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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Je n'imaginais pas que se faire sucer par une femme était aussi agréable ! Cette séance de fellation a duré environ 15 minutes. Une fois la séance de plaisir terminée, Maitresse Julia me fait descendre de la table et m'emmène vers un autre bout de la pièce. Toujours aveuglé par mon bandeau sur mes yeux, je butte contre une barre de fer.
- "Monte dessus" m'ordonna Maitresse Julia.
A tâtons, en tendant les mains devant moi à l'aveugle, je monte sur une sorte de structure en fer. Maitresse Julia positionne mes jambes et mes bras de la meilleure façon. Elle me plaçe à 4 pattes et m'immobilise avec des lanières aux genoux, aux chevilles, aux bras et aux poignets. Maitresse Julia me laisse seul un moment. Puis, je l'entend revenir et s'approcher de moi. Je sens qu'elle manipule mon sexe et y accroche deux bracelets en cuir : l'un à la base du scrotum et l'autre autour du pénis. Je me dis qu'elle les utilisera pour tirer un peu dessus pour m'exiter... Ah, si seulement j'avais eu raison !
Maitresse Julia tourne autour de moi et me caresse les fesses.
- "C'est qu'il a un joli petit cul en plus ! Mais je le trouve un peu pâle, je vais devoir corriger ça".
Incapable de bouger, je ne sais pas ce qu'elle prépare. Je sens seulement un coup de fouet sur mes fesses. En quelques coups, la douleur est déjà forte. Je me retiens pour ne pas crier car je ne veux pas montrer que je souffre. Sans doute, parce que je veux que ça continue.
Lorsque les coups s'arrêtent, je suis soulagé intérieurement. J'avais très mal mais je ne voulais paraître faible à supplier ma Maitresse. Cela lui aurait fait trop plaisir.
Je n'ai malheureusement pas le temps d'y réfléchir plus longtemps car je sens que Maitresse Julia s'est mise à me sodomiser avec un gode-ceinture. Rapidement, j'ai autant mal sur le cul que dedans. Mais qu'est ce que c'est bon !
A suivre...
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Ma première sodomie... avec un trans
je décide de sauter le pas et me faire enculer... Mais pas par un mec, je cherche donc un trans. Je tombe sur des sites spécialisés. Je trouve une belle blonde, très grande, belle poitrine généreuse, et bite de 22 cm, autant commencer gros. Finalement je franchis le pas... c’ est une première, et pour en plus me faire enculer... La porte est entrouverte, elle m'ouvre nue, je la suis dans la chambre, regarde son cul nu... Aucun effet je commence à avoir peur...Elle est divine pour le reste, visage tres féminin, longs cheveux blonde belle poitrine, le sexe à l'air pas mal mais encore mou. Elle Me met nue et m'allonge sur le lit... Elle commence à jouer avec ma bite... Puis me demande si je suis passif ou actif, tout comme j'ai demandé de faire .Je lui dis donc passif et là elle me dit "tu attends quoi viens me sucer" je me jette sur sa bite, la branle, le sens grossi, elle m'insulte et me disant suce-moi salope! Je m'exécute, sa bite grossis dans ma bouche, elle est énorme, dure, son gland est énorme , je suis allongé nu, elle me doigte le cul. Elle me tient la tête et me force à prendre sa bite en entier dans la bouche, je ne peux plus respirer, je suis sa pute soumise, je me dégage, elle m'enfonce à nouveau sa bite énorme, elle est assise sur mo torse je ne peux absolument rien faire, je veux me branler mais elle m'en empêche. Elle baise littéralement ma bouche, je suis excité comme jamais, j'en veux encore, elle sort sa bite pleine de bave, et étale ma bave sur mon visage, elle me retourne, me bloque la tête, je sens
sa bite dans mon dos, les fesses, elle se frotte contre mon cul... Et d’un coup je sens son gland rentrer en moi... Doucement... Énorme gland qui me défonce le cul... Puis elle accélère, me baise comme si j’étais une pute, me dis des choses crues "je baise bien ta chatte anale salope, tu es une bonne enculée" je lui dis que j'ai mal. “Je suis entrain de te dépuceler le cul, j’ai une grosse bite pour t’enculer à fond comme tu dois être un peu maso, je te dresse pour que tu aimes avoir mal à chaque fois que je t’encule je veux faire de toi une vraie salope soumise qui aime se faire défoncer le cul. Elle me met en levrette et me donne des coups de reins énormes, mon anus est complètement dilaté et douloureux mais je prends quand même un plaisir monstre, elle sort, m’ allonge sur le dos, et là sa bite rentre tout seul dans mon cul grand ouvert.
Maintenant tu es ma pute un véritable enculé qui aime ça et je j’enculerai à chaque fois que j’en ai envie.
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natacha suite
Son heure de prostitution passée, la pute était remplie de foutres, sa chatte grande ouverte et son anus complètement dilaté.
Du sperme il y en avait partout sur ses seins son corps et ses fesses.
Son visage était méconnaissable les yeux collés par le foutre sec.
De son menton s’écoulaient abondamment plusieurs filets épais mélangés de baves et de semences.
Tout ce que la pute n’avait pu avaler se rependait sur le sol, mais le pire était ses orifices.
Ce spectacle était parfaitement obscène. Sa mouille abondante mélangée au sperme montrait que cette salope jouissait de ce traitement humiliant. Un des actionnaires eu l’idée de faire une photo souvenir : un selfi avec la pute et tous les membres .
L’idée avait enthousiasmé l’assemblée . On détacha la salope.
On lui ordonna de se mettre à genoux et de présenter son cul. L’esclave obéit aussitôt de peur des représailles de ces malades mentaux .
Avec un bâton on lui fit comprendre qu’elle devait poser sa joue sur le sol pour que ses fesses soient bien en l’air.
Un nouveau petit coup sur les cuisses et elle écarta davantage ses genoux. Pas assez visiblement car elle reçut un coup plus fort sur son postérieur.
Elle ouvrit alors largement. Sa chatte encore béante et son anus dilaté étaient parfaitement exhibés on ne voyait plus que ca.
Mais l’humiliation ne s’arrêta pas là. On lui ordonna d’écarter ses fesses face à l’objectif. Chacun put prendre les clichés qu’il voulait de la pute ouverte, certains en gros plans d’autres avec des amis.
Mais il fallait faire vite car bientôt les orifices de la truie allaient naturellement se refermer.
Tout le groupe se rassembla derrière leur esclave toujours le cul en l’air et on fit un nouveau selfi.
Le plus surprenant était de voir la pute qui jouissait toujours avec de la cyprine qui coulait fortement de sa chatte immonde puante et encore dilatée.
