages que traverse depuis plusieurs jours.
Emmy l'actrice, mon autre je vais la nommé Evy, l'humaine.. un peu d'histoire pour comprendre.
Qui es Evy? Evy c'est l'histoire d'une petite princesse qui s'évade, elle s'en tape, elle se sent libre, elle s'amuse comme elle souhaite mais Evy se sent seule.
Evy est née à la suite de la séparation brutale avec mes parents suite à mon début de transition puis à évolué très rapidement avec mon ex-copain (les surnoms, les petites phrases amicales..) bref l'éloignement rapide de mon cercle familial puis de mes amis à l'époque a fait en sorte que mon ex-copain récupère ce "rôle parental"
Je ne vais pas aller plus dans les détails afin de protéger le peu de jardin secret qu'il me reste.
La relation entre les deux?
Evy elle est souvent là le soir, sauf que je ne contrôle pas du tout cette "phase" de moi-même, dès que Emmy "l'actrice" à un moment de calme, de repos ou de vide il y a de grande chance pour que les émotions sortent d'un coup peu importe le moment qu'il soit joyeux ou calme alors j'entend d'un coup des voix, je sens des mains sur mon corps, je revois des moments "flash" de cette période de transition loin sans repère.
Une cohabitation difficile
À être hyper active sur Internet dû à mon métier je m'oublie dans la belle carapace qui se nomme "Emmy" elle qui est beaucoup plus solide, distante, restreinte sur les émotions afin de ne pas avoir à ouvrir mes sentiments ou montrer les blessures du passées pour ne pas me reconstruire une seconde fois.
Je me sens seule à force de me caché.
Les chiffres puis les photos
Bien souvent les sourires de mes photos cachent derrière une dose d'émotions difficiles à retenir. J'ai souvent l'illusion d'être entourée quand je vois les chiffres, le nombre de play en donjon, les messages, les commentaires, les connaissances BDSM qui m'entourent sauf que derrière les chiffres il y a la réalité où je m'efface personnellement au profit d'Emmy puis de mes ambitions de carrière et de BDSM.
Le BDSM puis les soirées
Les donjons sont le rare seul moment où je me sens moins seule, d'où cette forte addiction à toujours attendre la prochaine soirée puis être en bad mood si je ne pratique pas pendant 1 semaine. Même si sur place j'utilise cette carapace "d'Emmy" je me sens bien mieux que dans n'importe quelle situation car j'ai du contact humain puis réel loin d'internet, je m'habille comme je souhaite, je gambade dans le club sourire au lèvre, je rencontre des personnes agréables.
Suis-je masochiste parce-que j'aime la douleur, suis-je masochiste pour effacer cette douleurs intérieur?
Conclusion
Je sens qu'aujourd'hui je tire une seconde sonnette d'alarme puis que des décisions vont devoir être prises rapidement afin de réussir à sortir de ce gouffre sans fin.
Apprendre à me redécouvrir, apprendre à sortir, apprendre à parler en dehors du BDSM puis de mon métier, nouée des amitiés non Kinky, faire des sorties..
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Mais c'est vrai ça ! À force de voir défiler autant de "faux profils" par jour dans cette tranche d'âge, on pourrait oublier de se poser une question essentielle :
À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ?
Et si nous devions aller plus loin, est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ?
Afin de se replacer dans le contexte sur le fait que l'âge pourrait influencer à se tourner vers des pratiques dites "extrêmes", posons-nous la question :
Qu'est-ce qu'un(e) jeune tout court dans sa vie de tous les jours ?
Je suis jeune.
Je vis encore chez mes parents, qui me font ressentir tous les jours, qu'ils luttent pour joindre les deux bouts.
M'aimant lorsqu'ils ont le temps, entre me dire ce que je devrais faire et ne pas faire pour mon bien.
J'ai un animal de compagnie qui m'apprend la neutralité, et le réconfort à ne pas être juger.
Je suis des études.
Sans cesse, on me demande ce que je veux faire plus tard, sans se soucier de mon présent. Prétextant que la jeunesse est simplement une "étape".
Je tchate avec des ami(e)s, je joue aux jeux vidéos, je claque ma thune pour sortir dès que j'en ai l'occasion.
À la maison, on me dit qu'il faudrait que je m'investisse davantage pour mon avenir, tout en constatant que mes parents sont juste frustrés de ne pas avoir le temps, ni l'énergie, à faire la même chose que moi.
J'ai un Copain / Copine qui a des vues sur moi, et je ne sais pas comment m'en débarrasser..
Ce mec / cette meuf est trop beau / belle !
J'ai juste envie de m'éclater et de voyager.
Je suis jeune.
D'après ce référentiel du comportement de la jeunesse moyenne, inutile de vous dire que le BDSM est à des années lumière d'intéresser ce type public, représentant pas moins de 90% de la population Française
(Si je devais y attribuer un pourcentage sur les plus de 5 000 000 de jeunes Français(e)s entre 18 et 25 ans - Source INSEE).
Si l'on part de ce postulat, qu'en est-il des 10% restants me direz-vous ? Représentant la bagatelle d'un peu plus de 500 000 âmes..
Se jettent-ils/elles toutes et tous sur les sites liés au sexe et au BDSM, s'inviter dans des donjons et muchs improvisés, que cela soit par envie, désoeuvrement, ou curiosité ?
La réponse est non.
Une / Un jeune a tellement de possibilités pour s'amuser dans ses joies, à contrebalancer dans ses perditions, son équilibre et crises existentielles, ou d'opportunités dans son éducation sexuelle, qu'il est juste impensable qu'elle / qu'il puisse penser l'ombre d'un instant, tirer profit d'un plaisir extrême.
L'évocation de la Domination / Soumission, et toutes pratiques dites "BDSM", étant tout au plus des "MÊMES" propices à quelques blagues provocatrices et graveleuses.
Cependant..
Il existe un petit pourcentage..
Je suis moins jeune que j'en ai l'air.
- Je suis illustratrice. J'aime l'univers coloré et les licornes. J'ai des "Kinks". Je suis membre d'une association. Mes parents ne sont jamais là.
