La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 15/07/21
Je déteste l’écriture dite inclusive, comme la « déconstruction » de l’histoire, l’idéologie woke et l’intersectionnalité. Qui malgré toutes les circulaires ministérielles continuent hélas de prospérer chaque jour davantage. De même que le poids prépondérant que ces élucubrations fumeuses ont pris dans le discours ambiant, pour faire de la langue, de l’histoire, des combats légitimes pour l'égalité et les droits de chacun des outils idéologiques au service de théories fumeuses si ce n’est totalitaires, fondées sur le rejet de l’autre. Je continuerai toujours d’écrire comme j’ai appris à le faire, de pratiquer les accords au masculin, de refuser la féminisation systématique des mots et les oukases de certaines féministes illettrées. Alors quand deux linguistes, un homme, professeur d’université et une femme maître (et non pas « maîtresse » :smile:) de conférences « déconstruisent » de manière argumentée toutes ces élucubrations des néo-féministes, je suis ravie de de pourvoir désormais justifier ce qui n’était que mon ressenti. Ca s’appelle la revue « Observables » dont le premier numéro vient de paraître. Hélas en catimini. Mais ça fait du bien quand même de me sentir confortée dans ce que j’ai toujours pensé. _______________ J’y ai aussi appris que l’homme, мужчина (muzchina) en russe, était du genre féminin. J’ai trouvé ça amusant. Heureusement ça ne rend pas le mien moins « viril » pour autant :smile: _______________ Mais bon, ça n'est jamais que mon point de vue.
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Par : le 07/07/21
Au risque de ne pas être dans l’air du temps, je préfère m'assumer «sexuée» plutôt que «genrée ». Je suis « née » femme et m’en porte plutôt bien, merci. Même si, sur le plan purement esthétique, je suis plus sensible à la beauté d’un entrejambe masculin qu’à ce dont la nature m’a pourvue. Mais en la matière mes goûts sont moins importants que l’attrait que vous y trouvez vous, Messieurs. _______________ N’en déplaise à Freud et ses disciples, je n’ai jamais ressenti comme frustrant le fait de ne pas être dotée d’une queue. Et le seul « manque » que j’ai pu éprouver à ce sujet, c’est lorsque je suis privée de celle d’un mec. Plus vraiment d’actualité, heureusement 😀 Je ne me sens pas non plus, dans ma vie, « victime » des hommes. Sauf quand je me « veux » la « victime » de mon Maitre. Bien sûr, la société, nos histoires, nos parcours personnels, ont contribué à façonner une image de la femme (et des hommes) que nous portons avec nous et renvoyons aux autres. Mais une image, n’en déplaise aux adeptes de la théorie des genres, qui n’est pas unique mais multiple. Et propre à chacun de nous. Alors, peu m’importent les « genres » des uns et des autres. Hétéros, homos, lesbiennes, trans ou que sais-je. Ce qui m’intéresse, c’est ce qu’ils sont. Leur vérité. _______________ Certains de mes amis très proches sont homos. Je les adore pour leur liberté, leur humour, leur façon de se vivre. Mon seul regret, vis à vis de certains, c’est que leurs « préférences » excluent d’autres « proximités ». Bon, c’est vrai qu’avec l’un d’eux au moins j’ai essayé. Avec son accord quand même, un soir où nous avions un peu bu et fumé. Ça n’a pas été de la tarte, mais comme je suis plutôt du "genre" obstinée, je suis quand même parvenue à mes fins. Même si par la suite, il est retourné à ses anciennes amours 😀 J’ai aussi essayé les femmes. Mais là, c’est moi qui n’était pas en phase. Du coup, aujourd’hui, ayant fait le tour de la question, je me contente de leur amitié. D’autant que pour le reste, je suis pourvue. _______________ Alors, oui, je préfèrerai toujours me dire sexuée que genrée. Parce que, n'en déplaise à Beauvoir, j’aime "être née" femme et j’aime le sexe. L’activité autant que l’instrument. La queue de mon Maitre et l’usage qu’il en fait.
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Par : le 24/06/21
Ça ne me gêne pas que tu penses avec ta queue. J’y pense bien, moi. Parce que j’en ai besoin. J'aime lire ton désir dans tes yeux, mais j’ai encore plus besoin que tu me le manifestes physiquement. Avec ta queue raide, dure comme l’acier, que tu enfonces en moi. _______________ Bien sûr, je ne te résume pas à ta queue et à tes couilles. Et nous ne serions pas ensemble si tu n’étais capable que de penser avec ta queue. Mais je n’ai pas honte de dire que ta queue, tes couilles me sont indispensables. Comme ton odeur, le goût de ta peau, ta bouche, tes mains, ton foutre. Ton corps. Toi. _______________ Peu m'importe dès lors ce que penseront de moi les coincés de tout bord. Parce que j’ai besoin de toi. Et notamment de ta queue, de tes couilles. Pour oser vivre. Pour pouvoir vivre.
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