La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 08/08/22
Valeri a toujours aimé l'armée et la guerre. Depuis tout petit il ne rêve que d'aller se battre sur tous les fronts, entendre les obus éclater, les chars rugir comme des fauves d'acier. La chute de l'Union Soviétique a été un traumatisme pour lui. Quel con ce Gorbatchev a croire les balivernes de l'occident. Quel ivrogne cet Eltsine à laisser dépecer l'héritage de Staline. Il s'est engagé tôt et a demandé à rejoindre les forces spéciales, les redoutables spetnaz. Il a combattu partout, Tchétchénie, Ossétie, Syrie. A présent il est toujours en première ligne en Ukraine. Il est bardé de décorations et ses hommes l'appellent le loup de l'Oural. Il adore se glisser seul et de nuit dans les lignes ennemies, repérer les positions adverses et les signaler à l'artillerie qui écrase tout ensuite dans un déluge d'obus. Il aime joindre l'utile à sa passion pour la guerre. Il drague les ukrainiennes pro russes de l'autre coté de la ligne de front et part les retrouver de nuit. Il apporte toujours du caviar et de la bonne vodka. Le danger lui donne toujours envie de baiser. Il fait nuit noire. il se glisse entre les arbres tel une ombre. c'est un as du camouflage. Il adore le no man land, cette zone étrange et si paisible parfois. Il est déjà sur la ligne des ukrainiens. il repère les sentinelles, observe et se glisse. il est bien le loup de l'Oural, il voit mais lui reste invisible. Il signale les coordonnées précises de toutes les positions qu'il observe, là un nid de mitrailleuses, là un obusier, là une batterie anti char. Dans quelques heures, ses potes de l'artillerie feront le travail de nettoyage à l'obus de 122 mm. Il est temps pour lui de rejoindre la belle Elena. Ce doit être là, dans cette maison. Il se méfie. Une fois les commandos adverses lui ont tendu un piège avec une fausse annonce sur Tinder. Visiblement ils voulaient le choper et lui couper les couilles. Mais bon, on ne coince pas comme cela le loup de l'Oural. Il les a tous envoyé dans l'Hadès avec son noir couteau plus coupant qu'un rasoir. Personne, il se glisse dans la maison, Elena est là, nue sur son lit. Il pose sa main sur sa bouche. Elle ne se débat pas. Elle offre sa croupe généreuse. Valéri deteste les péliminaires. Il ouvre son pantalon, sort son gros sexe tendu et il la sodomise d'un coup. Elena voudrait hurler tant la douleur est forte mais aucun son ne sort de sa gorge. Elle sent ...et c'est chose étrange, comme une ombre de mort sur elle et au plus profond d'elle. La douleur se dissipe. Elle s'offre et s'ouvre. Les coups de pilon lui arrachent des ondes de plaisir. elle se pisse dessus. Cde n'est pas une femme fontaine, c'est une femme piscine. Valéri explose de plaisir dans ses reins. Pas un mot. ils boivent la vodka et dégustent l'excellent caviar. Puis Valéri la prend debout, toujours par derrière. Il adore sodomiser une nana au joli cul bien bombé. Il explose encore. Il l'a reprend a quatre patte sur le parquet, toujours dans les fesses. un vrai marteau piqueur. Il jouit encore lorsque les premiers obus russes tombent sur les positions qu'il a signalées. Une douce musique pour lui. - tu peux brailler maintenant. Elena ne se prive pas et hurle ses orgasmes. Les bombes qui pleuvent, la mort qui rode, cela l'excite beaucoup. Valéri a prévu de rester toute la journée avec elle. A présent il fait jour. l'artillerie s'est tue. On entend les cris et les ambulances. Elena se love contre son amant. -fouette moi fort, j'aime cela. Valeri ne s'est pas fait prier. Il attache Elena avec des câbles électriques et prend le temps de bien la rougir. C'est vraiment une jeune femme superbe. Le danger omniprésent les excitent au plus au point. Là nuit est de nouveau là. Il est temps pour le loup invisible de l'Oural de repartir. Il laisse un paquet de roubles sur la table de nuit d'Elena. Ce n'est pas une prostituée, mais Valeri est généreux, surtout avec les fonds spéciaux. -A bientôt Elena, et reste prudente. Dans quelques jours nous viendrons te libérer de ces $£"# urkrainiens shootés à la propagande occidentale. Patience, nous sommes en train de réparer les conneries de Gorbatchev et de l'ivrogne. La morale de cette histoire c'est qu'un ivrogne sur le dos d'un faible, c'est pleurs, larmes amères et pluie de 122mm.
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Par : le 16/04/21
Je vais te raconter une histoire. Installe toi bien car ça va être un peu long.... IMAGINE: Il est impatient de la rencontrer et la voir pour la première fois. Enfin croiser son regard. Il a tant envie de plonger ses yeux dans les siens. Il suit pour cela toutes les consignes données par écrit, sans exception... Il ne connaît pas non plus le timbre de sa voix ... Il entre pieds nus dans la pièce légèrement feutrée . Prend place à genoux sur le coussin posé au sol...Il est en pantalon chemise cravate. Tout se passe comme demandé... Il ne La voit pas... Elle a envie de le découvrir, le toucher, le ressentir. Des semaines qu'elle attend, se languit, s'impatiente. Maintenant il est là, dans son salon.Elle s'approche de lui, un bandeau de dentelle noué sur ses yeux. Elle aime casser les codes et adore frustrer. Le priver de son regard lui plaît et surtout, elle place ses envies bien avant les siennes... Elle veut sentir si ce nouveau jouet est aussi vibrant qu'elle le pense... Elle est en talons, bas, jupe et dessous de dentelle... Ses doigts s'agitent, signes de son envie qui grandit.D'abord Elle le frôle, le respire, le tente. Ses lèvres l' aguichent tandis que sa bouche le rappelle à l' ordre... Les boutons de chemise glissent à travers leur fente respective laissant entrevoir sa chair tant convoitée. Elle voudrait tout arracher d'un coup et le consommer sans plus attendre mais elle aime aussi sentir son propre corps se gonfler d'envie. Cette cravate l' excite.. Hum! Tirer dessus pour le mettre à terre, le retourner sur le dos et planter son talon sur son torse... Non pas maintenant. Elle contient ses pulsions. Rien ne presse... C'est lentement qu'elle choisit de dénouer sa cravate, libérant ainsi son cou pour y placer un collier... Elle le trouve davantage à son goût ainsi . La chemise ne restera pas longtemps... Elle caresse ce corps qui est là pour elle... Il ferme les yeux quand elle s'approche si près de lui. Il respire son parfum... Il se laisse guider. Lui obéit quand toujours sans parler, elle le fait se relever. Il frissonne au passage de ses mains sur sa peau...Il remarque ses doigts qui se crispent d'envie, content , il en sourit, il sait ce que ça veut dire... Elle fait glisser ses bras derrière son dos et attache ses mains avec la cravate. S'approprie ses tétons, les apprécie. Trépigne d'impatience... Puis ses doigts s'affairent sur la boucle de son ceinturon. Elle tire dessus pour la faire glisser le long des passants. Humm! Elle s'imagine frapper son cul avec. Clac! Lui à 4 pattes à ses pieds attendant non sans appréhension le coup suivant qui claquera au même endroit. Puis d'autres suivront... Elle inspire fort. S'il savait...Elle le fera plus tard. Pour l' instant elle savoure le moment. Puis elle ouvre son pantalon pour voir la cage dont elle possède désormais la clé... Lui, ne reste pas indifférent quand elle le tâte, le tire, le soupèse et le presse. Il connaît ses penchants. Il est resté chaste pour elle... Il sourit quand elle remet la ceinture de son pantalon autour de sa taille en lui disant qu'elle aime avoir une prise pour s'accrocher . C'est avec plaisir qu'il se soumet quand elle le fait