- J'ai un petit Copain / Copine. Il est gentil, mais il ne comprend pas mes besoins. Je ne sais pas pourquoi je viens sur ce site. Je ne suis pas normale.
- J'aime regarder des femmes attachées avec des cordes. J'ai envie de me débattre. Je n'aime pas mon physique.
- J'ai besoin d'être sous emprise. J'ai été Punk à chien à 20 ans, et j'ai plus d'affinités avec l'inconnu qu'avec mes propres parents.
- J'adore l'idée d'être à genoux face à un Dominant, et être à ses ordres.. Je suis obligé de vous dire que j'ai une maladie qui m'empêche de.. Mais je sais la gérer !
- J'ai besoin que l'on me voit et que l'on me traite comme je suis. Je pense que si je m'y prends maintenant, je pourrai espérer faire ma transition avant mes 30 ans.
Je suis moins jeune que j'en ai l'air.
À partir de quel âge se déclenche l'éveil "BDSM" et l'envie de se Soumettre ?
Lorsque la jeunesse ne représente que les traits d'un visage innocent, au regard des idéalistes et des puritains.
Une rupture dans la communication avec son corps, son mental, et son environnement.
Avoir besoin d'expier, communier ou stagner.. dans l'isolement, la défiance, la résistance, la violence, la torture, l'exhibition ou la docilité.
Une clameur à jalouser ceux qui ont toujours envie, alors que l'on ne possède que de terribles besoins.
Avoir la liberté comme prétention, être excitée à l'idée de respirer, et ne savoir que se donner comme récompense pour le mériter.
Clairement, il n'y a pas d'âge privilégié à s'éveiller au "BDSM".
Seulement des périodes dans sa vie, où les possibilités sont restreintes ou épuisées, à se donner les moyens de pouvoir sortir la tête hors de l'eau, et se sentir bien dans sa peau.
Chacun(e) peut être extrêmement jeune à l'éveil "BDSM", mais savoir ce que des pratiques extrêmes peuvent nous apporter, est une toute autre volonté ou travail.
Il peut s'espacer de nombreuses années, avant de s'y intéresser ou de passer à l'acte.
Que cela soit dans une excitation, un réconfort, une frustration, une libération, un moyen d'expression, un épanouissement, ou même de se donner de la "valeur" dans quelque chose..
Est-ce qu'un(e) Jeune Prétendant(e) Soumis(e), se révèle être synonyme d'une relation de meilleure qualité à l'exercice des pratiques BDSM, qu'un(e) prétendant(e) en pleine maturité de son âge ?
Pour répondre à cette question, il faut considérer deux perspectives et réactions à la vue d'un nouveau profil "jeune" :
- Être Dominant.
- Ne pas être Dominant.
Ni bonnes, ni mauvaises, ces deux échantillons de réactions, ne sont présents qu'à vous renseigner sur vos rapports avec la jeunesse "d'âme" et la jeunesse "réelle".
Plusieurs états d'esprits en résultent :
Je ne suis pas dominant.
- Elle est mignonne, je suis sûr qu'elle n'a pas eu assez d'attention et d'amour, je sais que je peux le lui apporter et la remettre dans le droit chemin.
- Elle me fait bien bander cette petite vicieuse. Je suis un expert en fessées.. Avec moi, il n'y a pas de problèmes : Elle a besoin, je suis là !
- Si elle m'accepte en favori, c'est que j'ai mes chances. Je me demande à quoi elle pense, et ce que je dois lui dire. Il ne faut pas que je me plante.
- "Demande d'ami acceptée" -> Si ma femme le savait, elle me tuerait. Raah, je peux pas me connecter, sinon elle va me griller.
- "Prem's !" -> Moi aussi j'aime bien la domination / soumission !! On peut se téléphoner ? J'habite dans la même ville :) :) :) :) Je suis aussi sur WhatsApp !! ... Tu es là ???
- "Bonjour, MaîtreMachin, dominant expérimenté, j'ai pleins d'accessoires et je peux me déplacer, je recherche une" (Copié / Coller lambda)
- "Ton profil m'intéresse ! On peut dial si tu veux ! Tu as des photos de toi à m'envoyer ?"
Je ne suis pas dominant.
Je suis Dominant.
- Je visualise que c'est un faux profil. Je zappe direct. Je regarde de temps en temps ces favoris, jusqu'à son bannissement ou la fermeture de son compte, histoire de voir les non-dominants ou les nouvelles têtes en quête d'espérance.
- Je constate qu'il y un "humain" derrière ce profil de "jeune". J'entreprends un échange à savoir ces motivations à s'être inscrit(e) à des fins de divertissement. Car après tout, un humain qui ment.. est un(e) soumis(e) comme les autres.
- "Au vu qu'être "jeune" et "novice" ne vous rend pas spécial à mes yeux, et que votre profil est à peine renseigné, je vous invite à vous présenter."
- "Au vu de ce que vous me racontez, un simple "amant entreprenant" pourrait faire l'affaire à vous satisfaire. Si vous deviez vous présenter à moi en tant que Soumise, que me diriez-vous ?"
- "Sodomie, fellation, envie de ceci, de cela.. Mais je ne vois aucune pratique liée à l'extrême. Avez-vous déjà vécu une expérience BDSM ou hors-norme ?"
- "Si vous avez besoin de câlins ou d'attention, ce n'est pas sur un site internet que vous le trouverez, et encore moins sur un site de BDSM."
- "Mériter mon attention est dans votre capacité à obéir et à travailler votre Soumission. Pas dans l'amour que vous souhaitez avoir pour vous donner."
Je suis Dominant.
Après la vision de ces deux perspectives, il est possible d'appréhender que l'approche de la jeunesse "BDSM" se révèle être finalement similaire, à celles des Prétendant(e)s Soumis(e)s d'un autre âge.
Avoir des prédispositions à s'exciter sur des pratiques hors-normes, ne créés pas des Soumis(e), et cela qu'importe l'âge que vous avez.
