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Épisode 5 : » la présentation « suite et fin du dressage de la chienne
Revenons à nos moutons, pardon je voulais dire revenons à la chienne …
De retour dans la maison et après une pause bien méritée: une gamelle pour lilly et un verre de whisky pour nous.
La leçon suivante consista à savoir honorer son Maître.
Au retour de son Maître une bonne chienne doit l'accueillir joyeusement à quatre pattes et lui embrasser les pieds en remuant la queue. Il proposa de lui apprendre une variante plus perverse.
« au pied la chienne «
Lilly trotta jusqu’à lui en remuant la queue. Il lui tendit un de ses pieds.
« lèche ma botte »
Elle s'exécuta avec réticence et lécha du bout de sa langue une de ses bottines de cuir.
« Mieux que cela ou gare à tes fesses »
Elle s’appliqua et sa langue s’agita avec plus de dextérité. Il s’assura que toute la surface soit consciencieusement nettoyée. Après de longues minutes il parut satisfait.
« Fais la briller avec ta chatte. »
Elle prit la bottine entre ses cuisses et son sexe se colla contre le cuir. Elle se frotta dans un mouvement de haut en bas. C’était vulgaire, j’avais vu des chiens essayer de se branler ainsi sur le mollet de leurs Maîtres avant de se faire éjecter d’un coup de pied.
Il imprima le mouvement avec son pied l’obligeant à être plus rapide et elle s’appliqua à le satisfaire de son mieux. Il semblait ne jamais vouloir arrêter ce supplice. Le cuir râpait son sexe entrouvert et le frottement dans son intimité était à peine supportable. Après la deuxième bottine elle était épuisée et son visage semblait résigné .
Je la sentis humiliée comme rarement je l’avais humiliée. Visiblement il jouissait de son humiliation..
Dresseur pervers il en avait fait un petit animal soumis et craintif qui guettait le moindre de ses ordres.
Autant on avait pratiqué certaines de ses scènes entre nous, dans notre couple, autant d’être chienne devant un inconnu froid et calculateur, la rabaissait au rang d’animal.
Ce dresseur repoussait ses limites bien mieux que je n’y arriverais jamais car il n’avait aucun sentiment qui interférait. Seul le résultat comptait et il voulait atteindre les objectifs qu’il s’était fixé. Mais il n’était pas inhumain. Il était attentif et savait doser et reculer si nécessaire, mais obstiné il revenait à la charge dès que Lilly avait récupéré. J’étais certain qu’après quelques séances elle serait une parfaite chienne obéissante.
Si le sexe n’était pas la priorité, il ne s’en priva pas. Elle était sa chienne pour quelques heures et traiter Lilly de chienne en chaleur était une expression qu’il affectionnait.
« Chienne, tiens toi prête pour la saillie, présente ton cul et cambre toi au maximum. »
Lilly prenait la pose cuisses écartées, son sexe bien ouvert sous l’action des pinces qui l’écartelaient. Son orifice béant était une invitation à la pénétration, mais il n’en avait strictement “rien à foutre”. Il préférait son cul.
D’un geste rapide il lui ôtait le plug et introduisait son membre dans son cul encore entrebâillé.
Il l’encula ainsi à de nombreuses reprises et avec un plaisir pervers, sachant s’arrêter à temps.
L’empêchant de prendre son pied.
Il aimait la fesser, lui flatter la croupe, la tirer par les cheveux en la sodomisant.
Il alterna le cul et la bouche et elle aurait en temps normal fait “la fine bouche”.
Mais elle n’avait plus la force de résister. Le summum de sa dépravation fût atteint à plusieurs reprises au cours de la soirée.
Sur le point de jouir, il l’obligeait à se préparer à goûter son sperme jusqu’à la dernière goutte. Vicieusement il vérifiait qu’elle avait tout avalé en lui retroussant les babines, en glissant deux doigts de par et d’autre de sa mâchoire. Comble du sadisme il lui tapotait la joue en disant “bonne chienne”.
Honteuse, elle aurait aimé pouvoir se cacher dans un trou de souris et pleurer tout son soûl, mais il la gardait à portée de main, couchée à ses pieds le sexe toujours bien ouvert. Offerte et disponible.