Comment une truie pareille pouvait encore jouir de cette façon.
Elle a été humiliée, traitée plus bas que terre, en public elle s’est fait fister le sexe et le cul, ont l'a fouetté, engodée.
On lui a mis des inscriptions humiliantes des pinces à seins, les babines de son sexe ont été allongées par des poids.
Elle s’est faites enculer, a subi des gorges profondes, on l’a prostitué.
Elle a été filmée, photographiée pour le net dans cette longue déchéance, sous tous les angles en gros plan et cette salope a eu plusieurs orgasmes ! Quelle honte !
Mais cela fera de cette esclave une bonne pute parfaite pour les gang-bangs. On pourra continuer à travailler son esprit et son corps.
C’est une parfaite candidate quand on pense qu’il y a quelques jours encore c’était une parfaite bourgeoise bon chic bon genre et que maintenant c’est devenue une parfaite pute à bordel, une vraie truie, une chienne en chaleur pour le plus grand plaisir de ses acheteurs.
Mais sa formation ne va évidemment ne pas s’arrêter là. Pour commencer, demain, on va la transformer en parfaite lesbienne. Une bonne bouffeuse de chatte... et le pire c’est qu’elle aimera cela !
pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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l’envie était trop forte aux acheteurs de baiser cette salope et de s’occuper de ses trous encore ouverts .
au moins une dizaine ,voire quinze hommes leurs queues dressées, car natacha ne put les compter , entourèrent la femelle,
en soumission complète l’esclave s’est laissé faire de peur d’être sévèrement puni.
la douleur du fouet sur son cul lui rappela cette acceptation forcer .
de bourgeoise arrogante elle était passée en salope docile et humilier
elle commençait à comprendre qu’elle était devenu une vraie esclave sexuelle
qu’elle avait joui en public de cet état pour sa plus grande honte.
elle fut mise à genoux
« suce salope »
impressionner et effrayer par tant de membres érigés elle eut un moment d’hésitation .
malheurs à elle ,là ou on l’attendait se précipitant sur la queue comme une vorace une vraie salope qu’elle est
cette hésitation allait lui coûta cher .elle fut prisse brutalement pour les cheveux une bite lui força la bouche
avec violence pour arrive directement en gorge profonde . ce fut un choc une humiliation supplémentaire.
mais le plus bandant était son expression d’étonnement de douleur ,avec des cries étouffés des gargouillis obscènes.
la honte en public de cette introduction violente lui a été insupportable ,elle faillit vomir.
mais bien vite elle comprit qu’elle n’avait pas le choix d’aussitôt en sucer une autre puis une autre et encore, encore de passé de bite en bite
le spectacle devient vite de plus en plus hard des filets de bave se mélangeaient aux fluides des queues.
soudain comme convenu le plus gros des sexes se présenta devant ces lèvres, il était énorme et long devant la dimension natacha eut un mouvement
de recul bien vite ressaisi elle ouvrit la bouche en grand pensant uniquement sucer le gland déjà la vision de sa bouche écartelée sur celui-ci qui lui défigurait le visage
était très obscène tous regardaient le tortionnaire la saisi par les cheveux d’autres les bras l’esclave comprit ce qui allait lui arriver elle ne put rien faire
le membre pénétré sans aucun management forçant le passage de la bouche trop petite la masse de chair lui remplissant complètement la bouche
il poussa encore les yeux de la salope avaient une expression de panique ce qui excitait tous les pervers autour d’elle le membre continua
le corps de l’esclave se raidit mais elle était bien tenue des crie étouffés avec des bruits de sucions ajoutait au tableau particulièrement hard de la scène
c’était une gorge profonde très profonde car bientôt on vit la forme de son gland au niveau de son cou malheureusement l’homme ne put faire les
va et vient prévu dans sa gueule de chienne en chaleur les dents de l’esclave avec sa mâchoire écartelée au maximum risquaient de le blesser .
la future pute ne pouvait plus respirer et avait une grande envie de vomir ces réactions de désespoir se sentait sur le membre épais ce qui
excitait énormément son propriétaire qui n’en pouvant plus déchargea abondamment et fortement au fond de sa gorge . la pression du sperme était forte
c’est par le nez que celui-ci s’échappa cette scène répugnante et vulgaire réjouie l’assemblé de pervers mais l’esclave ne pensait plus qu’à sauver sa peau.
heureusement que l’homme retira sa queue ce qui permit à la pauvre salope de vomir et de cracher dans des sanglots tous les liquides qu’elle avait dans gorge.
à quatre pates avec des filets de baves qui allaient de sa bouche au sol l’esclave ressenti alors une immense humiliation et honte de ce qu’elle venait de vivre.
mais le pire pour elle était que son con que tout le monde voyait était trempée car elle avait joui de cette situation honteuse vraiment elle mérite bien son inscription
sur ses siens salope on devrait même lui tatouer définitivement son état pour tout le monde sache ce qu’elle est sa véritable nature .
comme déjà une scène rodée un des hommes se coucha par terre le dos sur le sol le membre érigé on ordonna à l’esclave de se placer à quatre pates au-dessus de lui
ce que fit aussitôt celle-ci de peur que ces malades mentaux ne lui fassent subir des dérivés extrêmes.
puis on lui demanda de s’empaler la chatte ce qu’elle fit sans problème mouillée et ouverte comme elle est .
cette chienne en chaleur était sans plus attendre elle fut aussitôt enculée et la bouche ne tarda pas à être aussi rempli.
voila elle était prise par les trois trous une triple pénétration elle n’avait jamais été prise comme ça elle criait de douleur d’humiliation et jouissances.
aussitôt que l’un se retirait un autre venait prendre sa place il y avait quinze hommes chacun voulait la prendre par la bouche la chatte et le cul
elle eu droit a toute les positions et situations
ils voulaient visiter chacun de ses orifices ils l’avait acheté aussi pour cela bientôt les trous de l’esclave débordèrent de foudres son corps son visage coulait de sperme abondant
le spectacle de cette bourge devenu objet sexuel était affligeant comment une femme pouvait devenir cette chose répugnante cette larve qui rampe pour des queues et du sperme
elle était digne de ses inscriptions sur son corps.
c’était vraiment devenu un sac à jus comme le méritait cette esclave bien salope. sa décadence était totale mais pas suffisant
il fallait maintenant la transformer en véritable pute .
pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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Chapitre 3 - le dernier
Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian.
Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied.
Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous.
Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian".
Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite. Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! " " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club, Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?" ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé.
Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?" "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer.
Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées.
"vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application.
"Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres.
"ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche
"La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué.
Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert.
"Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire...
" stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur" ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets.
Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air.
D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls.
" ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"...
Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence.
Fin
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Cela faisait plus d’une demi-heure que l’esclave était attachée à ce pilori.
Déjà ses trous étaient remplis de foutres. Elle ne pouvait pas bouger, pas de moyen de réagir.
Complètement à la merci des clients. Maintenant c’était une véritable pute. Sa paye se faisait si possible en monnaies dans un pot qui était accroché aux pinces de ses tétons et aussi par des billets
qui allaient lui être introduire dans le cul à la fin de séance. C’est de l’argent sale pour une pute humiliée.
Nul doute que ses maîtres lui feront nettoyer les billets avec sa langue pour lui montrer sa déchéance.
Pour bien dégrader davantage ce sac à foutre qui en avait déjà plein le cul, ses tortionnaires lui expliquèrent la suite du programme.
"Nous t’avons acheté 10.000 euros, nous devons rentrer dans nos frais et faire un bénéfice.
Tu vas faire la pute pour nous jusqu’au remboursement de cette dette .
Nous avons prévu pour toi quatre heures de tapin par jour dans les mêmes conditions.
Nous avons fixé le prix de tes trous à cinq euros pour pouvoir avoir le plus de monde possible.
Aujourd’hui tu es ici demain tu seras dans un bordel de bas étage.
Ces quatre heures se feront dans la journée avec des moments de repos pour laisser refroidir tes trous. Le reste du temps tu le passeras à ta formation et transformation en esclave.
Cinq minutes : c'est le temps estimé pour chaque client. Ils devront jouir en toi dans ce délai.
Cinq minutes fait 5 euros soit 12 x 5 = 60 euros par heure x par 2 pour tes deux trous = 120 x par 4 = 480 euros par jour.
Tu devras tapiner pour nous 20 jours + 10 pour notre bénéfice : tu feras la pute pour nous un mois entier.
Nul doute que par la suite tu continueras par plaisir et addiction. Nous travaillerons sur toi pour que tu deviennes cette chose."
Le plus dur pour cette putain était les fellations presque toujours en gorge profonde avec sa bouche ouverte offerte et forcée.
Elle n’avait aucun choix. Le sperme abondant coulait de partout et certains clients jouissaient sur son visage.
Elle avait déjà les yeux collés par le sperme sec elle ne pouvait plus rien voir comme l’énorme queue d’un homme qui lui remplit
la gorge et même au delà, si bien que l’on vit la forme de son gros gland au niveau de son cou, spectacle parfaitement obscène.
Ajouté à la douleur de ses tétons étirés par le poids de son argent et de son cul ramoner avec violence, l’esclave eut un énorme orgasme en public qui ajouta à sa honte .
Elle eut, en une heure, 24 pénétrations 12 fellations, 4 fois par la chatte et 8 fois enculée.
Pour aujourd’hui c’était suffisant. Demain il était prévu 4 heures de ce traitement en public dans un bordel particulièrement sordide
pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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Momo considère vraiment les femelles comme des poules qui font cot cot cot dans les rues des villes. Des poules qui parlent pour rien dire, des poules qui parfois se croient savantes, mais à part faire cot cot cot, elles sont plus vides que les grands espaces noirs entre les galaxies.
En plus, momo n'aime que la sodomie. Troncher une poule par la chatte pour qu'elle ponde, c'est vraiment pas son truc. Une poule bien enculée ne fait plus cot cot cot d'après momo mais oui oui oui. Elles comprennent vite la différence. Un cot et un oui, c'est pas la même chose. Les poules ont assez de neurones pour utiliser deux mots.
momo laisse toujours les poules faire cot cot cot jusqu'à plus soif. Cela, elles savent très bien faire. Il les écoute, du moins il fait semblant et ne dit rien. Après il les coince et les encule sans préliminaires, encore une invention des poules ce truc, comme si les mâles avaint besoin de préliminaires pour bien jouir.
Ce que momo préfère c'est les poules féministes qui se croient libérées. Ce sont celles qui ont le plus envie de se faire mettre vraiment et bien profond. Ce sont celles qui chantent le mieux oui oui oui après. Faut les entendre celles là quand elles chantent bien le oui.
momo a crée un perchoir de silence pour ses poules. Elles doivent rester nues et assises, mains sur les genoux avec interdiction de bouger et bien sur de faire cot ou cot cot. Après avoir dit oui, les poules aiment un espace de méditation pour sentir la semence du mâle au fond d'elles. Méditer sur cette étincelle yod au fond de leurs entrailles. C'est bon pour elles d'après momo.
Après c'est d'un peu de gymnastique dont elles ont besoin. momo leur met la flute enchantée de Mozart, le passage avec papageno et il fait danser ses poules sur un pied, puis sur l'autre, avec un beau god à longues plumes multicolores dans le cul. Ah qu'elles sont jolies les poules qui dansent sur un air de Mozart. Là elles ont droit au cot cot tant qu'elles veulent pourvu que ce soit en rythme avec la musique.
Ensuite vient la séance de badines, de verges cinglantes. C'est que momo adore voir ses poules avec un cul bien rouge. C'est signe d'excellente santé. Poule bien fouettée, poule en félicité.
Le picorage des poules se fait en silence, cot cot interdits, eau fraiche assurée. Ensuite c'est la sieste, la couvée, dans une grande pièce remplie de voluptueux coussins et tapis moelleux. C'est là que momo se tape ses poules comme il lui plait de le faire.
La morale de cette histoire c'est: vient poulette j'ai du bon grain dans mon poulailler. Rires
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Merci à Coronavirus qui a amené le grand calme sur la ville et le feu dans mon membre. Avec le couvre feu justement, je sors le soir me taper mon harem. Je passe par les allées sombres, les cages oubliées d'escaliers. Mes femelles sont bien chaudes. C'est un devoir d'aller les astiquer. Elles peuvent se laver les mains, mais pas la chatte, c'est interdit. Je les aime bien poilues et parfumées à la cyprine naturelle. Le lavage de chatte au savon de Marseille c'est mon job, avant et après. Culottes interdites, cela va de soi. De belles chattes doivent pouvoir bien respirer.