Et le comportement de celles et ceux intéressés par ce public cible, se distinguera majoritairement dans une recherche d'oportunités, et non d'exigences.
Le corps, l'âge, la mentalité, ne rentrant pas en ligne de compte, en termes de "qualité" ou "confort" de pratiques, ni de signe de durabilité dans une relation BDSM.
Les rapports générationnels, tendancieux, existent certes dans leurs excitations de formes primaires entre deux êtres, mais seulement dans un "contraste" d'âge et de vision "d'innocence".
Le BDSM quant à lui, est au service de la "complétude" des besoins et pulsions concrètes des deux parties (Et s'avère être un refuge dans certains cas).
En conclusion :
La sanité à se rendre compte qu'il y a très peu de jeunes de 18 à 25 ans dans le BDSM est clairement identifiable, et n'amène pas à une relation BDSM de meilleure "qualité" (Si je puis dire..)
Ce nombre restreint de jeunes attirés par des pratiques extrêmes, n'est ni à déplorer, ni à valoriser, en raison des contextes qui les y amènent.
Et se rendent visibles, en fonction des lois et applications légales définies par les notions de majorité de chaque pays, et "l'ouverture d'esprit" des plateformes internet et autres services commerciaux.
Alors pourquoi, en définitive, autant d'internautes, d'hommes et de femmes, courent-ils toujours autant après la "jeunesse" BDSM ?
La notion d'être jeune ou d'être avec des jeunes, est peut être représentative d'un désir d'être toujours dans l'air du temps, et d'avoir encore de la valeur à se sentir actif, et donc immortel ?
Allez savoir..
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5242/J'ai-h%C3%A2te-de-vous-connaitre-! -> J'ai hâte de vous connaître !
https://www.bdsm.fr/blog/4928/La-jeunesse-a-les-dents-longues -> La jeunesse a les dents longues.
https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
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"Même absent, il m'observe..."
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Noir.
Souffle, frémissement.
Sons métalliques, froissements de cuir.
La captive s'éveille, en douceur, et en cage.
Elle sort lentement de sa torpeur ; ses membres s'étirent et sa peau frissonne, un gémissement s'échappe de son bâillon alors qu'elle les déploie malgré les chaînes.
Hormis sa tête cagoulée, son corps tout entier palpite et tressaille ; ni l'air frais ni le sol dur ne l'empêchent plus de dormir, désormais, mais il lui faut néanmoins affronter chaque matin leurs empreintes.
Non qu'elle ne s'en plaigne.
-
Quand bien même le voudrait-elle qu'elle ne se le permettrait pas ; courbatures et chair de poule ne sont au pire que de mineures et temporaires inconvéniences. Elle s'y est depuis longtemps habituée.
De par sa force d'esprit et son désir de discipline, elle les a même apprivoisées ; le frisson matinal lui est devenu délicieux, et les douleurs musculaires des obstacles à franchir pour mieux savourer les étirements.
Sans compter qu'il serait ridicule de geindre pour de telles peccadilles, quand cette même peau est subtilement tavelée de tâchées bleutées, de marques d'impact et de traces de lanières de cuir, dont chacune se fait encore ressentir...
Et dont chacune fait sa fierté.
-
Elle se redresse.
Elle s'agenouille.
Elle est maintenant bien réveillée.
Cela lui prend parfois un peu de temps pour émerger, ou même pour le réaliser ; en ce lieu enténébré sur lequel elle ne pose que rarement ses yeux bandés ou ceints de cuir, le jour et la nuit sont ardus à distinguer.
Comme pour tout le reste, sa discipline durement acquise et ses ordres permanents ont pris le pas sur le désarroi des premiers temps, et l'exercice ainsi que l'habitude ont comblé les manques.
Lorsqu'elle se redresse, elle évite désormais de se cogner aux barreaux de la cage. Lorsqu'elle s'agenouille, elle sent d'instinct la direction de la porte du cellier ; il lui faut exposer son corps nu et enchainé face à l'huis chaque matin dans l'attente et la patience... du moins chaque fois qu'elle est rangée ici pour la nuit.
A l'hésitation originelle à maintenant succédé une calme et prudente expertise. Tatonnements aveugles et emmêlements de chaînons la feraient aujourd'hui davantage rougir que n'importe quelle gifle. Son dos est droit, sa tête basse, son buste relevé pour flatter sa silhouette emprisonnée. Dans la pénombre, on peut croire à une sculpture, tel un hommage à quelque nymphe tutélaire des captives d'un divin geôlier.
Mais la jeune femme n'est pas de marbre ; comme toujours, la contemplation de son sort éveille chez elle aussi bien ses sens que son esprit. Ses lèvres et sa langue se font plus sensibles autour de son baillon, alors que son souffle en s'approfondissant roule dans sa gorge enserrée d'un collier. Le fer et le cuir s'échauffent de concert avec sa chair. Elle sent sa peau rosir, ses tétines se raidir, et sa fleur perler d'une frâiche rosée.
Cela n'a rien d'une distraction... c'est un impératif, car c'est ainsi qu'elle est désirée, et de tels désirs sont, pour elle, des ordres.
En silence, le temps passe.
Son maître viendra.
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Je me réveille doucement.. et râle d'être éveillé aussi tôt pour travailler.
Sentant ta langue me laper le corps, dans ton entière dévotion et attente de servir, je te verrais en position de Soumission lorsque mes yeux seraient ouverts.
Je me lèverais, irais dans la salle de bain t'ignorant complètement, puis me regardant dans le miroir, je claquerais des doigts, pour te sentir rappliquer à me lécher le cul avec application, humant mes effluves de Mâle matinal.
Je me brosserais les dents, pisserais à porté de ta petite gueule, et m’essuierais la queue avec ton visage.
Toi, restant immobile et digne, sur ce matin tout à fait anodin.
À l'approche de mon départ, je tendrais la main, et dans ta sagacité et dressage, tu y déposerais l'accessoire de torture que je me ferais un plaisir d’utiliser sur ton corps, avec vigueur et sévérité.