Pourtant Lilly en bonne femelle avait d’instinct repéré les caresses, les positions, les parties de son corps que préférait son tourmenteur. Elle jouait de sa langue, de son cul et de tout son corps pour devancer ses désirs, les combler et ainsi tenter de l’amadouer. Elle savait rien qu’au timbre de sa voix dans quelles dispositions il était et agissait en conséquence en s’offrant sans pudeur. Elle anticipait aussi lorsqu’il la cravachait et modulait ses plaintes. Certains gémissements ayant des pouvoirs d’excitation, d’autres couinements le faisait frapper moins fort.
Telle une vraie chienne elle apprit à être en totale osmose avec son dresseur.
Privée de la parole les autres sens prenaient le relais et elle ressentait le moindre changement dans son attitude. Elle arriva même à deviner lorsqu’il était en proie à un léger doute sur la conduite à tenir ou devant un choix à faire.
Elle espéra même un moment pouvoir par son attitude soumise réussir à l’influencer.
Mais malheureusement pour elle, ce dresseur avait une personnalité bien affirmée.
Le programme qu’il lui avait concocté comportait de nombreux passages obligés qui étaient de véritables épreuves pour elle.
Son Maître était attentif à son plaisir. Il respectait aussi certains de ses tabous, alors que cette nuit elle pressentait que son humiliation serait complète. Elle allait, elle le savait aller au bout de sa honte et devoir accepter tout ce que ce pervers avait envie de lui faire subir.
Pourtant elle était certaine que le dressage proposé avait reçu l'acquiescement de son Maître. Son Maître voulait donc qu’elle devienne cette chienne en chaleur.
Comment était ce possible? Son Maître allait il la traiter ainsi à l’avenir ? Non elle ne pouvait pas y croire.
Son Maître aimait trop la faire jouir en récompense des efforts qu’elle faisait pour lui plaire.
Et elle prenait du plaisir à lui faire plaisir.
Ce n'était pas le cas avec Marc.
Pour Lilly ce soir, le plaisir n’était pas au programme. Elle était là pour être dressée, utilisée, humiliée, obéir, donner du plaisir et en baver.
“En baver” il fallait prendre cette expression au sens propre et au sens figuré.
Elle devait garder la langue sortie, dès lors qu’elle était touchée ou pénétrée au niveau du sexe ou du cul, et avait l’interdiction de fermer la bouche aussi longtemps qu’on s’occupait ainsi d’elle. Après quelques minutes cela devenait très pénible car elle ne pouvait s’empêcher de baver.
C'était une règle que son Maître avait instauré et qui l’excitait et l’humiliait à la fois.
Marc avait tout de suite adhéré à cette proposition.
Titillant son clitoris, il la surprit en train d’avaler subrepticement sa salive.
Comme punition, il lui accrocha une pince lestée d’un poids à la langue. Il la surveilla de près se délectant de voir de la salive couler sans discontinuer et il la traita de chienne baveuse. Elle resta ainsi 10 minutes la langue pendante.
Désormais craintive elle ne refit plus la même erreur.
.
A aucun moment son membre ne la pénétra vaginalement, lui ôtant ainsi toute possibilité de prendre son pied. Le but était de la garder au maximum dans un état de manque et de la maintenir entre l’excitation et la douleur. C’était pervers. Son corps était tellement sensible que le moindre effleurement des seins, la moindre caresse la rendait folle de désir.
Il l’a plusieurs fois amenée au bord de la jouissance attentif à ses râles de plaisir
et il s’interrompait juste avant l’orgasme. La frustration était terrible. Ravalant toute fierté elle l’implorait en geignant, son corps parcouru de spasmes et un simple attouchement aurait suffit à la faire jouir.
Des moments proches du sadisme il y en eut plusieurs. Lilly n’était pas maso mais une certaine dose de souffrance pouvait l’exciter, si le plaisir alternait avec la douleur. Mais Marc avait bien l’intention de repousser ses limites et de la traiter en chienne maso.
Il lui fit prendre la position numéro 4, sur le dos cuisses écartées avec ses deux mains et les cuisses repliées en arrière et dégagea son clitoris. Il avait une pompe à venin et il l’appliqua sur le bouton du clitoris décalotté. Il l’actionna d’un coup sec. Lilly hurla sous la douleur. Son clito aspiré dans la pompe avait doublé de volume, et il laissa la pompe accrochée.