se mettre à genoux face contre ses souliers. Il y dépose un baiser, puis deux, puis prend la liberté de continuer d'explorer ses droits. Son cul reçoit alors sa première réprimande. ....C'est une petite histoire tranquille, tout en douceur et en sensualité avec de la musique en arrière fond. Je continue.... IMAGINE: Il est à genoux devant elle , un bâillon boule percé accroché autour de sa tête. La laisse est fixée au collier ainsi que ses bracelets de restriction... Elle est assise à bout de fesses sur le canapé , laisse en main, jambes écartées. La jupe a volé de l' autre côté de la pièce. Seul son large porte jarretelle recouvre ses hanches qu'elle ondule pour faire glisser son intimité contre cette boule... Lui se contentera de baver en la regardant se branler ainsi sur sa bouche... Elle en prend plaisir, le sens prêt à bien se tenir alors lui retire le bâillon pour mieux en jouir... Lui aura appris qu'elle aime, dans ce cas précis, une langue passive et lui sert ainsi jusqu'à ce qu'elle atteigne l' orgasme... IMAGINE: Il est là, à ses pieds, nu comme un ver, à 4 pattes le cul offert... Elle est derrière lui et finit d'ajuster son gode ceinture. Déroule une capote sur son membre et l'insère dans son intimité... Lui ,retient son souffle, c'est sa première fois; se détend en constatant que ça passe... Elle le sent bien, le prend bien, s'enfonce avec délice en lui. Il se cambre pour mieux la sentir prendre son plaisir. Il s'offre et tend son cul bien ouvert pour qu'elle y glisse de plus belle ce qui ne manque pas de l' exciter et la faire jouir... IMAGINE: Elle lui tend une cordelette et lui demande de l'enrouler autour de ses couilles. Elle aime que cette partie de son anatomie soit bien tendue. Il fait de son mieux pour lui plaire mais ne réussit pas assez rapidement à bloquer le lien. Elle intervient, effectue un premier serrage puis le laisse terminer. Elle a envie de voir ses deux boules distinctement séparées donc va chercher un ruban à glisser entre. Le passage est difficile et ça lui plaît de forcer pour y glisser ses doigts. Elle Force aussi sur la cage pour la faire tomber... Elle la remettra plus tard... Lui la laisse faire, confiant et sûrement content, jusqu'à ce qu'elle y mette quelques douloureuses pichenettes . Elle savoure ... IMAGINE: Elle lui attache les chevilles et les poignets puis elle fixe sur sa tête un harnais double gode. Il est immobilisé tout en long quand elle vient s'empaler sur sa bouche mais il trouve néanmoins le moyen de bouger son cou comme pour la goder. Elle le calme direct regrettant de ne pas lui avoir bloqué également la tête. Il obéit , s'applique juste à maintenir l'angle parfait pour une pénétration plus savoureuse. Elle apprécie et prendra son pied ainsi... IMAGINE: Elle a eu envie de lui faire mal. Il se retrouve maintenant sous elle, à plat ventre, les fesses rougies par le martinet, le dos bien griffé. Elle est sur lui, vibrante d'un orgasme plus sauvage, ses griffes plantées dans sa chair. Il a mal mais s'en fiche, être là pour Elle l' importe plus. Il ressent son emprise jusqu'au fond de ses tripes et c'est bon. Elle serre son corps avec force, le ressens. Elle le possède et le lui dit... Il l'écoute et sait qu'il est à Elle... Il n'a pas le droit de bouger dans ces moments- là, il l'accompagne juste là-haut , tout là-haut... Elle l'entend respirer et se cale sur sa respiration. Elle détend ses doigts, relâche son emprise. Il la sent redescendre doucement et savoure ce moment d'une grande intensité. Elle se remet d'un orgasme fulgurant. Lui faire mal la transcende... IMAGINE: Elle saisit sa queue d'une main ferme et le mène jusqu'à la salle de bain. Il se retrouve à poils, sans bracelets ni collier, le cul dans la baignoire. Sûrement avec une vague idée de ce qu'il va se passer. Elle grimpe sur les rebords, approche son sexe au plus prés de sa bouche pour y déverser délicatement son urine. Lui s'efforce d'avaler de petites gorgées comme ordonné. C'est sa première fois. Elle s'amuse de ses hauts le cœur. En joue. Gicle plus fort, l'éclabousse puis dirige un jet abondant sur son ventre. Lui appréciera davantage recevoir ses fluides chauds sur son pénis, mais ce choix ne lui appartient pas. Elle termine, satisfaite et soulagée. Elle se redresse, attrape un gant qu'elle lui tend et approche son sexe mouiller prés de lui. Lui, gros bêta, utilise le gant pour éponger son visage. Elle le stoppe net! Lui retourne une mini gifle et lui gronde: Moi d'abord! Toujours moi d'abord...Il s'exécute, penaud , pendant qu' elle se moque de lui. Il grelotte. Elle ouvre le robinet d'eau chaude, dirige le pommeau de douche sur lui, le rince à grande eau. Il apprécie, la remercie, se réchauffe un peu. Si peu... Elle lui sourit, tourne le mitigeur du coté bleu et se régale de le voir se débattre sous l' eau froide... ....Des petites scénettes toutes aussi délicieuses à écrire les unes que les autres.Mais je me tais et te laisse continuer d'imaginer tranquillement.... IMAGINE: Elle le fait se mettre à quatre pattes devant elle, son cul à porté de main ou plutôt à portée de pied. Tranquillement assise, elle pose ses talons sur son fessier. Elle s'approche d'abord de ses testicules du bout de ses escarpins, puis glisse le long de la raie. Lui , tient bien sa position jusqu'à ce qu'il grogne après l'ongle qui vient de lui griffer le cul. Elle est confuse: Oups! Ce n' est pas mon ongle... Elle attrape vite une capote, la glisse sur son talon, consciente de son erreur. Préservatif obligatoire en toute circonstance. Il comprend ce qu'elle lui fait , ça le surprend puis vient à apprécier ce talon qui le gode. Elle, elle trouve ça tellement pervers... IMAGINE: Il est allongé à même le sol , les chevilles ligotées au pied de la table basse. Les mains, à l' opposé, encodées à la rambarde de l' escalier. Elle est debout au-dessus de lui, cramponnée à cette même rambarde. Elle n'a plus d'escarpin, plus de bas, les attaches de son porte jarretelle pendent sur ses cuisses, elle s'en fout, elle est bien. Lui a dans sa bouche son pied qu'il suçote avec gourmandise.Il s'arrange pour que l' un après l' autre chaque orteil entre en lui. Elle ferme les yeux et se laisse porter par ce qu'elle ressent. Son plaisir est grand, elle aime glisser dans cette cavité humide et chaude. Il bave sur ce pied qui s'enfonce de plus en plus en lui. Il l' entend et la voit jouir, ça l' encourage à tenir. Elle se laisse complètement aller au fond de cette gorge jusqu'à atteindre l' orgasme . Il ne sait jamais fait forcer la bouche de la sorte, mais il aime tant la voir comme ça... Elle adore jouir de ses pieds... IMAGINE: Elle farfouille dans ses affaires à la recherche d'un objet mystère. Il la regarde faire sans grande inquiétude jusqu'à ce qu'il voit la taille de l' engin. Elle est contente de l' expression qu'elle lit sur le visage de son soumis. Le plug est de bonne taille, bien plus large que son gode. Elle sourit en lui tendant. Il blêmit en le prenant. Son poids laisse penser qu'il va être dur à garder. Il se positionne pour le présenter devant son anus qui a déjà été bien sollicité. Elle le presse un peu, lui met la pression , ajoute du gel. Encore du gel , puis au final elle s'en mêle. Il se sent forcé. Avec ses mains, il tente d'élargir le passage en tendant ses fesses.Son anus résiste, ce truc est tellement gros... Elle est tenace et trouve le moyen d'arriver à ses fins.Elle aime jouer avec son cul. Quelques crachats, quelques doigts plus quelques mots d'encouragement et hop! Le tour est joué... Il se sent plein. Il