C'est cette conne de Lorette qui a du me le refiler. Aussi qu'elle idée de bosser par ces temps où il fait bon rester chez soi et ne sortir que la nuit quand tous les chats sont gris. Putain de Lorette avec son cul d'enfer. Chaque fois que je vois Lorette, je bande et il faut que je la trousse et que je l'encule. Jamais de préliminaires, c'est pour les tapettes. Cette conne a voulu continuer de bosser. Cadre à la poste , cela aurait pu être une bonne planque. Mais non, Lorette faut qu'elle mouille le maillot et pas que et donc elle a chopé ce virus et en la baisant comme un sauvage, je l'ai chopé aussi. Pas grave, j'ai mon stock de plaquénil et d'azithromicine, suivant le protocole de l'expert marseillais qui l'avait dévoilé avant ....Une de mes meufs, la belle Aïcha des urgences m'avait averti pour que je puisse prendre mes précautions. Et cela a marché très vite. J'ai niqué ce coronavirus en quelques jours. J'avais en fait suivi le protocole d'Aïcha, Le choper, le niquer à la chloroquine, être immunisé.
Aussi, il faut bien remercier cette grosse salope d'Aïcha pour ce beau service, être immunisé. Une bombe sexuelle sur pattes, cette Aïcha, avec ses seins pointés comme des obus, ses lèvres de prédatrice sexuelle, ses longues jambes musclées. Faut être con pour mourir aux urgences entre les mains d'Aïcha. Surtout qu'elle ne dit jamais non et qu'elle ne porte jamais rien sous sa blouse.
Je me suis pointé ce soir, devant sa cage d'escalier. J'ai attendu qu'elle rentre de son boulot. La pauvre, elle est cassée avec tous ses patients en mal d'oxygène. J'ai posé mes grosses mains dessus. Elle a dit:
_ah c'est toi.
Une bonne femelle reconnait toujours son mâle. J'ai pas répondu, je l'ai embrochée d'un coup dans les reins. Aïcha a tellement aimé qu'elle s'est mise à me pisser dessus. Elle s'est vidée. Nous avons jouit très fort tous les deux. Nous avons fumé un pétard et je l'ai laissée avec son cul bien ouvert et bien rempli de sperme. Sa dose de vitamines en injection directe pour l'aider à tenir.
La nuit ne fait que commencer. Je n'aime pas laisser mes femelles hurler comme des chattes en chaleur. C'est un devoir d'aller les calmer.....
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Malheur à vous, de la race des esclaves, des soumis, des écartes cuisses si vous tombez sur Skhor, le terrible viking, seigneur et maitre des quartiers nord. Il n'a aucun état d'âme, la pitié, il lui pisse dessus. La peur c'est pour les autres. Il fait peur à tout ce qui s'approche de lui et c'est un tueur, il fait clairement comprendre qu'il dispose de ce droit et que cela ne lui pose aucun problème. Oui, il fait peur, par sa seule présence et son ombre rode dans toutes les rues des quartiers nord. La loi c'est lui et mêmes les poulailles doivent lui rendre des comptes.
Une fois, une commandante juste nommée a débarqué dans le commissariat sur le territoire de skhor. Elle ne connaissait pas les règles , croyait à toutes les conneries apprises dans les écoles de la raie-publique. Skhor l'a vite chopée et l'a dépucelée du cul en pleine rue, sur le capot de sa voiture pimpante, gyrophares allumés, devant ses collègues qui n'ont pas bronché, blancs de peur. Skhor porte toujours une hache dans son dos. L'acier brille et peut facilement couper un homme en deux. Comme la commandante n'ouvrait pas assez, elle a reçu une bonne raclée bien sonore. Le sang a afflué sur ses belles fesses bien rebondies. les connes ont toujours les fesses rebondies, allez savoir pourquoi. Cool, je blague, j’écris, c'est une fiction, c'est pour rire un peu. Et chose surprenante la commandante a fini par jouir. dépucelée du cul et contrainte à de violents orgasmes le même jour. Depuis elle file droit, elle a compris qui était son seigneur et maitre.
De toute façon tous les culs et chattes du quartier nord sont propriété de Skhor. Il exerce son droit quand il veut et comme il veut. Juste il aime pas se faire des mecs. Alors il a délégué. Il s'est choisi deux femmes, des guerrières complètement dingues et expertes en god ceinture enduits d'harissa, et couteau castrateur si besoin. Les mecs des quartiers nord doivent baisser la tête et éviter de regarder Skhor et ses deux dingues dans les yeux. Ceux qui ont subi le supplice du god ceinture enduit d'harissa hurlent encore.
La demeure de Skhor est sur un toit d'immeuble. Tout en bois, une sorte de hutte avec des cranes à l'entrée. C'est là qu'il reçoit ses guerriers, donne ses ordres et rend la justice à sa façon. Il n'existe pas d'endroit plus paisible que les quartiers nord. Aucune femme n'est agressée ou simplement embêtée. le vol n'existe pas. les mamies ne risquent pas de se faire arracher leur sac à main. La commandante est montée en grade, elle a été félicitée par son administration pour ses excellents résultats dans un quartier difficile. Personne ne va au commissariat porter plainte. C'est plus sûr de s'adresser à un des guerriers ou guerrières de Skhor. Pas de blablas, une justice vite rendue et sans erreurs.
Je ne sais pas pourquoi, mais il me semble que la commandante aime se rendre dans la hutte de Skhor, le soir, en uniforme pimpant. On entend des cris dans la nuit. Cela met tout le quartier nord de bonne humeur. Cela donne des envies, surtout lorsque la commandante ne retient pas ses orgasmes, libérée de tout, le lâcher prise jusqu'au bout. Skhor en a une énorme. La commandante fait bien des jalouses avec son joli cul bien rebondi. Elle est tout sourire le lendemain. Allez savoir pourquoi?
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tatouage intime d’une soumise pour son maitre
portrait d’une sodomie réalisé sur la base de photos envoyées par le modèle
l’avantage du dessin est de permettre de représenter des choses difficiles à faire dans la réalité
ici le tatouage que j’ai augmenté pour décorer et mettre en valeur l’intimité du modèle,
surtout son cul bien ouvert par un sexe qui le défonce.
ce qui donne cette oeuvre original très érotique et graphique
dessin au crayon graphite sur un format 21x29.7
pour voir d’autres dessins ou pour commander le votre mon autre site
http://dessindenu.onlc.fr/
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Voilà plus d’un mois que je suis à New York et j’ai l’impression d’y habiter depuis des années. Les plans de la nouvelle galerie sont pratiquement terminés, et les travaux devraient commencés fin novembre, plus tôt que prévu.
J’ai prévu de rentrer en France le 16 novembre pour faire connaissance du nouveau propriétaire de ma galerie lyonnaise.
Ici ont vit à cent à l’heure, Dans cette ville rien ne s’arrête jamais, jour et nuit la ville fourmille. Ça me change de Lyon ou à 10 heures du soir, c’était le désert.