Que cela soit une lapidation de coups de canne, des pinces à tétons à haute pression, ou un gode imposant pour te fourrer les orifices.
Tout serait bon à pouvoir savourer ma présence, de ce genre de petit "stimuli".. et à la fois redouter et se délecter de l'attente de mon retour.
Le corps à fleur de peau, recroquevillée, une larme perlant le long de ta joue, tu constaterais que je suis déjà parti depuis longtemps.
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Je me réveille doucement.. Tu te colles à moi pour me souhaiter un bon réveil, me couvrant le corps de baisés appliqués.
Je te dis qu'il est temps, et tu te prépares à moi dans ta tenue que je t'ai éduqué et imposé à porter.
Je me lève, va dans la salle de bain, et tu prends soin de mon corps d'une douce éponge et me lave le corps.
Au moment de pisser, tu prends soin d'orienter mon jet.
Dans la foulée, je t'indique d'un geste ce que je veux porter, et tu entreprends de m'habiller sans que j'ai à dire un mot.
À l'heure du départ, tu es à genoux sur le devant de la porte, une laisse entre les dents.
Te mettant à quatre pattes, je t'attire dehors pour faire tes besoins, tout en te gratifiant d'être autant une Bonne Esclave, qu'une Bonne Chienne à Son Maitre.
Nous rentrons, et t'attache au radiateur, de menottes et chaines claquantes et rutilantes.
D'un calme olympien, te serrant fermement le cou et te tirant ta tignasse de cheveux vers l'arrière.. Je salive onctueusement à l'intérieur de ta gorge.. avant de prendre congé.
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Je me réveille doucement.. La première chose que j'ai envie de ressentir, c'est ma main t'empoignant par les cheveux, afin de te faire lécher mon entrejambe.
Après mettre fait plaisir à sentir Une Esclave impliquée à l'ouvrage, je te place à hauteur de mon visage, et te murmure : "Bonjour Petite Pute.. A quoi pourrais-tu bien me servir aujourd'hui ?...", te faisant sucer mes doigts.. me laissant le temps à y réfléchir.
L'instant d'après, je me lèverais te trainant sans la moindre attention à la salle de bain, et te mettrais la tête à la hauteur de mes Chiottes.
Sirotant un verre d'eau, je déverserais ma pisse sur l'intégralité de ta tête.. Fredonnant un air de musique que j'aurais entendu la veille.
Te mettant à terre, dos au sol, je frotterais mon cul sur ta petite gueule ; Contraste de mon cul chaud et d'un sol implacablement des plus froids.
Prenant bien le temps de m'assoir sur ton visage, afin de t'étouffer et de te faire suffoquer, jusqu'à ce que mon plaisir à te malmener, me fasse bien bander.
Te mettant face à mon miroir, tu m'entenderais clairement dire, que je t'ai trouvé une utilité.
Te voyant souillée, à peine réveillée, et asservie.
Empoignant ma queue, j'aurais un malin plaisir à te regarder te pénétrer fermement le cul, d'une façon sans équivoque à prendre ce qui m'est dû.
Être conscient de mon territoire, et de le marquer de toutes les façons que ce soient.
Regardant l'heure qui passe, je te retournerais, et prendrais un cliché de ta petite tête de victime vulnérable en train de me pomper le gland suintant.
Prenant bien soin dans un râle tonitruant, d'étaler mon foutre sur tes lèvres et ta face disgracieuse.
Je te regarderais, me rapprocherais de ton visage.. Et en évoquant d'un geste de recul ta pestinence, te dirais clairement : "J'aime salir les femmes bien propres !"
Te collant à ton regard la photo que j'ai prise de toi, et qui égayera ma journée de travail.
D'une claque cinglante sur ton cul, signe de prendre la direction de la douche, ne résonnerait en toi que mon sourire sadique et la porte se refermer derrière moi.
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Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique -> La chevauchée fantastique.
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
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C'est une histoire vraie j'ai rencontré une jeune étudiante de 21 ans Elle vivait chez ses parents. Tout a commencé dans le respect. Notre relation virtuelle a commencé par des petits défis. Je lui ai donc imposé des tenues. même pour aller à la fac exemple, elle devait porter des jupes au-dessus du genou sans sous-vêtements. Elle était dans l'obligation de m'envoyer une photo d'elle pendant sa pause déjeuner qu'elle soit seul ou avec ses amis. Elle avait interdiction de croiser les gens. Comme je voyais que sa soumission se développer, j'ai commencé à lui imposer Dans la séance vidéo Detre nu dans sa chambre, fenêtre ouverte, et j'ai commencé à t'exercer à la torture Elle a voulu passer dans le réel, je l'ai donc convié à venir chez moi . « Si tu viens chez moi, tu n'as pas besoin de valise, tu devras vivre nue » Elle a accepté le jour de son arrivée à la gare de Angouleme. Elle portait une jupe et un et un chemisier bleu. sans aucune valise Je lui ai demandé de m'attendre devant la gare pour observer son comportement Elle était assis sur un banc, les jambes croisées. Je lui ai donc envoyé un SMS en lui disant, tu ne respectes pas ton rôle de soumise sa réponse, pourquoi Maitre ? Je lui ai répondu, tu as les jambes croisées, donc je viendrai te chercher dans 20 minutes . Toujours en observant je reçois un SMS, elle me disait, excusez-moi je le ferai plus . Je la vois décroiser les jambes. Je lui envoie donc un SMS pour ta punition, écarte les jambes et défait trois boutons de ton chemisier. Elle exécute mes ordres elle me renvoie un autre SMS. Venez me chercher j'ai honte on me regarde . Je lui réponds, tu n'avais qu'à pas désobéir je continue à l'observer dans ma voiture pour quand même faire attention qu'il n'y arrive rien au bout de 10 minutes, je suis descendu pour aller la chercher elle était heureuse de me voir je lui ai dit comme ça soit tu restes là 10 minutes de plus soit tu viens avec moi tu seras encore puni elle a choisi l'option de se faire punir une fois arrivée dans ma voiture. Je lui ai demandé donc de se déshabiller. Pour faire le trajet, arrivée chez moi, elle est descendu dans ma rue nue nous sommes rentrés et je lui ai préparé un bon repas à suivre j'ai une autre histoire avec elle le jour de son anniversaire, je vous en ferai part plus tard
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Après tout ses succés, le colonel Valeri du GRU a été promu. Mais bon, vous connaissez Valeri depuis que je décris ses aventures pendant l'opération militaire spéciale. Alors il a tout refusé et il a fait comme les autres, il a crée sa milice privée. C'est totalement illégal, contraire à la constitution de la Fédération de Russie, mais la légalité et les milices privées. Bien sûr, le GRU lui a immédiatement apporté son soutien et Vladimir en personne l'a reçu, ....pour lui ouvrir l'accès aux fonds spéciaux.