l' entend s'en réjouir, du coup il est content d'y être arrivé. Elle joue avec son Plug, le fait tourner dans un sens puis dans un autre. Le tire pour évoquer une sortie, le repousse à peine pour le voir se faire aspirer. Elle aime aussi jouer avec son cul... IMAGINE: Elle a très envie de le baiser. Oh oui! Elle le veut encore.Elle lui dit où prendre place . Il fait suivre son petit coussin sous ses genoux. Il tiendra mieux sa position ainsi. Il pose sa tête sur le canapé et tend son cul au mieux. Elle s'assoit à ses côtés, son strap-on dans les mains.Elle lui fait retirer sa jupe , qu'elle enlève et remet. Il se retrouve la tête bien proche de son intimité, assez proche pour bien la voir insérer la boule du stap dans son vagin. Elle lui dit ô combien elle a envie de le baiser en lui tendant une capote. Il sent son excitation et a envie de l'exciter encore davantage. C'est avec sa bouche qu'il déroule le préservatif sur cet étroit manche rigide. Elle apprécie de le voir faire , l' aide un peu car elle a vraiment , vraiment envie de le prendre là. Il se retourne face au canapé, la sent se glisser derrière lui et sans ménagement elle le pénètre jusqu'à la garde. Ses fesses deviennent aussitôt mouillées.Il s'inquiète de son hygiène, ce sont des choses qui arrivent. Mais très vite il comprend. Elle a tellement envie de le baiser, elle le lime avec vigueur et son plaisir monte à une allure qui la surprend. Elle sent son foutre lui couler entre les jambes. Elle coule encore et encore et en jouit si fort. Elle le baise avec un plaisir dégoulinant. Elle atteint l' orgasme en un temps record. Il se retrouve sous elle et la sens couler sur ses fesses et sur sa cage... IMAGINE ENCORE: Elle le chope au milieu du salon. Prend soin de glisser un large coussin sous ses reins, un plus petit sous sa tête. Il n'a pas d'autre choix que de se laisser faire et se retrouve bien vite les 4 fers en l' air. Elle accroche tous les bracelets entre eux et le contemple ainsi offert . Elle aime le voir comme ça mais elle préfère clairement l' abuser ainsi. Elle sollicite la souplesse de son sphincter avec ses doigts. Son gode ceinture est déjà en place, juste devant son anus. Elle lui saisit les cuisses à bras le corps et le sodomise langoureusement. De profonds va et vient qui l' enivre de plaisir. Il se fait prendre sans pouvoir bouger, son corps est à Elle. Il est à Elle et Elle en profite grandement. Elle aime le limer ainsi, tenir son corps recroquevillé sur lui-même . Elle s'emballe au fur et à mesure que son plaisir monte. Ses coups de reins se font plus rapides, plus puissants. Ses mains s' empoignent avec force sur les bracelets. Elle aime avoir une prise pour se tenir. Il la sent bien s'emballer, mais surtout il l'entend gémir, il la sens vibrer.Il aime sentir tout cela. IMAGINE: Elle a les yeux mi-clos, le visage serein, le corps secoué de spams.Elle vient de jouir... Elle délivre son jouet de toutes ses entraves. Il retrouve la liberté de ses mouvements mais n'ose bouger. Il savoure ce moment rempli de tendresse. Elle lui attrape doucement les mains pour les poser sur elle. Sa respiration s'apaise. Il comprend qu'il a la permission de la caresser, ce qu'il fait avec respect. Il savoure, voudrait que le temps s'arrête. Elle laisse le temps tranquille et en profite aussi. Son plaisir, elle le prend blotti dans les bras de son soumis.Oui, elle casse les codes et elle ne se prive de rien.Elle relève la tête doucement, le regarde en lui souriant. Il lui sourit à son tour sans comprendre immédiatement que ce petit sourire est loin d'être innocent. Elle prend appui sur ses bras et se décolle juste de son corps afin de laisser toute l' accumulation de ses jouissances s'écouler sur lui. Il ressent alors ce fluide qui se répand sur son sexe, son ventre, ses cuisses.Il savoure autant qu'elle ce partage. Tout est si spontané , sensuel. Il est à Elle, dans Son monde, au cœur de ses multiples envies. Elle est contente, se sent bien... Savoure pleinement... ....Alors, elle te plaît mon histoire? Imagine une dernière chose... IMAGINE JUSTE: C'est un jour de semaine ordinaire. J'attend en retrait derrière le rideau qu'il entre dans mon salon... J'aime cassé les codes, j'aime être là où il ne m' attend pas. J'ai adoré sa cravate, le frapper de sa ceinture, le baiser en long en large et en travers... IMAGINE SIMPLEMENT: C'est mon sex-toy.
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Par : le 10/10/20
Madian n'aime ni les hommes, ni les femmes, ni les chèvres et les chameaux, ni tout ce qui se déplace en marchant courant ou rampant sur la terre âpre. Aussi il s'est retiré au pied d'un grand arbre perdu tout en haut d'une montagne. Il n'accepte que la compagnie des oiseaux des vastes cieux. Il ne fait rien, vit de rien, juste il respire sous son arbre, boit l'eau pure d'une petite source et mâche des herbes amères. Il ne fait rien mais son esprit est en feu. Il passe son temps à maudire les hommes, les peuples poussiéreux d'en bas, ces fous qui ne savent pas où ils vont. Ils les compare à des mouches sans ailes. Les humains le lui rendent bien. Les chasseurs passent loin de son arbre, l'arbre du fou disent ils. Ils font bien car Madian excelle à jeter des pierres. Seulement voilà, la sublime lila est une Madian au féminin, elle est son double ou sa complétude. Elle aussi déteste tout chez les humains. C'est ainsi qu'elle a cherché un lieux paisible loin de tout et que son regard à croisé celui de Madian. Ce dernier a voulu la chasser. -Arrière sinistre femelle à mamelles qui n'apporte que le trouble. Lila n'a pas répondu, elle a souri et trouvé Madian très beau. elle s'est installée plus bas dans une petite anfractuosité sous de gros rochers. Tous les jours elle se rapproche et regarde Madian méditer sous son arbre. cela suffit à son bonheur. Surtout elle aime lorsque Madian l'aperçoit et s'énerve. Elle aime le voir entrer en rage. Ses colères sont pires que l'orage et le puissant tonnerre. Lila est si belle. Elle aime se laver nue dans le torrent joyeux. Un jour Madian l'a surprise. Elle se faisait sécher au soleil sur les herbes vertes. Il est troublé. il ne peut exprimer sa colère. lila s'approche et se met à genoux. Elle a tressé un fouet avec des lianes. Elle le tend à Madian et dit: -frappe moi si tu veux, tant que tu veux, mais ne m'ignore plus. Je t'aime, toi mon beau ténébreux. Je t'ai aimé dès que je t'ai vu. Madian dédaigne le fouet. Il redresse Lila et la regarde dans les yeux. -il est dit que la femme est plus rusée que le serpent, voilà que tu veux m'enchainer avec ton amour. C'est quoi l'amour? Encore des malheurs et des turpitudes ? -Aime moi, laisse toi aller. Je sens l'émoi dans ton coeur. Je vois le trouble dans ton corps. -Es tu une couleuvre ou une vipère. J'ai fui le monde et toi tu veux me rendre esclave du plaisir que je pourrais prendre entre tes cuisses. Pourquoi ne retournes tu pas dans la grande ville. Un prince te trouvera belle et voudra faire de toi sa femme. -Mais c'est toi que j'aime, pas un Prince ou un riche marchand. Je n'ai que cela à t'offrir. -Mais pourquoi veux tu m'offrir ton amour. Je ne demandes rien. Lila est retournée au bord de la rivière et s'est allongée sur son fin matelas d'herbes douces. Elle a pris soin de bien cambrer sa croupe sublime. Une invitation au viol. Madian ne peux pas résister. Le besoin de s'accoupler est trop fort....Rires La morale de cette histoire, c'est que même loin de tout, la nature trouve toujours un moyen pour qu'un homme et une femme puissent s'accoupler et procréer.