Parmi les amis que John m’a présenté, figure un richissime industriel de 70 ans qui à fait fortune dans le pétrole, et qui a pour habitude d’organiser les fêtes les plus originales.
John m’expliqua qu’il organisait régulièrement 4 fois par an, des cocktails à but caritatifs. Dans sa somptueuse demeure, ils invitaient des couples, tous mariés, et au portefeuille bien garni. Le jeu consistait dans un premier temps, à ce que toutes les clefs de voitures de ces messieurs soient mises dans un petit sac de velours, avec leur nom à l’intérieur. En même temps ils devaient faire un chèque de dix mille dollars. Ces sacs étaient mis dans une grande vasque. Ensuite chaque femme tirait un sac et découvrait le nom du propriétaire des clefs. Ils partaient alors ensemble pour terminer la journée et la nuit au domicile du monsieur qui devait rendre la liberté à sa nouvelle maitresse avant 12 heures le lendemain. Bien évidemment, une épouse ne pouvait pas partir avec son mari et tirait un autre sac.
Les gens se bousculaient pour être invités à ses journées de bienfaisance. La recette ne descendait jamais en dessous de 800 000 $ qu’il redistribuait aux associations.
Une idée qui rapportait beaucoup d’argent, qui ne lui coutait que le champagne et les petits fours, et qui permettaient à ces couples mariés de se tromper mutuellement, mais pour la bonne cause ! L’honneur était sauf.
Fin octobre, John m’annonçât que nous étions invités à une des soirées organisées par ce magnat du pétrole. Je demandais à John s’il s’agissait de ce types de soirée, il me répondit que non, qu’il s’agissait d’une soirée costumée sur le thème de « Les nuits de Caligula ».
Un peu d’histoire pour ceux qui ne connaissent pas cet empereur romain. On lui a prêté maints méfaits plus horribles les uns que les autres. Il n’avait pas hésité à tué son oncle l'empereur Tibère de ses propres mains, (si on peu dire) pour prendre sa place, qu’il couchait avec sa sœur, (il reproduisait ainsi les mœurs de l’Egypte antique) qu’il organisait des fêtes qui se terminaient toujours en orgies le plus souvent très sanglante. Des hommes et surtout des femmes étaient sacrifiés dans des souffrances les plus horribles pour assouvir sa folie sexuelle et meurtrière. Qu’il humilia les Sénateurs en prostituant obligatoirement leurs femmes et leurs filles. Il avait même nommé son cheval Grand Consul. Vous voyez le personnage.
Le thème de la soirée était sans ambigüité. Sur le carton d’invitation, il était écrit que les costumes seraient fournis en totalité sur place. L’adresse était un entrepôt situé au port Newark dans le New jersey
Vendredi 29 octobre
Quand nous sommes arrivés sur les lieux, c’était sinistre. Des alignements de bâtiments identiques, dans un environnement de containers. L’endroit était lugubre, puis après avoir tourner en rond un bon moment, nous sommes arrivés sur un parking éclairés, des dizaines de voitures étaient déjà garées et surveillées par des gardes armés.
Sur le devant du bâtiment, une entrée fortement éclairée. Quand nous pénétrâmes, une surprise de taille nous attendait. Nous nous serions cru dans un décor de péplum à Hollywood. Une vaste entrée avec de chaque côté des colonnes, puis les vestiaires, hommes et femmes. Je quittais John et me retrouvais devant des servantes toutes vêtues à la romaine, une espèce de robe très courte, découvrant la totalité d’un sein et ouverte dans le dos avec une ceinture à la taille. Toutes étaient jeunes et belles. Je me déshabillais avec les autres invitées, mettais mes affaires dans un casier en plastique, ne gardant sur moi que mes bijoux. Les téléphones portables devaient être également déposés dans le casier. Interdiction formelle de photographier. Un couvercle fermait le casier avec un cadenas dessus. Je gardais avec moi la clef.
Puis je me dirigeais dans le plus simple appareil vers la salle d’habillement. Là ce sont des hommes vêtus également d’une sorte de jupe qui nous donnèrent nos vêtements. Ils me donnèrent une robe rouge sang, en mousseline, très transparente, très décoltée devant et derrière et des espèces de sandales et un petit sac en forme de besace que l’on pouvait passer autour du cou. Il était rempli de préservatifs. J’y plaçais la clef. Et me dirigeais vers la sortie.
Dans ce hall, je retrouvais John, habillé d’une toge blanche et également de sandales. Je le regardais ainsi déguisé, je le trouvais très beau, il me fit le même compliment, ce qui me ravit.
Le hall passé, nous sommes arrivés dans une immense salle ronde, avec en son centre une piste comme au cirque et tout autour, des gradins. La pièce suivante devait être la salle à manger. Elle était composée essentiellement de large matelas recouverts de tissus, dans le fond un buffet était dressé avec une multitude de mets et de boisson.
Un peu plus loin, un large couloir avec de chaque côté une bonne douzaine d’alcôves simplement fermées de rideaux presque transparents.
Nous continuions la visite et découvrait une autre pièce, ressemblant à une cave, des ustensiles de torture étaient accrochés aux murs. « Ca ce n’est pas pour moi » disais-je à John, qui acquiesçât.
En retournant dans le hall, John rencontrât le maître des lieux, jouant le rôle de Caligula accompagné d’une sublime créature, aux longs cheveux d’un noir profond et entièrement nue, à l’exception d’un collier autour du coup auquel était attaché une chaine et qu’il tenait à la main, elle portait comme bijoux des boucles d’oreilles en or et diamants d’un bracelet et d’un bijoux assorti placé au dessus de la fente de son sexe complètement épilé, Les présentations faîtes, la fille s’appelle Eva, « Caligula » nous dit que soirée commencerait dans un quart d’heure.. Il nous donnait rendez-vous au « cirque ».
Effectivement, une sonnerie de trompette nous invitât à nous diriger vers le cirque. En regardant nous avons constatés qu’il devait ya avoir au moins deux cents invités, qui avaient quand même déboursé mille dollars par personne. « Caligula » pris place sur un trône avec à ses pieds son esclave nue. Je ne pense pas qu’il aurait pris le risque de faire venir des mineures, mais cette fille était visiblement très jeune.