-Tu as fait un boulot incroyable camarade Valeri, je te donne les moyens de créer la plus redoutrable milice privée de la planète. Fais à ton idée et va terroriser les mercenaires de l'OTAN en Ukraine.
-Avec Plaisir, camarade Président, surtout que comme ils ne sont pas là, d'après leur propagande, nous ferons en sorte que leurs balivernes deviennent realité pour eux.
Valéri a appris les arts martiaux en Corée du Nord, les vrais arts martiaux, pas les trucs des chochotes nipones ou les trucages des films made in Hong Kong. Il est donc allé recruter là bas et rendre visite à son vieux Maitre. Il n'a eu aucun mal a s'entourer d'une equipe de tueurs et tueuses professionnels. Il a baptisé sa milice сталин c'est à dire Stalin. Il a recruté aussi en Sibérie, en Iran.
Il a patiement attendu que les forces de l'Otan sous drapeau bleu et jaune se lancent dans leur suicidaire "contre offensive". Sa milice est partie de nuit, par petits groupes de deux, sur toute la ligne du front, là où il était possible de traverser toutes les lignes de façon invisible. Valéri, avec sa soif d'action, n'est pas resté dans un quelconque bunker à attendre. Il est accompagné de la sublime capitaine Kim, une des pires tueuses d'Asie. Une femme dont la seule presence fout la trouille. C'est comme cela. Une sorte d'emanation propre aux tueurs. C'est à se demander s'ils ont une âme. Kim est d'autant plus effrayante qu'elle est belle. C'est peut être un démon incarné. Et comme toujours, c'est cela qui excite Valéri et donc il l'a sautée dès qu'il l'a vue. Un truc electrique qui ne s'explique pas. Et c'est reciproque chez kim. En presence de Valeri sa chatte souvre, elle mouille et son clito se dresse. Dès que Valéri la penètre, elle jouit et ne peut retenir les vagues d'orgasmes.
Un plaisir de traverser les lignes adverses comme si elles n'existaient pas, de dormir le jour, de baiser et de jouir de chaque instant comme si c'etait le dernier. Plus le risque est fort et plus l'envie de baiser devient furieuse. Kim est remplie de sperme par tous les trous. elle est resplendissante. C'est vrai que le sperme est bon pour les femmes.
Valéri est heureux de bosser pour son compte. Désormais il facture ses services le plus cher possible directement au Président Vladimir. Il pense bientôt aller offrir ses services en Afrique ou chez quelque richissime potentat oriental. Il est toujours marié avec Roxana mais il est totalement libre. Roxana est une bonne épouse perse, merveilleusement intelligente. Sa place est d'obéir en tout et pour tout à son homme. Valeri peut tout lui demander. Il claque des doigts et elle s'execute. Kim aussi a vite compris les règles avec Valéri. Obéir et écarter les cuisses. ne pas se poser de questions. Executer les ordres et ne parler que sur autorisation. Il n'est pas bon de laisser parler les femelles. Elles sont intelligentes et donc elles gambergent trop.
Valeri et Kim accomplissent la mission quils se sont fixée. Liquider un poste de commandement loin derrière le front. Récuperer toutes les informations sensibles. Une vraie ballade avec ce beau mois de juin. Kim est heureuse. Elle adore obéir. Valéri est devenu son Maitre. Rien de tel qu'un peu d'action et d'adrénaline pour bien bander ou mouiller.
La morale de cette histoire c'est: ne laisse pas ta soumise gamberger, c'est pas bon pour elle.
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Résumé : Max était un libertin, sa femme aimant jouer la chienne, il est devenu maître mais ses envie de libertinage reviennent à la charge.
Le pets-play est un jeu que Lucie adore. Elle n’y voit aucune humiliation, aucune soumission. Elle s’est achetée quelques petits accessoires, type diadème de little avec des oreilles puis des moufles avec des poils.
Quand elle a envie de son chéri, elle débarque au salon à quatre pattes et vient se frotter comme une chienne qui a envie de câlin. Cela l’amuse de faire la folle, une vraie little dans son genre et elle l’assume pleinement. Pour elle la vie est un terrain de jeu permanent, il faut profiter des rares plaisirs qu’elle nous donne.
Le jour de son anniversaire, son chéri lui a offert une cagoule de chien et une queue de chienne de chez ABCplaisir. Tel un volcan recouvrant tout lors de son éruption, elle s’est abattue sur lui pour le dévorer de bisous. Le pauvre gâteau innocent ne s’en est pas remis, sous l’impact de sa little Max s’est effondré dans le canapé, son pied a malencontreusement croisé la table basse, tout a volé dans le salon. Il a donc fallu faire une petite pause nettoyage dès le début de la soirée.
Située au fond d’un fin pertuis, la petite voie ne servant initialement que dans un sens s’est soudainement ouverte d’esprit. Comme quoi, tout est une question de motivation... Pour la première fois, Lucie a donc laissé Max jouer avec son anus, pour le laisser lui insérer le plug de la queue de chienne. Elle s’est aussitôt enfuie du salon en riant comme une folle et en bougeant ses fesses dans tous les sens pour aller chercher ses genouillères avant de revenir à quatre pattes avec son collier et sa laisse entre les dents.