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Par : le 16/07/20
Jonas ne sait pas d'où il vient. Il est né dans la rue, près du port, là ou arrivent tous les migrants. Sa mère qui a accouché entre des piles de caisses est morte à sa naissance. A t-il été élevé par une louve comme Rémus et Romulus, il n'en sait fichtre rien. Orphelin de mère, le père n'a jamais existé. Un coup peut être dans un port en échange d'une pièce pour manger. C'est sans importance, il est et cela n' a pas de prix. Il a su survivre sur ce bout de quai, caché entre les caisses, les ballots et les bateaux en partance. A présent, c'est un beau jeune homme, séduisant. Il gagne sa vie comme docker. C'est très bien payé. Jonas est intelligent, il a su intégrer le syndicat qui contrôle ce port et monter les échelons. Pourtant il ignore qu'il a un don rarissime. Il sait lire les codes cachés. Il ne sait pas d'où lui vient cela, mais s'il écoute les infos où lit la presse, il est capable de décoder et de livrer des analyses fort justes. il s’aperçoit qu'il peut gagner beaucoup d'argent et commence à jouer sa paye sur le marché des actions. Une réussite fulgurante. La grande vie ? Non, il aime bien son petit logement entre les caisses et les ballots, là où il est né de mère et père inconnus. Il rencontre Janis, une orpheline comme lui et c'est le coup de foudre immédiat. Il ne peuvent plus se quitter et ont besoin de s'accoupler le plus souvent possible. Emboîtés, il se sentent bien. Ils font un. Jonas et Janis, les deux j, toujours ensembles, toujours follement amoureux. Jonas gagne encore plus et décide d'acheter un ranch pour vivre à la campagne et faire des gamins. Et là, coup du sort, ils sont stériles tous les deux. Le destin semble se moquer d'eux. Ils sont pourtant beaux, jeunes , riches et voilà, ils peuvent former un couple, mais pas une famille issue de leur sang. L' adoption...ce n'est pas les orphelins qui manquent, mais l’administration refuse car, orphelins eux même, ils n'ont pas de références. Et l'enquête montre vite leur hypersexualité. Janis a besoin d'être pénétrée par Jonas. C'est une addiction totale. Il font l'amour plus de dix fois par jour. Ils ont consulté un sexologue qui leur a recommandé de pratiquer le bdsm pour mieux canaliser cet élan vital. Janis a joué à la soumise, mais à part écarter un peu plus, cela n'a pas marché. être et jouer ce n'est pas du tout la même chose. Le sexologue a voulu vérifier. Un bon scénario bdsm, ne fait pas plus mouiller Janis ou bander Jonas. Il sont à des années lumières de cela. Le sexologue les a virés. -Tout va bien et donc je ne peux rien pour vous. Jonas a coincé Janis contre la barrière du ranch et il a pénétré sa femme, d'un coup. Elle est toujours humide et prête pour se faire démonter la chatte et jouir très fort. Mais qu"avec son homme. Et Jonas de même, qu'avec sa femme. Les autres n'existent pas quand ils font l'amour. et c'est très bien ainsi. La morale de cette histoire c'est qu'il ne faut pas tricher sur soi même et sa nature véritable, cela ne rend pas heureux et c'est aller vers des problèmes bien inutiles.
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Par : le 02/06/20
Lorette se fait chier au pieu avec son mari qui bande mal et peu. Trop crevé après le boulot. Alors Lorette a commencé par se toucher mais elle aime les hommes et la bite et encore plus les hommes avec une belle grosse bite qui marche bien. Alors le soir elle a opté pour le parcours sante. Il est vrai que le sexe est excellent pour la santé. -Cheri, garde les gosses et prépare le repas, je vais faire mon petit jog du soir. Lorette a passé des annonces sur le net pour sélectionner ses troncheurs attitrés. Avec son cul d'enfer, elle n'a eu aucun mal à faire la sélection. Elle leur a assigné une place et une pratique. Toi Paul c'est cet arbre, toi Nico tu m'attends dans ce fourré, toi Amhed c'est au bout de ce chemin, toi mon chou c'est sur ce banc public. A chaque mec bien gaulé son emplacement et son timing précis. Qui fait défaut perd définitivement sa place. Lorette sort en tenues sports. son mari ne se doute de rien. il boit sa bière et prépare le repas. En bas de l'immeuble un puissant boxeur black l'attend, en tenue sport lui aussi, c'est Ginko. Il assure la sécurité de Lorette et donc, il est le premier à se servir, dans la cage d'escalier, un recoin discret. Ginko en a une énorme. La vieille du premier risquerait la syncope en voyant un tel instrument. Bien remplie de sperme, Lorette commence son Jog. Paul l'attend, pantamon baissé, bite en l'air derrière son arbre. Ginko monte la garde pour éloigner les importuns. Paul, en plus de la baiser, doit lui malaxer les seins et les fesses, c'est son boulot. Il fait cela très bien avec ses grosses patasses de maçon. Nico, lui, doit lui sucer le clito et la faire jouir plusieurs fois. Après Lorette lui donne de bons coups de cravache pour le remercier. Ahmed au bout du chemin a le droit de violer Lorette. Il la prend comme il veut et surtout il l'encule bien. Ginko est autorisé à faire la double pénétration et il ne s'en prive pas. "Mon chou" sur le banc public doit nettoyer Ginko et Ahmed et bien leur sucer la bite. Lorette lui pisse dessus pour qu'il se finisse en se branlant. Voilà retour à la maison. La table est mise. Une bonne douche. Les pieds sous la table. Le mari encore crevé. Lorette aime sentir le sperme chaud au fond de son vagin et de son joli cul. de femelle qui aime la bite. La morale de cette histoire c'est mefiéz vous d'une femme qui veut faire seule un parcours santé.