Une fois tout le monde installé, il se leva et annonçât : « que les jeux commencent ». Alors deux hommes entrèrent entièrement nus, comme c’était l’usage dans la Rome antique, Ils se placèrent au centre de l’arène. « Caligula » leva la main et la lutte commença. De voir ces lutteurs nus, le sang commençait à monter aux joues. Prises après prises, où tout était pratiquement permis, un des participants, le rasé, immobilisa son adversaire par une prise peu protocolaire, un serrage de couilles avec immobilisation des bras avec ses jambes.cour08b.jpg
« Caligula » se leva et le déclara vainqueur. Alors « l’esclave » de « Caligula » se leva se dirigea vers le gagnant, se mit en levrette devant lui en offrant son sexe et le reste. Il ne se fit pas prié, après une simple masturbation, il enfonçait son sexe dans le cul de « l’esclave » et la pilonna jusqu’à la jouissance. Tant qu’au perdant, une autre « esclave » s’approcha de lui, elle tenait devant elle attaché à sa taille un gode d’une bonne taille, quatre autres l’obligèrent a se mettre à quatre pattes et en le maintenant fermement, sans attendre « l’esclave » au gode lui perforât les reins d’une seule poussée. L’homme poussa un cri strident, le spectacle chauffait les esprits, le fait de voir un homme se faire sodomiser par une femme les mains commencèrent à se balader sur son voisin ou sur une voisine proche.
« Caligula » se leva et proposa une autre lutte avec cette fois, deux femmes tirées au sort dans les invités. Il plongea la main dans une vasque et tira deux papiers pliés le 15 et le 126, il nous demandât ensuite de regarder dans nos petits sac quels numéros figuraient. Ce que je n’avais pas vu, un petit papier était plié au fond, je le dépliais et montais à John mon numéro, le 127. Ouf sauvée, je n’avais aucune envie de lutter contre une autre femme.
Les deux femmes tirées au sort se présentèrent au centre de l’arène. Une avait une trentaine d’année, pas très grande avec des seins imposants. Elle émit le souhait de ne pas participer à cette lutte, « Caligula » lui répondit que si elle refusait, elle serait conduite à la salle de torture. Du coup elle accepta en rechignant. L’autre visiblement plus âgée, à l’opposé n’avait pas beaucoup de poitrine. Je disais à John, que si la mince arrivait à attraper les seins de la plus jeune elle avait gagnée. Ce que j’avais prévu arrivât un peu plus tard, Après quelques prises aux cheveux, la plus jeune voulant enfoncer sa main dans le sexe de son adversaire. La plus âgée l’ayant retourné sur le dos elle lui attrapât les deux seins à pleine mains et tourna violemment. L’autre cria et arrêtât le combat.
« Caligula » se leva et déclara la femme aux petits seins vainqueurs. Il lui donna le choix de punir son adversaire, elle choisi le même châtiment que pour le lutteur homme, mais cette fois par un homme. Il appela alors cet homme, un black surgit des coulisses, il était monté comme un âne. Lorsque la femme vit son sexe, elle voulu fuir, mais elle n’alla pas très lion, retenue par l’assistance qui voulait voir ce spectacle. Alors, maintenue au sol sur le dos, les jambes relevées remontées jusqu’aux épaules, le black s’avançât, se plaça devant elle, le sexe tendu au maximum devant le petit orifice, et lentement mais implacablement s’enfonçât dans son intimité la plus étroite. La fille criait, une des esclaves lui plaquât sa main sur la bouche pendant que le black n’en finissait pas de perforé cette femme. Une des esclaves masturbait le clito de la fille qui ne tarda pas à remplacer ses cris par des gémissements. Le black accéléra ses vas et vient et au bout d’un bon moment il se retira et jouit sur le ventre de la fille, qui en jouissant à son tour émis un jet violent qui inonda le black. Pour la gagnante elle eu le choix entre le même black ou un gang bang avec cinq « esclaves » dans une des alcôves. Gourmande elle choisi les 5 hommes.
Mais le spectacle n’était pas fini. « Caligula » se leva et annonçât que 3 jeunes filles étudiantes avaient décidées de mettre leur virginité aux enchères, au plus offrant. La défloration se fera au milieu de l’arène après les enchères. Il demanda aux participants d’être doux avec les filles pour leurs premières fois. Les trois filles entrèrent, Elles étaient entièrement nues. Dans la salle les yeux des hommes étaient fixés sur ces trois filles prêtent à connaître pour la première fois la perte de leur virginité. Les enchères devaient revenir aux filles ce qui leur permettaient de poursuivre leurs études sans problème financier, Pas très moral, mais après tout, il fallait bien qu'elle se fasse baiser un jour, alors autant joindre l'utile à l'agréable. On apportât alors trois lits qui furent placés au centre de l’arène.
Alors « Caligula » commença les enchères à 5 000 $. Pour la première fille, une petite brune toute frisée avec des petits seins. L’homme derrière moi annonçât 6 000, un autre 7 000. Celui qui a dit 8 000 était un homme d’une bonne soixantaine d’années. Il emportât les enchères à 10 000 $. Cette fille allait pour la première fois de sa vie faire l’amour avec un homme agé. Souhaitons qu’il soit à la hauteur. Effectivement après avoir longuement lécher son sexe il pris sa virginité avec une douceur extrème, pour la première fois de sa vie elle joui d'une pénétration.61f.jpg
La seconde fille était brune, grande avec des seins respectables, complètement épilée avec le triangle du sexe largement ouvert. Les enchères reprirent 8 000 $ – 9 000 – 10 000, ça commençait à faire cher pour une défloration. Enfin 15 000 $ et c’est un homme black qui emportât la mise. Je pensais en moi-même, s’il est monté comme l’autre black de tout à l’heure, la fille va le sentir passer.Elle se coucha sur le dos, il lui demandât de lui faire une fellation, son sexe d'une taille honorable au repos développa une érection impressionnante. Après avoir à son tour sucer le clitoris de la fille il lui demandât de se mettre en levrette, il présenta son sexe à l'entrée du vagin et tout doucement il l'a pénétra de toute la longueur de son sexe. Elle émit un cri de douleur, puis il se retira, son sexe portait les traces de la perte de virginité de la fille. Il recommença, elle avait la tête enfouie dans un coussin et commençait à gémir puis n'ayant plus d'obstacle, il la martelât longuement jusqu'à ce qu'elle se mette à crier. Il éjaculât, et ils tombèrent tous les deux sur le côté. L'assistance dans un état d'excitation extrème se mit à applaudir.
Troisième enchères, des murmures montèrent dans l’assistance, la fille grande, blonde était magnifique, avec une paire de seins superbes. La bataille s’annonçait rude. C’est alors que « Caligula » annonçât : « Cette fille est vierge des deux côtés, dont il y aura deux gagnants » et de toutes parts les enchères montaient. 15 000 -20 000 les deux vainqueurs de ces enchères allaient baiser et enculer cette fille pour la modique somme de 35 000 $ chacun. Elle alait pouvoir terminer ses études sans soucis.