Le si beau sourire de Lucie dévoilant ses canines blanches version OralB n’a pas tardé à disparaître derrière sa cagoule de chien. La « chienne » était très en forme ce soir là, Max a eu l’impression de faire un marathon dans leur petite maison isolée située à l’orée d’un petit bois, leur terrain de jeu lorsque la météo le permet.
Après une bonne heure de jeu, Lucie ne pouvait qu’avoir envie d’être prise en levrette, ce qui n’étonnera pas le lecteur. Etre prise avec un truc dans les fesses fut aussi une grande première pour la petite chienne, elle découvrit de nouvelles sensations qu’elle apprécia tellement que les lapins du bois très inquiets se sont demandés, si un loup s’était installé dans la région.
En clair, une femme malheureuse....
*************
Par une belle journée de printemps, Max équipa Lucie de tous ses accessoires de chienne pour la sortir au bois. Prudent, dans son sac, il avait toutefois glissé une robe d’été. La petite chienne s’amusa à renifler, à faire semblant de partir en courant puis à lever la patte. Max lui rappela que ce n’est pas ainsi que les chiennes se soulagent. Elle dut donc adapter sa position et, au dernier moment, il eut la présence d’esprit de soulever la queue pour l’épargner d’un jet d’urine, la little n’y pensant pas.
Si les pinsons et rouge gorges pouvaient parler, ils vous diraient qu’ils ont trouvé mignons ses tourtereaux jouant à chien chienne en chaleur aux pieds de leurs arbres. Arrivés à la maison, Lucie décida de rester dans ce rôle qui lui colle à la peau et frise parfois un réel besoin. Elle alla s’allonger dans son panier où elle se mit en boule pour une petite sieste sous les yeux attendris de son mari.
Au départ, Max était un libertin. Tombé fou amoureux de Lucie dès le premier regard, il a tout arrêté, sa chérie étant un peu bloquée sur ces pratiques. L’idée de revenir à la charge lui vint à l’esprit en la regardant dormir. Si bien que le soir après le repas, il ouvre la discussion sur ce sujet entre deux mamours.
- Tu sais, il faudra bien un jour que je te fasse couvrir par un chien !
- Heu.... Je rêve ou tu me parles de zoo là ?
- Mais non banane, d’un chien humain ! Imagine-toi en tenue, à quatre pattes attachée en train d’attendre d’être saillie par un beau mâle. Nous pourrions délirer, te faire prendre et lui promettre de lui donner un des chiens de la portée. Bien entendu, je serai là et te tiendrai pour pas que tu t’échappes ou le morde. A moins que je t’attache et me contente de te regarder couiner pendant qu’il te saute. Qu’en penses-tu ?
- Du libertinage quoi ?
- Oui et non ! Une chienne ne choisit pas, son maître sélectionne le reproducteur. La chienne n’a qu’à se laisser couvrir. D’ailleurs, pour t’habituer à ton statut de vraie chienne, je vais t’offrir une niche que nous mettrons dans la chambre. Qu’en penses-tu ?
- Tu as toujours refusé qu’on mette une niche dans la chambre ! Mais tu ne serais pas jaloux ?
- Jaloux de voir ma femme prendre du plaisir et jouir ? Non pas du tout, et puis n’oublie pas que je suis libertin.
***********
Revenant régulièrement sur le sujet lors de leurs jeux, Max décida un jour d’attacher la chienne puis de la laisser méditer après avoir inventé une histoire de reproducteur. Entravée à quatre pattes au bord de la table basse, lorsqu’il a éteint la lumière pour venir la sauter comme un chien, Lucie a découvert cette nuit là, le plaisir de l’abandon sexuel sous bondage.
Cette idée nouvelle et lubie de son Maître de la faire sauter par un inconnu commença à faire son chemin chez Lucie. Un jour, dans son délire, après avoir attaché sa chienne, Max lui déclara qu’il y avait deux chiens. Il joua le jeu de la prendre une première fois comme dans leurs câlins habituels mais il se retira avant de jouir pour la laisser mariner et fantasmer. Il enfila des gants, un pantalon et, toujours dans le noir vint la prendre en essayant d’être différent de d’habitude.
Au départ, Lucie y cru, cela ne dura pas mais elle garda en mémoire cette sensation d’être réellement plus qu’une chienne. Si l’idée de l’inconnu lui avait déplu, sa queue très active ne l’avait pas laissée de marbre, même si il ne lui avait pas fallu beaucoup de temps pour reconnaître son mari.
Les femmes sont parfois surprenantes quand elles se lâchent. Lucie finit donc par dévoiler à son mari que finalement ses idées de reproducteurs commençaient à lui plaire. Elle ajouta même que trois ou quatre seraient bien, une réponse surprenant énormément Max.
- Le libertinage pour le libertinage ne m’attire pas du tout. En fait, j’aimerai bien vivre une fois l’expérience de soumise sexuelle comme sur certaines vidéos de Fessestivites. Tu sais, quand les filles attachées passent à la casserole..... Mais si j’accepte, je ne veux pas voir la tête des mecs et encore moins les sucer, ça cela t’es réservé ! Oh mon dieu, qu’est-ce que je te raconte....
- Un de tes fantasmes tout simplement ma chérie. Tu ne peux pas savoir à quel point cela me fait plaisir que tu te confies comme ça.
***********
Le temps passa et, entre les jeux de pets-play et câlins débridés Max ne lui reparla pas de cette idée de reproducteurs. Plutôt que de la gêner avec ce sujet, il se lança dans le bricolage. Pendant tout un week-end, Lucie n’eut pas le droit de rentrer dans leur garage pour cause de préparation d’une surprise. Le soir de son anniversaire, la petite chienne se retrouva attachée comme de la charcuterie. Il lui fit un bondage de façon à lui imposer la position à quatre pattes avec les membres maintenus pliés avec du cellophane. Une fois entravée, il passa la laisse du collier sous l’un des pieds de leur lit et quitta la chambre en lui souhaitant une bonne sieste. Autant dire que Lucie tenta de s’échapper mais en vain, les mains cellophanées et les bras pliés, elle dut se résoudre à être sage.
