Catégories
La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Le roi de Mycenes est un grand roi, un très bon politique, il dirige toute la Grèce. Mais diriger des cités, ce n'est pas diriger des armées. Autant Agamemnon est bon politique autant il est nul comme stratège. Ce terme désignait chez les grecs les commandants en chef des armées.
Au début de la guerre de Troie, Agamemnon dirigeait comme roi des rois et comme stratège. Sauf que très vite il alla de défaites en défaites contre les troiens valeureux et bien commandés. L'expédition tournait au désastre. C'est alors qu'il fut destitué en conseil de Guerre au profit d'Ulysse qui devint le commandant en chef et qui était très apprécié par tous les soldats grecs. Ce dernier parvint à rétablir la situation et à gagner des batailles.
Les défaites d'Agamemnon ont eu de lourdes conséquences. Tout un groupe de jeunes nobles de Mycenes à été décimé alors qu'il pouvait se replier. Agamemnon n'avait d'autre stratégie que l'attaque, l'attaque et encore l'attaque. De la sorte il allait au désastre. Tous ces jeunes nobles perdirent la vie, sacrifiés par un piètre général. Ces faits là sont de toutes les guerres.
Parmis ces nobles sacrifiés pour rien se trouvaient trois fils d'Egisthe, un homme puissant et influent à Mycenes. Non il n'était pas l'amant de Clytemnestre comme a voulu le faire croire la propagande pour salir les deux.
Egisthe ne supporta pas la mort de ses fils. Des le retour d'Agamemnon, il lui planta le couteau de la vengeance dans le ventre.
Si tous les généraux qui sacrifient inutilement des hommes valeureux devaient finir avec un couteau dans le ventre, peut etre n'en resterait il pas beaucoup.
254 vues
6 aime
? Nauðr gerer næppa koste ; nøktan kælr í froste.
Le besoin laisse peu de choix ; l’homme nu est glacé par le gel.
Je l'attends. Ma Reine.
Celle qui me fait renaître, chaque jour.
Mais aussi celle qui m'expose au Miðgarðsormr.
Ce serpent me crache au visage son venin
Qui s'insinue dans mes poumons et m'étouffe.
Paria cantonné, cloîtré, enchainé
Je pleure les délices de sa peau,
Le goût de son âme,
L'odeur de son autorité,
Le piquant de sa couronne.
Je l'attends, sujet indulgent.
Je l'attends, serviteur conciliant.
Je l'attends, esclave patient.
431 vues
11 aime
Le sens du sacrifice
Tout est un. Je suis envahie par ces mots, par le sens, par l'émotion. Je suis transpercée par des aiguilles qui enflamment mes lèvres et mes seins. L'atropine guide le sens du sang dans mes veines.
Installé sur l'autel, mon corps est supplicié pour la Déesse. Il a été choisi pour honorer le Divin. Par ce rituel, il est consacré afin d'assouvir les besoins fondamentaux de l'Incréé.
En bordure de la falaise blanche, poudre de craie, je suis suspendue. Il a les pieds au bord du vide, je suis accrochée à Ses chevilles. Mes muscles sont bandés dans l'effort pendant que Son sexe se dresse, fier, face à l'immensité des montagnes. Les cornes pointées vers le ciel, Il se nourrit de la lumière. Son être me surplombe et Il jouit de sa position. Ses yeux sont baissés vers moi et je peux y lire tous les secrets du monde. La cyprine coule le long de ma jambe, effet de la gravité d'une Nature toute puissante. Je gémis, lacérée par la douleur et comblée par la chaleur de Sa présence. Je sens Sa langue dans ma bouche qui prononce des mots que je ne comprends pas.
Le coven est subjugué devant Ses paroles qui passent mes lèvres tuméfiées et cousues.
A ma hauteur, perchée sur une branche solidement enracinée à la falaise, Elle me regarde, attentive. Elle jauge l'offrande qui lui est faite. Elle approche son visage irradié de mon cou qu'Elle hume avec contentement. Ses dents glissent sur mes épaules et mes omoplates - et Ses mains agrippent mes seins. Ses griffes s'enfoncent dans ma poitrine et je sens Son souffle près de mon oreille. Je respire à la cadence qu'Elle impose avec Ses bras qui me serrent. Son poids m'invite de plus en plus à lâcher prise. Je pleure de joie. Je sens l'odeur du sang.
Près de l'autel, deux wiccans approchent des coupes et recueillent le liquide rouge s'échappant de mon buste écorché.
Soulagée, je sens l'air de la chute qui refroidit mon corps endolori. Nimbée du halo de la lumière lunaire, je suis assurée du chemin que j'ai choisi. Dans cette apesanteur, glisse au plus profond de mon intimité et de ma gorge une Force Invisible. Cette sensation m'électrise au plus profond de mon être.
J'ouvre soudain les yeux et respire à nouveau.
380 vues
12 aime
Top rédacteurs
Sujets tendances
Tendance depuis 25/09/24