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Par : le 27/05/20
Le Roi Zia est le pire à l'ouest du grand fleuve doré. Il ne respecte ni les dieux, ni les hommes, il frappe au cœur avec sa sagaie tous ses ennemis. Il les dépèce, réduit les familles en esclavage, boit l'alcool qui rend fou dans le crane de ses ennemis. le Roi Zia n'aime que la guerre et ses guerriers font régner la terreur du désert de dunes jusqu'au grand fleuve. A force de guerre et de rapines, le Roi Zia et ses guerriers sont devenus fort riches, avec de belles terres, des esclaves pour les cultiver et des femmes pour réjouir leurs nuits. Pour le butin, le Roi Zia est toujours le premier à se servir. Un jour, après avoir détruit le royaume du roi Huq, il assiste sur son trône à la présentation du butin et découvre l'incroyable beauté de la femme du roi Huq. Ce dernier, est attaché et fait partie du lot des esclaves. Il assiste à la distribution de ses femmes et de ses filles. Aia, la femme aux pieds agiles, plait aussitôt au roi Zia. Bien que vaincue et dépossédée de tout, elle garde sa fierté et son port de reine. Le Roi Zia la fait sienne et la prend, comme il aime, sans préliminaires, sauvagement, dans sa tente, devant les yeux de son époux encagé, enchainé et impuissant. Aia jouit très fort dans les bras de son vainqueur, elle aime être brutalisée, prise de force. Le roi Huq se désespère. Voir sa femme si belle se faire baiser par un autre et jouir devant lui est pire que sa défaite militaire. Là il comprend qu'il n'est plus rien, qu'il a vraiment tout perdu. Le lendemain le Roi Zia émascule son rival devant tout son peuple enchainé. Il le laisse mourir et se vider de son sang, Tuer un roi rival c'est faire disparaitre son peuple. Il donne la verge molle et sanguinolente du défunt roi Huq aux chiens féroces de combat qui se la disputent et s'en régalent. Aia ne dit rien. Elle regarde presque indifférente. Elle trône à coté du Roi Zia, son nouvel époux Elle est plus riche et plus puissante qu'avant. Ce que ses guerriers ont perdu avec leurs glaives elle vient de le gagner avec sa chatte. Le Roi Zia, ....elle en fait son affaire. Un fin sourire sur ses lèvres....
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Par : le 24/05/20
(Réédition du 24/05/2020 -> 06/04/2024 - 1026 Vues) . "Je me présente ; Stéphanie. Je suis une femme assez élancée et svelte (174 pour 62kg), mes cheveux sont châtains et mi longs. Actuellement dans une relation vanille qui ne me convient pas, je me sens frustrée. Je me suis pris d'excitation à exprimer mes pulsions refoulées, que je pense BDSM. J'ai envie d'en parler, de comprendre, d'être initiée, dans la confiance et la discrétion."   Depuis approximativement 1 an, certains profils particuliers fleurissent en ces lieux. Profils spécialement créés pour contrer le nombre de bannissements effectués "à la racine" par les modérateurs du site BDSM.fr (Ou la dénonciation par ses membres). Dans un esprit de clarté, ainsi que de savoir s'adapter à la "menace" de ressembler à d'autres sites payants lambda, où ces profils pilulent, et sont créés par les instigateurs/modérateurs eux mêmes, je me propose de vous l'énoncer en détails.   A qui s'adresse cet article ? Principalement, à celles et ceux pratiquant le BDSM. Le titre et le visuel de cet article favorisant la vue par des éléments masculins, sa lecture permet cependant et surtout à la gente féminine de comprendre en partie, la recrudescence des hommes "non-Dominants" sur les sites liés au BDSM. Mais qu'elle est cette technique particulière de création de profils ? Elle se passe en 3 temps ; Étape Numéro 1 : La création d'un profil de Soumis(e) évoquant un désir de s'exprimer, de dialoguer, avec une certaine évocation d'ouverture à l'autre. Ces profils sont généralement dans l'orientation sexuelle "bi" pour toucher un maximum de public. Et là où se caractérise cette technique, c'est que dans leurs premières créations de comptes, ces individus ne mettent pas de photos d'avatar, et n'ajoutent en aucun cas de membres en favoris. (Pour éviter le sus nommé bannissement d'être découvert trop vite d'une photo falsifiée/en inéquation/récupérée sur le net) Ces créations de profils peuvent se cumuler jusqu'à 5 à 10 par semaine, et sont essentiellement créés entre 23h00 et 6h00 du matin en dehors de l'affluence du site. Étape Numéro 2 : Entre 12h et 24h plus tard, ces individus ajoutent une première vague de membres (Entre 5 à 15 généralement pour la première fournée) Ce temps de déconnexion ayant servi à laisser le temps au "pingouin" de "faire une demande d'ami" ou d'écrire un commentaire sur son mur. (Les membres masculins étant "rapides" à vouloir tchatter dès la demande d'ami acceptée, c'est une autre source de communication à se trahir, se faire dénoncer et bannir. Tandis que si ceux-ci sont ajoutés en masse d'une seule fournée, cela suggère que l'on est accaparée/occupée ailleurs et que l'on ne peut répondre) Les pulsions et le noviciat se faisant, en résulte qu'il est plus facile de voir ce que l'on veut croire, et par défaut de cliquer, parce que l'on ne sait jamais. Une sensation donnant vie et matière à une "concurrence" virtuelle, et une potentialité à pouvoir être le "premier". Étape Numéro 3 : L'ajout d'une photo d'avatar la plus part du temps recadrée et l'ajout d'une "phrasette" sur leur mur ou en complément de leurs profils (Cela peut correspondre à leurs "âge", ou plus informel.) Qu'importe, du moment que cette petite touche légitime leur existence, et ne peut être affilié à un faux profil fait à la volée. Quel est l'objectif de la création de ces profils ? La fidélisation d'un public : En premier lieu, et "je vais mettre cela sur les crédits d'autres sites", ce n'est pas tant les femmes désireuses de se lancer dans le domaine du BDSM qu'intéressent les individus mal intentionnés, mais Ceux/celles capables de débourser de l'argent pour les atteindre. Et se faisant, pour fidéliser le "pingouin", il faut lui donner une voie à se dire dans sa petite tête d’écervelée qu'il/elle puisse avoir une chance ne serait ce que d'échanger avec l'une d'entre elles/lui. Car après tout, donner vie à un personnage, c'est le faire exister de par ses "faire valoir" qui l'entourent, par leurs volontés de se démarquer dans leurs mots, ou dans leurs photos. Une sensation galvanisante qui accoutumera le "pingouin" en question, qui n'aura de cesse de se connecter, ne serait-ce que par l’appât à pouvoir concrétiser du jour au lendemain. L'Utilisation frauduleuse : En deuxième lieu, l'utilisation de photos, de vidéos, voir de textes du "pingouin". Car dans son égo surdimensionné à vouloir se positionner, le "pingouin" pourra ne pas hésiter à évoquer son expérience de par ses prouesses en terme BDSM. Se donnant sous forme d'images/photos, vidéos, voir textes... Il s'en trouve qu'il est plus intéressant pour l'individu malicieux, d'obtenir de l'autre un groupe hétérogène d'éléments visuels. Pour les réutiliser dans la conception d'un profil plus complet et crédible sur un autre site, où dans l'intimité d'un échange sur une autre plateforme commune de tchat (Lorsque les choses sérieuses commencent, et qu'il faut ferrer l'animal). En clair, de par ces "donations" créer une identité, donnant l'illusion que l'on échange avec une personne qui "existe", laissant libre court à générer une égérie virtuelle. Troisième étape : Le