Pendant la sieste de Lucie, il installa une niche très BDSM dans leur salon. Si elle ressemblait à celle que l’on peut voir dans les jardins, cette niche avait comme particularité d’avoir une sorte de porte d’entrée ajustable avec un trou en son centre permettant d’en faire un pilori. Décorée avec goût avec son nom écrit au dessus de la porte, cette niche molletonnée fut une sacrée surprise pour Lucie lorsqu’il la délivra. Toute émue, la petite chienne libéra quelques larmes de bonheur à défaut de pouvoir sauter sur son Maître. Le cadeau surprise ne s’arrêta pas là.
Après que la petite chienne se soit amusée à entrer, sortir de sa niche, il lui fit découvrir la fonction pilori dans les deux sens. Il la bloqua à l’intérieur avec juste la tête dépassant par la porte. Ni une ni deux, il ouvrit la braguette de son pantalon, se mit à genoux devant la porte pour se faire lécher par sa pets-girl devant s’appliquer dans cette fellation, sous peine de passer la nuit comme ça. La pipe étant « satisfaisante », il la fit sortir pour la bloquer dans le pilori en ne laissant dépasser que son corps. La tête bloquée à l’intérieur de la niche, la chienne se fit « couvrir » sans pouvoir voir l’extérieur de la niche.
Rusé et très joueur, il utilisa le téléphone de sa femme pour faire sonner le sien. Bloqué la tête dans sa niche, Lucie l’entendit discuter avec quelqu’un sans rien voir. Elle bondit de peur quand elle entendit la porte d’entrée claquer. Il caressa la belle croupe de sa femme, après avoir trempé ses mains dans l’eau froide et les avoir séchées. Elle crut que comme cadeau d’anniversaire, il avait invité un reproducteur ! Lucie était un peu furieuse qu’il ne l’ait pas prévenue. La suite fut bien pire !!!!!
Amoureux fou de sa soumise, Max s’était acheté dans une boutique de déguisements d’animaux un costume intégral de furry dog à poils longs. Si il n’enfila pas la cagoule de chien poilu, lorsqu’il se plaça contre les adorables petites fesses de sa chérie, les poils la traumatisèrent. « Non, il ne va pas me faire sauter par un vrai chien » se dit Lucie pour se persuader que cela ne pouvait pas lui arriver, que son mari n’était pas zoo ! ! !
Max s’amusa un instant à jouer le chien avec ses « pattes » avant et sa verge cherchant la faille du temple de la fécondité. La tête bloquée dans sa niche pilori, Lucie tétanisée finit par se rendre compte que ce n’était pas un vrai chien derrière elle mais un homme, un pets-boy. La surprise passée et rassurée, elle finit par se détendre et apprécier de se faire couvrir sans ménagement. A l’intérieur de la niche, des plaintes mélodieuses ne tardèrent pas à se faire entendre et pour cause : elle réalisait le fantasme d’être couverte par un inconnu en position de soumise sexuelle et qui plus est en chienne. Le pied ! Des « pieds » elle en eut plusieurs, traduction, la belle jouit plusieurs fois.
N’étant qu’un homme, tout seul, Max ne put « copuler » ad vitam æternam. Après avoir copieusement ensemencé la chienne, il installa leur machine à baiser qui elle, est infatigable.
La machine oeuvrant ardemment dans le chaton naturellement lubrifié et agrémenté de semence bio, il put à loisir claquer le beau fessier offert à sa guise ou jouer du magic wand massager sur le clitoris de la belle hurlant son plaisir à pleins poumons dans sa niche.
Jugeant que même jeune, le coeur de sa femme avait ses limites, il décida de la libérer. Lucie fondit en larmes entre les bras de son mari. Ces larmes n’étaient pas de tristesse comme vous vous en doutez mais de trop de bonheur, trop d’émotions, trop de jouissances.
Depuis cette soirée spéciale, il leur arrive de faire venir un ou deux hommes pour faire couvrir la chienne qui se fait prendre la tête enfermée dans « sa niche ». En échange de tant de bonheur et de générosité d’âme, Lucie a décidé de faire un cadeau spécial à son Maître. Il faut que je vous raconte !
Pendant qu’il faisait sa sieste, la belle a dessiné deux flèches sur ses fesses en désignant son délicat petit orifice. Elle a également préparé un petit mot avec des coeurs dessinés sur un papier avec comme indication « dépucelle-moi en me v i o l a n t par derrière ». Elle a attaché ses jambes pliées avec du cellophane avant de bloquer sa tête dans la porte pilori de sa niche. Une fois « pilorisée » elle s’est menottée de façon à ne plus pouvoir s’échapper.
Lorsque Max se leva, il dut se pincer pour vérifier qu’il ne rêvait pas. Lucie lui offrait son petit cul jusqu’à présent refusé. Autant dire qu’il ne prit pas le temps de se servir un café.
Fin
TSM
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Je suis sur le canapé à regarder la TV.
Tu arrives seins nus et petit tanga. Je ne te remarque même pas. Déçue et pour
attirer mon attention. Tu t’approches à quatre pattes en miaulant comme une petite
chatte en chaleur. Je ne bronche pas. Tu frottes ta tête sur mon caleçon,
lentement, en insistant bien sur mon entrejambe. Ton regard cherche Ă capter le
mien. Quelques coups de langue sur le tissu pour montrer ton envie de pomper ma
bite ! Je daigne enfin poser un regard sur toi. Tu souris. Moi, je reste très
sérieux. Me sucer n’est pas un jeu... Tu le sais. Tu prends le risque et tout en
souriant, tu baisses mon caleçon pour dégager mon pénis. L’objet de ton désir
apparaît enfin et tu le prends en main. Ma queue est à moitié bandée. Tu la branles
lentement. Moi, je ne dis toujours rien. Tu es hypnotisée par mon gland et mon dard
qui, au fil, de ta branlette se tend petit Ă petit. Elle est superbe et luisante,
tu en salives... Tu as envie ! Mais en as-tu l’autorisation ? Tu me regardes
suppliante, la bave aux lèvres ! Moi je suis imperturbable. Je te fixe,
sévère...D’une main, je pousse légèrement mon gland vers toi. C’est le signal !