Lilly se calma mais la douleur persistait. Il fit de même avec les tétons des mamelles et les bouts s’allongèrent de deux bons centimètres. Lilly se contenta de gémir sourdement, un gémissement guttural, animal qui dura tout le temps où elle conserva les trois pompes. Il la laissa ainsi pendant plusieurs minutes avant de la délivrer.
Le résultat était parfait. Les tétons étaient terriblement sensibles et allongés. En lui touchant le clito, qui avait doublé de volume Lilly geignait. Après quelques minutes elle avait retrouvé un peu de sérénité mais les tétons continuaient insolemment à poindre et son clito était proéminent.
Environ une heure après il décida de la tourmenter à nouveau. Il lui badigeonna le clitoris et les lèvres d’une sauce piquante à base de gingembre et de piment, dotée d’un pouvoir d’irritation très puissant. Lilly se tortillait, allant jusqu’à se frotter le sexe à un bout du pied de table, pour essayer de calmer la brûlure. Traitée de chienne en chaleur, elle gémissait dès qu’il lui touchait la vulve et son clito hypersensible lui faisait craindre la moindre caresse.
Nous priment une collation en nous servant de Lilly comme d’une table basse et lui avons permis de boire et manger dans une gamelle.
Estimant qu’il était temps de la faire se soulager, il la fit s’accroupir, les cuisses écartées au maximum. En équilibre sur la pointe des pieds et les mains derrière la nuque.
C’est une position difficile à tenir car on a aucun point d’appui solide et Lilly avait du mal à la garder.
Il lui intima l’ordre de pisser dans un verre à pied. Lilly essaya, je vis à son regard implorant qu’elle voulait réussir. Mais elle s’était retenue depuis si longtemps et son sexe avait été tellement tourmenté qu’elle faisait un blocage. Elle sentait le regard de son tourmenteur et son impatience.
Je lisais les efforts désespérés sur son visage mais elle n’y arriva pas. Il insista, pressa sur la vessie, en vain. Il l’encouragea, la réprimanda sévèrement. Rien n’y fit. En désespoir de cause il prit une canule munie d’une poire et introduisit le bout dans l’urètre. Une pression sur la poire provoqua un jet d’urine puissant.
Mais il ôta aussitôt le tuyau et lui intima l’ordre de se retenir. Elle réussit à arrêter le jet en grimaçant en signe de désapprobation. Son but était qu’elle pisse sur commande.
« pisse chienne, doucement. »
Un léger jet sortit et atterrit dans le verre qu’il tenait, il la félicita.
Il l’obligea à remplir le verre et la stoppa en pinçant fortement les tétons avant que le verre ne déborde. Il fit de même pour les 5 verres suivants.
Bien plus tard dans la nuit, j’eus pitié d’elle. J’avais trop envie de la prendre et de la baiser en l’entendant jouir. Je la libérai des pinces au sexe et elle gémis, le sang se remettant à circuler.
Je la massais délicatement et elle soupira d’aise. Son sexe était trempé et n’attendait que d’être pris par une queue. Ce fut une étreinte puissante et rapide et elle jouit en poussant des gémissements et des cris qui semblaient venir du plus profond de son être. Un orgasme puissant et une récompense après tout ses supplices.
Ses yeux remplis d’amour, me firent comprendre qu’elle était heureuse et reconnaissante de lui avoir permis prendre son plaisir après tant de tourments.
Peu avant le départ pendant que Lilly attendait sagement couchée à nos pieds, profitant d’un moment de repos bien mérité, Marc me prit à part et proposa de nous revoir.
Mais cette fois en compagnie d’autres dresseurs et d’autres chiennes. Pour lui, elle avait réussi à atteindre le niveau qui permettait de la présenter à son cercle. Il la jugeait apte à devenir une chienne confirmée. Je me sentis fier d’elle. C’était à n’en point douter un grand honneur qu’il nous faisait.
Je promis d’y réfléchir. En le quittant quelques minutes plus tard je lui dis à bientôt, et Lilly le remercia en baisant la main qui l’avait si durement dressée. Il lui dit à la prochaine en flattant une dernière fois sa croupe et elle eut un long frisson involontaire.
Épuisée, elle s’endormit à peine installée dans la voiture et ne se réveilla pas avant l’arrivée à la maison.
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