cheminement académique des rabatteurs/rabatteuses... Soit dans un vol de données liés à des jeux en ligne, l'orientation vers des sites frauduleux lui donnant accès à vos informations etc. etc. Ou tout autant, au vue de la pression du "pingouin" à vouloir l'obtenir, des offrandes d'achats en ligne. Ce qu'il faut retenir, dans cette technique qui se démocratise, ce n'est plus le simple rabatteur en ligne qui essai de vous voler qui est à l'ordre du jour, mais le "geek" se croyant malin parmi des "pingouins", qui vous fidélise et vous oriente. (On va dire que c'est l'étape au dessus, du simple nom d'avatar crée spécialement pour faire ressortir ses commentaires et générer des "vues" vers son site, par le référencement Google :b) Dans un ordre personnel, ce genre de pratiques est facilement "contrable", déjà à savoir l'objectif de l'individu. Si ses informations d'ajouts sont visibles par toutes et tous, c'est que c'est un "faux-profil" pour toucher un maximum de public et faire jouer la concurrence (Visibilité). A contrario, pour un "faux-profil", créé par des Masochistes essentiellement Brat, ou femmes en berne... à un moment donné, elles ferment ce genre d'informations au regard du public, de peur justement d'être grillées dans leurs objectifs d'espionnage ou de foutage de gueule (Le bannissement étant pour elles, beaucoup plus préjudiciable). Quelles sont les répercussions à ce genre de pratiques ? Il n'en sort pas que du négative ou du suspicieux. Toujours dans un ordre personnel, les "pingouins" sont donc facilement identifiables, puisqu'il suffit juste de visualiser leurs listes d'amis. (L'intérêt de ce genre d'information, à proprement dit, est d'avoir un son de cloche sur les "professionnels" tous domaines confondus arpentant le site, et les "baltringues") Car maintenir ce genre de profils dans ses "amis", c'est une preuve de laxisme ou d'espérance, qui n'est pas en adéquation avec la Domination/Soumission tout du moins. Les "crises" contribuent-elles à l'expansion de ce genre de pratiques ? Assurément oui. A la base, les comportements Dominants/Sadiques et Masochistes/Débauchées ont toujours su s'exprimer clairement sur le terrain, pendant les "crises" qui ont traversés l'humanité dans son histoire, qu'elles soient guerrières, virales ou monétaires. Ce qui fait qu'entre la peur des uns, et la galvanisation d'exister et de survivre des autres, il n'y a que très peu d'intérêt à côtoyer des plateformes liés aux plaisirs ! Une perte drastique de dépendant(e)s au sexe entrainant une surabondance de "tape à l’œil" pour de nouveau fidéliser le moindre "pingouins" courant dans tous les sens. Deux vérités seront toujours à prendre en compte : L'homme sera toujours prêt à payer pour du sexe. La femme sera toujours prête à payer pour de l'amour. Et si certain(e)s s'y prennent l'idée à s'ouvrir à la prostitution virtuelle, à travers l'évocation qu'on leurs fasses des donations parce que c'est la mode, d'autres en profitent pour sortir leurs nouveaux livres romancés au possible. Le rabattage étant de le réaliser à la chaine, ces pratiques s'épanouissent sans modération (Vous saisissez le véritable sens de "sans modération" ?! :b ). Les prétendantes Soumises/Switch, sont-elles concernées par cet article ? Au vu que ces profils ont tendance à passer sous les radars des modérateurs, avoir "Un Dominant ou un ex-Dominant" s'affilier à ce genre de profils, c'est bien-sûr s'exposer à qu'il donne de ce qu'il a fait, et non sur ce qu'il est. Peut être un jour, si vous ne leur remontez pas leurs bretelles avant, que vous aurez le plaisir de faire Bien Bander des inconnus dans d'autres contrées. (Et c'est du même acabit pour les hommes se retrouvant sur des sites Bi/Gay) Ceci dit, il est très rare que les Soumises/Dominants consultent les profils de leurs Consœurs/Collègues. Et même si démocratisée actuellement, cette technique ne date pas d'hier. Inutile donc de paniquer sur mes propos, puisqu'à l'origine ce qui est invisible à vos yeux ne vous atteignaient pas par le passé, donc aucune raison que cela ne le soit également maintenant. En conclusion : Prônant la sélection naturelle, et sachant que la sociabilité étant de mise pour ne pas que l'anarchie règne, les "pingouins" sont ce qu'ils sont ; Une alimentation comme une autre. Comme les "moutons", il faut juste réduire leurs nombres sous peine de ne plus s'entendre parler, et transformer ce site spécialisé en une bétaillère de plus.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/4500/lamour-brat-lamour-fendu-en-deux -> L'Amour Brat ; L'Amour fendu en deux. https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant. https://www.bdsm.fr/blog/4265/toujours-plus-vite-toujours-plus-haut -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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Par : le 16/05/20
Avant de se marier avec Pam, la bombe atomique sexuelle, celle qui si elle va dans le cimetière d'Arlington est capable de faire bander tous les héros morts aux combat, Le général Joe a décidé de rendre sa liberté à Louisa, sa pute attitrée. Dans ce labo si spécial de l'armée américaine en plein désert aride, on a compris que les cerveaux les plus géniaux étaient souvent les plus fantasques. Seule la sécurité compte. Après qui baise qui ou quoi, l'armée s'en fout pourvu que les recherches avancent. Et celles du général Joe et de son équipe sont excellentes car vraiment terrifiantes. Pam dort sagement sur sa banquette après sa série de cyberorgasmes. Parfois elle tremble, encore secouée par des restes de vagues de plaisir. Joe la regarde. Il adore voir la petite lèvre supérieure de Pam frémir légèrement quand elle expire. Bon, la nuit ne fait que commencer et il décide d'enterrer sa vie de garçon. Il file dans son bureau, ouvre une bouteille de Brandy aux plantes suivant une recette Tibétaine, allume un énorme havane, pose les pieds sur son bureau et se détend. L'alcool aidant, il a envie de baiser et appelle sa pute attitrée Louisa, le plus beau cul de la base après celui hors catégories de Pam. -Louisa magne ton cul de pouffiasse et viens me pomper le dard. C'est de cette façon qu'il faut parler à Louisa. Les langages trop polis ou trop policés, ne peuvent pas atteindre ses neurones. Et Quand le général Joe appelle, il faut qu'elle arrive en courant. C'est son job, écarter et se faire sauter. _Bon Louisa, tu sais que j'adore baiser avec toi, mais j'ai fait une demande en mariage au Capitaine Pam, alors ce soir c'est la dernière fois. Après je vais te rendre ta liberté. -J'avais remarqué dès que Madame la Captain est arrivée, comme vous vous matiez pas tous les deux.Pam a intérêt à vous rendre heureux mon général sans quoi je l'excise avec les dents. - Tu en auras pas besoin. Viens plutôt t'embrocher, j'ai besoin de me vider la tête. -et la queue rajoute Louisa en riant. Son job effectué avec une conscience professionnelle sans égale. Louisa est la meilleure pute de tout l'Arizona., elle prend congé en Douce. Le général Joe dort lui aussi, les couilles complètement vidées. Elle décide de rejoindre Black Jack, celui qui a la plus grosse pine de toute la base. Enfin libre de se faire vraiment éclater le cul par qui elle veut et comme elle veut. Elle a envie de se mettre en couple avec Black Jack. Il l'a tellement grosse qu'il fait peur à toutes les femmes, mais pas à Louisa. Rien que d'y penser elle jouit déjà.