Tant qu’à la troisième fille, un des deux hommes s’était couché sur le dos, il fit mettre a fille au dessus de lui en lui tournant le dos et sans qu'elle n’eu pas le temps de comprendre, l’homme s’était littéralement empalé dans son cul, laissant libre son sexe pour l’autre partenaire. Elle essayât de se dégager, mais le deuxième homme s’approcha plaça son sexe entre les lèvres intimes de la fille, et sans attendre, il s’enfonça d’un coup. La fille se mit à hurler, mais rien n’y faisait, ils continuaient tous les deux à baiser et enculer la blonde à grands coups de reins. Ses seins se balançaient sous les coups de boutoirs. Ils firent durer le plaisir un bon moment, sans doute fallait-il rentabiliser les 35 000 $ qu’ils avaient déboursé chacun. La fille pleurait en les suppliant d’arrêter, mais ils continuaient inlassablement le massacre de ses orifices encore vierges vingt minutes plus tôt. Puis ils se regardèrent et dans un ensemble parfait, ils éjaculèrent ensemble. Ils se dégagèrent enfin, la fille se couchât en chien de fusil sur le lit, son sexe saignait. Les draps en étaient tout souillés. Des hommes entrèrent prirent chaque côté les trois lits et emportèrent les filles toujours couchées dans une pièce annexe.
Visiblement ils avaient du se mettre d’accord, pour faire subir à cette pauvre fille un traitement qu’elle ne méritait pas. « Caligula se leva et annonça : « J’avais demandé de la douceur, vous n’avez pas respecté cette consigne, je vous exclu de la soirée et des autres à venir. » et comme si il était vraiment entré dans la peau de son personnage, il ajouta : « Galigula a parlé, partez immédiatement ».Ils quittèrent l’arène sous les huées des autres spectateurs. non sans avoir signer leurs chèques de 35 000 $ chacun. Je regardais John, il était écarlate. Je lui demandais : « Tu aurais été capable de faire subir ça à cette fille ? » Sa réponse fût catégorique : « j’aime trop les femmes pour les faire souffrir de cette façon ». En tout cas, j’espère qu’elle ne gardera pas trop de séquelles morales et physiques de son dépucelage, car c’est des coups à devenir lesbienne.
Ce spectacle avait été d’une telle violence, que les spectateurs n’en pouvaient plus, je sentais une main se promener sur un de mes seins, je me retournais et constatais que sa voisine avalait son sexe. Mon voisin de devant se retourna, et constatant que mon sexe n’était pas encore occupé, plongea sa main en avant, et entra plusieurs doigts dans ma chatte très largement humidifiée. A mes côtés John avait sur ses genoux une très jeune fille qui lui offrait son cul pour une pénétration anale. Ce qu’il fit immédiatement. Mon occupant changea de position, sortant un sexe en pleine forme de dessous sa toge, je sortais un préservatif du petit sac, lui enfilait, et il me baisa longuement.
On eu droit aussi à une vente aux enchères comme ça ce faisait à l'époque; Sur une estrade un homme officiait en vantant les qualités d'une femme complètement nue, Il décrivait ses performances sexuelles, ses préférences. Il la présentait de face en lui écartant les jambes et ouvrant son sexe, de dos en ouvrant largement avec deux doigts son anus jusqu'à le dilater de quelques centimètres. Les enchères montèrent très vite, et ce fut un vieillard qui l'emporta pour 20 000$. La vente prévoyait qu'elle devait rester avec son maître une semaine et assouvir toutes ses volontés.
La soirée commençait bien et tout le monde commençait à baiser avec tout le monde. L’esclave de « Caligula » pratiquait une fellation à un des participants, pendant qu’un autre la baisait.
Au bout d’un moment, « Caligula » se leva et annonça que le diner était servit, les corps se détachèrent petit à petit et nous nous dirigeâmes vers ce qui était la salle à manger. En fait nous nous sommes tous installés à la romaine, couché sur le côté, pour déguster les mets que nous proposaient les « esclaves » hommes et femmes. De notre position allongée, nous avions une vue superbe sur les sexes des filles et des hommes sous leurs petites jupes. La promiscuité des corps allongés, la transparence des robes, ont fait que très vite, les mains s’égarèrent à nouveau, et je sentis derrière moi, la présence d’un sexe prêt à servir. Je regardais l’homme, il était pas mal, alors poussant mes fesses en arrière, présentant mon cul à sa disposition, après avoir mis un préservatif, il m’encula de toute sa longueur.
J’ai participée à pas mal de soirée, mais aucune ne m’avait procurée autant de sensations. Les coïts succédaient aux coïts et la jouissance à la jouissance. A ce moment là je pensais à Justine, la connaissant bien, je suis sur qu’elle aurait appréciée cette soirée.
J’allais d’alcôves en alcôves, changeant les plaisirs du féminin au masculin, les deux à la fois, la continuité des rapports multiples sans dis-continué apportent pas leurs nombres une jouissance extrême. En levant un rideau, je suis tombée sur Annabella la directrice de publication de revues érotiques en charmante compagnie de trois jolies filles qui immédiatement me demanda de venir la rejoindre. Après m’avoir embrassé sur la bouche elle plongeât vers mon sexe, et se mit a exercer sur mon clito une série de petites tortures sublimes. John ne m’avait pas menti, cette femme était une experte du cunnilingus.61a
Sa langue collée à mon sexe n’en finissait pas de m’envoyer des décharges de plaisir. N’en pouvant plus, j’ai voulu me dégager, mais elle me tenait ferme par hanches, et cela continua un bon moment, Ses doigts allaient et venaient en même temps dans mon vagin déclenchant des orgasmes à répétition dont elle buvait avec plaisir le résultat, sans qu’une seule fois elle ne cesse de me lécher, sucer, mordiller, mon clitoris qui criait au secours. Les trois autres filles s’occupaient d’elle pendant ce temps là, une sur chaque sein et la troisième enfouie entre ses jambes. Quand enfin elle se retira d’entre mes cuisses, je ne savais plus ou j’étais. Entre les multiples pénétrations anales et vaginales et la séance d’Annabella, j’étais complètement KO. Je prenais congé de ma suçeuse de clito après qu’elle m’ai dit que les photos prisent au studio, seraient prêtes le mardi suivant.61b.jpg
A ce moment John apparu devant l’alcôve, il se dirigeât vers moi, et me dit : « Alors c’était comment ? » encore essoufflée par la séance, je répondis : « fabuleux, jamais une fille ne m’avait fait jouir comme ça, c’était divin » il me prit alors par la main et m’emmena vers la salle de torture. Là un autre spectacle s’offrait à nos yeux. Des « esclaves » hommes et femmes entièrement nus, étaient attachés par les mains avec des cordes qui pendaient du plafond. Des fouets et cravaches de toutes sortes étaient à la disposition des « bourreaux » c'est-à-dire, nous, les invités. Une grosse femme se défoulait une baguette de bambou à la main sur le corps gracile d’une jeune femme. Elle visait particulièrement ses seins, elle voulait peut-être lui faire payer sa jeunesse et sa beauté. La pauvre fille pleurait mais aucun son ne sortait de sa bouche, sans doute elle ne voulait pas offrir à son bourreau le plaisir de ses cris de douleur. Le chef des bourreaux intervint et arrêta le supplice. Le nombre de coups était limité à dix. La grosse femme avait les yeux complètement exorbités, si on ne l’avait pas arrêté, elle aurait massacrée cette fille.