Sans hésiter, tu gobes alors mon champignon. Il est doux. Tu fais rouler ta langue
autour. Tu le suces tout en continuant à me branler. Tu me tètes littéralement le
prépuce. D’un œil, tu guettes mes réactions. Tu donnes des coups de langue sur le
méa de mon gland. Un peu de pré-cum en sort. Tu le lèches avec application.
Alors commence les choses sérieuses. Tu lâches ma queue et tu l’enfonces
intégralement dans ta gorge. Tu pousses jusqu’à quasiment vomir ! Tu as mes
couilles sur ton menton. Lentement, tu remontes tes lèvres le long de ma tige puis
tu retombes sur mes couilles. Ma queue racle ton palais ! J’écrase ta glotte avec
mon gland. Tu suces avec ardeur. Toujours plus fort, aspirant et salivant comme une
chienne ! Ta bave coule sur mes couilles et tes nichons. Tu es souillée de tes
sécrétions buccales !
Je prends les choses en main. Je te saisis par la nuque et je commence Ă donner de
grands coups de reins. Ma queue viole ta bouche, tu étouffes, tu râles, tu
recraches des coulées de baves ! Tu en as partout sur le visage. Je baise ta gorge
comme si c’était un cul. Je tape fort ! Tes lèvres brûlent, tu n’en peux plus, mais
en bonne soumise, tu tiens le coup.
Je plante alors ma queue au fond de ta gorge et tout en te maintenant bien la
nuque, je me vide par saccade dans ton gosier ! PĂ©niblement, tu tentes de tout
avaler, mais il y en a trop ! Tu tousses, le sperme sort sous pression des coins de
tes lèvres et remonte par ton nez !Tu étouffes...
Je me retire et je te laisse t’effondrer par terre. Les yeux rouges, du sperme qui
ressort de partout. Il coule de tes lèvres pendant que tu reprends ton souffle ! Tu
me regardes heureuse de m’avoir comblé.
Je te laisse au sol et je me remets dans le canapé et je rallume la TV. Je zappe
une peu... Pas grand-chose ce soir au programme...
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T’AIMES ÇA...
Tu l’aimes ma queue ? Ma grosse queue chaude et démesurée d’éléphant tu l’aimes ? T’aimes la
regarder à travers mon pantalon, observer se renflement entre mes cuisses musclés et poilues,
estimé son volume intimidant compressé dans le tissu, détailler les contours de sa forme tubulaire
qui descend le long de ma jambe, la voir se mouvoir et se raidir quand je commence Ă bander, la
savoir devant toi si proche et accessible, poser ta main dessus et la sentir grandir et durcir a travers
mon pantalon, sentir sa chaleur et sa densité, sentir son appel et y répondre, te sentir soudainement
et irrésistiblement attirée. Oui t’aimes ça.
T’aimes ça quand ta main se referme sur l’épaisse colonne de ma bite pour la diriger vers ta bouche
et que tu pose mon pénis dilaté sur ta langue. Sentir ta bouche se remplir, tes joues se déformées par
la succion, te gaver de ce sexe jusqu’à la faire rentrer en entier dans ta gorge et plaquer ton visage
sur les poils de mon pubis, te sentir asphyxiée par sa longueur, bloquée par ma main qui agrippe ta
chevelure et te force Ă maintenir la posture. ĂŠtre a genou devant moi et faire rouler mes testicules
autour de ta langue pendant que ta main me branle contre l’arrête de ton nez, contre ton front jusque
dans tes cheveux. Attendre fébrilement le déclenchement des spasmes orgasmique qui vident mes
couilles par saccade désordonnées dans ta bouche offerte. T’aimes ça que je baise ta bouche ?
T’aimes ça être ma putain et t’offrir à mes fantasmes et mes pulsions, te laisser couvrir par mon
corps, te faire pénétrer dans ta chatte et dans ton anus, te laisser envahir et conquérir par mon besoin
de domination. Te voir submergée par ma force et ma brutalité incapable de résister; à mon torse qui
te plaque sur un mur et Ă©crase tes seins, Ă mes bras qui te bloquent te penchent sur une table et te
déculotte, à mon bassin qui te culbute obligeant tes cuisses à s’écarter, à mes mains qui se nouent
autour de ton cou et qui serrent, à mes poings qui se ferment sur tes sous-vêtements et les déchirent.
T’abandonner à jouir de multiples orgasmes libidineux provisoirement libérée de tes hontes et de tes
doutes devant la certitudes de mes gestes, la sécurité de mes désirs assouvis, le verrou de mon
impériale libido.
T’aimes ça aussi me retrouver dans une proximité organique, me voir, me sentir, m’entendre, me
toucher, me goûter, m’absorber. Te laisser dépassé par tes sensations, ton envie, ton désir dans la
douceur et la sécurité d’une relation forte et entière. Oublier tes craintes, tes freins, tes angoisses
dans un tourbillon de joies libératrices et jubilatoires. Te salir, t’humilier, te rabaisser, t’écorcher sur
ta dure et cruelle réalité et repartir plus propre et plus forte que jamais, neuve d’une grandeur
reconstruite par les mains d’un habile bienfaiteur.
T’aimes ça me retrouver dans une proximité émotionnelle, te laisser dépassée par tes émotions, ta confiance, ta sincérité, ta tendresse, ton amour. Découvrir, explorer, partager un nouveau monde qui n’attendait qu’a l’être au plus profond de nous.
Te savoir accompagnée, écoutée, comprise, protégée dans cette reconquête périlleuse et exaltante.
Te sentir plus vivante, plus sereine, plus accomplie, plus complétée, plus exacte.
Oui je suis sur que t’aimes ça, et moi j’aime ça aussi, j’aime ça pour toi, j’aime ça avec toi, j’aime
ça ensemble, j’aime ça encore.
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