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Par : le 18/04/20
Pour Jos, il n'existe qu'une catégorie d'hommes, ceux qui ont un flingue et n'hésitent pas à s'en servir, et puis c'est tout. Les autres, c'est pas des humains, peut être des morpions, des punaises, bref que des parasites. Alors il vit à l'écart, dans une belle cabane tout en bois, près d'un petit lac rempli de truites, au calme, avec un gros molosse d’Anatolie, un chien capable d’émasculer un intrus d'un simple coup sec de mâchoire, et sa femme, la belle Pamela. Cette dernière est énorme, une américaine 100% middle west, un cul gros comme une base aéronavale, des seins qui pèsent si lourds qu'il faut des soutifs à triples armatures acier pour les dresser comme des missiles thermonucléaires. Putain pour jos, sa Pamela est la femme la plus bandante au monde! Il a en horreur les maigrelettes françaises, les raffinées italiennes, les trop polies asiatiques. Non, lui il a besoin de son confort au plumard. Quand il s'enfonce dans Pamela, il ne sait jamais dans quoi il s'enfonce mais pour sur, il jouit très fort et elle aussi. Après l'amour, ils se sifflent toujours un pack entier de bières et ils remettent cela. Le sexe,ils adorent, surtout à répétition. Le problème c'est que leur Etat, dans les grandes plaines, est composée de punaises qui votent démocrates. Alors Jos et Pamela vivent loin de ces parasites. Ils tiennent un commerce d'armes qui va du bazooka à la mitrailleuse lourde. Faut pas les emmerder. Même le shérif sait qu'il faut rester prudent avec ces républicains à la gachette facile. Alors quand la gouverneur de l'Etat, une punaise féministe, le comble, a dit qu'il fallait confiner la population à cause du covid 19.Jos et Pamela ont sorti l'artillerie et sont allé canarder dans les ruies de la capitale sous ses fenêtres. -Salope, sors de là. Pas touche à notre droit au travail.Pas touche aux amendements de la constitution qui défendent nos droits fondamentaux. -pétasse de fonctionnaire, reste dans ton placard de merde et fait pas chier à rajouté Pamela en tirant une bonne rafale en l'air. Leurs potes républicains sont arrivés de partout, tous armés jusqu'aux dents. Le Shérif s'est vite planqué. Les balles perdues.... -C'est vraiment des saloperie ces fonctionnaires.Ils ont l'emploi à vie et veulent nous empêcher de bosser pour ensuite nous piquer nos maisons. Ces saloperies ne prennent aucun risque dans la vie, ils vivent avec le pognon des autres. C'est le gros Mike qui parle ainsi. Et lui aussi lâche une longue rafale de M16 dans les airs pour se calmer. Après leur manif, ils sont allé boire une bonne bière chez Jos, histoire de niquer le Covid 19. Le magasin d'armes de jos est bien resté ouvert, l’arrêté de confinement n'est pas conforme à la constitution des Etats Unis. La gouverneur peut se torcher le cul avec, eux votent Trump. Le soir Jos et Pamela ont baisé comme des fous. Tirer des bonnes rafales de fusil d'assault avec les odeurs de poudre, cela excite bien. A présent, il est temps de bien tirer de bonnes rafales de sperme chaud made in USA dans la chatte ou les plis de graisse de Pamela. Peu importe, cela aussi c'est un droit constitutionnel. Les libertés ne s'usent que si on ne s'en sert pas où si on ne les défend pas.. .
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Par : le 16/04/20
-Quelle bande de cons ! C'est par les mots célèbres de Daladier lorsqu'il était applaudit à Paris, de retour de Munich, que Loïc fulmine, tous les soirs à 20 h, lorsqu'on applaudit les soignants des hôpitaux. -non mais quelle bande de cons ! C'est 15 000 morts de trop, 200 milliards de dettes en plus et ils applaudissent ! Ils viennent de se faire mettre profond et ils sont contents ! -calme toi, Loïc , dit Eva, sa sublime compagne. T'y changera rien. 99, 99% de la population sont fait pour se faire enculer et ils aiment cela. -T'as raison, je m’énerve pour rien et il va bien y avoir un con de voisin pour me dénoncer. -ceux qui se font enculer aiment bien parler, répond Eva en écartant légèrement les cuisses. Elle enlace Loïc. -Viens, baise moi au lieu de te rendre malade. Heureusement qu'on a ni la télé, ni internet, sans quoi... Et Loïc ne se fait pas prier. Il adore baiser Eva, 100%naturelle, jamais de produits chimiques sur la peau, aucun vaccin ni médicaments chimiques de merde. Une femme qui sent bon. Il la baise et la rebaise, là au moins il ne paie pas d'impôts à ce régime pourri infesté d'escrocs publics. -Tu sais quoi, on va se barrer, j'en peux plus. Faut qu'on se trouve une Haute Terre à nous. Pourquoi pas au Greenland ou au Vinland, le paradis des vikings. Eva toute pleine de bon sperme et dégoulinant de mouille et jouissance ne répond pas. Ah son Loïc. Heureusement qu'il l'a baise bien. C'est fou le nombre de ripoux qui ont voulu sa main, le nombre de notables qui voulaient se jeter à ses pieds. Non, elle a choisi ce timbré de Loïc. C'est vrai, il a une très grosse queue et il sait lui exploser les orgasmes. -Oui, le Vinland si tu veux. Pour l'instant, attaches moi, donne moi une bonne féssée, je suis pas sage et encule moi profond. Penses que tu te venges de ces escrocs qui nous dirigent. Et loïc n'a jamais su dire non à Eva. Diable qu'elle est bandante avec ce cul bombé qui s'offre.
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Par : le 23/02/20
Un nouveau chapitre de notre histoire préférée à ma soumise et moi-même. Cela faisait quelques semaines, mais il ne faut pas trop la gâter... Bien, nous en étions restés au moment où, après avoir été présentée aux clients de l'Académie avec les autres novices, tâtée et humiliée sur le podium devant les photographes et les yeux scrutateurs des sadiques de l'assistance, la demoiselle était emmenée. Elle se retrouva entre deux gardes, passant à travers les couloirs. Son souffle était encore haletant après la peur et le déluge de sensations. Les caresses, les regards lubriques, les parfums étouffants de la pièce, semblaient perdurer autour d'elle. Une chaleur moite montait de son corps. Les crèmes qu'on avait étalées sur sa peau semblaient dégager une aura qui mettait son corps aux aguets, sensible à chaque caresse de l'air et à chaque gémissement autour d'elle. Les scènes passaient en un éclair devant ses yeux. Une main posée à plat sur un sein à la lueur d'une flamme, qui se serrait soudain et glissait jusqu'à ce que les doigts se referment, implacablement, sur le téton. Un corps rose étalé sur un meuble, rond et ouvert, donc les courbes se tordaient, de plus en plus étirés, à mesure que chaque centimètre de peau était couvert par la cire brûlante d'une bougie. Une bouche qui glissait le long d'un phallus de métal scintillant, poussée toujours plus loin par une main gantée contre sa nuque. Des cris faisaient tressauter son cœur. Un "ah" perçant de surprise, arraché à un visage enfantin par un coup de fouet inattendu. Un gémissement long et monotone, épuisé déjà, d'une jeune fille attachée à une roue. Un râle émanant d'une sorte de masque de cuir, dont la seule ouverture était bouchée le reste du temps par le sexe des hommes qui s'en servaient. Des corps la frôlaient. Les hommes, souvent en costumes de soirée, tenant en laisse des demoiselles ou des soumises d'une autre origine, jetaient un œil cupide à ses formes en la voyant passer. Les filles ne la regardaient pas, les yeux à terre ou toutes entières concentrées sur leur tâche ou leur douleur. Les gardes l'arrêtèrent devant un meuble étrange. Celui de derrière la plaqua négligemment contre le mur, en grognant "Ne bouge pas." Sans oser bouger, elle les regarda s'affairer autour du meuble. On aurait dit une petite armoire à première vue, haute d'un peu plus d'un mètre et demi, et fermée de tous les côtés. Ils l'ouvrirent par en haut, et entreprirent d'en défaire la partie supérieure. Des petite trappes circulaires s'ouvraient, à l'avant et en bas à l'arrière. Puis ils ouvrirent le