Comme quoi, lorsque l’on met dans une certaine situation des gens sains d’esprits et sans excès d’agressivité, ils peuvent se transformer en tortionnaires. Je demandais à John qui était ces hommes et ses femmes qui sont volontaires, pour subir ces trainements. John me dit qu’Il y avait des étudiants(es), des secrétaires, des femmes de ménages en fait toutes sortes de gens ordinaires pas forcement portés sur le sado maso, mais comme ils étaient très bien rémunérées par le Maitre des lieux, ils subissaient ces tortures pour améliorer leur ordinaire. De temps en temps, il arrive qu’il y ait des vrais maso, et là ce sont eux qui décident d’arrêter la torture.
Des hommes flagellaient des femmes ou des hommes et l’inverse, les cris devenaient de plus en plus terribles, et l’excitation de plus en plus forte. John le vit, il me mit une petite cravache dans la main et me poussant en avant vers un jeune homme. Inconsciemment je commençais à le frapper d’abord doucement, sur le dos, puis sur les fesses, puis de plus en plus fort et comme il se débattait dans ses liens, il se retourna de face et me présenta son sexe en pleine érection. Ce fut plus fort que moi, je me mis à fouetter ce sexe tendu de plus en plus fort, qui prenait une couleur rougeâtre au fur et à mesure des coups. Je devenais incontrôlable, heureusement John m’arrêtât, à ce moment je constatais ce que j’avais fait, le sexe du jeune homme était tout rouge, n’y tenant plus et voulant sans doute réparer mes actes, je m’accroupissais, prenais délicatement le sexe dans ma main, approchais ma bouche, et tout doucement je lui administrais une douce et longue fellation. Toujours suspendus par les mains, il avançait son ventre pour s’enfoncer le plus loin possible mais ni tenant plus il éjacula en longs jets chauds et épais au fond de ma gorge.
Quelle soirée, je demandais à John, combien de filles il c’était fait, sa réponse fut évasive : « je ne sais pas cinq, six peut-être plus, je n’ai pas compté, mais là je n’en peux plus.» je lui répondais que j’espérais bien qu’il ait gardé quelques forces pour moi en rentrant dans la voiture. « Oui ne t’inquiète pas pour ce genre de soirée, je prends ce qu’il faut avant j’ai encore de la réserve, il faut simplement que je récupère un peu. Je laisserais la vitre de séparation de la limousine ouverte, comme ça tu seras encore plus excitée ». Je m’insurgeais, « tu ne vas pas recommencer ce coup là ? Si tu fais ça en arrivant je baise avec Holden » Sa réponse ne fut pas surprenante : « Chiche ».
Décidément, John était vraiment un mari très tolérant, mais comme je l’était aussi, nous sommes vraiment fait pour nous entendre.
Nous avons quitté « Caligula » vers 5 heures su matin, John lui demanda s’il pouvait lui donner le n° de téléphone d’Eva son esclave. Il le regarda et lui dit : « Pas la peine, tu lui demanderas toi-même, emmenez là avec vous ce soir si vous voulez, elle n’a rien à me refuser. » Il nous raconta : «Elle est exilée cubaine, sans famille, abusée depuis l’âge de 11 ans par le personnel d’encadrement dans le centre pour orphelins où elle était hébergée. Quand je l’ai trouvée elle n’avait pas encore 15 ans, elle faisait la manche dans la rue et se prostituait dans les quartiers les plus pourris de N.Y. pour survivre. Elle venait de se faire agresser par une bande. Ils l’avaient séquestrée pendant plus d’un mois enchainée sur un matelas en assouvissant sur elle une multitude de sévices sexuels. Ils l’avaient privée de tout sauf de sexe. Elle avait des brûlures sur les seins et sur le sexe, Ils lui avaient percé le bout des seins et le clitoris et pour empêcher que ca se referme, ils lui avaient mis des clous dans les trous pratiqués. Elle marchait hagarde dans une rue, pratiquement nue et la merci d’autres bandes qui l’auraient à leurs tours utilisée comme jouet sexuel. »
Il ajouta : « J’ai appelé la police, et après un coup de fil à mon ami le gouverneur, qui me donna son accord, pour que je l'emmène chez moi après un passage par l'hôpital. Grâce à mes connaissances, je lui avais obtenu rapidement une carte de séjour en règle. Je l’ai soignée, habillée, elle a appris les bonnes manières, J’ai pris à mon domicile un prof qui lui a enseigné l’anglais et les matières essentielles. Depuis elle me voue une reconnaissance extrême. J’ai toujours refusé tous actes sexuels avec elle. Elle est libre de rencontrer qui elle veut, mais je surveille discrètement ses relations. Elle a eu 21 ans le mois dernier, Je suis fils unique, je n’ai pas d’enfant, ma femme décédée d’un cancer du sein, il y a 9 ans n’en voulaient pas. Alors je l’ai adoptée officiellement, étant donné ce qu’elle à vécu depuis sa petite enfance, elle mérite bien ça. Elle a créée une Association qui s’occupe des filles, qui comme elle, on connu des sévices depuis leur petite enfance. Quand je ne serais plus là, et si elle ne fait pas de conneries, elle pourra vivre comme une princesse jusqu’à la fin de sa vie.».
Pour preuve que l’on peut rouler sur l’or et avoir un cœur grand comme ça !
Et c’est comme ça que nous sommes rentrés à la maison, Holden en a pris plein les yeux dans son rétro et comme je l’avais dit, arrivé à destination, je l’emmenais dans la grande chambre, rejoint quelques instants plus tard par John et Eva.
A suivre
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