côté, et la demoiselle put en voir l'intérieur. La panique fit trembler ses jambes. Sans les sévices qu'elle avait enduré jusque là, elle aurait pris la fuite aussitôt. la partie supérieure était évidée. On voulait l'enfermer dans cette cage de bois. Et dans la partie inférieure, au niveau de son abdomen, un triangle de bois pointait vers le haut, étalant son arête sur toute la longueur du meuble. Les trous en bas étaient pour ses pieds. Ils allaient la faire s'asseoir sur cette pointe effilée. Aussitôt le côté du meuble ouvert, les gardes la prirent par les jambes et la firent chevaucher ce "cheval de bois" étroit. A l'arrière du meuble, des anneaux permettaient d'attacher ses bras. Quand ils lui firent lâcher le montant de la boîte, auquel sa main s'était agrippée par réflexe, elle n'eut plus aucun point d'appui. Ses genoux tombèrent sur les côtés du triangle, et son entrejambe s'enfonça contre l'arête effilée. La douleur monta d'un coup. Comme si on était en train de la couper en deux par en bas. Mais son gémissement à peine commencé fut étranglé. Un des gardes profita de ce que sa bouche était ouverte et y enfourna un godemiché noir. Il attrapa son cou et tira son visage en avant, pour visser ce bâillon infernal à l'avant de la machine. Enfin, l'autre garde appuya sur son dos, poussant son corps en avant. L'arête du triangle écrasa contre elle une de ses lèvres intimes, et les pleurs jaillirent de ses yeux. L'autre garde s'était baissé, et ajusta les trappes à l'avant du meuble. Les yeux de la demoiselle se baissèrent sur le spectacle obscène de ses seins, comprimés et poussés en avant par l'impitoyable machine, qui ressortaient du meuble comme deux globes de chair désincarnés. Après avoir ajusté une planche du meuble pour pousser sa poitrine le plus avant possible, le garde derrière elle s'approcha de son oreille et murmura "Pas de douceur pour toi par en dessous ce soir. On protège vos parties intimes, pour nos clients les plus "select". Ouvre grand les yeux, et profite du spectacle. Tu vas voir ce qui t'attend. Et un conseil: oublie la douleur. Ce n'est rien à côté de ce que tu vas connaître..." Quand ils furent partis, un calme de purgatoire s'abattit sur la demoiselle. La douleur dans son entrejambe commença par monter jusqu'à devenir intolérable. Tout son corps était tendu, accroché à cette arête qui broyait sa peau la plus tendre sous son propre poids Elle entra dans une sorte de transe, d'où elle se réveillait par a-coups, dans de nouvelles crises de douleur ou quand le godemiché dans sa bouche la faisait s'étrangler. Le monde autour d'elle semblait bouger au ralenti, flou, dans ce temps qui n'avançait plus, qui n'était qu'abandon à la douleur et vulnérabilité totale. Soudain, une sensation nouvelle s'empara d'elle. Ses yeux qui s'étaient à demi-fermés s'ouvrirent grand. Une main s'était posée sur ses seins Un homme se tenait devant elle. De sa position, elle devait lever les yeux pour voir son visage. Il ne la regardait pas. Il parlait avec quelqu'un d'autre qu'elle ne pouvait pas voir. A côté de lui, à genoux, une jeune fille attendait. Elle avait la peau mate, et des yeux verts tellement brillants que la demoiselle en oublia sa douleur. Elle avait rarement vu une jeune femme aussi belle. Les courbes de son corps étaient à peine visibles dans la pénombre, mais la grâce de ses mouvements, même les plus discrets, était ensorceleuse. Un bruit près de son corps rappela à elle la pauvre prisonnière dans sa boîte infernale. L'homme ouvrait sa braguette. Aussitôt, le visage aux yeux verts s'avança, et une langue lascive en sortit, baignant de salive le sexe déjà en érection du maître. Ce ballet, ce va et vient de la langue sur ce membre qu'elle ne percevait que du coin de l’œil - son visage était fixé à la boîte par le godemiché - semblaient surréels pour la demoiselle. Que faisaient-ils devant elle, ainsi? Dans le brouillard de douleur et de fatigue qui la tenait, son esprit ne parvenait pas à comprendre cette cérémonie étrange, qui semblait détachée entièrement du reste de la soirée. Puis les bras de la jeune femme montèrent le long du meuble, et ses mains s'arrêtèrent sur les deux seins qui en ressortaient. La demoiselle sentit les doigts serrer, tirer, malaxer. Entre ses deux seins, doucement, monta le sexe de cet homme. La jeune femme aux yeux verts le masturbait avec ce jouet humain, ces mamelles sans corps sorties de la boîte comme par magie. Sans les voir, le visage toujours fixé en avant, la demoiselle put sentir les doigts, le membre qui se gonflait de plus en plus dans les plis de sa chair, les caresses que lui administrait la savante et habile esclave Elle sentit se tendre le pénis, les mouvements se firent de plus en plus rapides. Les boules de l'homme frappaient à présent le bas de ses seins. Puis un bruit sourd. Le bras de l'homme s'était baissé d'un coup, frappant le visage aux yeux verts d'une claque violente. "Assez!" L'homme, toujours sans la regarder, passa la main sur son sexe puis essuya la salive de son esclave sur les cheveux de la demoiselle Puis il repartit, entraînant avec lui la jeune femme à quatre pattes, dont le corps serpenta le long de la salle, ses hanches se soulevant et s'abaissant de nouveau comme le mouvement d'une vague qui se perdait dans la tempête de l'orgie. Les yeux de la demoiselle se fermèrent, ses forces l'avaient lâchée. La douleur, le bruit autour d'elle, tout ne fut plus qu'un long demi-sommeil maladif. Bercé parfois par la lueur mystérieuse, lointaine, de deux yeux verts. Voilà pour cette fois. N'hésitez pas si vous avez quelques idées à rajouter pour la suite. Je suis preneur, mon imagination se nourrit de tout. Et bien entendu, je réitère, ne refaites pas ça chez vous. A moins d'être vraiment un ébéniste de génie! ;)
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Par : le 23/02/20
(Réédition du 23/02/2020 -> 06/04/2024 - 675 Vues) . Loin des stéréotypes que la fraicheur et la beauté des premiers temps stimulent les plus aguerris des hommes et femmes, il est heureux de constater que la "jeunesse" a de nouveau les dents longues dans leurs prétentions relationnelles. Ce qui est en soi assez ironique, de retrouver plus de maturité sexuelle chez une/un 18/25 ans dans un désir d'évoluer et de s'épanouir dans sa vie, qu'un(e) quadragénaire voulant se retrouver dans des ébats sans lendemain, pour contrecarrer ses crises existentielles. Rester jeune est un état d'esprit, et une passerelle pour l'inspiration et l'enrichissement personnel... A ne pas confondre avec la compulsivité de plaire aux jeunes ou de les imiter, dans une volonté de se retrouver toujours dans la course d'une vie qui nous échappe au quotidien et dans des actes manqués. De mon avis personnel, la tendance devient plus prononcée depuis le forcing de la sociabilité et de la parité, ou le désir et le besoin de la fessé devient des plus prononcés ; Cette Vertu d'éducation et de bien être d'être bien ancrée dans sa vie. L'apaisement de savoir où l'on va a plus d'importance que le plaisir à s'évader. Univers BDSM étant, c'est un plaisir non dissimulé de pouvoir joindre l'utile à l'agréable ! Il devient plus intéressant et stimulant de se définir animal(e) en quête d'encadrement et d'évolution, que de collecter des animaux de compagnie pour contrecarrer un environnement que l'on ressent agressif ou qui ne nous corresponds pas. A ces dires, les avatars Fétichistes et Pet play (Essentiellement) ont de beaux jours devant eux, des pratiques qui ont l'avantage et le pouvoir de renouer avec sa nature primitive pour mieux s'accepter. Et qui redonne un engouement certain d'interroger son entourage sur la question déroutante suivante : Si vous avez raté l'éducation de votre enfant, n'est ce pas légitime qu'il se prenne en main pour que d'autres s'en charge ?   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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